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INTRODUCTION
I. GENERALITE
Et si tout le monde s'accorde pour la définir à minima comme un processus, les
points de vue divergent lorsqu'il s'agit de la qualifier.
1) La communication inter-personnelle
Cette forme de communication n'a été formalisée qu'aux cours des deux derniers
siècles.
La communication interpersonnelle est fondée sur l'échange de personne à
personne, chacune étant à tour de rôle l'émetteur et/ou le récepteur dans une
relation de face à face : la rétroaction est censée être facilitée sinon quasi-
systématique.
On dit parfois que la communication est « holistique », c'est-à-dire qu'elle fait
intervenir le tout de l'homme (communication verbale et non verbale), ainsi que
l'environnement (possibilité d'interférences environnementales dans la
communication).
Pour l'école de Palo Alto, la communication est fondamentale et essentielle pour
l'homme : « on ne peut pas ne pas communiquer ». Que l'on se taise ou que l'on
parle, tout est communication. Nos gestes, notre posture, nos mimiques, notre
façon d'être, notre façon de dire, notre façon de ne pas dire, toutes ces choses
« parlent » à notre récepteur.
La communication est aussi une forme de manipulation. Quand bien même notre
intention première voire délibérée n'est pas de manipuler, nous communiquons
souvent dans l'intention d'influencer ou de modifier l'environnement ou le
comportement d'autrui.
2) La communication de groupe
Communication de groupe
3) La communication de masse
Communication de masse
Dans la communication de masse, un émetteur (communication) (ou un
ensemble d'émetteurs liés entre eux) s'adresse à un ensemble de récepteur
(communication) disponibles plus ou moins bien ciblés. Là, la compréhension
est considérée comme la moins bonne, car le bruit est fort, mais les récepteurs
bien plus nombreux. Elle dispose rarement d'unerétroaction, ou alors très lente
(on a vu des campagnes jugées agaçantes par des consommateurs, couches pour
bébé par exemple, conduire à des baisses de ventes du produit vanté).
Ce type de communication émerge avec :
1) Un besoin d'identité
L'image que nous donnons doit être confirmée par autrui. Le fait que le rôle, le
statut et la place des acteurs soient bien identifiés permet aux interlocuteurs de
se reconnaître dans une position sociale, d'éviter les mal-entendus, les conflits,
et d'assurer la crédibilité. L'identité situationnelle du locuteur est repérable dans
l'énonciation.
Pour une entreprise, l'image de marque correspond à l'identité de
l'entreprise perçue par ses parties prenantes. Toute atteinte à l'image de marque
est un risque de réputation, préjudiciable à la bonne marche de l'entreprise, à
sa crédibilité et à la confiance que lui accordent ses clients.
2) Un besoin de souveraineté
Tout d'abord, il faut se dire qu'avant une intervention orale il est tout à fait
normal d'être stressé. Le stress est un phénomène naturel et révélateur d'une
monté d'adrénaline. Toutefois, afin de ne pas se retrouver paralysé par le stress,
il est important de bien préparer son intervention.
Les visuels (diapositives, films, transparents...) sont préférables aux écrits. Ils
permettent de capter l'attention de l'auditoire, d'illustrer ses propos, de
dynamiser sa présentation, tandis que les supports écrits distraient souvent les
auditeurs qui tournent les pages ou lisent leurs documents au lieu de se
concentrer sur les propos tenus par l'orateur. Tout cela peut être très
Déstabilisant pour l'intervenant, surtout s'il s'aperçoit que son public ne l'écoute
pas. Il peut perdre sa motivation et son assurance.
Chaque idée développée pour que le public puisse assimiler toutes les
informations reçues. L'intervenant a la possibilité de présenter des visuels tout
en les commentant (2 ou 3 minutes par visuel) afin de rendre plus vivant son
énoncé ou d'organiser le déroulement de son discours. Il faut veiller à respecter
le temps prévu lors de la préparation.
Afin de parvenir à capter l'attention de tous, le locuteur doit parler assez fort,
bien articuler chaque syllabe et adopter un débit plutôt lent afin que l'auditoire
ait le temps de recevoir et d'assimiler toutes les informations. Si le locuteur parle
trop vite ou trop doucement personne ne comprendra ou n'aura entendu ses
paroles, au bout d'un certain temps le public commencera à s'ennuyer. D'autres
part, il est important de varier son intonation et son registre de langage en
fonction des idées développées - tout au long du discours afin de le rythmer, d'y
apporter une certaine vivacité, de montrer sa capacité d'adaptation. Si
l'intonation ne change pas, le public pourra ressentir soit un manque de
conviction soit un désintérêt de la part de l'intervenant. Les auditeurs finiront par
discuter entre eux ou par sommeiller.
CONCLUSION