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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE


SCIENTIFIQUE

UNIVERSITE ABOUBAKR BELKAÏD – TLEMCEN –

FACULTE DE TECHNOLOGIE

DEPARTEMENT DE GENIE MECANIQUE

M1 ENERGIE RENOUVELABLE EN GENIE MECANIQUE

Exposé

Droit d'autour

dans l'envernnement numérique

Présenté par :

Melle. BEKRIT Leila

Melle. SACI Sarra

Année Universitaire 2020/2021


Résume
Plan de travail
I. Introduction

II. Historique

III. droit d’auteur

IV. Types de données sensibles


V. Droit d’auteur dans l’environnement numérique

V.1. Concept et les types de travail numérique

V.2. Définition de la bibliothèque numérique et des attaques au droit


d’auteur

V.3. Protection des droits d’auteur et protection technique des œuvres


numérique

A. Protection des créations des logiciels par le droit de l’auteur

B. Cas spécifique des logiciels libres

C. Bases de données sur le droit d’auteur

V.4. Moyens de protection

Conclusion
I. Introduction

Le droit naturel a nécessité de la protection des droits en général, et La chose la plus

importante qui doit être préservée et protégée est les productions de l’esprit humain. En

raison de son importance et de son excellence culturelle et économique et scientifique.

Le droit d'auteur est incontesté au trône de tous les droits, et il occupe une position dans

les droits de propriété, en raison de son lien et de son association avec les biens les plus

élevés et les plus fins de l’homme, à savoir la raison et la pensée. Il va de soi que cet être

humain au droit de protéger son idée, et cette pensée peut conduire à la découverte,

l’invention ou ainsi de suite. Sans crainte d’être reproduit sans autorisation ou piraté, cela

contribue à accroître l’accès à la culture et à la connaissance et à étendre sa jouissance dans

le monde entier.

Nous allons poser les questions qui viennent.

- Quelle est la forme de protection du droit d’auteur à la lumière du développement

scientifique et mondial ?

- Quelle est la définition de l’environnement numérique, et quelles sont les attaques contre

le droit d’auteur dans l’environnement numérique? Quelles sont les mesures les plus

importantes pour protéger les œuvres numériques ?


II. Historique

La protection du droit d’auteur n’est pas une chose nouvelle qui est revenue depuis le début

de la loi islamique, et elle est la première à attirer l’attention sur la protection de la propriété

intellectuelle par le biais de versets et de hadiths bénis.

Il a été suivi par des lois positives, de sorte qu’en 1709, le Parlement britannique a adopté la

première loi mondiale sur le droit d’auteur, exhortant à la lutte contre la concurrence illégale

de l’édition,

Dans le monde arabe, la première loi sur le droit d’auteur connue des pays arabes a été la

Loi ottomane sur le droit d’auteur de 1910.

Les œuvres littéraires et artistiques ont été protégées dans les pays européens, américains

et scandinaves, comme les pays africains, qui n’ont accordé une attention à ces droits que

dans les années ultérieures par rapport aux pays mentionnés ci-dessus, tandis qu’en Algérie

la première loi sur la protection du droit d’auteur a eu lieu en 1971.


III. Droit d’auteur
Avant de commencer à présenter les droits fondamentaux de l’auteur, il est nécessaire
d’énoncer ce que signifie l’auteur lui-même : l’auteur est tout le monde qui produit un
intellectuel novateur, qu’il soit littéraire, artistique ou scientifique, et quelle que soit la façon
dont il est exprimé, que ce soit par l’écriture, le dessin, la photographie, etc.

Le droit d’auteur est un droit naturel de sa personne et de son humanité, il a donc été
garanti par toutes les lois, traités et conventions internationales en matière de propriété
intellectuelle.

Le droit d’auteur signifie que l’auteur a droit à ses œuvres créatives produites par son
activité intellectuelle, qui sont généralement décrites comme littéraires, musicales,
théâtrales, artistiques, scientifiques, visuelles ou audio, et le droit d’auteur comprend deux
types de droits, littéraire (moral) et des œuvres pour protéger le caractère de l’auteur en
appréciant son idée et en maintenant l’intégration de son travail, et un autre financier
(matériel) représentant la valeur financière de l’innovation de l’auteur.

IV. Types de données sensibles

➢ Tous les écrits présentant un caractère original. Exemple : une plaquette, un site Internet.

➢ Les dessins et modèles et, à certaines conditions, des objets industriels dits de « l’art
appliqué ».

➢ Les logiciels (codes-sources et codes-objets ou exécutables), y compris les matériels de


conception préparatoire.

➢ Les structures des bases de données.

V. Droit d’auteur dans l’environnement numérique

Le monde connaît une révolution dans le monde de la technologie et des communications,


et le résultat le plus important de cette révolution est l’ordinateur et l’Internet et ses effets
qui couvraient la plupart des domaines de la vie, et s’est donc imposé sur les droits de
propriété intellectuelle, et il ne fait aucun doute que la plupart de ce que ce réseau contient
à travers des sites Web est la propriété intellectuelle, qu’elle soit brevetée, marques, droit
d’auteur.

V.1. Concept et les types de travail numérique

Le travail numérique est l’un des détachements de la technologie moderne parce qu’il n’est
pas différent en principe de tout contenu et étiquette d’œuvres traditionnelles telles que le
livre, mais il diffère seulement dans le titulaire, l’allocation de transporteur de papier sur
lequel les mots sont croisés est devenu numériquement enceinte depuis sa création.
L’œuvre peut également avoir un actif papier, par exemple, puis être numérotée en la
transmettant sur le scanner, et le texte devient numérique à la fin.

Ces œuvres numériques comprennent ce qui est protégé le droit d’auteur, dont certaines
sont protégées par des droits de propriété industrielle et commerciale.

A. Littérature multimédia :

L’Internet transporte de nombreuses œuvres numériques, y compris légalement protégées,


dont certaines n’ont pas encore été adoptées des lois pour les protéger, et ces œuvres sont
particulièrement vulnérables aux attaques sur Internet parce qu’elles n’ont pas besoin d’une
grande intelligence humaine pour les attaquer, et sont affichées d’une manière numérique
moderne sous la forme d’une image, logiciel, d’un texte et d’une voix dans lesquels l’image
se déplaçait ou se fixait.

B. Textes numériques:

Nous entendons ici dans les textes numériques chaque document écrit sous la forme d’un
texte, et non sur un type ou un navire spécifique, qu’il s’agisse d’un texte regroupé sous la
forme d’un livre numérique, d’un périodique, d’une encyclopédie ou d’autres textes
numériques d’origine numérique ou numérique.
V.2 Définition de la bibliothèque numérique et des attaques au
droit d’auteur

La bibliothèque numérique c’est complètement différent par rapport à les bibliothèques


traditionnelles, il n’y a pas de métaphore en premier lieu, le bénéficiaire prend la source
numérique d’information du site Web de la bibliothèque, qui lui donne droit à sa pleine
propriété, et la bibliothèque permet un certain nombre de téléchargements de sources
numériques.

Parmi les attaques, il y a un changement de contenu ou même de titre et son remplacement


par des idées, qui peuvent être inappropriées pour les croyances et les idées de l’auteur
original, ce qui en fait une menace pour sa réputation artistique parmi ses lecteurs et même
avec les éditeurs, et que ce téléchargement ou copie non autorisée est une atteinte aux
droits de l’éditeur afin que l’œuvre soit publiée illégalement, peut-être au moindre coût et
au moindre effort, ce qui en fait une atteinte aux droits de l’éditeur, et donc au droit
d’auteur financier privé.

V.3 Protection des droits d’auteur et protection technique des


œuvres numériques

Le droit d’auteur protège toutes les œuvres de l’esprit, quels qu’en soient le genre, la
forme d’expression, la destination ou le mérite. Le critère fondamental est celui de
l’originalité, entendue comme « l’empreinte de la personnalité de son auteur ».La
protection par le droit d’auteur confère au titulaire une exclusivité sur le droit
d’autoriser ou d’interdire l’utilisation ou la réutilisation de son œuvre. Le droit d’auteur
est le droit des créateurs.

L’article L.111-1 du code de la propriété intellectuelle (CPI) prévoit que « l’auteur d’une
œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de
propriété incorporelle exclusif et opposable à tous ».Ce droit comporte deux volets :

• les attributs d’ordre intellectuel et moral.


• les attributs d’ordre patrimonial.

Seuls les derniers peuvent être cédés ou concédés.

1 .Les droits patrimoniaux

●Champ : Ces droits permettent d’organiser l’exploitation de l’œuvre et de prévoir la


rémunération des titulaires de droits. Ils se décomposent de la façon suivante :

• droit de représentation et de communication : communication directe de l’œuvre au


public quel que soit le procédé (radio, TV, site web...).

• droit d’adaptation et de reproduction : fixation matérielle de l’œuvre sur un


support, pour une communication indirecte au public (supports numériques, analogiques,
papier...).

●Durée : 70 ans après la mort de l’auteur (ou du dernier coauteur) ou après la


première publication pour les œuvres anonymes, pseudonymes, et collectives
(peuvent s’ajouter les prorogations de guerre vues aux articles L. 123-8 et L. 123-9 du
CPI).

●Domaine public : À l’expiration de cette période de 70 ans, la création tombe dans « le


domaine public » et peut être librement utilisée et réutilisée (sous réserve du respect du
droit moral).

2. Les droits moraux 

Ils sont perpétuels, inaliénables, imprescriptibles, insaisissables, absolus. Le droit moral est
composé des droits suivants :

• droit de divulgation : c’est l’auteur qui divulgue le premier l’œuvre au public (la
divulgation peut prendre plusieurs formes, par exemple, la signature du contrat avec
l’auteur atteste généralement que ce dernier a accepté la divulgation).

• droit de paternité : citation du nom de l’auteur et de sa qualité (droit transmis aux


héritiers).
• droit au respect de l’intégrité de l’œuvre : l’œuvre ne peut être ni altérée, ni déformée
dans sa forme ou dans son esprit (droit transmis aux héritiers).

• droit de repentir ou de retrait : l’auteur peut faire cesser l’exploitation ou en modifier les
conditions.

A. Protection des créations des logiciels par le droit de l’auteur

Définition de logiciel : ensemble d’instructions ayant pour but de faire accomplir des
fonctions par un système de traitement de l’information (ordinateur) ainsi que la
documentation associée.

Le logiciel est protégé par le droit d’auteur dès lors qu’il est original, c’est-à-dire qu’il révèle
un effort personnalisé allant au-delà de la simple mise en œuvre d’une logique automatique
et contraignante et qu’il porte la marque d’un apport intellectuel. Le Code de la propriété
intellectuelle a prévu un régime de protection dérogatoire au droit commun.

Le logiciel est constitué de deux types d’éléments : les éléments originaux protégés
(architecture des programmes, code source et code objet, matériel de conception
préparatoire, différentes versions,....) et les éléments non protégés considérés comme les
principes et idées à la base du programme (algorithmes, interfaces logiques...).

➢ Droits conférées et titularisé:

• les droits patrimoniaux : ils sont dévolus à l’employeur lorsque le logiciel a été développé
en entreprise ou à l’État lorsqu’il a été développé dans l’administration. Le droit
d’exploitation recouvre le droit d’effectuer ou d’autoriser (CPI, art. L. 122-6) :

– la reproduction permanente ou provisoire de tout ou partie du logiciel.

– la traduction, l’adaptation ou toute modification du logiciel.

– la mise sur le marché à titre gratuit ou onéreux du logiciel.

Ces droits peuvent être cédés ou concédés par licence.


• les droits moraux: ils restent toujours attachés au créateur. Ils sont amoindris : le droit de
retrait et de repentir disparait ; le droit au respect est cantonné aux atteintes à l’honneur ou
à la réputation (CPI, art. L. 121-7).

➢ Exceptions (CPI, art. L. 122-6-1) Peuvent être effectués sans l’autorisation de


l’auteur du logiciel :

– les actes de reproduction et d’adaptation nécessaires à l’utilisation du logiciel


conformément à sa destination (par exemple et sauf mention contraire, les corrections des
erreurs du logiciel).

– la copie de sauvegarde.

– l’observation du logiciel pour en déterminer les idées et principes.

– sous certaines conditions, les actes nécessaires à l’interopérabilité avec d’autres logiciels
(décompilation).

Les logiciels font l’objet d’un dépôt légal obligatoire dès lors qu’ils sont mis à la disposition
du public par la diffusion sur un support matériel. Il est tenu un registre national spécial des
logiciels à l’Inpi. Il est d’usage de déposer les codes sources pour pouvoir en organiser l’accès
et renforcer la protection. Certains organismes tels que l’APP (Agence de protection des
programmes) sont spécialisés dans ce type de dépôts.

➢cadre spécifiquement applicable aux agents publics : Le décret n° 96-858 du 2


octobre 1996.Ce décret prévoit une prime d’intéressement aux produits tirés, par la
personne publique, de ces créations, à destination notamment des agents publics
créateurs de logiciel dans le cadre de leur mission. Ces dispositions concernent des
catégories précises d’agents figurant en annexe du décret qui décrit également les modalités
de calcul de la rémunération due aux agents publics concernés.

• A noter : Conformément aux termes du décret précité, si la personne publique décide de


ne pas procéder à la valorisation du logiciel, les agents concernés peuvent en disposer
librement, dans les conditions prévues par une convention conclue avec ladite personne
publique.
B. Cas spécifique des logiciels libres 

Un logiciel dit libre est un logiciel encadré par une licence libre. Une licence libre est une
autorisation donnée par l’auteur du logiciel à tout tiers, à titre non exclusif, d’exploiter
tout ou partie de ses droits patrimoniaux, en permettant, sous conditions éventuelles, a
minima : d’utiliser, de copier, de modifier et de diffuser les modifications. La
terminologie de logiciel libre peut parfois induire en erreur. L’exploitation de ces logiciels
reste en effet encadrée par les termes de la licence qui définit les droits et obligations
attachés au logiciel. Une circulaire du premier ministre en date du 19 septembre 2012,
définit les orientations relatives à l’usage du logiciel libre dans les administrations.
En pratique : l’usage d’un logiciel libre est soumis à des règles préétablies
par son créateur. Il conviendra de bien lire la licence avant tout usage.

C. Bases de données sur le droit d’auteur

Définition de la base de données (CPI) : « Recueil d’œuvres, de données ou d’autres


éléments indépendants, disposés de manière systématique ou méthodique, et
individuellement accessibles par des moyens électroniques ou par tout autre moyen. »

Les bases de données se voient appliquer deux modes de protection, indépendants et


cumulables .le droit d’auteur protège simplement l’architecture de la base (le contenant)
dans les conditions décrites ci-dessus, l’originalité résidant dans le choix ou la disposition
des matières. Les données contenues peuvent, par ailleurs, être protégées par le droit
d’auteur.
› Le droit sui generis : protège le contenu de la base contre les extractions déloyales
(CPI).
• Domaine: il confère un droit exclusif sur le contenu de la base de données
dont la constitution, la vérification ou la présentation a nécessité un investissement
substantiel, qu’il soit financier, matériel ou humain.
• Titulaire du droit: le producteur de la base, entendu comme la personne qui a pris
l’initiative et le risque des investissements.
• Durée: 15 ans à compter de l’achèvement ou de la mise à disposition de la
base, renouvelable une fois pour la même période en cas de nouvel investissement
substantiel.
• effets: le producteur peut interdire l’extraction ou la réutilisation :
– de la totalité ou d’une partie substantielle du contenu de la base ;
– répétée et systématique de parties non substantielles du contenu de la base.
• exceptions: sous réserve du respect du test des trois étapes [cf. p.14] (art du CPI),
lorsque la base est mise à disposition du public, le titulaire ne peut interdire
notamment :
– l’extraction ou la réutilisation d’une partie non substantielle de la base par celui qui y a
licitement accès.
– l’extraction ou la réutilisation d’une partie substantielle de la base à des fins privées.
– dans certains cas, l’extraction ou la réutilisation d’une partie substantielle de
certaines bases à des fins d’enseignement ou de recherche ne donnant lieu à aucune
exploitation commerciale.

V.4. Moyens de protection 

● Cryptage

Le but de l’utilisation de la technologie de cryptage est d’empêcher quiconque d’accéder au


cahier de travail numérique protégé afin de le reproduire sans l’autorisation de son
propriétaire.

● Système de tatouage et gestion électronique du droit d’auteur

Le système de tatouage signifie cette technique qui permet d’identifier toutes les
informations sur le travail afin que toutes les modifications apportées par l’utilisateur ou
toute exploitation non autorisée soient détectées.
Le système de gestion électronique du droit d’auteur vise à surveiller constamment et en
permanence les demandes d’accès qui sont automatiquement enregistrées sur l’œuvre
affichée sur Internet, permettant d’extraire des rapports de tentatives de piratage.

Conclusion

L’environnement numérique est un espace organisé par différents outils technologiques,


permettant aux utilisateurs d’accéder aux ressources et services numériques sur les
machines ou en ligne avec une vie qui offre une installation inégalée pour la conservation de
l’environnement, la consultation, la reproduction et la modification.

Il est également facile de modifier ou même de manipuler des œuvres numériques, toutes
les menaces potentielles au droit moral des auteurs. En effet, tout système de droit d’auteur
doit donner au créateur le monopole sur la base d’un compromis entre les intérêts des
auteurs et ceux de la société qui nécessite la libre circulation des idées, de l’information et
du commerce, bien que l’environnement numérique, en particulier Internet, rend cet
équilibre difficile à trouver et difficile à maintenir.
Référence

1. http://www.journal.cybrarians.org/index.php?

option=com_content&view=article&id=649:copyrights&catid=265:researches&Itemid=96

2. https://cours-de-droit.net/naissance-evolution-et-tendances-du-droit-d-auteur-

a127390908/

3. https://www.justifit.fr/b/guides/droits-d-auteur/#:~:text=Le%20droit%20d'auteur

%20regroupe,moral%20et%20les%20droits%20patrimoniaux.&text=Il%20pr%C3%A9serve

%20aussi%20votre%20droit,poursuivre%20le%20plagiaire%20en%20justice.

4. https://drive.google.com/file/d/17R1edVKl6G427Xqm-CIeQtQ7S71o3FCb/view

5. https://www.1min30.com/dictionnaire-du-web/droit-dauteur

6. http://elearning.univ-djelfa.dz/pluginfile.php/14029/course/summary/ethique%20et

%20deontollogie%20et%20propriete%20intellectuelle.pdf

7. file:///C:/Users/win/Desktop/deroit%20d'auteur/Droit_auteur_image_numerique.pdf

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