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2ème Semestre
BEROUZ MERIEM
Sommaire
Introduction générale 5
Conclusion générale 23
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Table des matières
Sommaire 1
Bibliographie 4
Introduction générale 5
4.1.1) Pertinence 10
4.1.2) Fidélité 11
4.2.1) Comparabilité 12
4.2.2) Vérifiabilité 12
4.2.3) Rapidité 13
4.2.4) Compréhensibilité 13
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3) Les règles de comptabilisation et d’évaluation 17
3.1) Les règles d’évaluation 17
3.1.1) Coût historique 18
Conclusion générale 25
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Bibliographie
Ouvrages et Revues :
Mémoires :
Kamal Daïa , Taha Douiri, « l’Impact des Normes IFRS / IAS sur les états
financiers des Entreprises Marocaines; (Cas Attijariwafabank Bank) » .
Sites Internet :
https://www.youtube.com/watch?v=jiRry12ZbdA&t=802s
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Introduction générale
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Dans le but de répondre à cette question notre travail est subdiviser en deux
chapitres principaux, le premier présente le cadre conceptuel des normes
IAS/IFRS, alors que le deuxième est réservé au processus d’élaboration des
fameuses normes.
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Chapitre 1 : Le cadre conceptuel des normes IAS/IFRS
Introduction :
Le cadre conceptuel traitant particulièrement l’objectif des états financiers, des
caractéristiques qualitatives de ces états, des éléments les composant, de la prise
en compte et de l’évaluation de ces éléments, des systèmes de mesure et du
concept du capital.
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Le cadre conceptuel est un ensemble de principes généraux formulés par
une organisation normative en vue de fournir une base commune
permettant l’élaboration de règles cohérentes.
Un cadre de préparation et de présentation des états financiers
(Framework for the Preparation and Presentation of Financial Statements)
a été, par ailleurs, adopté par l’IASC en avril 1989. Il avait pour mission
de fixer les concepts sous-jacents à l’élaboration des états financiers.
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Fournir une information utile aux investisseurs, aux créanciers et autres
utilisateurs afin de leur permettre de faire des choix rationnels en matière
d’investissements et de crédit ;
Fournir une information qui aide les investisseurs, les créanciers et autres
utilisateurs à évaluer le montant, le moment et l’incertitude quant aux flux
de trésorerie de l’entreprise concernée ;
Fournir une information sur les ressources économiques de l’entreprise,
sur les droits y afférant et sur les effets des opérations, événements et
circonstances pouvant affecter ces ressources et ces droits ;
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3. L’entité comptable
4.1.1 Pertinence
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prédictive et la valeur de confirmation de l’information financière sont
interdépendantes. L’information qui a une valeur prédictive a souvent aussi une
valeur de confirmation. Par exemple, des données sur les produits réalisés, pour
une année courante, peuvent être utilisées comme base pour la prévision des
recettes de l’année à venir. Elles peuvent également être comparées avec les
prévisions de recettes de l’année en cours ou des années précédentes. Les
résultats de ces comparaisons peuvent aider l’utilisateur à corriger et améliorer
les processus qui ont servi à effectuer ces prévisions.
4.1.2 Fidélité
11
4.2 Caractéristiques qualitatives auxiliaires
4.2.1 Comparabilité
4.2.2 Vérifiabilité
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général, quoique pas nécessairement complet, sur l’un ou l’autre des points
suivants :
4.2.3 Rapidité
4.2.4 Compréhensibilité
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des activités commerciales et économiques et qui examinent et analysent les
informations fournies avec diligence. Parfois, même bien informés, les
utilisateurs peuvent avoir recours à une aide extérieure pour comprendre des
phénomènes économiques complexes.
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Charges : Les charges sont des diminutions d'avantages économiques au
cours de l'exercice sous forme de sorties ou de diminutions d'actifs, ou de
survenance de passifs qui ont pour résultat de diminuer les capitaux
propres autrement que par des distributions aux participants aux capitaux
propres.
Ajustement / La réévaluation :
Performance :
Un concept financier de capital est adopté par la plupart des entreprises pour
préparer leurs états financiers. Selon un concept financier de capital, tel que
celui de l'argent investi ou du pouvoir d'achat investi, le capital est synonyme
d'actif net ou de capitaux propres de l'entreprise. Dans ce cas, un résultat positif
n'est obtenu que lorsque le montant financier de l'actif net à la clôture de
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l'exercice annuel dépasse le montant financier de l'actif net à l'ouverture de
l'exercice, compte non tenu de toute distribution aux actionnaires et de tout
apport de leur part au cours de l'exercice considéré.
Le choix du concept de capital mérite d'être basé sur les besoins d'information
des utilisateurs des états financiers :
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Maintien du capital physique :
En conséquence, ils ne sont pas traités comme bénéfices, mais comme des
ajustements de maintien du capital qui font partie des capitaux propres. Ce
concept est intéressant si l’utilisateur des états financiers est intéressé par la
notion de performance de l’entreprise.
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3.1.1) Coût historique : Le coût historique correspond à la valeur donnée au
jour d'acquisition du bien. Le cadre conceptuel précise :
Les passifs sont comptabilisés pour le montant des produits reçus en échange de
l’obligation, ou dans certaines circonstances, pour le montant de trésorerie ou
d’équivalents de trésorerie que l’on s’attend à verser pour éteindre le passif dans
le cours normal de l’activité ; Cout actuel : le coût actuel est défini comme la
valeur équivalente d'un actif ou d'un passif à la date d’évaluation.
Les passifs sont comptabilisés pour leur valeur de règlement, c’est-à-dire pour
les montants non actualisés de trésorerie ou d’équivalents de trésorerie que l’on
s’attendrait à payer pour éteindre des passifs dans le cours normal de l’activité.
3.1.3) Valeur actuelle : La valeur actualisée est définie comme la valeur des
entrées ou des sorties de trésorerie futures actualisées à la date
d'évaluation :
Les actifs sont comptabilisés pour la valeur actuelle des entrées nettes futures de
trésorerie que l’élément génère dans le cours normal de l’activité.
Les passifs sont comptabilisés à la valeur actuelle des sorties de trésorerie nettes
futures c que l’on s’attend à devoir consentir pour éteindre les passifs dans le
cours normal de l’activité.
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Chapitre 2 : Processus d’élaboration des normes IAS/IFRS
Introduction :
L’élaboration d’une norme est soumise à une procédure stricte appelée « Due
Process », celle-ci est basé sur une concertation avec toutes les parties
intéressées à travers notamment les organismes nationaux en liaison avec
l’IASB.
Section1 : Présentation et acteurs de la normalisation comptable
internationale
19
Refléter la vraie situation des entreprises ; En effet pour atteindre ces
objectifs les IFRS se basent sur deux principes :
Le principe de la prééminence de la réalité économique sur l’apparence
juridique ;
Principe d’évaluation des actifs à la juste valeur, au lieu du cout
historique.
2. L’émergence des normes IAS/IFRS
3.1) IASB :
L’IASB est l’organisme chargé d’élaborer les normes IFRS. Il est constitué de
16 membres nommés pour une durée de 5 ans renouvelable une fois. Les
membres de l’IASB sont issus des milieux professionnels suivants : Audit,
Préparations des états financiers, Utilisateurs d’états financiers, Autres. Ces
principaux rôles sont les suivants :
IFRS Advisory Council est constitué d’environ 40 membres dont les principales
missions sont présentées ci-après :
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conseiller l’IASB et de participer à la promotion des normes IFRS au niveau
mondial. L’organisation actuelle de l’ASAF est composée de 12 membres issus
de 4 continents (Afrique, Asie, Europe et l’Amérique).
Selon le Due process handbook for the IASB (manuel de procédures de l’IASB)
approuvé en mars 2006 par les administrateurs de l’IASC, l’élaboration des
normes doit respecter six étapes :
L’IASB doit évaluer l’intérêt d’ajouter un nouvel élément à son agenda. Pour ce
faire elle doit en priorité faire référence aux besoins des investisseurs.
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5-Le développement et la publication d’une IFRS : l’IASB peut demander la
rédaction préalable d’un nouvel exposé-sondage intégrant certains commentaires
formulés précédemment. Si l’IASB estime avoir atteint un niveau de conclusion
satisfaisant, l’équipe technique rédige la norme qui est soumise à un premier
vote de l’IFRIC puis de l’IASB.
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privilégié de l’information financière au Maroc est l’administration fiscale,
ensuite, la substance over form (ou ce qu’on appelle la substance économique
sur la forme juridique), ça veut dire en norme IFRS, on s’intéresse surtout à la
réalité économique de l’opération , par contre, la comptabilité marocaine se
base sur l’approche juridique, à titre d’exemple, si une entreprise possède un
bien, elle peut l’intégrer dans son actif, par contre, si le bien n’appartient pas à
l’entreprise même s’elle l’utilise et le contrôle, elle ne peut pas l’intégrer au
niveau de son actif .Les normes IFRS, se basent sur le principe de la juste valeur
« Fair value », par contre, au niveau du CGNC, parmi les 7 principes de la
comptabilité marocaine, il y’a notamment le principe du cout historique, c'est-à-
dire que les immobilisations acquises à titre onéreux sont enregistrées à leurs
cout d’acquisition.
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Conclusion générale
Les normes IFRS se basent avant tout sur des principes, plus que sur des règles.
A ce titre, les normes IFRS laissent plus de place à l’interprétation. De ce fait,
elles laissent aussi une plus grande marge de manœuvre aux entreprises. Ce qui
devait initialement être un moyen d’accorder et d’uniformiser la présentation des
comptes des sociétés sur le plan international présente donc un biais causé par
une souplesse d’interprétation.
De plus, les comités qui façonnent ces normes, dont l’IASB, sont
régulièrement critiqués pour leur manque de contrôle étatique et pour leur
composition car ils réunissent, entre autres, de grands cabinets d’audit...
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