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Exposer de Francais Limage de La Femme D
Exposer de Francais Limage de La Femme D
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INTRODUCTION
1- au plan social
Dans le village de la honte les femmes n'ont pas le droit de prendre la parole
dans une assemblée, elles peuvent seulement le fait si l'on leurs accorde de parler
pourtant les hommes eux peuvent prendre la parole sans problème. La femme est
victime d’humiliation publique, d'où la discrimination sociale. Ceux-ci sont des
grands faussé qui ne nous laisse pas indifférents. (Référence Page 101-102)
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2- au plan familial
Nous voyons que dans l'œuvre de Soro Guefala la femme est victime de
discrimination familiale car dans le chapitre 3 nous percevons que c'est seul la
femme qui accomplie les travaux champêtres, domestiques et même la tenue du
foyer. <<La femme constitue une main d’œuvre inestimable >> ces dits du chef de
Gopanledouo le confirme. (Référencepage64)
3- au plan conjugal
Dans la vie de couple, la femme est obligée de se soumettre. Bien vrai que la
soumission est essentielle pour l'évolution d'un couple ce n'est point pour autant
qu'on doit obliger la femme a la pratiquée. En effet l'obligée à se soumettre devient
une sorte d'esclavage. De plus les coutumes prônent la polygamie, le mariage
précoce et forcé sans oublier les innombrables bastonnades et les grossesses à
risques comme ce fut le cas de la jeune fille de quinze ans du nom de Toumafa
dans le village de Banasso. La femme est donc un bien de satisfaction de besoins
indécents et cela est certifiée par cette affirmation du chef de Gopanledouo :<<La
femme demeure un bien pour la famille qui l’a dotée >>. (Référence Page 98-99)
1. La femme assujettie
"Le village de la honte " peint la femme sans défense, innocente à la merci
de la société. Elle est assujettie et chosifiée. Son coté secret lui est arraché, elle est
humiliée devant ses semblables. Ce déshonneur et cette injustice sont remarqués
dans l’œuvre romanesque de SORO GUEFALA. La femme, la source de vie, est
devenue une source d’humiliation pour la société.
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2. Imposition de marie
Les femmes mère de jumeaux ne doivent pas être entièrement blâmée car
donner naissance a deux, trois ou même plusieurs enfants n’est en rien une fin en
soit.et si cela est un délit, il sera sage de blâmer les hommes car ceci on leurs part
de responsabilités dans ce délit. Les habitants de nadolepleu doivent comprends
que les hommes sont autant coupable que les femmes ils ne sont que des caprices
de la nature. (Référence page 84-85)
Dans le village Gopanledouo une femme ayant perdu son époux devais se
soumettre a la coutume qui était d’épouser l’un des frères de son défunt marie mais
a l’étonnement de tous elle a catégoriquement refusé de le fait et a traitée cette
coutume d’incestueuse cela a été la première révolte de la femme.
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2. La deuxième révolte de la femme (page 98-102)
Nous avons aussi le cas de la femme qui subissait une violence conjugale
qui se traduisait par des bastonnades de la part de son conjoint qui ne cessait de la
tabassé sans motif. La femme vivait effectivement avec un conjoint polygame.
Etant fatigué de cette situation, la femme a essayé d’empoisonné sont mari et a elle
même essayé de mettre fin a ses jours. C’est une grande révolte de la femme.
On a aussi le cas de la jeune fille Toumafa qui a été marié dès son bas âge et
a enfantée à l’âge de treize ans. Elle aussi subissait la violence et la jalousie
excessive de son marie. Mais étant révoltée, elle a décidé de fait part de cette
situation a kodongo qui détenait une place non négligeable dans le village celui-ci
décida d’exposer le problème au publique d’où la véritable révolte de la femme.
CONCLUSION