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- SESSION 2017 -
Le dossier peut comporter des graphiques ainsi que des données chiffrées.
IMPORTANT
Un projet de création d’une maison de l’Etat dans votre arrondissement doit être mis
en œuvre dans les prochains mois. Votre sous-préfet est nommé préfigurateur de
cette nouvelle structure, qui doit accueillir les services de la sous-préfecture, une
antenne de la DDT, de l’UT DIRECCTE et du pôle emploi.
Le préfet souhaite organiser très rapidement une réunion avec les responsables de
ces administrations pour arrêter le calendrier et les modalités de création de cette
nouvelle maison de l’Etat.
Pour préparer cette réunion, le sous-préfet vous demande d’élaborer une note
rappelant les enjeux de ce projet et les modalités de mise en œuvre au sein de la
sous-préfecture. Vous proposerez les dispositifs d’accompagnement à mettre en
œuvre pour l’ensemble des agents de la sous-préfecture.
Dossier documentaire :
Eléments de contexte
Elle est composée de 23 agents + 1 apprenti. Cet apprenti prépare une licence
« métiers de l’administration territoriale ». La sous-préfecture est organisée en 2
pôles :
Les missions de délivrance des titres (SIV avec régie et permis de conduire) seront
transférées en préfecture. 8 ETP seront supprimés.
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DOCUMENT 2
SOUS-PREFET
Effectifs de la sous-préfecture:
Secrétariat sous-préfet DE GRINCHY
23 ETP + 1 apprenti
Xavier M Evelyne R
Chargée de mission
Sylvie S
Secrétaire Général
Nadine P
Adjoint
Section développement territorial
Françoise
F i U
Delphine R
Accueil Courrier
Chantal L
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ORGANIGRAMME PREVISIONNEL DE LA SOUS-PREFECTURE DE GRINCHY
APRES CREATION DE LA MAISON DE L'ETAT
Chargée de mission
Sylvie S
Secrétaire Général
Nadine P
Yves N Blandine U
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DOCUMENT 3
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DOCUMENT 4
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DOCUMENT 5
Réorganisation
La sous-préfecture est appelée à regrouper en son sein d'autres services de l'État. Une
grande réorganisation en perspective avec l'arrivée, entre autres, de la CPAM et de la
DDT.
Comme cela s'est déjà produit ailleurs, la sous-préfecture devrait se transformer en
Maison des services de l'État. Un établissement qui accueillera d'autres services de
l'État afin de réduire les coûts structurels en mutualisant les moyens sur un seul lieu, qui
aujourd'hui, apparaît manifestement trop grand pour les seuls services de la sous-
préfecture.
Dans une interview qu'il nous avait accordée au début de l'automne (lire La Dépêche du
Midi du 1er octobre) le sous-préfet, Éric Suzanne, avait évoqué le sujet en ces termes :
«L'idée est de créer une petite cité administrative où chacun garderait son autonomie. Il
y aurait toujours la sous-préfecture dans cette Maison de l'État». Interrogé sur l'avenir de
la sous -préfecture par le conseiller départemental Éric Cantournet, fin octobre à la
séance publique du Conseil départemental, le préfet de l'Aveyron, Louis Laugier, avait
été explicite : «Derrière la question de savoir comment renforcer la sous-préfecture se
cache celle de la maison d'État. Nous sommes dans une phase de validation du projet.
Des échanges interministériels ont eu lieu la semaine derrière et l'ouverture d'une
Maison d'État, qui proposerait des services autres que ceux d'une sous-préfecture au
sens propre du terme, est en bonne voie.»
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«Nous travaillons au projet» confirme le sous-préfet, qui, aujourd'hui, ne peut en dire
plus, étant soumis au devoir de réserve imposé par la période électorale actuelle
(scrutins des régionales des 6 et 13 décembre prochains).
Selon nos informations, l'arrivée de la Caisse primaire d'assurance maladie (CPAM)
semble pratique ment acquise. Ses services occuperaient le rez-de-chaussée. Attendue
aussi l'installation des bureaux de la direction départementale des territoires (DDT),
actuellement avenue Vincent Cibiel. La venue des services de l'inspection de l'Éducation
nationale est aussi évoquée.
Par ailleurs, cette future Maison de l'État accueillerait diverses permanences. On peut
imaginer, par exemple, celles de services de l'État mais aussi d'associations, à l'exemple
de l'UDAF.
Enfin, il n'est pas inutile de mentionner les services de la sous-préfecture, qui resteraient
sur place. Avec un sous-préfet.
Aucune date n'est aujourd'hui donnée pour cette réorganisation administrative, mais
l'échéance de la mi 2017 apparaît comme vraisemblable. Un délai nécessaire pour la
réalisation de travaux, notamment en matière d'économies d'énergie, qu'impose
l'ancienneté du bâtiment (40 ans) du quai du Temple.
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DOCUMENT 6
MAIRE Info
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DOCUMENT 7
Directive nationale d’orientation des préfectures et sous -préfectures 2016-2018
[…]
3ème partie : L’accompagnement du changement
I. Rénover l’organisation des préfectures et des sous-préfectures
Sur la base d’organigrammes cibles proposés par l’administration centrale, l’organisation
locale sera adaptée au nouveau contexte et aux nouveaux enjeux.
Ces travaux de réorganisation seront conduits dans le dialogue avec l’ensemble des agents,
leurs représentants et en donnant à l’encadrement intermédiaire toute sa place dans la
conduite des projets. Le projet de service de la préfecture doit ainsi permettre de décliner les
orientations et les traduire dans la mise en œuvre et le suivi d’un plan d’actions inscrit dans
la durée. Il doit aussi être le support de l’adaptation des organisations de services.
Ces évolutions imposent une nécessaire adaptation des services en charge des fonctions
supports qui doivent être en capacité de porter des projets de modernisation ambitieux.
A cet effet les secrétariats généraux pour les affaires régionales (SGAR), sont appelés à
exercer un rôle renforcé de pilotage et de coordination auprès des préfets de région. Un
second adjoint au SGAR est désormais en charge d’un pôle spécifiquement dédié à la
coordination interministérielle de la déconcentration, de la modernisation et des
mutualisation en réseau des moyens des services déconcentrés notamment en matière
immobilière, d’achats ou de ressources humaines.
Les agents des préfectures pourront par ailleurs se porter candidats aux concours directs qui
vont être créés pour la catégorie A et qui vont permettre d’augmenter le nombre de postes
offerts pour la catégorie B.
Un plan de formation dédié à l’ensemble des agents de toutes catégories sera déployé afin de
conforter les compétences fondamentales des agents, d’accompagner l’encadrement dans la
mise en œuvre des réformes, et de consolider les compétences spécifiques des acteurs RH de
terrain.
Ses conditions de déploiement seront conçues pour faciliter l’accès de tous aux actions
proposées. Les séminaires à l’attention des cadres et des acteurs RH se dérouleront en région.
Les formations sur les compétences fondamentales seront dans la mesure du possible
organisées sur le lieu de travail des agents concernés grâce à un recours accru à l’e-
formation. Pour permettre un déploiement rapide et massif des formations visant à renforcer
les compétences de base des agents, des salles d’e-formation sont en cours d’installation dans
chacune des préfectures.
Ce plan se poursuivra à partir de 2017 par des parcours professionnalisant et certifiés pour
conforter l’exercice des missions prioritaires listées dans le présent document et
accompagner le plan de requalification. La mise en place de chaque plateforme sera
accompagnée de formations sur site portant tout à la fois sur les aspects réglementaires,
applicatifs, méthodologiques (lutte contre la fraude) et managériaux.
Le dialogue social avec les agents sera soutenu tant au niveau national qu’au niveau local.
Au-delà de la réunion formelle des instances de représentation existantes, les réunions
informelles avec les représentants des personnels organisées de manière périodique
favoriseront l’expression des difficultés soit collectives soit individuelles. Un travail sera
également être mené avec les représentants des CHSCT sur la problématique particulière de
la santé au travail et des risques induits dans les périodes d’évolution importante.
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DOCUMENT 8
Accueilprofessionnels > Ressourceshumai nes > Santéetsécuritéautravail > Quelles sont les surfaces minimales pour un espace de travail ?
Question-réponse
L'employeur a l'obligation de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la
santé physique et mentale de ses salariés. Il doit notamment leur assurer un espace de travail
confortable, adapté à leur activité, que ce soit un bureau, un atelier, un espace de vente ouvert au
public...
Le code du travail n'impose aucune obligation en matière de surface minimale, même s'il fixe des
exigences de sécurité et d'hygiène, qui reviennent à réserver un espace minimum (en hauteur et en
surface) permettant au salarié de disposer d'une liberté de mouvement suffisante.
L'employeur doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé
physique et mentale des travailleurs, notamment au travers d'actions de prévention des risques
professionnels et de la pénibilité au travail.
La norme NF X 35-102 recommande de façon précise les dimensions des espaces de travail en
bureau et un espace minimum de : 10 m² pour 1 personne seule,
11 m² par personne dans un bureau collectif (soit 22 m² pour 2 personnes ou 33 m² pour 3, etc.),
15 m² par personne dans un espace collectif bruyant (si les tâches nécessitent des communications
téléphoniques par exemple).
S'il s'agit d'un bureau collectif, il est recommandé de ne pas dépasser 5 personnes correspondant
à un groupe de travail homogène (objectifs et commandement communs, type de tâches proches,
stabilité du groupe...).
En ce qui concerne les espaces de circulation, la largeur optimale des couloirs est de 1,50 m, ce qui
est conforme à la réglementation en cas d'incendie pour l'évacuation d'un groupe de 20 à 50
personnes, et permet le passage d'un fauteuil roulant pour handicapé et à 2 personnes de se croiser.
Le plan de travail doit être réglable, de dimension suffisante (80 cm pour un écran plat, 115 cm
pour un écran cathodique). Un plan annexe, en retour de table (60 x 120 cm) doit être prévu pour
ranger les dossiers.
En matière de ventilation, il existe des obligations définies par le code du travail, selon que les locaux
disposent ou pas d'un système de ventilation mécaniquement contrôlée (VMC) :
avec VMC, le débit minimal d'air neuf est fixé à 25 m³ par occupant dans les bureaux, à 30 m³
dans les locaux de restauration, de vente et de réunion, à 45 m³ dans les ateliers et 60 m³ dans
les locaux avec travail physique,
sans VMC, l'aération par ventilation naturelle par des ouvrants donnant sur l'extérieur (fenêtre par
exemple) est autorisée dans des locaux de 15 m³ par occupant (ou de 24 m³ en cas de travail
physique).
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DOCUMENT 9
MINISTERE DE LA DECENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE MINISTERE DU
TRAVAIL, DE L’EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL
Le ministre du travail, de l’emploi, de la formation
professionnelle et du dialogue social et
La ministre de la décentralisation et de la fonction publique
à
Mesdames et Messieurs les ministres et secrétaires d’Etat
Mesdames et Messieurs les Préfets de région et les hauts
commissaires,
Mesdames et Messieurs les Préfets de département
Objet : Mise en œuvre de l’apprentissage dans le secteur public non industriel et commercial
P.J. : Une annexe
[…]
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3ème étape : Pendant le contrat d’apprentissage
Délais Actions à mener Organismes à Observations
contacter
Pendant la
période des - Participer au premier Le CFA / Le CFA / établissement de formation convie à
deux premiers entretien pédagogique établissement de l’entretien l’employeur, le maître d’apprentissage, le
mois organisé par le CFA/ formation contacte la formateur, l’apprenti, et éventuellement le
d’exécution du
établissement de structure d’accueil de représentant légal de l’apprenti mineur
contrat
d’apprentissage formation l’apprenti
- Assurer la formation
pratique de l’apprenti
- Participer aux
rencontres prévues par
le CFA/ établissement La formation pratique dans l’établissement public
de formation doit être en relation directe avec le diplôme visé.
Tout au long et recevoir le référent
du contrat chargé de suivre Des outils de communication (livret d’apprentissage,
l’apprenti carnet de liaison…) permettent d’accompagner le
- S’assurer de parcours du jeune en CFA/ établissement de
l’assiduité du jeune au formation et dans l’établissement public.
CFA / établissement de
formation et
prendre le cas échéant,
les mesures
nécessaires en cas
d’absences injustifiées
Evénements - Compléter et signer un - UT – DIRECCTE Un avenant est nécessaire en cas de changement :
en cours de avenant au contrat d’adresse de l’apprenti, du maître d’apprentissage
contrat d’apprentissage … par exemple.
Trois possibilités de rupture de contrat :
- pendant les 2 premiers mois
du contrat (rupture par l’un ou l’autre
des signataires) de manière unilatérale ;
ème
- Notifier la rupture - après le 2 mois, sur commun accord
auprès du CFA / - CFA des parties (écrit et signatures obligatoires de toutes les
En cas d’arrêt établissement de - UT – DIRECCTE parties) ;
du contrat formation et du - suite à l’obtention du diplôme et avant la date
service ayant enregistré de fin de contrat (rupture à l’initiative de
le contrat (UT- l’apprenti.).
DIRECCTE) Rappel : en dehors de ces cas, la résiliation
judiciaire du contrat ne peut être décidée que par le
Conseil des Prud’hommes qui statue en la forme des
référés (procédure rapide).
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Annexe 3
Le maître d’apprentissage
Vous venez de recruter un jeune en contrat d’apprentissage
Votre mission par rapport au jeune est double :
En qualité d’employeur, vous l’accueillez et lui donnez le moyen de réussir son intégration
dans votre service ;
En qualité de maître d’apprentissage, vous lui transmettez les connaissances et savoir-faire
nécessaires à l’acquisition d’une compétence professionnelle lui permettant de préparer un
diplôme ou un titre professionnel donné ;
Votre partenaire pour réussir cet investissement est le CFA / établissement de formation :
Le Centre de Formation d’Apprenti (CFA) / établissement de formation dispense
l’enseignement requis pour valider la qualification du jeune et assure la coordination
pédagogique ;
Il exerce également une fonction de conseil et de suivi pendant toute la durée du contrat.
Le service : un lieu de formation
C’est au sein de votre service que le jeune découvre les exigences de la vie professionnelle et construit
son savoir-faire technique.
Votre service est le cadre où il va réaliser son projet professionnel.
En lui donnant les moyens de transférer dans votre service ses acquis de formation, vous optimisez ses
chances de succès. Le parcours de formation que vous élaborez à partir de la définition de son poste,
vous permet de piloter sa progression. Il sert d’axe de référence au jeune pendant toute la durée de son
contrat.
Quel est le rôle du maître d’apprentissage ?
Le maître d’apprentissage est la personne directement responsable de l’apprenti au sein du service.
Il peut être seul ou référent en équipe tutorale. Il doit être impérativement présent sur le lieu où
travail le l’appr enti .
Il accueille l’apprenti dans le service, et lui présente son activité professionnelle, et le
personnel.
Pour réussir l’intégration de l’apprenti dans le service, le
moment de l’accueil est capital. Accueillir, c’est prendre le
temps de lui présenter l’activité du service, les
collaborateurs, et la mission qui lui est confiée.
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Il l’accompagne dans la découverte du métier, organise et planifie son poste de
travail et lui transmet des savoirs professionnels.
L’apprenti ne maîtrisant pas toutes les contraintes et
les impératifs de la vie professionnelle, c’est
progressivement que pourront lui être confiées des
missions de plus en plus importantes. Il est
nécessaire de l’accompagner, de lui laisser un droit à
l’erreur et de définir avec lui son parcours dans le
service pendant son cycle de formation.
Il se tient informé des éléments relatifs à la formation au CFA/ établissement de
formation : il s’assure que l’apprenti est bien assidu au cours, il s’informe des
résultats obtenus au CFA, accueille le formateur référent responsable du suivi dans
son service.
L’utilisation des documents de liaison avec le CFA /
établissement de formation (carnet de liaison), les
relations avec les formateurs et responsables
pédagogiques de la formation sont essentiels.
Il communique avec l’apprenti.
L’apprenti quitte le monde scolaire pour le monde
professionnel. L’accompagner dans sa découverte et
instaurer une relation de confiance est indispensable
pour réussir ensemble ce parcours. Cela signifie :
communiquer, valoriser ses réussites, prendre en
compte ses propositions, échanger sur l’activité du
service et les cours dans le CFA/ établissement de
formation.
Le contrat d’apprentissage, qui comporte des obligations éducatives générales, vise à
l’acquisition de compétences professionnelles spécifiques à un métier donné, et doit se
donner comme objectif l’autonomie du jeune et l’accompagnement à la réalisation de son
projet diplômant.
Des obligations éducatives générales
L’apprentissage permet au jeune d’être confronté à la réalité de la vie sociale, parfois très
tôt (16 ans, voire 15 ans révolus), à un âge où le besoin de repères est important. Votre rôle
à ce niveau est complémentaire à celui du CFA / établissement de formation et des parents
(pour les mineurs).
Les relations de travail, le respect des horaires, l’attention et la rigueur dans le travail, le
respect des règles de vie sociale et professionnelle et le respect des autres sont autant de
notions que l’apprenti doit intégrer et auxquelles il est nécessaire d’être attentif.
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