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d’un chantier
Tous deux aboutissent alors au dossier de consultation des entreprises (DCE) qui
rassemble une série de plans définissant le bâtiment de la manière la plus complète
possible.
Dans un premier temps, nous présenterons les deux principaux types de plannings
établis depuis l'appel d'offre jusqu'à l'achèvement de la construction. Nous détaillerons
ensuite les différentes étapes de la réalisation d'un planning standard avant d'étudier le
rôle du conducteur de travaux dans son suivi lors de l'avancement du chantier.
- le planning commercial
- le planning travaux.
1. Le planning commercial
Lors d'un appel d'offre recueilli par le service commercial de Bouygues, le service
technique établit ce premier planning. Il s'agit d'une étude de prix et de conception. A ce
stade, la durée globale du chantier et les délais peuvent être négociés. Le planning est
alors présenté comme un véritable atout commercial.
Il comporte le chemin critique, c'est-à-dire l'ensemble des activités qui n'ont aucune
marge en délai. Un retard dans l'une de ces activités, appelées tâches critiques, affecte
2. Le planning travaux
Le planning travaux est celui qui est étudié sur les chantiers. C'est un véritable outil
de gestion.
La direction technique chiffre précisément les projets et entreprend pour cela
plusieurs études. Pour optimiser le prix, il faut en effet optimiser l'étude (une première
approche du phasage est réalisée à ce moment). Il faut à la fois chiffrer le direct (nombre
de poutres, volume des cubes de béton...) et l'indirect (frais annexes, bungalows, nombre
de conducteurs de travaux, de voitures de service...).
1. Les étapes
2. L'outil informatique
- MS Project : Ce logiciel possède une belle présentation et est facile à lire. La version du
planning qui est présentée au client est généralement sous cette forme.
Pour aboutir à l’élaboration d’un tel planning il faut suivre plusieurs étapes précisées dans
l’aide du logiciel :
1.Définir le projet
C. Le suivi du planning
De nombreux facteurs peuvent avoir une influence décisive sur la durée du chantier
et le respect des délais :
- les travaux en annexe : Dans le cas de la construction d'un local technique, des socles en
bétons sont nécessaires et leur temps de réalisation viendront donc rallonger la durée du
chantier.
- le choix des sous-traitants : Les constructeurs sont souvent amenés à choisir des sous-
traitants et ils doivent alors trouver le bon compromis entre la qualité de ces derniers et le
budget.
- la qualité des relations entre intervenants : De bons échanges doivent exister entre
l’architecte, l’entreprise générale, le maître d’ouvrage et les différents sous-traitants.
Tout d’abord, une analyse de dossier est effectuée. Son but est de dégager les
principales prestations et de déceler les caractéristiques majeures ainsi que les contraintes
du projet, notamment celles dues au site et à l’entreprise.
Il s’agit ensuite de décomposer le projet en sous-ensembles (phases, sous phases et
ouvrages élémentaires) et d’établir un phasage de réalisation le plus logique et cohérent
possible. On vérifie alors la faisabilité du projet dans le délai imparti. Pour ce faire,
plusieurs moyens sont utilisés ; à titre d’exemple il est possible de saturer globalement les
grues.
Dans cette première phase, on essaie d’identifier tous les problèmes liés à la
réalisation.
B. Sécurité et qualité
Cycle de rotation
Des plans de calepinage des coffrages, des étaiements et des dispositifs de sécurité
sont également élaborés. Des études techniques complémentaires peuvent être menées.
Celles-ci peuvent porter sur divers éléments : les coffrages, les moules, les étaiements, les
éléments préfabriqués, les dispositifs de sécurité…..
- le négoce : ceci concerne spécialement les produits standards livrés en plus petites
quantités.
2. L'installation du chantier
Un plan est réalisé à cet effet. Plusieurs éléments sont pris en considération lors de
son établissement. On tient compte des limites du terrain, des différents accès, des
réseaux existants ainsi que des contraintes du sol entre autres.
Par ailleurs, les dates prévisionnelles auxquelles les installations sont ramenées et
repliées sont spécifiées. De même, les évolutions possibles de l’installation sont
déterminées.
Avant toute chose, il faut définir quelles seront les compétences nécessaires lors du
chantier, évaluer le nombre d’hommes requis ainsi que leur temps de présence sur le site.
Ceci est effectué par le conducteur de travaux, en l’occurrence Monsieur Tommy-Martin,
assisté par les chefs d’équipes. A ce sujet, il semble important de rappeler que M.
Tommy-Martin ne dirige ni les chefs d’équipes, ni les compagnons, mais qu’il s’agit
d’une véritable coopération entre eux.
Mais cette évaluation doit se faire avec l’accord du responsable de la répartition des
compagnons au sein d’O.F.Rénovation. En effet, une personne s’occupe exclusivement
de superviser les différents chantiers de manière à répartir au mieux la main d’œuvre.
Celle-ci se doit de respecter au maximum l’esprit d’équipe caractéristique des
compagnons habitués à travailler dans un certain groupe.
Par ailleurs O.F.Rénovation s’emploie à affecter sur les chantiers des équipes qui se
connaissent déjà et à leur attribuer des chefs d’équipes qu’elles ont déjà rencontrés. Bien
sûr, si les compétences d’un compagnon sont requises sur un chantier dont il ne connaît
pas les chefs d’équipes, il s’y trouvera tout de même affecté. Dans ce cas, ces derniers se
concertent pour envoyer le compagnon qui s’adaptera le plus facilement à la nouvelle
équipe avec laquelle il travaillera : il ne faut pas oublier que le travail de chef d’équipe est
avant tout un travail humain, car le même compagnon pourra travailler de façons tout à
fait différentes suivant l’équipe où il se trouve.
Enfin, on ne tient pas compte des éventuels stagiaires ou apprentis qui pourraient
être présents sur le futur chantier, ceux-ci ne pouvant travailler à temps plein : ils sont en
formation 15 jours par mois. Ainsi, sur un chantier, il peut y avoir deux ou trois apprentis
qui sont en appoint sur certaines équipes, mais on ne les considère pas lors de
l’élaboration du planning : contrairement aux compagnons, on ne compte pas leurs heures
Elle constitue une phase primordiale dans l’élaboration du planning. Deux éléments
doivent être pris en considération :
En tenant compte de tous ces facteurs, on détermine, dans le planning, la durée des
tâches, le moment d’intervention de chaque équipe, l’effectif de chacune ainsi que sa
zone d’activité tout en visant un emploi optimisé des ressources en main d’œuvre.
3. La sous-traitance
La première question que nous nous sommes posée concerne les problèmes locaux :
effectivement, lors de la prise de retard sur une tâche quelconque, certaines équipes
peuvent voir leur travail entravé (par exemple les horizontaux ne peuvent être posés tant
que les verticaux précédents ne sont pas achevés). Cependant en de telles circonstances
les compagnons ne restent pas inactifs. Ils trouvent quoi qu’il arrive de quoi s’occuper :
nettoyage du chantier, finitions à terminer, ouvrages annexes à réaliser (par exemple,
lorsque plusieurs solutions techniques sont proposées au client, il faut pouvoir les lui
montrer, et donc les fabriquer sur place en parallèle du chantier). Cela permet donc de les
affecter à des tâches qui de toute façon doivent être réalisées. De même, lorsque la météo
est mauvaise, et que le gros œuvre est irréalisable, ils peuvent généralement effectuer les
finitions, car il faut des conditions météorologiques exceptionnellement mauvaises
(températures très basses.. .) pour empêcher tout travail sur le chantier.
Le problème des retards a aussi une influence très importante en ce qui concerne les
rapports avec la sous-traitance. En effet, bien que les sous traitants soient des prestataires
et qu’ils gèrent donc eux-mêmes leur main d’œuvre un retard en cas de retard, ils doivent
parfois qu’ils acceptent de différer leurs travaux. Les négociations dépendent alors
fortement de la flexibilité des entreprises concernées. Cela peut aller de l’arrangement à
l’amiable au conflit. C’est au conducteur de travaux de gérer tous ces problèmes, que ce
soit en payant le sous-traitant, ou en s’arrangeant avec lui dans la mesure du possible.
D’ailleurs, il faut aussi parfois contraindre le sous-traitant à arrêter ses travaux si
cela est dangereux pour les équipes qui travaillent autour de lui. Ainsi, sur le chantier que
nous avons visité, le maçon avait commencé un mur dans une zone où les plafonds
n’avaient pu être finis à cause d’un problème de livraison. Or, une équipe travaillait déjà
aux conduits de la tuyauterie. Lorsque les plafonds sont arrivés, trois équipes se sont
retrouvées travaillant sur la même zone, ce qui n’est absolument pas souhaitable au
niveau de la sécurité. Monsieur Tommy-Martin a donc du contraindre non sans mal le
maçon à abandonner son mur pour en commencer un autre. On le voit ici, le métier de
conducteur de travaux est avant tout un métier de relations humaines, où il faut savoir
ménager les susceptibilités des différentes personnes sur le chantier, et savoir écouter les
hommes qui ont une grande expérience de leur métier.
IV. La sécurité
Les entreprises sont de plus en plus soumises à des normes strictes du fait de la
dangerosité du secteur. L'intégration de ces normes sécuritaires au sein du chantier passe
avant tout par une maîtrise des procédés dangereux ainsi que par une formation puis une
responsabilisation des hommes et des équipes.
Depuis 1992, des directives sur les chantiers temporaires responsabilisent le maître
d’ouvrage et les concepteurs : ceux-ci doivent évaluer les risques pour la sécurité et la
santé et assurer l’intégration de la prévention des risques et l’utilisation de l’ouvrage aux
concepts organisationnels du projet.
Ainsi sur l’année 2002 O.F.Rénovation n’a enregistré aucun accident du travail
ayant entraîné un arrêt.
A. En amont du planning.
Deux tiers des accidents ayant lieu sur le chantier relèvent d’erreur commises
précédemment : ils découlent soit des défauts de conception de l’ouvrage ou de
l’équipement de travail mis en oeuvre, soit de l’organisation du chantier et des entreprises
intervenantes. En particulier, la co-activité et la succession d’activités effectuées par des
travailleurs provenant d’entreprises différentes provoquent fréquemment des accidents. Il
est aussi nécessaire pour le conducteur de travaux de se renseigner sur l'évolution des
réglementations, notamment les éventuelles prescriptions sur les matériaux.
Le but est de minimiser les risques encourus par les compagnons, en favorisant
notamment la préfabrication du matériel et en limitant la proximité entre les ouvriers.
L'objectif global est de diminuer le nombre d'actes à entreprendre sur le chantier même.
D'un point de vue juridique, le code civil recense les procédures obligatoires en
fonction des méthodes employées. Il s'agit de directives élaborées au niveau national qui
tendent à réduire les risques encourus par les ouvriers lors de la réalisation des travaux.
Ainsi, il est nécessaire de limiter les procédures dangereuses : le travail en hauteur
constitue un facteur de risque important ; cette méthode doit donc être utilisée le moins
souvent possible.
D'autre part, la proportion d'intérimaires présents dans les équipes n'est pas
négligeable. Pour assurer leur formation, tant sur le plan sécuritaire que professionnel, les
Des formations sécurité d'une demi-journée environ se déroulent une à deux fois
par an. Elles ont en général lieu lors de l'utilisation d'un nouveau matériel. Le secteur de
la construction étant en constante évolution, un nombre croissant d'outils est conçu et
intégré sur les chantiers pour permettre un gain de temps conséquent. Mais ils
comportent par-là même un certain nombre de risques qui justifient les formations
sécurité. Il existe ainsi des modes opératoires très détaillés tel que celui pour les banches
fourni en annexe.
2. Le coordinateur sécurité
Pour tous les chantiers de bâtiment et de génie civil, une coordination concernant la
sécurité et la santé des compagnons doit être organisée dès que plusieurs travailleurs
indépendants, des compagnies différentes ou des entreprises sous-traitantes sont appelés
à intervenir sur le même lieu. Le maître d’œuvre est responsable de la sécurité sur le
chantier et à ce titre doit faire respecter les normes de sécurité en vigueur permettant ainsi
de prévenir les risques résultant de leurs interventions simultanées ou successives. Il
s'agit également de prévoir, lorsqu'elle s'impose, l'utilisation des moyens communs tels
que les infrastructures, les moyens logistiques et les protections collectives. Le maître
d'ouvrage doit donc désigner un coordinateur pour toute opération impliquant plus d'une
entreprise ou d'un travailleur indépendant.
Ce coordinateur de sécurité projet doit être désigné au plus tard lors de la phase
d’étude. Celui-ci aide l’architecte à intégrer dans les plans et dans le devis définitif les
principes de prévention et les règles de sécurité pour l’exécution des travaux.
Avant que les travaux ne débutent réellement, un coordinateur de sécurité doit être
désigné. Celui-ci veille à ce que le plan de sécurité et de santé sois mis en œuvre pendant
les travaux, et l’adapte le cas échéant. Il coordonne également la prévention des risques
pendant les diverses phases de l’exécution. Le DIU est tenu à jour selon l’avancement des
travaux. Dans la majorité des cas, les deux fonctions sont exercées par la même personne.
4. Création du PPSPS
Finalement, il est important de noter que le PPSPS est adressé avant le début des
travaux au coordinateur et au maître d’ouvrage.
V. L’influence de l'environnement
Mais les différents choix que l’on peut faire lors de la conception du bâtiment pour
respecter l’environnement peuvent influer sur la longueur du planning. En effet, si une
bonne ventilation nécessite des travaux compliqués, cela prendra plus de temps à être
réalisé.
A. La préparation du chantier
Deux études concernant l'environnement sont nécessaires avant le début de
l'installation sur le site : l'étude des sols et celle des nuisances sonores.
L’étude de sol est une étape très importante dans la construction d’un bâtiment. Elle
est obligatoire avant le début du chantier puisqu'elle détermine la faisabilité de l’ouvrage.
Elle est commandée et financée par le client. Mais si elle n’est pas satisfaisante, c’est la
société qui réalise le bâtiment (Bouygues-Construction en l’occurrence) qui doit en
commander une autre. Dans ce cas, la facture de cette nouvelle étude est insérée dans le
devis global du bâtiment.
Les cas où l’on découvre des vestiges archéologiques sur un chantier déjà entamé
sont exceptionnels. La décision concernant la continuation éventuelle du chantier revient
dans un premier temps au maître d’œuvre, qui en réfère à sa hiérarchie qui prendra la
décision finale (blocage du chantier pour effectuer des fouilles archéologiques ou
continuation des travaux). Un tel événement remet en cause tout le planning si des
fouilles doivent être effectuées, car il faut immobiliser une certaine zone du chantier
pendant un temps indéterminé.
Les nuisances sonores sont, de nos jours, au cœur de la polémique sur la pollution
de notre environnement. De récents sondages montrent que la majorité des français
pensent que la nuisance sonore représente l’une des premières formes de pollution de
notre environnement. C’est pourquoi il est très important sur un chantier de pouvoir
minimiser ce type de nuisances. Il faut noter que la gestion du bruit est d’autant plus
importante que l’on construit près d’habitations.
Pour cela il faut choisir et utiliser un matériel le moins bruyant possible, donc de
grande qualité, ce qui influe sur le prix de revient du chantier. Le planning n'est pas
vraiment affecté. En effet, les études au niveau du bruit et les choix technologiques ou
choix de fournisseurs se font en amont de l’établissement de celui-ci.
Les déchets de chantier représentent 31 millions de tonnes par an. Celles-ci sont
réparties selon le type du chantier de la manière suivante :
• Démolition : 17344 kT
• Construction : 2309 kT
• Réhabilitation construction : 879 kT
• Réhabilitation dépose : 10500 kT
Cependant, malgré son importance, la gestion des déchets peut n’être qu’une tâche
secondaire vis à vis de la tenue du planning. Cela dépend du type de chantier et de sa
situation géographique. Par exemple, sur un chantier de neuf où il y a suffisamment de
place et d’infrastructures routières, comme celui que nous avons visité à Guyancourt, le
stockage et l’évacuation des déchets se fait sans qu’une activité ne soit interrompue,
indépendamment des autres étapes de l’ouvrage.
En revanche, sur un chantier de rénovation en plein cœur de Paris (ce qui représente
une grande partie des chantiers de OF Rénovation), il peut en être tout autrement. Pour ce
genre de chantier, on manque souvent de place et d’infrastructures adaptées aux allées et
venues des camions d’approvisionnement ou d’évacuation. Le stockage et l’évacuation
des déchets deviennent donc plus problématiques. Comme on ne peut pas stocker sur
place les déchets et que l’on doit attendre que le camion termine d’évacuer les déchets
avant qu’un autre puisse entrer pour l’approvisionnement en matériaux, la coordination
de ces manœuvres doit ce faire très soigneusement. La gestion des déchets fait donc
partie intégrante du planning.
Par ailleurs, vu les coûts croissants du stockage et la raréfaction des installations qui
lui sont destinées, la réduction à la source des déchets et le traitement par recyclage sont
devenus indispensables.
On procède donc à un tri des déchets produits par le chantier. On distingue les
déchets inertes des autres déchets.
- pour les déchets inertes : ceux qui sont valorisables vont être acheminés dans un
centre de valorisation tandis que les non valorisables seront acheminés vers une décharge
contrôlée pour matériaux inertes.
- parmi les autres déchets : ceux qui sont susceptibles d’être valorisés vont être de
même recyclés dans des installations de valorisation. Les autres seront incinérés ou mis
dans une décharge bioactive autorisée.
Les déchets non triés seront stockés dans une benne pour être ensuite triés dans un
centre de tri autorisé.
On voit ainsi que pour le chantier, les saisons ont influencé le planning. Il faut en
effet en tenir compte dans l’élaboration du planning, de sorte que les travaux à effectuer
en saison pluvieuse soient pour la majeure partie sous couvert. C’est ainsi que pour les
grands chantiers les dates de début doivent être choisies de façon précise afin de
permettre une livraison dans les temps mais aussi une adaptation aux conditions
météorologiques.
Les saisons peuvent donc aussi avoir un rôle dans l’agencement des tâches. Mais il
faut noter que cela n’est pas automatique et que cela dépend des choix du conducteur de
travaux.
Conclusion
La philosophie de Bouygues-Construction est de s'engager à respecter la qualité, les
prix et les délais pour satisfaire le client. A travers l'anticipation des difficultés qui
peuvent mettre en danger ces délais, le planning aide à tenir de tels engagements.
IV.La sécurité
Sites : http://lyc-du-batiment-saint-lambert.scola.ac-paris.fr
http://www.securisan.be/index_accueil.htm
http://www.bureaucoupez.be/Pages/Services/coordinateur_securite.htm
http://www.etat.lu/MFP/securite/leq/chap21.html
http://www.afim.asso.fr/Doc_ref/H&S/sps.asp
http://www.lentreprise.com
http://www.actions-secours.qc.ca/reglement.html
http://www.inrs.fr
http://www.lep-dismantling-project.web.cern.ch
Revue : Le moniteur N° 5127 du 01/03/2002
5) L'environnement
Sites : http://www.environnement.gouv.fr
http://www.infobruit.org
Revues : Le moniteur, hors série Octobre 2002, rubrique enquête
Le moniteur, hors série Novembre 2002, rubrique initiatives