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Commentaire de texte

Joatan Le Lostec1

le texte commenté est tiré des « Questions disputées sur l’âme de Thomas d’Aquin,
Thomas d’Aquin dans ce texte reviens sur l’ordonnancement des sens recensé par Aristote,
en leurs donnant une hiérarchie en fonction de leurs mode de réception. En effet plus un
sesn aura une implication matérielle et plus elle sera première, et plus elle sera immatérielle
et plus elle sera haute car plus proche de la perfection de dieu.

Ainsi au début du texte lorsqu’il parle de sens propre, il parle du sens qui par sont
organisme perçoit le sujet perçus, du coup il fait référence aux sens externe, et il les
considèrent comme premier dans l’ordre des puissance sensitive pour plusieurs raison, tout
d’abord car c’est un sens externe et donc contrairement au sens interne il est directement en
contact avec la matière, et ce contact le fait changer. Entant donc le plus matériel des sens il
est donc le plus éloigne du sens divin, et donc est considéré comme le premier des sens,
celui qui est le plus proche de la matière.
Ont arrive a la deuxième partie de la première phrase, et arrivons possiblement au premier
problème de ce texte. En effet Thomas d’Aquin dit « il lui fut nécessaire de ce distinguer en
divers puissances selon la diversité des immutations sensible » en cela il nous dit que le sens
propre a du ce composer de plusieurs manière distincte pour percevoir tout ce qui pouvait
être perçus. Et a cela il peux etre posé deux question, déjà Thomas d’Aquin parle de la
nécessité de ce distinguer en plusieurs partie, et si il y a nécessité il faut démontrer en quoi
ceci est nécessaire. Ceci nous le verrons est expliqué dans la suite du texte. La deuxième
question est de savoir si Thomas d’Aquin considère, comme il semble le faire, que par la
diversité du sens propre nous percevons tout ce qui peux être perçus. Cette deuxième
question en trouvera pas de réponse. Quand a la première question il nous faut donc
continuer le commentaire du texte pour comprendre cette nécessité. Et c’est dans la phrase
suivante qu nous auront un début de réponse, en effet il semble qu’il y ai une différence
dans le degrés d’immutations que reçoivent les différents sens du sens propre. Cette

1 dyslexique
différence de degrés permet a Thomas d’Aquin d’ordonner les différents sens. Et c’est a
cette exercice que Thomas d’Aquin va s’adonner dans les prochains paragraphe, en
commençant par le sens le plus bas, donc le plus proche de la matière, pour finir par le plus
haut, donc le plus immatériel. Ces différent sens sont les sens recensé par Aristote comme
étant les cinq sens de l’homme.

Mais quel sont les différences entre ces sens? Thomas d’Aquin y viens des le début du
second chapitre. En effet il début en faisant une séparation dans le sens en amenant un
critère, celui d’être changé par la réception bien qu’elle soit immatérielle. Il amène cela via
la chaleur, le froid et d’autre sensible qui en effet affect le receveur lorsqu’il reçoit. Ces type
de sensible sont perçus par le touché, le sens ne prend pas la propriété du sensible touché
mais le sensible crée un effet un mouvement en agissant matériellement. C’est pour cette
raison que Thomas d’Aquin cite le touché comme le plus bas du sens commun, car il est le
plus prêt de la matière.
On pourrait penser que le goût est autant affaire matérielle que le toucher car nécessite aussi
un contact entre le sens et le sensible, mais Thomas d’Aquin montre une différence notable
entre le toucher et le goût, c’est le fait que le sensible n’altère par le sens du goût, il y a un
facteur matérielle qui ce place entre le sens et le sensible et qui va lui crée la mutation dans
les deux, ce facteur est l’humectation, il crée une mutation dans les deux car il change le
sensible, et change le sens. Il y a une autre différence entre le touché et le goût dans le type
de transmission. En effet lors du toucher avec la chaleur, elle sera transmise au corps , alors
que pour le goût la langue ne prend pas l’effet de saveur de l’aliment consommé.

Pour la suite de l’ordonnancement des sens, il semble être difficile pour Thomas d’Aquin de
trancher entre le troisième et le quatrième, en effet l’ouïe et l’odorat on pour particularité
d’avoir la mutation non pas dans le sens et dans le sensible, mais de ne l’avoir que dans le
sensible, en effet pour l’ouïe c’est l’ altération du sensible (cloche qui vibre) et pour l’odorat
c’est la dissolution/ décomposition du sensible qui crée l’action du sens. Et ainsi le sens ne
serait pas modifier par le sensible. A cela il semble que l’on puisse faire une objection a
Thomas d’Aquin, en effet pour ce qui est de l’ouïe en cas d’un sont trop fort cela peut altéré
notre sens et avoir une action matérielle sur eux. Mais cela serait difficile a inclure car ont
pourrais dire qu’un sensible agis sur comment le prochain sensible arrivera au sens de
l’ouïe.
Pour finir il ne reste que le sens le plus haut, la vue. Il est considéré le plus haut car ils mu le
sens sans avoir d’immutation matérielle annexe. En effet le sens de la vue perçoit la lumière
et la couleur d’un objet sans l’altérer et sans altérer non plus le sens. Ce qui en fait le plus
haut des sens possédé par l’homme

Nous pouvons voir dans ce texte l’explication de Thomas d’Aquin quand à sont
ordonnancement, du plus proche et le plus altéré par la matière qu’est le touché jusqu’au
sens avec le moins d’altération pour le sensible et le sens et le plus immatérielle qu’elle le
sens de la vue.

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