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Thème 2 

: la France dans l’Europe des nationalités : politique et

société (1848-1871)

Problématique : comment se construit la France du point de vu politique et sociétal


entre 1848 et 1871

Chapitre 1 : la difficile entrée dans l’Age démocratique : la deuxième


république et le second empire.

Voir carte pages 74-75

Page 76 :

- Le drapeau français
- Le coq
- Marianne (allégorie de la république)
- Bonnet phrygien
- La couronne de lauriers
- République romaine (soulier et couronne)
- Devise française (sur la frise en bas)
- Représente le peuple

Page 77 :

- Sceptre posé sur le coussin


- La main de justice
- Couronne qui représente le pouvoir de l’empereur
- Une épée (pouvoir militaire)
- Manteau de sacre double d’hermine
- La pourpre (empire romains et byzantins)
- Légion d’honneur (instauré par napoléon premier)
- Uniforme (représente le pouvoir des armée)
- Autorité et pouvoir plus représenter que le peuple
- Régime autoritaire

Pb : en quoi ces deux régimes politiques marquent-ils une étapes importante vers la
mise en place de la démocratie ?
1. La deuxième république : des idéaux et un échec de projet république
(1848-1852)
A. L’espoirs de la république dans les premiers mois

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- les parisien veulent la parole


- la roi abdique
- Maintenir un royaume ou créée une république ?
- Les révolutionnaires forcent le passage
- Alfonse de Lamartine (député ) il a 57 ans avec un grand né
- Alphonse de Lamartine, de son nom complet Alphonse Marie Louis de Prat de
Lamartine, né le 21 octobre 1790 à Mâcon et mort le 28 février 1869 à Paris,
est un poète, romancier, dramaturge français, historien, ainsi qu'une
personnalité politique qui participa à la révolution de 1848 et proclama la
Deuxième République
- Le Printemps des peuples ou Printemps des révolutions désigne le mouvement
révolutionnaire que connaît une grande partie de l'Europe en 1848, pour
l’essentiel entre fin février et début juillet 1848, avec une forte concentration
d’événements entre mars et juin, d'où la qualification de « printemps »
- 2 eme république le roi fuit
- Suffrage universel masculin
- Lamartine pense que la concorde va remporter
- Accentuation de la révolution
- 9 avril
- 1, 8millions des voix ont voté Lamartine
- Mais il est par la suite décevant ( en voulant ammener un personnage de
gauche)
- Remise en cause des ateliers nationaux ( trop couteux )
PPO : Lamartine Président ! + voir notes sur l’émission

La deuxième république est proclamée par Alphonse de Lamartine le 24 février 1848,


après l’abdication de Louis-Phillipe. Dès le début du mois de mars, des décisions
importantes sont prises comme la mise en place du suffrage universel masculin (voir def
page 80) qui constitue une réelle avancée politique, même si les femmes en sont exclues. Le
27 avril, l’esclavage est aboli. Le nouveau régime prend également des mesures sociales
comme la journée de travail de 10h à Paris ou la création des ateliers nationaux le 27 février
(voir def page 80). Ces décisions sont prises dans un climat ou les artistes et des femmes
exercent une influence sur la politique, notamment avec la création de club politiques. On
compte 236 clubs à Paris et des dizaines dans d’autres grandes villes françaises.

Travail sur George Sand ( feuille A)

Chères amies,

Suite à certaines paroles de notre amie George Sand je vous écrit cette lettre pour vous
expliquer ses agissements. Nous savons toutes que cette femme soutient notre cause et
nous défend coute que coute. Vous devez alors vous demander pourquoi elle n’est pas
favorable à l’égalité politique entre hommes et femmes.
George Sand est une écrivaine féministe du XIXème siècle. Après la révolution de 1848 et
jusqu’à la fin de sa vie, elle s’est battue pour défendre le projet d’une République socialiste,
dans laquelle les habitants des campagnes et les femmes n’étaient pas laissés de côté. On
peut donc se demander pourquoi George Sand n’est pas favorable à l’égalité politique entre
les hommes et les femmes. Cela parait surprenant, mais elle a ses raisons. Tout d’abord, il
faut savoir, qu’elle défend bel et bien la cause des femmes. A travers ce refus d’égalité
politique, elle n’est pas contre les femmes, mais juste lucide quant au fait que dans le
contexte de 1848, cela ne fonctionnerait pas. Elle estime déjà que la politique est un sujet
nouveau pour tout le monde et que cela se voit dans les résultats des élections du 22
décembre. En effet, elle dit « L’éducation politique est le résultat de l’action politique. Cette
action est si nouvelle chez le peuple qu’il est impossible d’exiger de lui la prévoyance, le
calcul, le jugement des hommes et des choses… ». Par cette phrase, elle veut dire, que le
peuple n’est pas suffisamment informé et éduqué pour voter d’après ses propres
convictions, mais que qu’il est encore trop naïf et influençable par des apparences, des mots
ou des noms. Cela nous emmène donc à son avis sur l’égalité politique entre homme et
femmes. Comme dit auparavant, George Sand est contre, mais pourquoi. Eh bien, elle
l’explique dans un brouillon inachevé de 1848. Elle y dit, qu’en France, la femme se doit
d’être totalement soumise à son mari, puisque sous sa « tutelle ». Elle explique qu’il est donc
« absolument impossible qu’elle présente des garanties d’indépendance politique », à partir
du moment où elle respecte cette contrainte du mariage. Son mari influencera forcément son
choix, voir, le fera à sa place. Selon George Sand, il faut avant tout que la société et les
idées soient totalement transformées, pour que les conditions de la femme le soient et
qu’elle puisse soumettre un avis politique.

B. La république face aux difficultés

Document feuille B ; document 1

Date : 29 mai 1848


Auteur : comte de Falloux
Nature : discours
Information : critiques contres les ateliers nationaux
Contexte : discours a l’assemblé constituante
Sujet : discours du compte de Falloux critiquant les ateliers nationaux
La crise économique et sociale qui était a l’origine de la révolution de février 1948 persiste
durant les premiers mois de la république. Devant une situation budgétaire catastrophique, le
gouvernement provisoire augmente les impôts de 45% provocants des émeutes notamment
dans les campagnes. Après les élections d’avril 48, le mouvement ouvrier organise des
manifestations massives pour mettre l’Assemblée sous pression. Les députés républicains
(les modérés et les conservateurs) dénoncent le coup des ateliers nationaux (« 45 millions
de francs par ans »). Ce sont des foyers de subversion politique. Une commission exécutive
décide de dissoudre les ateliers nationaux sans consulter l’Assemblée (21 juin 48). Entre le
22 et le 26 juin 48, l’agitation gronde dans Paris. Le 23, il y a 400 barricades qui se dressent
à Paris. L’Assemblée charge le ministre de la Guerre (Eugène Cavaignac) de mener une
violente répression. On compte des centaines de mort et les principaux dirigeants de ce
mouvement ouvrier vont être soit arrêtés, soit exilés. L’image de la république est ternie, une
grande partie des ouvriers tourne le dos au régime républicain.

Document 3 page 81 :

- Suffrage universel masculin, mais aucun droit politique pour les femmes
- Suffrage universel masculin direct
- Les électeurs élisent directement le président de la République et les conseillé
municipaux
- Il n’y a qu’une seule chambre dans laquelle tous les député sont élus par les citoyens
- République démocratique
- Le président a le pouvoir exécutif
- Il est élu pour 4 ans
- Le président de la 2 ème république ne peut pas être réélus une seconde fois
- Chefs des armées

C. Louis napoléon Bonaparte au pouvoir

Parcours A

- Qui concerne la famille la religion la propriété qu'ils qualifient de base sociale et


calmer les haines réconcilier les parties, devoirs imposés par l'assemblée ça veut dire
qu'il promet de respecter la volonté du peuple. «  calmer les haines »
-

Doc 4 page 81 :


La justification d’un coup d’état

L’argument de louis nap pour rester au pouvoir est « pour accomplir la mission du peuple ». face au
refus de du peuple le seul moyen pour lui de rester au pouvoir est le coup d’état.

Le coup d’état du 2 décembre 1851, dans la foulée il dissout l’assemble. En novembre 1852 un
plébiscite est organisé. Le peuple accorde la dignité impériale a louis nap. La deuxième république
est abolie, il deviens officiellement empereur 1 ans après son coup d’état le 2 décembre 1852.

Plébiscite : vote portant sur une simple question visant a faire approuver une décision ou une politique
2. le second empire, un régime autoritaire (1852-1870)
A. La mise en place d’un pouvoir personnel

Les institiution du second enmpire sont organisées par la constituion de janvier 1952. Le suffrgage
universel masculin est maintenu, l’empereur a maintenent tout le pouvoir. La justice est rendue au
nom de l’empereur

1) Napoleon III s’inscrit dans l’heritage de son oncle


2) Il parle de conquetes mais pas militaire, il soihaite developper les chemins de fers,
l’agriculture, ouvrir de noivelles routes, maritimes et terrestres… c’est par a paix que le
France doit se developper. Son regne s’inscrit dans la revoltution industrielle. La prosperité
passera par ces grand traveaux .
3) Sous le second emprire, le peuple vote lors des plebiscites. Ils donnent leur avis, mais leur
choix est fortement influencé par le gouvernement. En effet les candidiats sont recommandé
et soutenus par le regime imperial. Même si c est un pouvoir autoritaiure on donne quand
meme la parole au peuple dans cette politique imperiale.mais les reponses aux plebisctes
sont toujours positive
4) Pour montrer la puissance et la richessede l’empire , il donne de grandes fetes
« imperiale »,lors desquelles sont exposées toutes les richesses de l emprire dans un beau
decors

Candidature officielle : pratique électorale consistant, pour le pouvoir, à appuyer publiquement des
candidats et a les favoriser au détriment des autres
B. La montée des oppositions et la libéralisation du régime des années 1860

Document : les 5 « liberté nécessaires », selon Adolphe Thiers.

Feuille C document 3

- Liberté individuelle
- Liberté de la presse
- Liberté de vote
- Liberté de la représentation nationale
- Rétablissement d’un régime parlementaire

Thiers est républicain. Au début années 1860, les oppositions républicaines se multiplient face aux
bonapartistes. En janvier 1864 il défend ces « 5 liberté nécessaires » (voir ci-dessus).

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