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MOI 578
ETP I
MÉCANIQUE
ÉLÉMENTS DE TRANSMISSION DE PUISSANCE

ARBRES ET ESSIEUX

Éléments de base de la transmission de puissance

28 février 2016
Nihat YILDIRIM
Université de Gaziantep

Nihat YILDIRIM 1
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UNE MACHINE
AVEC DE NOMBREUSES TRANSMISSIONS DE PUISSANCE

UNITÉS ET ÉLÉMENTS

Nihat YILDIRIM 2
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UNE MACHINE
AVEC DE NOMBREUSES TRANSMISSIONS DE PUISSANCE

UNITÉS ET ÉLÉMENTS

Nihat YILDIRIM 3
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UNE UNITÉ DE TRANSMISSION DE PUISSANCE AVEC DE NOMBREUX ÉLÉMENTS

Nihat YILDIRIM 4
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UNE UNITÉ DE TRANSMISSION DE PUISSANCE AVEC DE NOMBREUX ÉLÉMENTS

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UNITÉS DE TRANSMISSION DE PUISSANCE AVEC DE NOMBREUX ÉLÉMENTS

Nihat YILDIRIM 7
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A ENSEMBLE ESSIEU ARRIERE

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La nomenclature traditionnelle comprend

• Essieu : Un élément rotatif dans l'assemblage de l'essieu arrière des véhicules.
• Arbre : Pièce rotative supportant les éléments attachés. • Broche : Un arbre ou
axe court. • Arbre de tête ou de goujon : Un arbre solidaire d'un moteur ou d'une
machine motrice. • Arbre de transmissionÿ: un arbre utilisé pour distribuer la puissance
d'un moteur principal à plusieurs
Machines.
• Arbre de vérin : Un arbre court utilisé pour la transmission de puissance comme arbre auxiliaire entre
deux autres arbres (arbre intermédiaire, arbre arrière).

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Introduction
Dans les machines, le terme général «arbre» fait référence à

ÿ un membre tournant,

ÿ généralement de section circulaire,

ÿ qui supporte les engrenages, les pignons, les roues, les rotors, etc.,

et
ÿ est soumis à une torsion et à des charges transversales ou axiales

agissant seuls ou en combinaison.

Un arbre est une pièce rotative utilisée pour transmettre la puissance et le mouvement.
Il porte souvent des éléments de machine en rotation (comme des engrenages,
des poulies, des cames, etc.) qui aident à la transmission.

Nihat YILDIRIM dix

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Un arbre :
est un élément de base de la plupart des unités de transmission de puissance et est
généralement assemblé avec d'autres éléments de machine tels que des roulements,
des engrenages, des poulies, des pignons, des clés, des accouplements, etc.

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ÿ La géométrie d'un arbre est généralement

celle d'un cylindre étagé.
ÿ Les engrenages, les roulements et les poulies doivent
toujours être positionnés avec précision (généralement
à l'aide d'une configuration étagée)

– Les éléments de transfert de couple communs utilisés

sur les arbres sont

ÿ Clés
ÿ Cannelures
ÿ Vis de réglage
ÿ Broches
ÿ Ajustements serrés ou rétractables

ÿ Coupe fuselée

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Clés et rainures de clavette

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Types courants de clés d'arbre.

Nihat YILDIRIM
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Types courants de clés d'arbre.

Nihat YILDIRIM
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Vis de réglage

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Goupilles d'arbre

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Ajustement serré ou rétractable (ajustement serré)

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Ajustement conique

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Anneaux élastiques (bague de retenue)

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Types courants d'anneaux de retenue ou d'arrêt.

CH-18 LEC 29 Diapositive 27 Nihat YILDIRIM

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Considérations pour la conception de l'arbre

1. Flèche et rigidité – (a) Flèche

en flexion – (b) Flèche en
torsion – (c) Pente au niveau
des roulements et des éléments supportés par l'arbre – (d)
Flèche en cisaillement due à la charge transversale des arbres plus
courts 2. Contrainte et résistance – (a) Résistance statique – (b)
Résistance à la fatigue – (c) Fiabilité

3. Vitesse critique-vibration

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Matériaux de l'arbre

• La plupart des arbres sont fabriqués en acier, soit

à faible teneur en carbone ou
– moyen-carbone.
• Cependant, l'acier allié de haute qualité, généralement traité thermiquement,
peut être choisi pour les applications critiques.

• D'autres métaux, par exemple le laiton, l'acier inoxydable ou l'aluminium,

peuvent être utilisés lorsque la corrosion est un problème ou que la
légèreté est requise.

• Les petits arbres légers, par exemple dans les appareils électroménagers,
peuvent être moulés par injection dans un matériau plastique tel que le
nylon ou le delrin

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Matériaux de l'arbre
• La plupart des matériaux d'arbre sont généralement constitués de différentes versions d'aciers.
• La plupart des aciers ont des modules d'élasticité similaires, de sorte que la rigidité
Cette exigence peut être satisfaite principalement par des décisions géométriques,
indépendamment du choix du matériau parmi les aciers.
• La force pour résister aux contraintes de chargement, cependant, affecte le choix de
Matériel.
• Les aciers ANSI 1020-1050 et les aciers de décolletage 11XX sont courants
les choix.

• Les aciers de traitement thermique tels que 1340-50, 3140-50, 4140, 4340, 5140 et 8650
produisent une plus grande résistance. • La dureté est fonction de la taille et différentes
méthodes sont importantes pour relier quantitativement la résistance à la taille et au régime de
traitement thermique.

• Les grades de carburation 1020, 4320, 4820 et 8620 sont choisis pour
fins de durcissement superficiel.

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Conception de l'arbre
considérations générales
• 1. Pour minimiser à la fois les déviations et les contraintes, la
longueur de l'arbre doit être aussi courte que possible et les
porte-à-faux minimisés.
• 2. Une poutre en porte-à-faux aura une plus grande déflexion
qu'une poutre simplement supportée (montée en
chevauchement) pour la même longueur, charge et section
transversale, donc le montage en chevauchement doit être
utilisé à moins qu'un arbre en porte-à-faux ne soit dicté par
des contraintes de conception. • 3. Un arbre creux a un meilleur
rapport rigidité/masse (rigidité spécifique) et des fréquences
propres plus élevées qu'un arbre plein relativement rigide ou
solide, mais sera plus cher et de plus grand diamètre.
• 4. Essayez si possible de placer les générateurs de contraintes
loin des régions de grand moment de flexion et minimisez
leurs effets avec des rayons et des reliefs généreux.

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• 5. L'acier général à faible teneur en carbone est tout aussi bon que les aciers à plus haute résistance (puisque
la déflexion est généralement le problème limitant la conception).

• 6. Les déviations au niveau des engrenages portés sur l'arbre ne doivent pas dépasser environ 0,005 pouces
(125 microns) et la pente relative entre les axes des engrenages doit être inférieure à environ 0,03 degrés

• 7. Si des paliers lisses (manchons) doivent être utilisés, la déviation de l'arbre à travers le palier
longueur doit être inférieure à l'épaisseur du film d'huile dans le roulement.

• 8. Si des roulements à éléments roulants non auto-alignants sont utilisés, la pente de l'arbre au
les roulements doivent être maintenus à moins d'environ 0,04 degrés.

• 9. Si des charges axiales axiales sont présentes, elles doivent être mises à la terre par un
palier de butée unique par direction de charge. Ne pas répartir les charges axiales entre les paliers de butée car la
dilatation thermique de l'arbre peut surcharger les paliers.

• 10. La première fréquence propre de l'arbre doit être au moins trois fois la fréquence de
forçage la plus élevée attendue en service, et de préférence beaucoup plus. (Un facteur
de dix fois ou plus est préférable, mais cela est souvent difficile à réaliser).
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1. Flèches et rigidité de l'arbre

– (a) Flèche en flexion – (b)

Flèche en torsion – (c) Pente au

niveau des roulements et des éléments supportés par l'arbre – (d)

Flèche en cisaillement due à la charge transversale des arbres plus courts

• La déflexion en flexion des arbres est parfois le critère déterminant pour le

dimensionnement des arbres.

• 4 méthodes différentes de calculs de flèche en flexion de l'arbre sont : •

Tables standard pour les chargements spécifiques • Méthode
d'intégration (par fonctions de singularité),
• Méthode de zone-moment

• Méthode énergétique Nihat YILDIRIM 35

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Tableaux standards pour charges spécifiques

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Méthode
d'intégration
(par fonctions
de singularité)

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Fonctions
de singularité
q(x)=…

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Méthode de
Zone-moment

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Énergie
Méthodes de
détermination
de la flèche
élastique

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2. Stress et force
Le comportement du métal structurel est généralement classé comme étant ductile ou fragile,
bien que dans des situations particulières, un matériau normalement considéré comme ductile
puisse se rompre de manière fragile.

Les matériaux ductiles sont normalement classés de telle sorte que ÿf (contrainte de rupture) ÿ 0,05
et ont une limite d'élasticité identifiable qui est souvent la même en compression
comme en traction (Syt = Syc = Sy ).

Les matériaux fragiles, ÿf < 0,05, ne présentent pas de rendement identifiable

résistance, et sont généralement classés par résistances ultimes à la traction et à la
compression , Sut et Suc, respectivement (où Suc est donné comme une quantité positive ,
et généralement Suc > Sut) .

La plupart des matériaux sont conçus pour :

– (a) Résistance statique
– (b) Résistance à la fatigue
– (c) Fiabilité

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2. Stress et force

a) Les théories de conception de la résistance statique varient selon le type de

comportement matériel :

Pour les matériaux ductiles :

• 1. Contrainte de cisaillement maximale (MSS),

2. Énergie de distorsion (DE), 3. Coulomb-

Mohr ductile (DCM)

Pour les matériaux fragiles :

1. Contrainte normale maximale (MNS), 2.

Coulomb-Mohr fragile (BCM)

3. Mohr modifié (MM)

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Défaillance des matériaux ductiles
Théorie de la contrainte de cisaillement maximale (MSS),

• Les problèmes de contraintes planes sont très fréquents lorsque l'une des contraintes principales est nulle,
et les deux autres, ÿA et ÿB, sont déterminés à partir du cercle de Mohr.
• En supposant que ÿA ÿ ÿB, il y a trois cas à considérer pour les contraintes planes :
Cas 1 :
• ÿA ÿ ÿB ÿ 0. Dans ce cas, ÿ1 = ÿA et ÿ3 = 0. L'équation (5–1) se réduit à un rendement
condition de ÿA ÿ Sy
Cas 2ÿ:
• ÿA ÿ 0 ÿ ÿB . Ici, ÿ1 = ÿA et ÿ3 = ÿB Cas 3 : • 0 ÿ , et Éq. (5–1) devient ÿA ÿ ÿB ÿ Sy
ÿA ÿ ÿB . Dans ce cas, ÿ1 = 0 et ÿ3 = ÿB
, et Éq. (5–1) donne ÿB ÿ ÿSy

Contrainte de cisaillement maximale

(MSS) Théorie

Sy = 0,5*Sy

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Défaillance des matériaux ductiles

Théorie de l'énergie de distorsion (DE)
• Pour les contraintes planes, soit ÿA et ÿB les deux contraintes principales non nulles.
• Ensuite, on obtient

• Cette contrainte effective est généralement appelée contrainte de von Mises, ÿÿ, du nom du Dr.
R. von Mises, qui a contribué à la théorie. Ainsi, l'échec, pour le rendement, peut être
écrit comme ÿ ÿ ÿ Sy

Théorie de l'énergie de distorsion (DE)

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Défaillance des matériaux ductiles

Théorie de Coulomb Mohr (CM)

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Syt Nihat YILDIRIM Syc 53

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Défaillance des matériaux fragiles

Pour les matériaux fragiles (Suc>>Sut), les théories de rupture

sont : 1. Théorie de la contrainte normale maximale (MNS), 2.
Théorie fragile de Coulomb-Mohr (BCM) 3. Théorie de Mohr
modifiée (MM)

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2. Stress et force

b) Les théories de conception de la résistance à

la fatigue varient également en fonction du type de comportement du matériauÿ:

Pour les matériaux ductiles :

1.
2.
3.
Pour les matériaux fragiles :
1.
2.
3.

• ??????????????????

Nihat YILDIRIM 66
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2. Stress et force
b) Les théories de conception de la
résistance à la fatigue varient selon qu'une durée de vie finie ou infinie est
requise (et ne dépendent pas du type/du comportement du matériau)ÿ:
Théories de la vie infinieÿ:

1.
2.
3.

Théories des durées finies :

1.
2.

3.

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• Théorie/Ligne de rendement
Théories de la vie infinie
(Sy-Sy) • Soderberg (Se-Sy) •
ASME Eliptic (Se-Sy) • Théorie/
Ligne de Gerber (Se-Sut) •
Goodman modifié (Se-Sut)

ÿa

ÿm

Sm=n*ÿm Sa= n*ÿa Nihat YILDIRIM 70

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Théories de la vie finie

Courbe SN pour différentes conditions de charge

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CAS À DURÉE DE VIE FINIE

Dans les cas où la pièce n'a pas une durée de vie infinie,

il aura alors une durée de vie finie avec moins de 106

cycles.

Dans de telles conditions, nous utilisons les courbes SN

des matériaux

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3. Vitesse critique-vibration

• Les arbres tournant à grande vitesse peuvent provoquer à la

fois des vibrations de torsion et latérales en raison de
les raisons.

• Ces fréquences de vibration correspondant à l'une des

fréquences naturelles du système d'arbre provoqueront un
impact de résonance, d'où des niveaux de vibration
probablement élevés.

• Ces fréquences correspondant aux fréquences naturelles

sont appelées vitesses critiques.

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