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Le faux et l’usage de
faux
Kissay Aya
Mansouri yassine
Introduction
A cause de son avidité ou de sa mauvaise foi très accentuée, l’humain commet
de plus en plus d’infractions engendrant de lourdes conséquences. Touchant
l’actif et l’inerte, rien n’échappe.
A ce propos, le monde des affaires peut être considéré comme une arène
d’activité d’un grand nombre de délinquant.
Le faux en écriture est une infraction dont l’auteur, avec une intention
frauduleuse ou à dessein de nuire dissimule la réalité d'une manière
déterminée par la loi, dans un écrit protégé par la loi.
Le code pénal énumère les modes d'altération de la vérité qui sont constitutifs
de faux en écriture. Un mode d'altération très courant et la fausse signature qui
consiste en l'imitation où la contrefaçon de la signature d'une personne réelle
ou non, afin de faire croire aux destinataires qu'elle émane de cette personne.
Pour être qualifié de faux, l'altération doit porter sur un écrit protégé par la loi.
Le législateur vise les documents qui s'imposent à la confiance publique de
sorte que tous peuvent avoir confiance en ce document.
La 3e catégorie vise les Écritures privées, c'est à dire toutes les Écritures qui ne
sont ni authentique, ni public, ni commerciale, ni bancaire, mais qui sont de
nature à produire des effets juridiques. L'exemple type étant les contrats sous
seing privé Conclu entre particuliers.
Outre ces actes écrits, la loi accorde également sa protection aux passeports,
aux documents relatifs aux armes, aux livrets aux feuilles de route, aux
certificats comme il est prévu dans les articles 360 à 367.
S’agissant de L'usage de faux est une infraction à part entière dont l'auteur est
puni comme s'il en était l'auteur du faux lui même s'il agit dans la même
intention.
Usage en tant que tel n'est pas défini par le code pénal, il faut donc avoir
recours au sens courant de ce terme. Concrètement, l'usage d'un faux
3
correspond à tout procédé par lequel l'utilisateur veut tirer parti d'un écrit
faux.
Dans un même ordre d’idée, au Maroc Le premier Code pénal est entré en
vigueur en 1913, sous le protectorat français. Au lendemain de l’indépendance,
en 1963, le nouveau Code pénal marocain entre en application.
L’étude du sujet est d’une importance majeure, étant donné que la falsification
et l’usurpation d’identité se haussent dans une tendance croissante, faisant du
phénomène un écueil sérieux dans la vie des affaires.
4
Chapitre 1 : le régime juridique de faux et l’usage de faux
5
Chapitre 1 : le régime juridique de faux et l’usage de faux
On peut croire que l'incrimination du faux et usage de faux ne semble pas
s'inscrire dans le droit pénal des affaires, en effet les textes qui en organisent la
répression sont placés dans le chapitre VI du Code pénal traitant des faux,
contrefaçons et usurpations.
Mais dans la pratique, on constate que les poursuites pour faux et usage de
faux sont souvent assemblées avec d'autres poursuites sous des qualifications
qui relèvent du droit des affaires qu'il s'agisse d'infraction de droit commun
liées au droit des affaires (abus de confiance, escroquerie ou recel) ou
d'infractions extérieures au code pénal (banqueroute, abus de biens sociaux).
Le faux :
1
https://cours-de-droit.net/droit-penal-marocain-des-affaires-a126329396/ 14/05/2022 22H00
6
le législateur marocain fait la distinction entre le faux en écritures
privées, de commerce ou de banque et de son usage qu’il convient
d’étudier séparément.
Usage de faux :
L’élément légal d’usage de faux est prévu par l’article 359 qui énonce que dans
les cas visés à la présente section, celui qui fait usage de la pièce qu'il savait
fausse est puni des peines réprimant le faux, suivant les distinctions prévues
aux deux articles précédents.
Pour qu’il y ait faux, il est nécessaire qu’il existe préalablement un écrit ou tout
autre support d’expression de la pensée ayant un effet probatoire. Ensuite,
l’élément matérialisant l’incrimination est constitué par l’altération de la vérité
dudit support. En outre, l’altération de la vérité doit être de nature à causer un
préjudice.
➢ Le support du faux :
Il peut s’agir d’un écrit (autrefois désigné sous l’appellation de faux en écriture)
ou de tout autre support d’expression de la pensée, tels que les supports de
stockage de l’information (puces électroniques, cartes à bande magnétique,
7
CD-Rom, DVD, disque dur d’un ordinateur voire un film3). Le support du faux
peut être également constitué par de simples courriers électroniques fictifs 2.
L’altération de la vérité
Le législateur exige seulement que la falsification ait eu lieu par quelque moyen
que ce soit.
En doctrine, deux types de faux correspondant à deux réalités différentes sont
opposés :4
2
JCl. Pénal des Aff. V° Faux, op. cit., n° 12.
3
Y. MAYAUD, Code pénal commenté, Dalloz, 1996, p. 818
4
A. LEPAGE, P. MAISTRE DU CHAMBON, R. SALOMON, op. cit., n° 326.
5
A. LEPAGE, P. MAISTRE DU CHAMBON, R. SALOMON, op. cit., n° 328.
6
Cass. crim., 12 sept. 2018, n° 17-85.825.
8
Le faux peut consister en une supposition de personnes, c’est-à-dire dans le fait
« de faire apparaître faussement un tiers, comme partie à un acte. » 7Ainsi en
est-il par exemple si un dirigeant social mentionne faussement sur des procès-
verbaux d’assemblée générale ou de conseil d’administration que la réunion a
eu lieu en présence d’associés en réalité absents8.
Enfin, l’altération de la vérité peut également être faite par omission, par
exemple lorsqu’une personne chargée de la tenue des comptes d'une
entreprise fait apparaître, par l'omission intentionnelle de certaines écritures,
une situation comptable fausse. 12Se trouve ainsi consacrée la notion «
d’omission intentionnelle ».
Les actes sont prévus par l’article 352 et suivant du code pénal marocain :
9
Addition, omission ou altération de clauses, de déclarations ou de faits
que ces actes avaient pour objet de recevoir et de constater
L’usage de faux: L'usage de faux est le fait d'utiliser sciemment un écrit falsifié
Donc l’élément moral suppose uniquement la connaissance de la fausseté de
l’écrit.
13
A. LEPAGE, P. MAISTRE DU CHAMBON, R. SALOMON, op. cit. n° 338
14
JCl. Pénal des affaires, fasc. 10 v° Faux, n° 56
10
Le faux et l’usage du faux constituant des infractions tout à la fois distinctes et
complètes, il peut y avoir, soit tentative, soit consommation de l’un et de
l’autre de ces crimes. Le faux est consommé par cela seul que la pièce a été
contrefaite, falsifiée, altérée ; la tentative est constituée par tout acte qui est
commencement d’exécution de la contrefaçon, de la falsification, de
l’altération.15
Le faux en écriture est le fait d’altérer la vérité par le moyen de la création d’un
faux document ou par la modification d’un document existant. Par exemple :
faux bulletins de salaires, faux certificats, faux diplômes, etc.
Sanction
Est punie de la réclusion de dix à vingt ans, toute personne autre que celles
désignées à l'article précédent qui commet un faux en écriture authentique et
publique :17
15
https://ledroitcriminel.fr/la_science_criminelle/penalistes/la_loi_penale/infraction/
pcpales_incrim/garraud_faux.htm 15/05/2022 11h50
16
Art 352,353 Dahir n° 1-59-413 du 28 joumada II 1382,(26 novembre 1962) portant approbation du
texte du code pénal.
17
Art 354
11
Est punie de l'emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amende de 200[107] à
500 dirhams toute personne non partie à l'acte qui fait par-devant adoul une
déclaration qu'elle savait non conforme à la vérité18
Dans les cas visés à la présente section, celui qui fait usage de la pièce qu'il
savait fausse, est puni de la réclusion de cinq à dix ans.19
Toute personne qui de l'une des manières prévues à l'article 354 commet ou
tente de commettre un faux en écritures de commerce ou de banque est punie
de l'emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amende de 250 à 20.000
dirhams.
Toute personne qui, de l'une des manières prévues à l'article 354, commet ou
tente de commettre un faux en écritures privées est punie de
l'emprisonnement d'un à cinq ans et d'une amende de 250 à 2.000 dirhams.
Dans les cas visés à la présente section, celui qui fait usage de la pièce qu'il
savait fausse est puni des peines réprimant le faux, suivant les distinctions
prévues aux deux articles précédents.22
18
Art 355
19
Art 356
20
Art 375
21
Art 358
22
Art 359
12
Paragraphe 3 : Des faux commis dans certains documents administratifs et
certificats :
Sanction
13
fournissant de faux renseignements, certificats ou attestations, est puni de
l'emprisonnement de trois mois à trois ans et d'une amende de 200[109] à 300
dirhams.
Les peines édictées à l'alinéa 1er sont appliquées à celui qui fait usage d'un tel
document, le sachant obtenu dans les conditions précitées, ou établi sous un
nom autre que le sien.25
Les logeurs et aubergistes qui, sciemment, inscrivent sur leurs registres sous
des noms faux ou supposés les personnes logées chez eux ou qui, de
connivence avec elles, omettent de les inscrire, sont punis de
l'emprisonnement d'un à six mois et d'une amende de 200[110] à 500 dirhams
ou de l'une de ces deux peines seulement.
Toute personne qui pour se dispenser ou dispenser autrui d'un service public
quelconque fabrique, sous le nom d'un médecin, chirurgien, dentiste, officier
de santé ou sage-femme, un certificat de maladie ou d'infirmité est puni de
l'emprisonnement d'un à trois ans.27
14
fait ne constitue l'une des infractions plus graves prévues aux articles 248 et
suivants.
Les faux réprimés à la présente section, lorsqu'ils ont été commis au préjudice
du Trésor public ou d'un tiers, sont punis suivant leur nature, soit comme faux
28
Art 364
29
Art 365
30
Art 366
15
en écriture publique ou authentique, soit comme faux en écritures privées, de
commerce ou de banque.31
-L’action publique court du jour où le document est altéré. Que pour l’usage du
faux, elle court du jour où le document altéré est utilisé. L’infraction se prescrit
dans 10 ans si elle est considérée comme crime, et dans 3 ans en cas de délit.
16
Comme s’est déjà indiqué une affaire de telle infraction ne peut arriver devant
un juge que suite une action publique ou instance pénale déjà en cours.
Alors que le moyen dont dispose la victime pour engager l’action c’est la
citation directe de juge d’instruction, par le moyen d’une plainte. (Article 93 de
code de procédure pénale).
17
A ce point la découverte peut être soit par l’une des parties ou par la
juridiction.
A. La découverte de la pièce :
Lorsque la partie qui a argué la pièce de faux allègue que celui qui l'a produite
est l'auteur ou le complice du faux ou si la procédure permet l'identification de
l'auteur ou du complice de ce faux et que l'action publique ne soit pas éteinte,
il est procédé à des poursuites criminelles conformément aux dispositions des
articles 575 à 583 ci-dessus
Lorsqu'une juridiction découvre au cours d’examen d'un litige, même civil, des
indices révélant un faux et permettant d'en identifier l'auteur, le président de la
juridiction ou le représentant du ministère public est tenu de transmettre la
pièce au ministère public soit du lieu où l'infraction parait avoir été commise,
soit du lieu où l'inculpé peut être arrêté.
L’établissement de faux ne peut avoir lieu que suit à une demande devant le
juge de fond et puis le recours aux actes de procédure, qui sont déterminés par
les articles de 575 à 583 de code de procédure pénale sauf le cas dont la
juridiction a invoqué une telle procédure.
18
تمسك الطاعنة بزوريه الوثيقة يقتضي منها أن تدفع بزورتيها أمام قضاة الموضوع وأن تسلك في ذلك
من قانون المسطرة586 إلى584 مسطرة االدعاء العرضي بالزور المنصوص عليها في المواد من
أما االكتفاء بتوجيه شكاية إلى النيابة العامة بعد صدور القرار المطعون فيه وعدم إثارة أي دفع،الجنائية
فإنه ليس من شأن تلك الشكاية في حد ذاتا أن تمس بحجية شهادة التأمين التي حظيت،أمام قضاة الموضوع
وبالتالي ال يمكن أن تمتد إليها رقابة المجلس األعلى ألنه ال يعد درجة ثالثة،بقبول قضاة الموضوع
للتقاضي.
La remise de la pièce :
Toute personne qui détient des écrits publics ou privés pouvant servir de pièces
de comparaison est tente de les remettre à l'autorité prévue à l'article 575 ci-
dessus.
L'accusé peut are requis de présager d de former tic sa main des caractères,
signes ou écriture ; en cas de refus ou d'abstention, mention en est faite au
procès-verbal.
La comparaison de la pièce :
Mais à ce qui il faut tenir compte est que Cette mesure d'instruction ne
concerne que les actes sous seing privé seulement et non authentique. Elle
commence au cours d’une instance par un moyen de défense sous la forme de
désavouer l'écriture ou la signature où les deux.
Cette mesure trouve son fondement dans l’article 431 de dahir des obligations
et contrats qui dispose dans son 1ér alinéa que : Celui auquel on oppose un
acte sous seing privé est obligé de désavouer formellement son écriture ou sa
signature, s'il ne veut la reconnaître ; faute de désaveu, l'écrit est tenu pour
reconnu.
20
Le juge pour ignorer ce moyen de défense si le document objet de recours n'est
pas pour la solution du litige.
فإن صرف القاضي النظر عن طعن أحد، من قانون المسطرة المدنية92 بمقتضى الفقرة األولى من الفصل
األطراف في أحد المستندات المقدمة بالزور الفرعي منوط بما إذا رأى أن الفصل في الدعوى ال يتوقف
ولذلك فإن القرار الذي قضى في منطوقه بصرف النظر عن مستند مطعون فيه بالزور.على هذا المستند
الفرعي من أحد األطراف من جهة واعتده فيما قضى به ضد الطاعن من جهة أخرى يكون خارقا
لمقتضيات الفصل المذكور.
Dans le cas contraire, il sera procédé à une vérification d'écritures, tant par
titres que par témoins et, s'il y a lieu, par expert.
2) La suite de la procédure :
S'il est prouvé par la vérification d'écritures que la pièce est écrite ou signée par
celui qui l'a déniée, il est passible d'une amende civile de cent à trois cents
dirhams, sans préjudice des dommages-intérêts et des dépens.
Le juge peut passer outre s'il reconnaît que la décision ne dépend pas de cette
pièce.
Cette procédure ne peut avoir lieu que suite a une demande incidente, qui
conforme aux règles de forme d’une demande (articles 1 et 32 de code de
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procédure civile), dont les frais judiciaires sont dus, accompagnée d’un mandat
spécial de recours de faux incident sous peine d’irrecevabilité.
االدعاء بالزور ليس دفعا حتى.االدعاء بالزور طعن يجب أن يقدم في صورة دعوى عارضة أو أصلية
والمحكمة لما رفضت الدفع المتعلق،يطلب من المحكمة القيام باإلجراءات المنصوص عليها في القانون
لعدم تقديمه في شكل دعوى عارضة أو أصلية،بالزور الفرعي في رسم الشراء المستدل به في الدعوى
فإنها تكون قد التزمت في قرارها القانوني الواجب التطبيق.
إن السندات التي يمكن قبولها للمقارنة في مسطرة الزور الفرعي هي بصفة خاصة التوقيعات على سندات
تكون محكمة الموضوع قد تقيدت.رسمية ومن بينها اوراق المخاطب عليها من القضاة في محاكمهم
من قانون المسطرة المدنية لما حددت السندات الرسمية القابلة للمقارنة في90 بالمسطرة المبينة في الفصل
رسوم عدلية مخاطب عليها وقامت بالتأشير عليها وكما هو معهود عند الخبراء في تنفيذ الخبرة الخطية
يجوز لهم االطالع أصول هذه المستندات وأخذ صور منها العتمادها في التقرير
Les pièces qui peuvent faire l’objet de comparaison dans la procédure de faux
incident est celle d’une manière spéciale les signatures sur les actes
authentiques parmi lesquelles les actes authentifiés par les magistrats dans ses
juridictions. La juridiction a appliqué à la procédure prévue par l’article 90
lorsqu’elle déterminé les pièces de comparaison dans les actes adouliéres
authentifiés par les magistrats et elle a paraphé, et comme il est reconnue chez
les experts dans l’exécution d’une expertise écrite ils sont habilités à constater
l’origine des pièces et prendre des photos de ces pièces pour les considérer
dans leurs rapports .
2) La suite de la procédure :
Le demandeur qui succombe est passible d'une amende de cinq cents à mille
cinq cents dirhams, sans préjudice des dommages-intérêts et des poursuites
pénales.
Si l'existence d'un faux est établie et s'il existe des éléments permettant d'en
identifier l'auteur, les pièces sont transmises au ministère public par
application du code de procédure pénale.
Conclusion
Le cadre légal et réglementaire marocain est destiné plus particulièrement à
faire sortir l’acte de faux en écriture de tout embarras et reconnaître que c’est
23
un acte qui porte atteinte à la personne, à la collectivité, aux biens, à l’Etat, aux
mœurs …; qu’il devrait le prohiber et l’entourer des sanctions les plus graves.
Le faux en écriture a connu, avec le temps, une grande évolution, et ce, avec la
croissance économique qui permet à la personne de se munir, sans rechercher
des moyens qui lui faciliteraient toute fraude ou tentative de fraude. On a
connu du faux en écriture publique et authentique, que je qualifierais de faux
en écriture classique réprimé sévèrement vu l’atteinte portée à la société en
général ; du faux en écriture privé, de commerce ou de banque qui ne cesse
d’accroître avec le temps et implique l’émergence de nouvelles infractions
spécifiques qui se rapportent, le plus souvent aux entreprises commerciales et
enfin des faux certificats et attestations reconnu.
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préjudice à autrui, est puni d’un emprisonnement d’un an à cinq ans et d’une
amende de 10.000 à 1.000.000 de dirhams.
Faux en écriture traditionnel ou faux formalisé, aucune des deux formes n’est
tolérable.
25
Dont le principal suspect a usé de sa fonction de gestionnaire du fonds des
documents utilisés pour l'édition des diplômes d'une université privée, pour
falsifier des diplômes et certificats académiques dans différentes spécialités en
contrepartie de sommes d'argent variables, au profit de clients.
Bibliographie :
Ouvrages :
26
DROIT PENAL DES AFFAIRES Agathe Lepage, Patrick Maistre du Chambon,
Renaud Salomon 6e édition 10/09/2020
Les lois :
site web:
https://cours-de-droit.net/droit-penal-marocain-des-affaires-a126329396/
https://ledroitcriminel.fr/la_science_criminelle/penalistes/la_loi_penale/
infraction/pcpales_incrim/garraud_faux.htm
Sommaire
Introduction ……………………………………………………………………………………………………………….. 2
27
Section 1 : les éléments constitutifs du faux et l’usage du faux ………………………………….. 6
Le faux : ……………………………………………………………………………………………………………………… 6
Sanction …………………………………………………………………………………………………………….. 11
administratifs et certificats ……………………………………………………………………………………….. 13
Sanction ………………………………………………………………………………………………………………. 13
Prescription: …………………………………………………………………………………………………………….. 16
28
Paragraphe 2 Le faux incident……………………………………………………………………………………………………23
29