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Art Egyptien
11/10/2021
I/ ALEXANDRIE :
Plafond en dôme orné de motif végétaux animé d’animaux (félin, oiseau…). Type de décours qu’on
retrouve chez les Grec (Grèce ou macédoine). Visage de face avec des serpents : gorgoneïone : motif
protecteur et apotropaïque courant dans motif funéraire d’Alexandrie. Au centre du dôme, il veille
sur le reste de la tombe.
L’empereur Adrien était très friand d’architecture en Dôme et de l’Egypte où il a passé beaucoup de
temps et où il a introduit cette architecture. Donc tombe postérieur à Adrien.
Youna THOUVIGNON L3
Décors qui orne le linteau de la porte (de chaque côté) : attitude active de la marche (celle des
hommes), coiffe en Nemes (royale). Il porte le Réus (cobra dressé sur le front du pharaon donc
encore une fois attribut royale). Porcelet (le justaucorps), pagne à motif de plume : tous cela sont des
vêtements archaïques portés avant l’époque romaine.
Récipient de forme globulaire avec un petit bouton et porté par une hanse. Situle censé évoquer les
seins de la déesse Isis dans les cultes à mystère Isiaque.
Rien qui permet de l’identifier au proprio de la tombe (qu’on ne connait pas) mais figure de rois sont
fréquente dans les tombes d’Alexandrie qui s’inscrit dans mode de l’époque tardive qui intègre des
éléments de vocabulaire royaux à des tombes de citoyens. Pour glorifier leurs tombes.
Horus sous forme de faucon sur le mur gauche Serpents sur le pilastre gauche de la niche
de la niche gauche gauche
Sur les piliers on trouve aussi les faucons et des serpents très grands. A l’époque romaine on voit se
développer beaucoup de bijoux en forme de serpent car animal attribut d’Isis qui est très vénéré à ce
moment-là.
Faucon est animal attribut du dieu Horus. Porte une couronne sur la tête, qui pourrait être un
Pschent écrasé ou le cobra dressé (quoi qu’il en soit une couronne royale).
Ici aussi faucon pour dire présence royale et pour protéger la tombe.
Intérieur pilier peint en décors pilier avec couronnement symétrique en forme de couronne rouge de
basse Egypte. Insiste encore sur symbole royaux pour décors décoratif détaché de représentation
anthropomorphique.
Est-ce vraiment le mythe osirien, ou est-ce la scène de la momification avec le défunt entouré de
deux prêtresses. Déjà, on a une momie avec des caractéristiques contemporaines, une kliné, et des
figures féminines qui ne correspondent pas à la représentation qu’on a de ces déesses.
Deux interprétations qui ne s’exclue par l’une et l’autre par peut avoir plusieurs niveau de lecture qui
permettent de promettre même destin au défunt qu’à la divinité.
Alexandrie fonctionnait avec un modèle et une organisation grecque. Ils reprennent à leurs comptes
une iconographie égyptienne pour s’en servir dans leurs iconographies.
Pourquoi élément de style égyptiens si population de culture hellénistique ? Selon Hérodote, les
« Egyptiens sont les plus religieux des hommes ». Ces systèmes de croyance construit ont sans doute
séduit les Grecs.
Chez grec et romain, peu de motifs qui permettent de représenter l’au-delà et vision des rituels à
effectuer. Manque de vocabulaire eschatologique. Donc un certain nombre de pop grec ont peut-
être été séduit par l’ancienneté de l’art grec, et l’apparition d’un vocabulaire eschatologique très
fournit qui permet de représenter l’au-delà. Utilisation de motif E permet de renforcer leur décor.
Youna THOUVIGNON L3
Tombe de Pétosiris
EXTERIEUR
PRONAOS
Scène de vendanges
Inspi grec se voit surtout dans scène de
vendange. Raisin associé au dieu Osiris, Dionysos
aussi donc on finit par fait le lien entre les deux :
deux dieux noyé, démembré, régénéré et associé
au dieu du vin.
Traine végétale avec représentation ondulé et
chatoyante.
On va retrouver des costumes grec (tunique
bouffante, ceinture, au-dessus du genou),
cheveux frisé et barbe (par tradition, Egyptien
sont représenté avec cheveux court, rasé et imberbe. Chevelu c’est étranger normalement). Ici, on a
plus peur des représentations étrangères.
Posture de certain des personnages : deux personnages nus (un enfant et un ado), Enfant souvent nu
chez les E, mais pas les ados, contrairement à chez les Grec avec les éphèbes. Intérêt pour
musculature et anatomie qui ne se voit pas normalement chez les E. Posture naturaliste qui ne
correspond pas au canon égyptien qui ne cherche pas à représenter la gestuelle naturelle.
Scène de vendanges
Ecrase le raisin. Rendu anatomique du corps.
Canon qui rappelle celui de Lysippe (figure élancé,
petite tête qui s’inscrit 8 fois dans le reste du
corps) et même un personnage avec la tête de
face (rare chez Egyptien), barbe fournit, chauve,
grimace : il représente un satyre.
Youna THOUVIGNON L3
Apport d’offrandes
Femme de face quasiment.
Trois personnages à part : deux femmes adulte et un
enfant qui converge vers un arbre nu (motif rare
dans arbres E, mais parallèle à la mort chez les grecs.
La première est en vrai profil, elle porte une longue
robe au-delà de ses chevilles (chez les E elle
s’interrompt au-dessus).Cheveux relevé et en train
de saluer l’autre femme de ¾ complet qui porte
aussi robe à la grecque qui dénude sa poitrine. Voile
pour dire qu’elle est mariée. La première offre une
couronne de lierre (attribut de Dionysos et thème de
la victoire donc victoire sur la mort). Comme marié,
on peut supposer que c’est l’épouse de Pétosiris
dans ses habits de tous les jours.
Relief de transition entre le pronaos et le naos.
Youna THOUVIGNON L3
Le sacrifice du taureau
Scène représentant sacrifice d’un taureau, encore
une fois fusion entre tradi grec et Egyptienne.
Sacrifice de taureau fréquent dans cadre funéraire
chez E, mais pas chez G. On a donc demandé à un
artiste sans doute grec de représenté un modèle qu’il
ne connaissait pas. Alors il a tenté de représenté avec
un schéma égyptien mais convention grecques.
Femmes accoudé à un piédestal, porte main à son
visage dans attitudes de contemplation dans
contexte funéraire (recueillement). Une autre femme
est adossé et épaulé à ce premier personnage, pour
exprimer proximité ce qui est jamais vue dans l’art E.
La troisième est en vrai profil, voilé (peut être encore
la femme de Pétosiris). Une chapelle domestique qui
devait accueillir un petit autel pour la divinité avec enfant qui passe devant. On arrive à la scène du
sacrifice avec la femme qui apporte des oiseaux devant taureau qui vas être égorgé et une femme
qui pose une couronne (victoire sur la mort) sur la tête d’un personnage. Un autre taureau est amené
et la couronne conclura la scène.
NAOS