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MANUEL DU PARTICIPANT

L’Art Oratoire
Concevoir et animer un discours

Cours conçu par :


Charly Gatete DJERMA, CNT
JCI Burkina – JCI Ouaga Soleil – cdjerma@yahoo.com
Crédits:
Concevoir un discours
Par Mounir BAATOUR
JCI Tunisie
mbaatou@jci.cc

JCI Presenter
Par JCI
training@jci.cc

Le face public
Par Mamadou Booubel KONATE
JCI Mali

Le trac : Stratégie pour le maîtriser


Par André – Francois ARCIER
Edition Alexitère

Comment parler en Public


Par Dale Carnegie
Livre de Poche

Le guide de la communication
Par Jean Claude Martin
Edition Marabout

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LA COMPOSITION D’UN DISCOURS

I- Introduction :

Les premiers mots d’un discours sont cruciaux, car c’est par eux que vous allez soit susciter l’intérêt et attirer l’attention
de votre auditoire, soit crée une barrière qu’il sera difficile de supprimer.
Voici quelques bons conseils pour commencer un discours. Vous pouvez :

1- Raconter une anecdote ou expérience personnelle.


2- Présenter un exemple sujet à controverse.
3- Annoncer directement le sujet et indiquer votre pointe de vue. Cette procédure est importante dans les discours
courts.
4- Présenter une situation à laquelle le public peut s’identifier, présenter un « tableau verbal ».
5- Présenter le sujet sous forme d’interrogation à laquelle vous répondez en fournissant une réponse en faveur de
votre point de vue.

La section du discours pendant laquelle vous essayez de capter l’attention du public doit être courte. Si l’on prend, par
exemple, le thème de la sécurité routière, plusieurs discours ont été introduits de la manière suivante : « le sujet que
l’on m’a demandé de vous présenter, aujourd’hui, concerne la réduction des accidents ». Cette phrase ne suscite
aucune curiosité ni aucun intérêt de commencer chez les auditeurs. Une manière pour « accrocher » l’attention du
public est de commencer par une phrase qui frappe l’imagination. Par exemple : « les accidents de la route causent plus
de morts que les conflits armés ».

II- Le corps du discours :

Cette partie du discours peut se diviser en deux parties : la première faisant la liaison entre l’introduction et le thème
principal. Pour continuer l’exemple de la sécurité routière, on pourrait dire : « lors du dernier long week-end, les
accidents de la route ont causé la mort de trente personnes dans cette petite localité. »
Si vous vous adresser à un auditeur hostile à votre présentation et que vous devez convaincre, entamez votre discours
sur un terrain d’entente. Ne discutez pas, présentez simplement votre point de vue. Le corps du discours doit présenter
des faits et exemples spécifiques. Il est déconseillé de vouloir aborder trop d’aspects du problème.
Les idées principales du discours doivent ressortir avec autant de netteté que les côtes d’un cheval affamé, clairement
et distinctement. Tenez vous en à votre sujet, car, sinon, vous risquez de dépasser le temps de parole qui vous est
alloué, erreur à éviter à tout prix.

III- Conclusion :

On peut remarquer, dans une certaine mesure, la conclusion d’un discours à une aiguille. En effet, cette dernière partie
doit faire ressortir un POINT net et clair, qui doit répondre à la question du public « et, alors ? ».C’est pourquoi vous
devez inviter le public, dans la conclusion, à s’engager à agir de manière spécifique, soit en s’affiliant à une
organisation, en contribuant financièrement, en votant, en écrivant, en achetant, en signant une pétition, etc... Suivant le
cas. Les derniers mots de votre discours sont ceux le public gardera en mémoire. Il est inutile de remercier à la fin de
votre discours. Le public, par l’intermédiaire du présentateur, se charge de le faire. On vous a demandé de parler, c’est
donc au public de vous remercier. Vous devez faire un bon discours afin de mériter sa reconnaissance.

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QUELQUES TYPES DE DISCOURS

Discours informateur :

Une des caractéristiques du discours informateur est qu’il présente des faits. C’est un des discours les plus faciles à
faire, car, dans la plupart des cas, vous parlez de quelque chose que vous connaissez. Vous n’avez pas à convaincre,
ni à être particulièrement amusant.
Il faut surtout :

1 - Etre conscient du fait que le point crucial du discours consiste à montrer dans quelle mesure le thème traité affecte
le public. Le discours doit commencer de manière à éveiller l’intérêt du public.
2 - Rassemblez vos idées et développez-les au maximum.
3 - N’oubliez pas que le public n’en sait pas autant que vous. Présentez les faits de manière intéressante. Si possible,
évitez de donner des statistiques. N’utilisez pas non plus des nombres de plus de quatre chiffres.
Utilisez de préférence des pourcentages.
4 - Lorsque vous procédez à une description de faits, établissez le lien entre l’inconnu et le connu. Lorsque vous citez
des chiffres ou décrivez la taille d’un objet inconnu du public, comparez avec des données familières au public.

Discours de persuasion :

Ce genre de discours est un des plus difficiles, car vous devez vendre au public un produit ou une idée.
Les arguments de persuasion doivent être inclus dans le discours que vous préparez.
Votre discours ne doit pas se contenter de décrire le point de vue qui est le vôtre ; il doit éveiller chez le public le désir
de l’adopter. Pour arriver à ce résultat, vous devez exposer clairement, avec enthousiasme et imagination les raisons
qui vous font adopter un tel point de vue.
Voici quelques autres conseils qui peuvent être utiles :

1 - Ne commencez pas par faire un commentaire provocateur. Si vous sentez de l’hostilité de la part du public,
introduisez votre discours par des remarques neutres.
2 - N’adopter pas une attitude dogmatique. Toute question a son « pour » et son « contre ». Présentez votre point de
vue en donnant des exemples familiers à votre auditoire. Ayez recours à une anecdote pour illustrer votre opinion.
3 - Faites appel aux émotions du public de manière à provoquer chez lui une réaction.
4 - Ayez une attitude amicale.
5 - Adoptez un ton conciliateur. Votre présentation doit faire appel aux émotions du public. Votre cause doit être
légitime.
6 - Démontrer qu’un problème existe et présentez ses éléments essentiels.
7 - Indiquez comment les différentes tentatives pour résoudre le problème ont échoué et expliquer pourquoi votre
solution devrait réussir.
8 - Décrivez en détail votre théorie, sans oublier d’indiquer les avantages et la satisfaction que les autres en tireront s’ils
y adhèrent.
9 - Faites une suggestion spécifique dans votre conclusion. Expliquez en détail ce que vous attendez du public en
donnant des détails précis.

Discours de motivation :

1 - Faire des éloges est un des moyens les plus efficaces pour motiver. Les éloges doivent être faits en public, non en
particulier. Se référer à la personne en l’appelant par son prénom est, en général apprécié.
2 - Les compliments doivent porter sur les réalisations et non pas sur la personne même, et les résultats doivent être
évalués par rapport aux critères établis et non pas par rapport aux résultats des autres. Cette manière de procéder
évitera tout sentiment de jalousie ou tout soupçon de favoritisme et vexation.
3 - S’il y a des critiques à faire afin d’éviter la répétition d’un incident, cela doit être fait en privé et les reproches doivent
porter sur les méthodes ou les résultats, jamais sur l’intention.

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Discours de présentation :

1 - Présentez en quelques mots le cadeau ou l’insigne d’honneur ainsi que les raisons qui occasionnent cette remise
officielle. Soulignez les qualités de la personne en l’honneur de laquelle est organisée cette manifestation et faites
état des services rendus (suivant le cas).
2 - Etablissez le lien entre le récipiendaire et l’honneur.
3 - Exprimez la satisfaction que vous éprouvez à avoir l’honneur de procéder à cette présentation.
4 - N’exagérez pas les qualifications de l’orateur et ne faites pas la liste détaillée de toutes les réalisations de ce dernier.
Eviter également de prédire au public ce qui les attend et n’accaparez pas son attention en parlant presque autant de
temps que ce qui est alloué à l’orateur.
Lorsque vous préparez un discours de présentation, posez-vous les questions suivantes : pourquoi ce sujet est-il
présenté à ce public, à ce moment, et par cet orateur ?
Concluez en prononçant le nom de l’orateur correctement.

Discours de remerciement :

Le présentateur doit remercier, en son nom et en celui du public, l’orateur pour avoir bien voulue prendre sur son temps
pour préparer et délivrer son intervention et pour tout dérangement que cela a pu occasionner.
Il peut, pour montrer qu’il a écouté très attentivement, dire qu’il a appris beaucoup de choses et qu’il a été très intéressé.
Il peut indiquer que le message a été bien reçu et qu’il espère qu’une action s’ensuivra. Il doit toutefois s’abstenir de toute
critique sur le contenu ou sur la présentation. Si l’occasion s’y prête, une petite note d’humour n’est pas déplacée. Le
discours doit se terminer en demandant au public d’exprimer publiquement ses remerciements.
Le discours de remerciement ne doit pas supplanter celui de l’orateur.

Discours d’adieu :
1- Indiquez que vous regrettez de devoir quitter vos collègues de travail, l’organisation pour laquelle vous travaillez ou
encore la ville.
2- Tâchez de rester maître de vos émotions.
3- Evoquez des expériences agréables que vous avez partagées avec les personnes présentes.
4- Faites l’éloge de ceux avec lesquels vous avez travaillé en étroite collaboration.
5- Faites part de votre désir de pouvoir retrouver, un jour, tous ceux ici présents, et encouragez-les à rester en contact.
6- Terminez en disant adieu.

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DIX CONSEILS POUR FAIRE UN BON DISCOURS

1- Soyez vêtu avec soin, déplacez-vous en direction du podium avec aisance et là, tenez-vous droit, les épaules
dégagées. Vous devez vous sentir à votre aise.
2- Commencez en souriant, de manière chaleureuse et sincère.
3- Parlez directement à l’auditoire. Ne regardez pas au-dessus de sa tête, par la fenêtre, ne fixer pas le microphone ou
toujours la même personne.
4- Parlez suffisamment fort afin d’être entendu.
5- Jouez avec le ton et le volume de votre voix et variez la vitesse à laquelle vous parlez. Parlez avec enthousiasme.
Changez d’expressions. N’utilisez que des mouvements qui vous sont familiers, oubliez les autres.
6- N’essayez pas de retenir votre discours par coeur. Vous risquez d’avoir un trou de mémoire, et alors, qu’allez vous
faire ? Imprégnez-vous bien du plan de votre discours de manière à l’avoir bien en tête. Si vous oubliez une idée
maîtresse ou un mot-clé, personne d’autre que vous ne le sera.
7- Ne lisez pas votre discours. Vous pouvez vous référer à un texte pour en lire un passage, ou pour faire une citation,
mais jamais la lire tout entière.
8- Pensez aux idées de votre discours, et non pas aux mots, comme dans une conversation.
9- Ne vous faites pas une montagne du trac. C’est une réaction normale que tout le monde a ressentie, un jour ou l’autre.
Un peu d’appréhension aide souvent à rendre possible l’impossible. Si vous suivez les conseils donnés sur la manière
de préparer votre discours, vous expérimenterez la confiance que l’on éprouve lorsqu’on SAIT que l’on a quelque
chose d’important à dire, que l’on connaît bien son sujet et que l’on a quelque chose à transmettre et que d’autres
veulent connaître. N’oubliez pas une chose : le trac semble toujours plus redoutable qu’il ne l’est en fait.
10- Paraissez détendu, sûr de vous, dynamique et enthousiaste !

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L’IMPACT DE L’ORATEUR

L’impact de l’orateur se joue à plusieurs niveaux. Le premier niveau est celui de l’image visuelle : attitudes,
postures, déplacements, gestes, regards, expressions, sourires…
Le second est celui de l’image sonore : voix, articulation, débit, intentions, silences, ponctuation… Le troisième
niveau est celui du contenu du message : fond et forme. Dans les deux premiers niveaux, il est surtout question de
langage non verbal. Le langage non verbal est un langage le plus souvent inconscient, émanent directement de la
représentation que nous nous faisons de la situation et de la réalité que nous élaborons à partir de cette
expérience. Il
dit ce que nous ressentons mais aussi ce que l’on veut cacher, il exprime nos émotions et peut parfois être très
bavard et faire beaucoup de bruit! Le but d’un travail sur l’art oratoire devrait être de devenir davantage conscient
de notre manière de communiquer face à un auditoire afin d’amorcer des changements opportuns permettant de
développer son impact et son efficacité. Il semble que 70% de nos messages passent avant tout par le para verbal
et on comprend donc l’importance de créer une congruence entre le verbal et le non verbal.
Il va de soi que les conseils donnés ci-dessous ne sont que des conseils et ne peuvent en rien remplacer un travail
sur soi visant la prise de conscience de ses comportements et la mise en œuvre de stratégies adaptées visant le
changement souhaiter. De plus, il est autant d’orateurs que de personnes et chacun doit pouvoir adapter ses
conseils à son propre style. Un orateur accompli est un orateur qui est en accord avec lui-même face à l’auditoire,
véhiculant ainsi un message clair, visant un objectif communicationnel conscient et stratégique, dans le respect des
interactions entre lui-même et l’auditoire.

1. L’image visuelle :

- Posture souple et stable, sans tension, ancrée dans le sol


- Occupation de l’espace sans déplacements inopportuns tels que « danse de l’ours », piétinements, allers-retours
incessants…
- Corps disponible pour libérer la gestuelle : éviter de croiser les bras et, de manière générale, toute attitude figée
- Aller vers l’auditoire en faisant un pas en avant, un geste dans sa direction, en avançant la tête, en se
redressant…
- Faire des gestes ouverts avec les bras et les mains
- Regarder l’auditoire : pour des petits groupes, regarder chaque personne, pour des groupes plus importants,
diviser la salle en plusieurs parcelles et les regarder les unes après les autres.
- D’une manière générale, regarder plutôt devant soi et légèrement vers le haut, éviter de regarder ses pieds, en
l’air et d’avoir un regard fuyant
- Prendre le temps, ne pas se précipiter
- Respirer calmement, tranquillement et en harmonie avec son émission vocale
- Laisser son visage s’exprimer, sourire et montrer que l’on est bien là où on est
- Eviter les gestes répétitifs qui pourraient parasiter le discours
- Porter des vêtements à la fois adaptés et dans lesquels on se sent bien

2. L’image sonore :

- Prendre le temps de respirer calmement, de se poser


- Ne pas précipiter son attaque et prendre le temps de regarder l’auditoire avant de commencer sa prise de parole
- Adapter la sonorisation de sa voix à l’espace : en cas de doute, ne pas hésiter à demander si tout le monde
entend bien
- D’une manière générale, ralentir de débit : un débit plus lent donnera une voix plus sonore
- Articuler en souplesse et clairement
- équilibrer l’articulation et la résonance : plus on gagne en articulation, plus on perd en voix et vice versa
- Respecter des silences fréquents : les silences ne sont longs que pour soi, pour l’auditoire, ils sont des temps
d’assimilation et de mise en attente
- D’une manière générale, devenir garant du temps : un bon orateur amène son auditoire à le suivre à son propre
rythme, il suscite l’envie d’être écouté, entre autres, en faisant silence
- Utiliser la répétition afin de mieux faire passer le message

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- Utiliser fréquemment l’accentuation des mots importants : tout mot peut être accentué dans une phrase. Une
accentuation suivie d’un silence aura davantage d’impact
- Oublier la ponctuation écrite et utiliser les enjambements (enchaînement de deux mots qui seraient en langage
écrit séparés par un point)
- Varier fréquemment le débit, le rythme
- Varier également l’intensité
- D’une manière générale, créer la surprise pour éviter la monotonie
- S’autoriser à interpréter : le discours et la voix se colorent en fonction des émotions et des sentiments sous-
jacents
- Ne pas hésiter à sortir de son programme pour faire un bon mot ou une plaisanterie afin de casser la monotonie
et de re-capter l’attention de l’auditoire
- Enfin, savoir écouter l’auditoire et le feed-back renvoyé par celui-ci afin d’adapter son intervention en temps réel
- Dans le cas de lecture d’un document, lire une courte partie pour soi, relever la tête, regarder l’auditoire et dire
cette partie. Prendre alors le temps de continuer de regarde l’auditoire avant de baisser la tête pour lire pour soi
une autre courte partie et recommencer

3. Le contenu du message :

- Avant tout, déterminer un objectif : si mon objectif n’est pas clair, je ne suis pas compris par l’auditoire. Je suis le
seul responsable de mon impact sur l’auditoire et je dois savoir avant toute prise de parole ce que je souhaite
obtenir, ce que je souhaite que les personnes retiennent, pourquoi je fais cette intervention…
- Définir ensuite une accroche qui va permettre de capter l’attention dès le début de l’intervention
- Aller à l’essentiel, ne pas se noyer dans des considérations périphériques qui risquent de diluer l’intervention,
savoir faire court
- Eviter les phrases trop longues et les tournures compliquées
- Eviter les mots parasites et répétitifs
- Personnaliser son propos, lui donner un caractère original, prendre parti
- Illustrer le propos par des métaphores, des anecdotes, des histoires afin de le rendre vivant et captivant
- Enoncer les faits avec clarté
- Ne pas hésiter à donner ses opinions et ses sentiments mais savoir les dissocier des faits
- Avoir sa conclusion à l’esprit dès le départ, afin de ne pas se perdre en route
- Eviter les mots réducteurs, les tics verbaux, les mots péjoratifs et désobligeants
- Un discours bien préparé ne veut pas dire qu’il ne faut pas improviser : si vous tenez compte du feed-back de
l’auditoire, vous serez amené à improviser. Il est donc important de s’y préparer
- Enfin, entraînez-vous ! C’est de manière certain le moyen le plus sûr d’être convaincant le jour J
En guise de conclusion, j’aimerai attirer à nouveau l’attention sur le fait que le meilleur moyen de devenir un bon
orateur est avant tout d’apprendre à se connaître et à se respecter dans cet exercice périlleux et délicat qu’est la
prise de parole. Devenir conscient de soi, de ses points forts, de ses particularités à développer, de ses besoins est
une garantie de développement possible. Etre un bon orateur, c’est avant tout être un bon communicant, qualité à
laquelle doivent s’ajouter les particularités liées à une prise de parole face à un auditoire variable en nombre. La
connaissance de soi permettra à coup sûr de développer ses compétences relationnelles et interactionnelles et
l’entraînement et l’expérience consciente amèneront progressivement le communicant à devenir orateur.

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FICHE D’EVALUATION

Les questions ci-dessous ont pour objet de nous aider à évaluer le programme de formation que vous venez de
suivre et de signaler les domaines qui devraient être révisés au profit des futurs participants. Veuillez prendre
quelques minutes de votre temps pour répondre à ce questionnaire aussi honnêtement et précisément que
possible en cochant la réponse qui vous convient. Vous n’êtes pas obligé d’apposer votre signature à moins que
vous ne le souhaitiez.

1. Quelle est votre impression générale de la séance qui vient de finir ?

Très bonne Bonne Passable Mauvaise

2. Le sujet présenté répondait-il à votre attente ?

Beaucoup Un peu Très peu Pas du tout

3. Pourrez-vous appliquer ce que vous venez d’apprendre dans le futur proche ?

Beaucoup Un peu Très peu Pas du tout

4. Que pensez-vous de l’instructeur ?

Excellent Bon Moyen Mauvais

5. Les aides visuels utilisées (s’il y en avait) vous ont-elles satisfait ?

Beaucoup Un peu Très peu Pas du tout

6. Comment trouvez-vous les polycopiés, leur qualité, leur contenu ?

Excellent Bon Moyen Mauvais

7. Quelles suggestions pouvez-vous faire pour améliorer cette séance ?

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