Vous êtes sur la page 1sur 2

La coutume :

- Isidore de Séville défend que la coutume reste un complément de la loi


- Beaumanoir défend que la coutume se doit d’être écrite au même tre que les Dieux
car sinon elle risquerait d’être perdu. La coutume doit être écrit dans une langue que
tous comprennent. Si la coutume ne su t pas il faut la compléter avec celle des
voisins. Le pouvoir poli que est entre les mains des grands féodaux car c’est eux qui
dirigent la rédac on des coutumes. De plus les coutumes doivent être u lisé en
priorité durant les li ges. Elles sont la source de droit principale et suprême car elle
s’inscrive dans la durée, et elles sont propres à un peuple.
- Bodin défend que la coutume soit une source inférieur à la loi.
- Louis Charondas le Caron défend que la coutume ne soit pas une source de droit
puisqu’elle est le fruit du tyran, c’est la mauvaise coutume.

La loi :

- Ordonnance de Louis VII (1155) défend que l’ini a ve législa ve appar enne au
clergé et aux nobles (barrons et seigneurs). La puissance souveraine du roi est limitée.
Il ne peut pas rédiger seul la loi il lui faut l’accord des nobles et des ecclésias ques. Le
roi ne dé ent pas non plus l’en èreté du pouvoir exécu f. Les comtes, duc, barrons,
seigneurs ou encore évêques appliquent au niveau local le pouvoir exécu f par eux
même. Le débat législa f n’est pas fait par le roi : il ne fait que déposer son sceau
pour promulguer une ordonnance.
- Le pouvoir législa f selon Beaumanoir, le roi n’est pas libre dans la rédac on des lois,
son pouvoir est encadré par les nobles puisque ses lois ne doivent pas aller à
l’encontre de leur intérêt. Mais aussi par l’Église, puisqu’elle ne peuvent pas porter
a einte à l’Église. Si le roi ordonne quelque chose de contraire, les vassaux et l’église
peuvent refuser de se plier à la volonté du roi.
La Jurisprudence :

- Louis Charondas le Caron : les juges doivent appliqué la coutume en ses termes. Pour
lui lorsque la loi est ou ou peu précise. De plus la coutume est générale donc il faut
l’adapter. Le juge interprète la loi et la coutume pour lui donner un sens. La
jurisprudence éclaire la loi. Pour lui la loi a une primauté sur la coutume. Mais selon
lui la jurisprudence est presque l’égal de la loi. Puisqu’elle permet de savoir la solu on
trouvé dans des cas similaires.
- Le cahier de doléance de 1789 a pour but de me re un terme à l’équité des juges, n
de l’interpréta on des juges. ! « Juge bouche de la loi » la sépara on des pouvoirs
explique que les juges ne modi ent pas la loi, ils disent seulement le droit. En cas de
di cultés d’interpréta on il faut demander l’avis au législateur.
- Ferrière Claude-Joseph adopte une posi on médiane entre le juge bouche de la loi et
la limita on des excès du parlement. Elle est cons tuée par la répé on d’une
solu on a plusieurs faits. C’est la con nuité de faits commun et tranchés de la même
façon. Selon lui le juge doit fonder sa décision sur les faits et la jurisprudence. Le juge
tt
ffi
ti

ti
ti

ti
ti
ti

ti
fl
ti
ti
ti
ti
fi

ti
ffi
ti

ti
tt
ti
ti
ti

ti

ti
ti
ti
ti
ti
ti

ti
ti
ti
ti
fi
doit faire leur propre recherche, si la décision de la jurisprudence n’a pas les mêmes
faits, ils doivent appliquer la loi le plus dèlement.
La doctrine :

- Michel Toper explique que le droit est une science car il a la démarche scien que.
Le domaine est une ma ère de l’esprit qui reposent sur une créa on de l’esprit qui
démarre de l’observa on du fait. Le fait est constaté par le groupement des individus
qui vont agir selon la société, la culture et même la religion. Il peut y avoir plusieurs
interpréta ons du droit. De ce e mul ple interpréta on émerge une mul plicité des
sources du droit. Sa faiblesse est qu’elle est inférieure à la loi.

La souveraineté :
- Jean Bodin dé nie la souveraineté comme la puissance absolue et perpétuelle d’une
République. Les Princes ne sont que dépositaires et gardes de ce e puissance. Le
souverain est toujours exceptés en termes de droit. Ce e puissance est absolue et
souveraine car elle n’a d’autre condi on que la loi de Dieu et de la nature ne
commande, il n’y aucun frein. Ce souverain n’est sujets de personnes. De plus le
prince est absous de la puissance des lois. Ils sont soumis seulement aux lois divines.
Le prince doit toujours respecté s’il promet de se soume re à une loi. Le prince ne
peut pas se déroger à des lois saliques, le successeur peut casser ce qui aura été fait
au préjudice des lois royales.
- D’après Jean de Terrevermeille, on ne peut pas disposer de la couronne à sa guise. Le
roi n’en est que le dépositaire, il n’en pas le propriétaire, le gardien. Il peut donc en
user, en pro ter mais il ne peut pas la transférer. L’auteur est proche du dauphin, il
sou ent donc l’invalidité du testament de l’ancien roi qui donne la couronne au Roi.
Puisque la coutume de succession de la Couronne est le consentement des Trois
ordres, il faudrait que ces ordres consentent à sa modi ca on, la loi salique n’est
donc pas légi me.
ti
ti
fi

ti
fi

ti
ti

tt
ti
ti
fi

ti
fi
tt
tt
ti

tt
ti
ti
ti
fi

Vous aimerez peut-être aussi