Vous êtes sur la page 1sur 17

République Algérienne Démocratie Populaire

Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique

Université des Sciences et de la Technologie d’Oran Mohamed Boudiaf

Département de : Biotechnologie

3ème année LMD Biotechnologie

Rapport de stage

Thème

Analyses microbiologiques & physico chimiques de l’eau de la


wilaya d’Oran

Stage effectué au niveau de l’entreprise SEOR

ALGÉRIENNE DES EAUX


(ADE)

Présenté par :

MECHERI MEJDA

Année universitaire 2012/2013

1
2
Liste des abréviations

ADE : Algérienne des eaux.


EPIC : Entreprise publique à caractère industriel et commercial.
Mg : Milligramme.
C° : Degré Celsius.
Ge : Germe.
s/cm : Siemens par centimètre.
Cond : Conductivité
T° : Température.
Turb : Turbidité.
TDS : Taux des Sels Dessous.
DO : Oxygène dessous.
CT : Coliformes totaux.
CF : Coliformes fécaux.
SP : Streptocoques fécaux.
EDTA : Ethyle diamine tétra acétique.
h : Heure.
l : Litre.
m : Mètre.
MO : Matière oxydable.
% : Pourcentage.
Pt : Platine.
DPD : Diméthyle-N, N-paraphémyléne-diamine

3
Préface

Le mardi 30 Avril 2013, nous avons été respectivement emmenés avec nos camarades
au niveau de l’entreprise SEOR avec notre professeur et chargé de cours de microbiologie
alimentaire Mr CHEBBA ; nous avons effectué un stage et, nous nous sommes intéressés
aux analyses microbiologiques et physico-chimiques de l’eau destinées à la consommation
humaine. Ce stage nous a permis d’approfondir nos connaissances dans le domaine des
traitements des eaux. Nous avons eu le privilège d’enrichir nos connaissances
scientifiques.

4
Introduction

Introduction

L’eau constitue un aliment essentiel puisque indispensable à la vie. L’eau potable


ordinaire est une eau possédant des qualités physico-chimiques, microbiologiques qui la
rendent apte à la consommation humaine.
Aujourd’hui, la qualité de l’eau nous concerne tous. Cette dernière est prioritaire pour
la santé, c’est pourquoi il est nécessaire de stocker l’eau et de la contrôler.
Notre travail porte sur l’étude de l’eau de la wilaya de Tissemsilt. Cette eau est destinée
à la consommation humaine.
Nous allons donc déterminer les paramètres physicochimiques et microbiologiques de
cette retenue d’eau et quantifier sa pollution en faisant une étude comparative avec les
normes d’eau potable.

5
Chapitre I Présentation Générale de l’Algérienne des Eaux
I.1.Présentation de l’algérienne des eaux :
I.1.1.Définition de l’algérienne des eaux :
L’algérienne des eaux nommée ADE est une EPIC (entreprise publique à caractère industriel et
commercial), elle a été crée par décret exécutif N° 01-101 du 21 avril 2001.

Elle est chargée d’assurer sur l’ensemble du territoire national la mise en œuvre de la politique de l’eau
potable ainsi que la prise en charge des activités de gestion des opérations de production, de transport, de
traitement, de stockage, d’adduction, et de distribution d’eau.

Elle est structurée sous forme d’agences régionales qui sont à leurs tours structurées d’unités
opérationnelles.

L’ensemble de ces structures à sa tète une direction générale, l’unité de Tissemsilt faisant partie de
l’agence régionale de la wilaya de Chlef.

Le rôle de laboratoire est le contrôle de la qualité des eaux destinées à la consommation au niveau de
wilaya de Tissemsilt.

ALGÉRIENNE DES EAUX


(ADE)

Figure N°01 : Logo de l’entreprise

I.1.2. Les sources de l’ADE :


Deux types de sources sont gérés par cette unité :

 Les eaux de surface (barrage DERDER et barrage KODIATEL ROSFA).


 Les eaux sous terrains (fourrage de RECHIGA).

I.2.Laboratoire de L’ADE :
I.2.1.Organisation de laboratoire :

I.2.1.1. Personnel :

 Agent de sécurité.
 Chef de service.
 Trois chimistes pour les analyses physico-chimiques.
 Deux biologistes pour les analyses biologiques.

6
I.2.1.2. Machine et équipement :

Le laboratoire de l’ADE contient deux sales, une sale pour les analyses physico-chimiques, et l’autre pour
les analyses bactériologiques. Ils existent dans ces sales le matériel suivant :

Chapitre I Présentation Générale de l’Algérienne des Eaux


a) Laboratoire bactériologique :

-Incubateur

-Hotte bactériologique

-Réfrigérateur

-Rampe de filtration

-Autoclave Figure N° 02 : Rampe de filtration

-Milieu de culture

-Pompe à vide

-Bec benzène

-Bain marie

b) Laboratoire physico-chimique :

-Etuve universelle
-Distillateur

-Dessiccateur

-Hotte chimique Figure N°03 : Spectrophotomètre

-Plaque chauffante

-Agitateur chauffant.

-Agitateur non chauffant.

-Conductimètre.

Figure N° 04 : Conductimètre

Bain-marie

-pH-mètre

7
-Turbidimètre

-Balance analytique.

-Spectrophotomètre. Figure N°5 : pH mètre


.

Chapitre I Présentation Générale de l’Algérienne des


I.2.2.Activité de laboratoire :

Le rôle de laboratoire est le contrôle de la qualité des eaux destinées à la consommation au niveau de
wilaya de Tissemsilt. Parmi les analyses qui peuvent être effectuées dans ce laboratoire sont :

I.2.2.1. Degré chloro-métrique :

Le chimiste de laboratoire contrôle chaque semaine le degré chloro-métrique d’eau de javel qui doit
être comprise entre 45° et 48°.

Mode opératoire :

1e re étape : Dilution d’eau de javel à 50 ml

 1ml l’eau de javel.


 49 ml d’eau distillée.

2e me étape :

 100 ml d’eau distillée.


 10 ml d’eau de javel diluée.
 5 ml d’acide sulfurique+ 1 g de KI (potassium iodé)
 Titre à thiosulfate de sodium jusqu’à la couleur jaune clair.
 Ajouter 2 ou 3 ml d’amidon jusqu’à la couleur transparent.
 Lire le volume de thiosulfate utilisé.

Thiosulfate × 0.112 × 50

b. Analyses de l’eau :

Les travailleurs de laboratoire devisent les analyses selon des paramètres, le tableau 01 représente
les différentes analyses de l’eau. (voir l’annexe)

Eau à analysée :

L’eau est tout d’abord pompée dans une nappe souterraine ou une ressource superficielle (fleuves,
rivières, lacs…), puis différentes étapes plus ou moins complexes sont assurées dans l’usine. Le
traitement de l’eau se fait pour la rendre potable avant son stockage dans des réservoirs (châteaux
d’eau). Une dose de chlore lui est enfin ajoutée, afin d’assurer sa distribution. Enfin elle atteint en toute
sûreté nos robinets.

8
De nombreux de contrôles sont effectués tout au long de la chaîne de production d’eau potable : au
point de captage, à la station de traitement, aux niveaux des réseaux de distribution.

Tout au long du parcours de l’eau jusqu’au compteur, l’entreprise de service de l’eau contrôlent la qualité
des eaux qu’elles distribuent et vérifient qu’elles répondent bien aux critères légaux.

Ces contrôles sont mis en place selon des procédures techniques très rigoureuses et des outils de contrôle
(notamment les laboratoires d’analyses) très élaborés.

Chapitre II Partie Expérimentale : Analyses effectuées


Méthodes d’analyses :

Au cours de notre stage, nous avons pu faire deux types de prélèvements. Le premier est un prélèvement
bactériologique, qui se fait à l’aide de pistolet de flambage dans des flacons stériles. Le second
prélèvement est physico-chimique, il se fait dans des flacons de polyéthylène.

1. Le prélèvement :

Eau de robinet :

 Flamber le bout de robinet avec une source de flamme.


 Laisser couler l’eau de robinet pendant quelques minutes.
 Déboucher les deux flacons stériles sous l’eau coulée pour éviter la contamination.
 Remplir ces flacons et les reboucher.
 Noter les références sur les flacons.

Eau de réservoir :

 Plonger les deux flacons stériles au profonde du réservoir.


 Déboucher ces flacons et les faire remplir.
 Reboucher les flacons avant.

II.1.Paramètres bactériologiques :
On distingue deux types principaux d’indicateurs :

 Les indicateurs de contamination fécale permettant d’apprécier avec plus ou moins de sûreté ou
de précocité, le risque d’une contamination par des matières fécales pouvant véhiculer des
microorganismes pathogènes.

 Les indicateurs d’efficacité de traitement permettent d’évaluer la qualité d’un


traitement de désinfection de l’eau vis-à-vis des microorganismes pathogènes.

 Au cours de notre stage, nous avons fait deux types de prélèvements. Le premier est
un prélèvement bactériologique, qui se fait à l’aide de pistolet de flambage dans des
flacons stériles. Le second prélèvement est physico-chimique, il se fait dans des
flacons de polyéthylène.

9
En général, les mêmes germes sont utilisés dans l’une des situations et qui sont :

1)-les coliformes totaux.

2)-les coliformes fécaux (thermorésistants).

3)-les streptocoques fécaux.

Chapitre II Partie Expérimentale : Analyses effectuées


II.1.1.Recherche des coliformes totaux :

a. Définition :

Parmi les entérobactéries, les bactéries coliformes, vivants notamment dans l’intestin des animaux.
(BOURGEOIS ET LEVEAU, 1980). Ces bactéries ont les propriétés suivantes :

 Ce sont des bacilles à Gram, non sporules, oxydase aéro-anaérobies ou anaérobies facultatifs.
 Il fermente le lactose avec production d’acide et gaz en 48 h à T° de 35 à 37C°.
(DELRRAS ,2007).

b. Mode opératoire :

-Technique sur membrane filtrante :

Tout d’abord on doit allumer la rampe de filtration en appuyant sur le bouton qui commence à
produire une aire qui sert à isoler l’intérieur de la rampe de l’extérieur en évitant toute contamination
probable.

En appuyant sur le bouton UV, la hotte bactériologique commence à produire des rayons
ultraviolets qui servent à stériliser l’appareil.

Il faut attendre 15 mn avant de commencer la filtration de l’eau.

L’eau qu’on veut analyser doit être filtrée sur une membrane en ester de cellulose de porosité bien
définie (0,45µm) capable de retenir les bactéries.

Flamber la face supérieure de l’appareil.

Poser les membranes filtrants entre l’entonnoir et la pince ; le coté poreux au dessous.

Installer le dispositif d’assemblage.

Agiter bien le flacon d’eau à analyser et le verser dans le réservoir jusqu'à son remplissage.

Ouvrer le robinet du support entièrement afin de laisser l’eau s’écouler sous l’action d’aspiration
d’eau.

Après l’aspiration de toute la quantité d’eau, fermer les robinets puis enlever les dispositifs
d’assemblage et avec une pince flambée prélever les membranes saisies par leur extrémité.
10
Transporter chaque membrane de filtration soigneusement sur un milieu de culture solide tergitol.

Incubation à 37C° et la lecture se fait après 24h.

II.1.2 Recherche de coliformes fécaux :

Cette opération est suivie de l’opération de recherches les coliformes totaux, si le nombre de germes
est plus de 10 points (colonies de bactéries).

Chapitre II Partie Expérimentale : Analyses effectuées


Mode opératoire :

Avec la même méthode (la membrane filtrante) faire le test des coliformes fécaux sauf le degré
d’incubation est de 44°C.

Résultats : le dénombrement des colonies se fait après l’incubation.

II.1. 3 Recherche des streptocoques fécaux :

a. Définition :

Les streptocoques fécaux sont des streptocoques des matières fécales, ils appartiennent
essentiellement au genre streptocoques possédant le même antigène, comme Streptococcies bovis, suis
équins, sont aussi des hôtes normaux de l’intestin que l’on ne pourra distinguer des Enterococus que
par la culture en milieu hyper salé (65 g.dm-²).

b. Mode opératoire

On filtre la même quantité d’eau selon la même technologie après filtration les membranes sont
déposées sur le milieu slanetz puis incubées à 37C° pendant 48 h.

c. Paramètres physico-chimiques :

 Température :

Il est important de connaître la température de l’eau avec une bonne précision. En effet, celle-ci joue
un rôle dans la solubilité des sels et surtout des gaz.

Pour mesurer la température, on utilise le thermomètre. Les mesures sont obtenues directement en
degré Celsius. (Rodier et all, 2005).

 Mesure de pH et DO :

Le pH d’une eau représente son acidité ou son alcalinité.

- pH = 7 une eau est dite neutre.

- pH > 7 une eau est dite basique.

- De la diffusion de l’O 2 en surface.

- De l’aération du mouvement de l’eau.


11
Principe :

Le pH et DO sont mesurés à l’aide de multimètre. Dans cet appareil existe deux électrodes une
électrode pour pH et l’autre pour le DO.

Une électrode en verre est immergée dans la solution, le pH ou DO doit être déterminé en calculant la
différence des potentiels entre les électrodes. Le pH de la solution est dépond de la concentration en
protons (H).

Chapitre II Partie Expérimentale : Analyses effectuées


Mode opératoire :

-Allumer l’appareil.

-Rincer l’électrode en eau distillée.

-Immerger l’électrode qui doit être bien rincée dans la solution à mesurer.

-Appuyer le bouton de fonction du pH et relever la valeur du pH.

-Appuyer le bouton de fonction du DO et relever la valeur du DO.

-Rincer l’électrode en eau distillée.

 Conductivité

Définition :

La conductivité électrique d’une eau est la conductance d’une colonne d’eau comprise entre deux
électrodes métalliques de 1cm de surface et séparée l’une de l’autre de 1cm .Elle est l’inverse de la
résistivité électrique.

L’unité de la conductivité est le siemens par mètre (s /m) et 1s/m=10 µS /cm=10 ms/m

Principe :

Rincer plusieurs fois l’électrode, d’abord avec l’eau distillée puis en les plongeant dans un récipient
contenant de l’eau à examiner, en prenant soin de l’électrode de platine qui doit être complètement
immergé.

 Taux des sels dissous (TDS) :

Définition :

Le TDS est utilisé comme un indicateur du contenu total en composés minéraux présents dans les
eaux d’alimentation. Les substances minérales dissoutes incluent :

-Le dioxyde de carbone, qui se dissout dans l’eau en donnant de l’acide carbonique, acide faible.

-Les sels de sodium.

-Les composes ferreux et ferriques provenant de minéraux, et du fer rouillé des canalisations.

-Les phosphates provenant de détergents.


12
-Les nitrates provenant des engrais.

Mode opératoire :

Le mode opératoire reste le même sauf que la solution d’étalonnage est une solution à 491 mg /l de
sels dissous.

Chapitre II Partie Expérimentale : Analyses effectuées

La turbidité d’une eau est due à la présence des matières en suspension finement divisées comme :
Argile, sable, matières organiques. La turbidité peut être évaluée par certain nombre de méthodes qui
sont pratiques suivant les nécessités, sur le terrain ou au laboratoire.

 Salinité :

Est la quantité du sel NaCl dans l’eau, elle est donnée par mg/l.

Mode opératoire :

Rincer l’électrode plusieurs fois dans l’eau distillée pour essayer, puis on la plonge dans un récipient
contenant de l’eau à analyser avec agitation faible, afin que la concentration ionique entre les électrodes
soit identique à celle du liquide ambiant, introduire alors le thermomètre aussi prés que possible de la
cellule, la température de liquide ne devra en aucun cas varier pendant la mesure.

Résultats

Analyses quotidiennes :

Le tableau suivant représente les résultats de 02 prélèvements quotidiens. Résultats des analyses de
l'échantillon H1 (Hôpital de Tissemsilt) et l'échantillon H2 (Cité 68 long route de l’hôpital) prélevés le
01/ 04/2010.

H1 H2 Les normes
algériennes
pH 7.2 7.5 6.5 – 8.5
Cond us /cm 1084 1084 2800
Turb NTU 0,9 0,9 5
DO mg/l 6,4 6,5 /
T° C° 15,9 15,9 /
TDS mg/ 398 423 /
CT ge/100ml 00 00 10
CF ge /100ml 00 00 00
SP ge/100ml 00 00 00

Tableau 01: Résultats des analyses de deux échantillo ns de l’eau (H1) et (H2).

13
Conclusion

Conclusion

Notre travail consiste à faire des analyses physico-chimiques et bactériologiques de


l’eau de consommation de la ville de Tissemsilt. Ces analyses sont effectuées au niveau de
laboratoire de l’ADE, elles comportent la recherche des indicateurs de pollution.
Nous pourrons conclure que ces méthodes d’analyses permettent le suivit et le control
continu de la qualité des eaux destinées à la consommation. Les observations après analyse
répondent aux normes de l’eau potable.
Nous constatons que l’eau de consommation de la ville de Tissemsilt est conforme aux
normes physico-chimiques et bactériologiques.

14
Annexe
La composition chimique des milieux de cultures :
Milieu TGEA :
La gélose TGEA est destinée à la détermination du nombre total de germes aérobies dans
l’eau les produits laitiers et autres.
Formule en g /l d’eau distillée
Peptone de caséine …………………………..5
Extrait de viande …………………………………3
Extrait de levure ……………………………….1
Glucose ……………………………………………….1
Agar………………………………………………………18
PH=7+/-0.2

Paramètres physicochimiques Minéralisation globale


pH Calcium mg/l
Conductivité us/cm Magnésium mg/l
Chlore résiduel mg/l Sodium mg/l
Turbidité NTU Potassium mg/l
Oxygène dessous mg/l Sulfate mg/l
Température °C Chlorure mg/l
Résidu sec a 105° mg/l Bicarbonate mg/l
MES à 105° mg/l Dureté totale TH mg/l
Silice SiO2 mg/l Dureté totale TH et TAC mg/l
TDS mg/l Titre acide complet TAC en f° mg/l
Paramètres de pollution Paramètres indésirables
Ammonium NH4+ mg/l Fer total mg/l
Nitrites NO2- mg/l Fer Fe () mg/l
Nitrites NO3- mg/l Fer Fe () mg/l
Ortho phosphates PO4 - mg/l Manganese Mn+2 mg/l
+3
Mat. Oxydable mg/l Aluminum Al mg/l
Analyses fines Paramètres bactériologiques
Cyanure CN - mg/l Germe totaux à 37°C ge/ml
DCO mg/l Coliformes totaux ge/100ml
+2
Plomb Pb mg/l Coliformes fécaux ge/100ml
Nichel Ni mg/l Streptocoques fécaux ge/100ml
Cadmium Cd mg/l Clostridium sulf-red ge/20ml
Cobalt Co mg/l Vibrio cholerae ge/5ml
15
Chrome Cr mg/l
Chrome Cr mg/l
Cuivres Cu mg/l
Tableau 02 : Différents paramètres de l'analyse de l’eau

Légende :
CMA : Concentration Maximale Admissible (Normes Algériennes provisoires).

E.B : Eau brute à l’entrée de la station des dunes.

E.T : Eau traitée à la sortie de la station des dunes.

E.INC : Eau incrustante

Interprétation des résultats :

L’eau traitée à la sortie de la station de dessalement des dunes présente une bonne qualité physico-
chimique relative aux substances analysées.

L’eau traitée analysée présente une bonne qualité bactériologique.


16
17

Vous aimerez peut-être aussi