Vous êtes sur la page 1sur 9

Sciences de l'information et de la communication

Les sciences de l'information et de la


communication (SIC) forment, dans des pays tels Sciences de l'information et de la
que la France, la Belgique, l'Algérie, la Suisse, le communication
Maroc ou encore au Québec (sous l'appellation
« Communication » ou « Science de l'information »), Sous-classe de Sciences sociales, lettres
un champ de recherches universitaire. Pratiqué par Communication scholar (d)

Il y a un peu plus de 40 ans (en 1974) des


scientifiques issus essentiellement de la linguistique et de la
littérature, comme Robert Escarpit, se sont regroupés pour créer une
nouvelle discipline scientifique : les sciences de l’information et de
la communication (SIC).
Schéma simpliste de la transmission
Créé en France au cours du XXe siècle, en écho aux Media
linéaire de l'information dans la
Studies (en) américaines ou la Publizistikwissenschaft (de)
communication (paradigme
allemande et à l'école de pensée de Palo Alto (Californie, USA),
mécaniste)
cette nouvelle discipline se fonde sans que les chercheurs qui y
participent partagent un paradigme commun. Du fait de la
multiplication des référents théoriques, elle se constitue en tant qu' « inter-discipline » ce qui contribue à
brouiller son image de discipline à part entière auprès des disciplines plus anciennes qui nourrissent ses
travaux. C'est ainsi que les SIC empruntent largement aux sciences humaines sans ignorer pour autant les
sciences de l'ingénieur : l'informatique, la cybernétique, les théories du signal (etc.), trouvent un écho dans
les recherches relatives à l'information ; les recherches sur la communication organisationnelle (institution,
organisation, entreprise...) recoupent en partie les recherches en gestion ; les sciences de la documentation
(documentation, bibliologie, bibliothéconomie...) et des métiers du livre se rapprochent de l'information
(Louise Merzeau,..) et des sciences de l'éducation (Pierre Moeglin) ; les sciences de la communication font
appel à la sociologie, à la psychologie, à l'anthropologie, à l'histoire, à la sémiologie, à la philosophie (etc.)
et donnent lieu à de nouvelles recherches spécifique aux SIC. C'est ainsi que naissent de nouveaux courants
1
tels que l’épistémologie des SIC, l’histoire des SIC (Yves Jeanneret et Bruno Ollivier , Armand Mattelard,
Bernard Miège, Alex Muchielli), la didactique des SIC, l'anthropo-sémiotique et l'anthropologie de la
communication.

Le XXIe siècle marque un tournant dans la discipline en ce que les chercheurs en SIC ont soutenu une thèse
dans cette discipline, ce qui n'était pas le cas de leurs prédécesseurs qui avaient rejoint les SIC après avoir
suivi un cursus doctoral dans une autre discipline. Cette évolution contribue à une structuration plus forte de
son organisation et au renforcement du corpus théorique issu de l'histoire des SIC. La reconnaissance de la
discipline dépasse le monde strictement universitaire comme en témoigne l'intérêt des médias pour les
2 3
chercheurs qui analysent la société contemporaine (Isabelle Veyrat Masson , Pierre Musso , Dominique
4 5 6
Wolton , Bernard Darras , Pierre Mœglin ).
Sommaire
Historique des SIC
Institutionnalisation/Organisation/Rayonnement
Auteurs liés aux sciences de l'information et de la communication
Offre de formation
Technologies de l'information et de la communication
Classement
Recherche francophone
Notes et références
Voir aussi
Bibliographie
Ouvrages
Quelques revues spécialisées
Articles connexes
Liens externes

Historique des SIC


Le champ de connaissance a émergé après la Seconde Guerre, sans que l'histoire des sciences de la
7
communication et de l'information ne se confondent entièrement . L'histoire des sciences de l'information
s'enracine dans l'évolution des techniques documentaires et le développement de l'informatique.

Le versant communicationnel des SIC s'est constitué par la diffusion d'un discours utopique sur la
8
communication (Norbert Wiener, Harold Innis, Marshall Mac Luhan ) ou critique (Herbert Schiller (en),
Armand Mattelart), ainsi que par l'usage grandissant de techniques de sondage d'opinion (George Gallup,
Jean Stoetzel).

En France, dans les années 1970, le projet scientifique concerne également la schématologie, la publicité et
l'édition ; à partir des années 1990 (https://www.cne-evaluation.fr/WCNE_pdf/INFO_COM.pdf), il inclut de
nombreuses recherches concernant les technologies de l'information et de la communication, l'Internet et les
nouveaux média, les communications organisationnelles.
9
L'absence de nom collectif rend ardue la visibilité de la discipline : on parle de "communicologie" au début
des années 1980 ; on tente la "médiologie" au début des années 1990 ; on essaie la "médialogie" depuis
peu... Mais, dans les médias, les "communicologues" sont souvent étiquetés en référence à des disciplines
plus anciennes et sont assimilés aux "sociologues", "philosophes", "politologues", voire "historiens", ce qui
7
laisse dans le flou l'existence d'une discipline universitaire spécifique . Depuis les années 2000, cette
assimilation s'estompe peu à peu, sauf quand il s'agit de nouveaux courants de la discipline comme celui de
l' "anthropologie de la communication" dont les chercheurs sont associés aux "anthropologues".

Institutionnalisation/Organisation/Rayonnement
L'institutionnalisation des Sciences de l'information et de la communication française s'est effectuée en 1975
via la création de la 71e "section" du Conseil national des universités. Un premier état des lieux de la
10
discipline , analysée domaine par domaine, a été effet effectué par le Comité National d'Évaluation en
1992-1993. En 2009, une "Commission interdisciplinaire" (CID 42) intitulée "Sciences de la
communication" a fonctionné au sein du CNRS. Ces instances revêtent une importance réelle en matière
d'évaluation et de recrutement et de carrière.

En 2010, les responsables des laboratoires en SIC labellisés par le ministère décident de se rencontrer
régulièrement lors de la " Conférence permanente des directrices et directeurs des unités de recherche en
sciences de l'information et de la communication" (CPDirSIC) (http://cpdirsic.fr/) . Elle prend le statut
11
d'entreprise et a pour objectif de permettre aux responsables d'équipes et de laboratoires d'échanger des
informations sur la gestion des laboratoires, de développer et valoriser la discipline, et de contribuer à la
12
culture commune" . L'adhésion est volontaire. Depuis 2018, la CPDirSIC s'élargit aux responsables
d'équipes SIC intégrés dans des laboratoires pluridisciplinaires (http://umr-idees.fr/2018/02/15/right/).

Les SIC existent également au travers de sociétés savantes françaises ou étrangères et des réseaux de
recherches internationaux au rang desquels on trouve : la SFSIC (Société française des sciences de
l’information et de la communication), l'ACC (Association canadienne de communication (http://www.acc-c
ca.ca/)), l’AIÉRI (Association internationale des études et recherches sur l’information (http://www.aieri.ne
t/)), l’ICA (International communication association (http://www.icahdq.org/)), l’ECREA (European
Communication Research and Education Association (http://www.ecrea.info/ecrea/)), l’AMIC (Asociación
mexicana de Investigadores de la comunicación (http://www.amicmexico.org/)), les UNITWIN digital
campus (https://fr.unesco.org/programme-unitwin-chaires-unesco)UNESCO (E. laboratoire on Human Trace
Unitwin Complexes Systèmes Digital Campus (http://cs-dc-15.org/)) et les Chaires universitaires
UNESCO(URBICOM (https://orbicom.ca/)). Elles existent également sur le plan scientifique au travers des
groupes d'études et de recherches centrés sur des problématiques particulières. Certains sont labellisés par la
SFSIC comme le groupe d'études sur les communications organisationnelles (Org&Co (http://org-co.fr/)) ou
le Groupe Industrialisation de la formation.

Auteurs liés aux sciences de l'information et de la communication


13
En France, la discipline universitaire regroupe désormais plus de 700 enseignants-chercheurs (dont près
de 80 % au grade de maître de conférences), c'est-à-dire davantage que la science politique ou les sciences
de l'éducation, et à peine moins que la sociologie.

Parmi les auteurs les plus fréquemment cités, on trouve (par ordre alphabétique, et sans exclusive) : Fabrice
d'Almeida, Anne-Claude Ambroise-Rendu, Ghislaine Azémard, Jean-Pierre Balpe, Francis Balle, Roland
Barthes, Gregory Bateson, Karine Berthelot-Guiet, Denis Bertrand, Ray Birdwhistell, Simone Bonnafous,
Daniel Bougnoux, Marie-Hélène Bourcier, Jérôme Bourdon, Jean-Jacques Boutaud, Philippe Breton,
Suzanne Briet, David Buxton, Manuel Castells, Ghislaine Chartron, Marlène Coulomb-Gully , Laurent
Creton, François Cusset, Bernard Darras, Daniel Dayan, Régis Debray, Christian Delporte, Umberto Eco,
Robert Escarpit, Robert Estivals, Emmanuel Ethis, Joëlle Farchy, Patrice Flichy, Georges Friedmann,
Michel Foucault, Béatrice Galinon-Mélénec, Pekka Himanen, François-Bernard Huyghe, Harold Innis,
Geneviève Jacquinot, Francis Jauréguiberry, Yves Jeanneret, François Jost, Elihu Katz, Derrick de
Kerckhove, , Bernard Lamizet, Pascal Lardellier, Harold D. Lasswell, Anne-Marie Laulan, Paul Lazarsfeld,
Olivier Le Deuff, Cyril Lemieux, Pierre Lévy, Marc Lits, Cécile Méadel, Éric Macé, Éric Maigret, Denis
Maréchal, Armand Mattelart, Marshall McLuhan, Jean Meyriat, Louise Merzeau, Bernard Miège, Pierre
Mœglin, Jean-Louis Missika, Abraham Moles, Alex Mucchielli, Pierre Musso, Joanna Nowicki, Stéphane
Olivesi, Paul Otlet, Dominique Pasquier, Jacques Perriault, Serge Proulx, Rémy Rieffel, Nathalie Sonnac,
Lucien Sfez, Pierre Schaeffer, Claude Shannon, Paul Watzlawick, Warren Weaver, Norbert Wiener, Yves
Winkin, Dominique Wolton, Manuel Zacklad...
Voir Catégorie:Chercheur en communication

Offre de formation
L'offre de formation en Sciences de l'information et de la communication s'est beaucoup étoffée ces
dernières années : des seuls DUT en « Techniques de l'information et de la communication » des années
14
1970 , on est passé aux DEUG et licences dans les années 1980 (remplacés eux-mêmes par les Licences
LMD en 2005), aux maîtrises et DEA ou DESS (remplacés par les Masters LMD en 2005) et aux doctorats.

En France, de nombreux diplômes ressortissent à la discipline des « Sciences de l'information et de la


communication » (71e section du CNU) :

la licence en « Information et communication ». Il y en a une trentaine en France, qui


préparent tant à la poursuite d'études qu'à l'entrée dans le monde du travail. En 2007, il y
avait treize licences disciplinaires à offrir les trois années en formation initiale, et seize
diplômes offrant la seule année de spécialisation L3 à des étudiants venant d'autres
disciplines avec un Bac + 2.
la licence professionnelle. Il en existe près d'une centaine, sous des appellations diverses (la
mention « Activités et techniques de communication » regroupe 64 formations recensées par
l'ONISEP)
les diplômes universitaire de technologie (DUT) en « Information – Communication » (19
formations en France, avec quatre options : « Communication d’entreprise »,
« Journalisme », « Métiers du livre », « Gestion de l'information et du document dans les
organisations), ou « Métiers du multimédia et de l'Internet » (MMI, qui remplace le DUT
« Services et réseaux de communication » (SRC) depuis 2013).
les brevets de technicien supérieur (BTS) en « Communication », en « Communication et
industries graphiques », en « Design graphique » (s'appelait «Communication visuelle»
avant 2013), et en « Métiers de l'audiovisuel ». Selon les chiffres de l'ONISEP (2012), il y a
150 formations qui préparent en France au BTS en « Communication », 119 au BTS en
« Communication visuelle », 97 au BTS « Métiers de l'audiovisuel », et 44 au BTS en
« Communication et industries graphiques ».
Le Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré (CAPES) en
documentation est préparé dans une trentaine de formations, et permet de devenir
professeur-documentaliste et responsable de Centre de Documentation et d'Information
(CDI) dans un collège ou un lycée.
le master, 1re et 2e année. Il y en plus de 400 sur le territoire national.
le doctorat.

Un grand nombre d'écoles supérieures, souvent privées, offrent également des diplômes qui pourraient
s'apparenter à la discipline. L'absence de « crédits européens » (ECTS) ainsi qu'une très grande
hétérogénéité des contenus empêchent malheureusement une libre circulation des étudiants : quand on est
dans le privé, même conventionné par l'État, il est difficile de réintégrer le public.

Dans une étude de 2011, les diplômes de sciences de l'information et de la communication sont classées en
deuxième place pour les "filières sciences humaines et sociales où l'on réussit" : les diplômés en SIC font
15
état de 90 % de taux d'insertion, 66 % en CDI, et 93 % à temps plein .

Au Québec, la discipline concernée s'appelle simplement « Communication », et offre les diplômes


suivants :

le baccalauréat en communication (cinq universités : Laval, Sherbrooke, UdM, UQAM,


UQTR)
la maîtrise en communication (cinq universités : Laval, Sherbrooke, UdM, UQAM, UQTR)
le doctorat en communication (trois universités : Laval, UdM-UQAM-Concordia, UdM)

En Belgique, la discipline est proposée par quatre universités (ULB, Liège, Louvain, Haute École Paul
Henri Spaak) ; en Suisse, par deux universités (Neuchâtel, Haute école de gestion, Genève); au Maroc, par
une université (École des Sciences de l'information, Rabat).
16
En Algérie, les universités: Université Alger 3 Faculté des Sciences de l'Information et de la
17
Communication, et l’École Nationale Supérieure de Journalisme et des Sciences de l'Information ENSJSI ,
et l'université de Constantine 3 (http://univ-constantine3.dz/finfocom/) et l'université 20 août 1955 - Skikda
(http://fsssh.univ-skikda.dz/index.php/formation/74-licences/135-licence-en-sciences-de-linformation-et-de-
la-communication) proposent cette discipline de sciences de l'information et de la communication.

Technologies de l'information et de la communication


Soumises à débat, les « Sciences et technologies de l'information et de la communication » (STIC) sont à la
fois un domaine d'application de l'informatique, des statistiques, des mathématiques et de la modélisation, et
à la fois un champ de recherche des Sciences de l'information et de la communication. Les STIC rejoignent
tout autant l'industrie (ex. : télécommunications, reconnaissance des formes, reconnaissance vocale), que les
autres domaines scientifiques (ex : médecine, astronomie, sciences sociales, et environnement).

Entre 2000 et 2006, un département multidisciplinaire a été désigné ainsi au sein du CNRS. Le projet, après
une phase d'euphorie œcuméniques, a fini par regrouper les seuls spécialistes des sciences dures, excluant de
fait ceux des sciences humaines et sociales. Peu après, la Direction du CNRS a décidé de ne pas poursuivre
plus loin l'expérience. Compte tenu de l'apport de ces méthodologies, et de leur usage de plus en plus
systématique pour améliorer la vie de tous les jours et la prise de décision publique, des conférences initiées
par le CNRS continuent à être très régulièrement organisées sur ces thèmes par différents acteurs (université,
institut de recherche INRA, CEMAGREF, École des mines, INSA, INRIA, etc.) sur les sujets tels que :
STIC & Santé, STIC & Transport, STIC & Environnement, STIC & Systèmes aéro-spatiaux, STIC &
Production coopérative médiatisée, STIC & Énergie, etc.

Depuis les années 2010, des rapprochements de plus en plus fréquents se font entre chercheurs en
18
informatique, spécialistes de la modélisation des systèmes complexes et chercheurs en SIC . Ils permettent
d'étudier l'impact de l'évolution des techniques sur la communication humaine et leurs conséquences sur le
développement de la société.

Classement
La Direction générale de la traduction de la Commission européenne definit comme Industrie langagière les
activités de traduction, d’interprétariat, de sous-titrage ainsi que le doublage, l’internationalisation de
logiciels et de sites web, le développement d’outils technologiques linguistiques, l’organisation de
19
conférences internationales, l’enseignement des langues et l'expertise linguistique

Recherche francophone
Le Centre de recherche sur les médiations. Communication, langue, art, culture de
l'Université de Lorraine
Le Laboratoire des Sciences de l'Information et de la Communication (labSIC) de l'université
Paris 13.
Le GRIPIC, laboratoire de Recherche en Science de l'Information et de la Communication du
Celsa Sorbonne Université.
Le sic.lab Méditerranée de l'université de la Côte d'Azur
Le Groupe d'Études et de Recherche Interdisciplinaire en Information et Communication
(GERiiCO) de l'université Lille 3
Le laboratoire en Sciences de l’Information et de la Communication, CIMEOS pour
Communications, Médiations, Organisations, Savoirs, de l’Université de Bourgogne.
Le laboratoire interuniversitaire en Sciences de l’Éducation et en Sciences de l’Information et
de la Communication de l'Université de Strasbourg, l'Université de Haute Alsace, et
l'Université de Lorraine.
Le Laboratoire des sciences et technologies de l'information, de la communication et de la
connaissance (Lab-STICC), des universités et centres de recherche de Bretagne.
Le laboratoire de recherche en Sciences de l’information et de la communication et en Arts
(MICA) de l’université Bordeaux-Montaigne.
Le Centre d'analyse et de recherche interdisciplinaire sur les médias (CARISM) de
l'université Paris 2 Panthéon-Assas

Notes et références
1. « HERMÈS - n° 38 - Les sciences de l'information et de la communication » (http://documents.i
revues.inist.fr/handle/2042/9030), sur documents.irevues.inist.fr (consulté le 30 octobre 2019)
2. « Isabelle Veyrat-Masson : biographie, actualités et émissions France Culture » (https://www.fr
anceculture.fr/personne-isabelle-veyrat-masson.html), sur France Culture (consulté le
30 novembre 2019)
3. « L’industrialisation est d’abord une révolution mentale » (https://www.franceculture.fr/emission
s/matieres-a-penser-avec-serge-tisseron/lindustrialisation-est-dabord-une-revolution-mentale),
sur France Culture (consulté le 30 novembre 2019)
4. « Dominique Wolton » (https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/dominique-wol
ton), sur France Culture (consulté le 30 novembre 2019)
5. « Bernard Darras : biographie, actualités et émissions France Culture » (https://www.francecult
ure.fr/personne/bernard-darras), sur France Culture (consulté le 30 novembre 2019)
6. « Pierre Mœglin : biographie, actualités et émissions France Culture » (https://www.francecultur
e.fr/personne-pierre-moeglin), sur France Culture (consulté le 30 novembre 2019)
7. « La science de l'information, ou le poids de l'histoire » (2006). Article de H. Fondin dans Les
enjeux de l'information et de la communication. Revue en ligne. Disponible sur [1] (http://lesenj
eux.u-grenoble3.fr/2005/Fondin/index.php)
8. Anciens messagers, nouveaux médias : l'héritage d'Innis et de McLuhan (http://www.collections
canada.ca/innis-mcluhan/002033-1000-f.html), une exposition de musée virtuelle à
Bibliothèque et Archives Canada
9. Robert Estivals, 1983, pp. 39-60. « La communicologie », Schéma et schématisation, n° 19
(« Les sciences de l'information et de la communication »).
10. Jean-François Sirinelli (coord.), Carpentier JB, Galinon-Mélénec B., Joly J., Martinet B., Meyriat
J., Missika JL., Salomon JC., Tetu JF, Etat des lieux des Sciences de l’Information et de la
Communication, CNE, 1993, Etat des lieux des SIC
11. « CONFERENCE PERMANENTE DES DIRECTEURS DE LABORATOIRES DE SCIENCES
DE L'INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (ECHIROLLES) Chiffre d'affaires, résultat,
bilans sur SOCIETE.COM - 752709667 » (https://www.societe.com/societe/conference-perman
ente-des-directeurs-de-laboratoires-de-sciences-de-l-information-et-de-la-communication-7527
09667.html), sur www.societe.com (consulté le 30 octobre 2019)
12. « CPDIrSIC - Statuts de l'association » (http://cpdirsic.fr/statuts-de-lassociation/), sur cpdirsic.fr
(consulté le 21 septembre 2018)
13. Pascal Froissart & Hélène Cardy, 2006, p. 259-278. « SIC : cartographie d’une discipline ». In
Stéphane Olivesi. Sciences de l’information et de la communication. Objets, savoirs, discipline.
Grenoble : PUG, 288 pages.
14. Robert Escarpit, 1992. Interview de Robert Escarpit (http://www.uni-bielefeld.de/lili/personen/rw
olff/interview) (avec Jean Devèze et Anne-Marie Laulan).
15. Cyriel Martin, 2011. Le Point. Les filières sciences humaines et sociales (SHS) où l'on réussi (h
ttp://www.lepoint.fr/societe/exclusif-les-filieres-sciences-humaines-et-sociales-shs-ou-l-on-reuss
it-02-11-2011-1391905_23.php)
16. (ar) « ‫( » ﻛﻠﻴﺔ اﻟﻌﻠﻮم اﻻﻗﺘﺼﺎدﻳﺔ و اﻟﻌﻠﻮم اﻟﺘﺠﺎرﻳﺔ و ﻋﻠﻮم اﻟﺘﺴﻴﻴﺮ‬http://univ-alger3.dz/fsecg/), sur
univ-alger3.dz (consulté le 20 octobre 2018)
17. « ENSJSI, Ecole Nationale Supérieure de Journalisme et des Sciences de l'Information » (htt
p://ensjsi.dz/), sur ensjsi.dz (consulté le 20 octobre 2018)
18. (en) Béatrice Galinon-Mélénec in Pierre Parrend, Paul Bourgine, Pierre Collet (Edit.), First
Complex systems Digital Campus World E-Conference,, Arizona (USA), 2015, « From
« TRACES » and « HUMAN TRACE » to « HUMAN-TRACE PARADIGM »
19. « Language industry web platform » (https://ec.europa.eu/info/departments/translation_fr), EC
DG Translation (consulté le 10 octobre 2017)

Voir aussi

Bibliographie

Ouvrages
Daniel Bougnoux, Introduction aux sciences de la communication, Paris, La Découverte, coll.
Repères, 2011 (ISBN 2707137766)
Daniel Bougnoux, Sciences de l'information et de la communication, Paris, Larousse, coll.
Textes essentiels, 2010 (ISBN 2037410107)
Daniel Bougnoux, La communication par la bande. Introduction aux sciences de l'information
et de la communication, Paris, La Découverte, 2012 (ISBN 2707128678)
Jean-Jacques Boutaud & Karine Berthelot-Guiet, Sémiotique Mode D’emploi, Paris, éditions
Bord de l'eau, 2015 (ISBN 978-2-35687-359-0) (notice BnF
no FRBNF44497444 (https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb444974440.public))
Conférence permanente des directeurs·rices des unités de recherches en sciences de
l'information et de la communication, Dynamiques des recherches en sciences de
l'information et de la communication (http://cpdirsic.fr/wp-content/uploads/2018/09/dynamiqu
es-des-recherches-sic-web-180919.pdf), 2018 (CC BY-NC-ND 4.0).
Éric Dacheux, Les sciences de l'information et de la communication, Paris, CNRS, coll. Les
essentiels d'Hermes, 2009 (ISBN 2271068738)
Bernard Miège, Sciences de l'information et de la communication. Objets, savoirs, discipline,
Grenoble, Presses universitaires de Grenobles, coll. Communication en plus, 2009
(ISBN 2706112948)
Jean-Michel Salaün, Introduction aux sciences de l'information, Paris, La Découverte, coll.
Grands Repères, 2010 (ISBN 2707159336)
Jean-François Sirinelli (coord.), Carpentier JB, Galinon-Mélénec B., Joly J., Martinet B.,
Meyriat J., Missika JL., Salomon JC., Tetu JF, État des lieux des Sciences de l’Information et
de la Communication, CNE, 1993, Voir le rapport d’évaluation (https://www.cne-evaluation.fr/
WCNE_pdf/INFO_COM.pdf)
Robert Boure, Les origines des sciences de l'information et de la communication,
Septentrion, coll. Communication, 2011 (ISBN 2859397450)
Alex Mucchielli, Les sciences de l'information et de la communication, Paris, Hachette, coll.
Les Fondamentaux, 2010 (ISBN 2011457149)
Françoise Albertini, Nicolas Pélissier, Les sciences de l'information et de la communication à
la rencontre des Cultural Studies, Paris, L'Harmattan, coll. Communication et Civilisation,
2009 (ISBN 2296106897)
Yves-François Le Coadic, Science de l'information, Paris, Puf, coll. Que sais-je ?, 2004
(ISBN 2130547494)
Stéphane Olivesi, Sciences de l'information et de la communication, Grenoble, Presses
universitaires de Grenoble, coll. Communication en plus, 2006 (ISBN 2706112948)
Dominique Wolton, Les sciences de l'information et de la communication. Savoirs et
pouvoirs, Paris, CNRS Editions, coll. Revue Hermes, 2004 (ISBN 2271062446)
Jean-Paul Metzger, Médiation et représentation des savoirs. Recherche en sciences de
l'information et de la communication, Paris, L'Harmattan, coll. Communication et Civilisation,
2004 (ISBN 2747562557)
Serge Cacaly, Dictionnaire de l'information. Sciences, technologie et management, Paris,
Armand Colin, coll. Dictionnaires, 2004 (ISBN 2200266820)

Quelques revues spécialisées

Études de communication
Le Temps des médias
Questions de communication
Revue de la Bibliothèque nationale de France
Médiamorphoses
Revue Hermès

Articles connexes
Captologie Il existe une catégorie consacrée à ce
Technologies de l'information et de la sujet : Sciences de l'information et de la
communication communication.
Télécommunications
Sciences de l'information et des bibliothèques
Science de l'information
Théorie de l'information
Fuite d'information
Institut des sciences de la communication du CNRS (ISCC)
Interactionnisme

Liens externes
L’histoire des sciences de l’information et de la communication (http://questionsdecommunic
ation.revues.org/2355)
La science de l’information : posture épistémologique et spécificité disciplinaire (http://www.c
airn.info/revue-documentaliste-sciences-de-l-information-2001-2-page-112.htm)
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?
title=Sciences_de_l%27information_et_de_la_communication&oldid=170568376 ».

La dernière modification de cette page a été faite le 7 mai 2020 à 18:25.

Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes
conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les
crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la
licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le
paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

Vous aimerez peut-être aussi