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CHAPITRE 0.

Diagnostic des ouvrages en génie civil :


Définitions et généralités

0.1. Définitions :
• Pathologie : «Science qui a pour objet l’étude et la connaissance des causes et symptômes des
maladies». C'est une discipline qui s'intéresse à l’étude statistique, systématique et ordonnée des
désordres et des sinistres.

• Désordre : «Altération, perturbation, trouble…»

• Dégradation : « Endommagement, Altération, détérioration...»

• Ruine : la ruine constitue l’état ultime limite ou final d’une construction ou d’un ouvrage après
destruction partielle ou totale.

• Remède : « tout ce qui est employé au traitement d’une maladie ». Un terme analogue utilisé est «
solution ».

• Vice : défauts ou imperfection grave. Il s’applique surtout aux ouvrages neufs.

• Sinistre : Ce terme est couramment utilisé en matière d’assurance. C’est en fait l’aggravation des
désordres qui conduit aux sinistres et éventuellement à la ruine partielle ou totale d’un ouvrage.

• Réparation : Ce terme correspond aux opérations nécessaires au maintien de l’ouvrage après sa


construction (ouvrage dégradé). On peut distinguer trois degrés de réparations : légères, moyennes et
lourdes.

• Renforcement : Ce terme concerne l’ensemble des travaux à effectuer sur un ouvrage durant sa
construction ou après (ouvrage dégradé ou non), pour lui permettre de résister à des sollicitations
d’intensité supérieure à celle initialement prévues.

• Rénovation : opération qui concerne l’ensemble d’un quartier, ce qui implique la démolition
d’immeubles, la libération du sol, le remembrement de parcelles, la redistribution des utilisations du
sol en voirie, logements, équipements et reconstruction à neuf. « Rénovation urbaine»

• Restauration : les travaux de restauration visent à remettre un bâtiment ou un ouvrage dans son
état originel du fait de son intérêt architectural ou historique.

• Réhabilitation : des travaux de réhabilitation visent à la fois à conforter un bâtiment et à le remettre


en état en le dotant des éléments de confort moderne : (1) apport d’isolation thermique, (2)
Modernisation des installations intérieures (réseaux : électricité, chauffage, fluides, sanitaire).

0.2. Généralités
Une analogie existe entre les actions des entreprises en matière de maintenance d’une construction
et la démarche médicale.

Les étapes d’investigation rencontrées par un médecin dans le traitement d’une maladie sont les
mêmes que celle rencontrées par l’expert lors d’un sinistre, des désordres ou des problèmes de
renforcement.

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Ils doivent tous les deux aborder les trois démarches suivantes :

- Faire un examen visuel


- Etablir la liste des causes
- Prescrire un traitement

Il convient de distinguer, en matière de construction, entre les deux cas des ouvrages dégradés et des
ouvrages non dégradés.

Face au aux ouvrages dégradés, trois éventuelles possibilités peuvent s’imposer :

- Restauration ou tout simplement réparation


- Renforcement si l’ouvrage ne peut pas tenir
- Démolition si l’ouvrage est incurable

Face aux ouvrages non dégradés, toutes interventions peut se traduire par :

- Renforcement
- Réhabilitation
- Amélioration de quelques détails

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CHAPITRE 1. Diagnostic des ouvrages en génie civil :
Examen visuel et hypothèses de dégradation
1.1. Introduction
La première étape lors d’une mission d’expertise est l’examen visuel de l’ouvrage en question.

On peut classer les désordres visuels en deux grandes catégories :

- Désordres généralisés dus souvent à un problème au niveau de l’infrastructure


- Désordres particuliers affectant un élément ou ensembles d’éléments de la superstructure

1.2. Désordres généralisés


Lors d’une première visite à un ouvrage dégradé (Route, pont, bâtiment…) et si on remarque qu’il y a
des désordres généralisés, il est probable qu’il y a des problèmes au niveau de l’infrastructure
(fondations superficielles ou profondes)

1.2.1. Fondations superficielles

Les éventuelles causes des désordres généralisés sont dues à des problèmes au niveau :

- Sol-fondation
- Vibration
- Eaux souterraines
- Terrassements
- Climats
- Exécution

Ces désordres sont illustrés dans le tableau 1.

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1.2.1. Fondations profondes

Les problèmes dans ce cas sont identiques à ceux des fondations superficielles sauf qu’il y a une
différence au niveau « Sol-Fondation » (voir tableau 2)

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1.2. Désordres particuliers
Ces désordres décelables (détectables) au niveau d’un élément ou d’un ensemble d’éléments de la
superstructure tel que : Poteau, poutre, plancher, mur en maçonnerie, cloison…

Ces désordres sont illustrés dans le tableau 3.

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CHAPITRE 2. Diagnostic des ouvrages en génie civil :
Origine des désordres
2.1. Introduction
L’examen visuel est une étape importante qui donne les éventuelles hypothèses de dégradation mais
qui reste insuffisante pour établir un diagnostic complet, d’où la nécessité de faire une investigation
(enquête) afin de déterminer avec précision les causes et l’origine des désordres.

L’investigation doit comprendre essentiellement les informations suivantes :

- Date de la construction
- Date d’apparition des premiers désordres
- Eventuelles causes d’origine extérieure : Naturelles, dues à l’utilisation, accidentelle
- Eventuelles causes dues à la conception et l’exécution
- Eventuelles causes d’origine intérieure

2.2. Causes d’origine extérieure


Les désordres d’ensemble d’origine extérieur sont illustrés dans le tableau suivant :

Désordres d’origine extérieure


Désordres naturels Désordres dus à l’utilisation Désordres accidentels
Neige Charges permanentes sous Séisme
Vent évaluées Incendie
Pluie et grêle Charges d’exploitations sous Inondation
Température évaluées Explosion
Sol (nature géotechnique) Surcharges occasionnelles Volcan…

2.3. Désordres dus à la conception et à l’exécution


2.3.1. Désordres dus à la conception

Plusieurs investigations ont montré que la ou les causes principales des sinistres sont dus à des
problèmes au niveau de l’étude et de la conception, tel que :

- L’équilibre statique
- Les conditions de résistances
- L’évaluation des charges permanentes et d’exploitation
- La sous-estimation des combinaisons de charges (effet dynamique par exemple)
- Le non-respect des codes et règlement de calcul et conception…

2.3.2. Désordres dus à l’exécution

Certains sinistres trouvent leur origine dans des raisons cachées qui tiennent à la nature même des
matériaux employés et leurs mises en œuvre. L’ignorance de propriétés physiques ou chimiques de
ces matériaux peut amener à des importants désordres.

Les éventuels problèmes d’exécution qui peuvent amener à des sinistres sont liés au béton armé, d’où
le tableau suivant illustre quelques défauts et problèmes liés aux aciers et aux bétons.

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Désordres dus à l’exécution
Bétons Aciers
Manque de vibration : Ségrégation Mélange entre aciers doux et aciers durs
Excès de vibration : Ressuage Utilisation des aciers corrodés
Défaut d’étanchéité du coffrage : Ségrégation Non-respect des dispositions constructives
Béton sensible à la dessiccation : Retrait Présences de quelques défauts naturels :
hydraulique - Soufflure :
Béton sensible à la dessiccation : Retrait - Fissure :
hydraulique - Crique :
Présence des sulfates dans les matériaux - Inclusion :
(agrégats) ou dans l’eau de gâchage Non-respect des nuances d’aciers
Emploi de l’eau pure : Risque de dissolution de la Défauts liés à l’armature de précontrainte :
chaux lors de la prise - Défaut d’ancrage
Emploi de l’eau acide : Risque de l’attaque de la - Gaine non étanche
chaux (Carbonatation) - Rupture des torons

2.4. Désordres d’origine intérieurs


Concernant ces types des désordres on désigne par « intérieur » les matériaux utilisés que ce soit pour
les éléments d’ossatures, les éléments de seconds œuvres et les équipements.

On peut classer les origines des désordres intérieurs comme suit :

- Mécaniques
- Physiques
- Chimiques
- biologiques

Généralement les désordres les plus préjudiciaux sont relatifs au béton armé.

Le tableau suivant illustre les différents désordres mentionnés ci-avant.

Désordres d’origine intérieurs


Mécaniques Physiques Chimiques Biologiques
Déformations Retrait et dilatation Corrosion Végétations
Fissures thermique Carbonatation Micro-organismes
Fluage Hygrométrie (humidité) Attaques sulfatiques vivants
Fatigue Gel-dégel Alcali réaction Termite
Chocs
Vibration

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CHAPITRE 3. Diagnostic des ouvrages en génie civil :
Les essais d’auscultations
3.1. Généralités :
Une fois l’examen visuel des désordres et la liste des causes établies, il s’agit ensuite de poser la
question : Pourquoi la structure est dégradée ?

On pense alors aux essais d’auscultation.

3.1.1. Essais non destructifs empiriques

Depuis longtemps, il est possible de mesurer les performances d’un ouvrage par des essais simples :

- Rebondissement d’un marteau : peut renseigner sur la compacité du béton

- Les rayures : faites à partir d’un instrument dur, elles peuvent donner une idée sur la dureté
des surfaces.

- La mesure de perméabilité : par immersion dans l’eau suivie d’une pesée donne une idée sur
la porosité.

3.1.2. Essais non destructifs instrumentés :

Des essais d’auscultation scientifiques sont développés dans les quarante dernières années, ils mettent
en œuvre les connaissances acquises sur :

- Les propriétés mécaniques et les caractéristiques de dureté : Essais sclérométrique.

- La mesure des vitesses du son : Auscultation dynamique

- L’absorption des rayonnements : Radiographie, gammagraphie.

- Les propriétés électromagnétiques : Pachomètre, profomètre.

3.1.3 Avantage des essais non destructifs :

Parmi les avantages des essais non destructifs, on peut distinguer :

- Ils conservent l’intégrité des matériaux

- Ils permettent de donner un premier jugement « in-situ »

- Ils limitent le nombre des essais par prélèvement

- Ils sont rapides

- Ils sont bien admis par les entreprises (facilité de contrôle)

3.1.4. Inconvénients des essais non destructifs

Parmi les inconvénients des essais non destructifs :

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- Il y a un risque d’erreur (>15%)

- Ils peuvent être légèrement destructeurs (rayures)

- Ils ne sont pas toujours suffisants pour établir un diagnostic

3.2. Essais non destructifs instrumentés


3.2.1. Dureté du béton : Scléromètre à chute de bille (Norme EN 12 504-2 [1])

a- Description

Le scléromètre est un appareil composé d’une masselotte chargée par un ressort qui se projette sur
une tige métallique en contact avec la surface des matériaux.

Il permet d’évaluer la dureté de la surface du béton

b- Principe de fonctionnement

Lorsqu’on projette une bille d’acier sur une surface plane, l’énergie d’impact est transformée en :

- Energie de choc

- Energie de rebondissement

La hauteur de rebondissement est en fonction de la nature de la résistance des matériaux.

c- Méthode d’essai :

Les étapes de réalisation de cet essai sont les suivantes :

- Choisir une surface propre et sèche, si la surface comporte de la laitance, on procède à un


ponçage.

- Tout film d’eau, en surface, doit être essuyé.

- La surface préparée sera d’environ 30x30 cm.

- Effectuer au moins les 25 lectures.

- Les lectures de l’énergie de rebondissement sont prises sur une échelle graduée appelée
échelle des indices sclérométriques.

- La résistance à la compression est déterminée à partir d’un abaque.

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3.2.2. Homogénéité du béton : mesure des vitesses du son

a- Description :

Le matériau est soumis à une impulsion ultra-sonique, l’appareillage est constitué d’un générateur
d’impulsion de deux transducteurs (émetteur et récepteur) et d’un dispositif de chronométrage. Ce
dernier permet de mesurer l’intervalle de temps qui s’écoule entre le départ et l’arrivée de l’impulsion.

b- Principe :

Le temps de transit et la puissance d’impulsion reçue varient avec la nature et la densité des matériaux
auscultés.

c- Fonctionnement :

Connaissant la distance entre l’émetteur et le récepteur et le temps mis par l’onde, on peut déterminer
la vitesse de propagation :

V = L/T L : distance entre émetteur-récepteur. T : temps de propagation. V : vitesse de propagation.

La vitesse de propagation d’un béton de bonne qualité est comprise entre 3500 et 4200 m/s.

Les mesures peuvent être faites de trois manières :

- Auscultation par transmission DIRECTE : émetteur et récepteur face à face.

- Auscultation semi-directe ou diagonale : émetteur et récepteur sont placé sur deux faces
perpendiculaires.

- Auscultation indirecte : émetteur et récepteur sont mis sur la même face.

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Auscultation sonique de béton
Recherche des hétérogénéités et des discontinuités dans les structures en béton, et mesure
Objectif
d’épaisseur de pièces en béton.
Le contrôle sonique par ultrasons consiste à générer à l’aide d’un émetteur piézoélectrique une onde
mécanique de compression dans la structure à ausculter, à recevoir à l’aide d’un récepteur l’onde
Principe
qui se propage dans tout l’élément et à analyser les paramètres physiques en différents point de la
structure (temps et amplitude).
Caractère
destructif de la Non destructif
méthode
Les fréquences de travail usuelles se situent entre 35 et 100 KHz. Un oscilloscope et un
microordinateur permettent de stocker les signaux et de faire une analyse en temps réel.

Matériel spécifique
employé Oscilloscope Microordinateur

Emetteur/récepteur d’ultrason Boitier électronique

-Tous type de structure en béton dont au moins 1 face est accessible.


-Contrôle qualité (résistance à la compression selon la formulation et l’âge des bétons)
Domaine -Expertise (recherche de désordres dans les structures : hétérogénéités telles que discontinuité,
d’application vides et microfissuration)
-Détermination des plans et profondeurs de dégradation lors de chocs thermiques (incendies, gel)
ou d’attaque chimique.

Méthode de reconnaissance fiable, non destructive, permettant d’obtenir les caractéristiques


Avantages physiques des matériaux, des profils de dégradation en profondeur, et d’établir une cartographie
qualitative et quantitative du milieu ausculté.
✓ Expérience de l’analyse et du traitement de signal pour l’interprétation des résultats.
Inconvénients ✓ Méthode fonctionnant très mal dans des bétons fortement ferraillés.
✓ Méthode ne permettant pas de mesurer des profondeurs de fissures.

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✓ Faible pour les interventions courantes de type contrôle qualité.
Coût ✓ Moyen pour les opérations de type expertise (selon niveau de risques) avec cartographie et
corrélation avec les modules et la résistance à la compression.

Gammagraphie – Radiographie – Radioscopie


Objectif Visualisation de la géométrie et des défauts internes d’une structure.

La radiographie est basée sur l’exposition d’un récepteur par un faisceau de rayonnement
x ou γ (gammagraphie) à travers un matériau. Le rayonnement est absorbé en fonction
de la nature et de la densité du matériau sur le récepteur. Les films argentiques utilisés à
l’origine comme récepteurs, sont actuellement remplacés par des écrans photo
stimulables permettant d’obtenir une image numérique qui peut ensuite être traitée pour
en tirer une meilleure information.
Principe

Caractère destructif
Non destructif
de la méthode
✓ Un conteneur de transport pour l’émetteur de rayonnement
✓ Des gaines souples pour le déplacement de l’émetteur jusqu’à sa position pour
Matériel spécifique
l’exposition
employé
✓ Un dispositif de commande à distance
✓ Des récepteurs pour l’enregistrement de l’image
Les structures de génie civil (ponts, bâtiments …)
Domaine d’application Détermination de la nature, position, forme et état des objets contenus dans le béton,
des hétérogénéités, des reprises, des fissures etc.
✓ Méthode permettant de visualiser l’intérieur des structures.
✓ Seule méthode éprouvée à ce jour pour la visualisation des vides dans les
Avantages conduits de précontrainte (méthode de référence)
✓ Visualisation directe sous forme d’image à une échelle légèrement supérieure à
1.
✓ L’oxydation des pièces métalliques n’est pas directement visible sauf en cas de
forte diminution d’épaisseur.
Inconvénients
✓ Les conditions de radioprotection peuvent être rédhibitoires pour l’utilisation de
la technique sur certains sites.
Coût Elevé

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Mesure de la profondeur d’enrobage et du diamètre des aciers
Localisation des armatures et détermination de leurs diamètres et de leur profondeur
Objectif
d’enrobage par méthode électromagnétique basse fréquence.

Le matériel mesure les courants induits (courants de Foucault) générés dans les armatures
par un champ magnétique variable dans le temps et créé par une ou plusieurs bobines
Principe électromagnétiques déplacées à la surface du béton.
Le signal mesuré augmente avec le diamètre des armatures en acier et diminue avec
l’épaisseur de recouvrement des aciers par le béton.

Caractère destructif
Non destructif
de la méthode

Matériel spécifique
employé

Craie et règle pour le traçage des armatures détectées sur le parement.

✓ Structures en béton armé (ouvrage d’art, bâtiments, etc)


Domaine d’application ✓ Structures en béton précontraint (conduits métalliques de précontrainte, fils
adhérents)
✓ Rapidité de détection (en temps réel)
Avantages ✓ Interprétation par imagerie de la position des armatures avec certains appareils
✓ Résultats fiables sur la localisation et la profondeur d’enrobage.
✓ Profondeurs limitée de détection des armatures
Inconvénients
✓ Difficultés d’évaluation précise des diamètres.
Coût Faible

3.3. Auscultation avec prélèvement (essais destructifs)

3.3.1. Mode de prélèvement

Pour les prélèvements on opère à l’aide d’un carottier.


Le carottage est réalisé par forage du béton durci de l’ouvrage, en opérant avec des couronnes
diamantées rotatives lancées à grande vitesse.
Cette opération doit être toujours conduite sous l’injection de l’eau, l’échauffement des couronnes et
du béton étant très rapide.

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3.3.2. Caractéristiques des carottes

Le diamètre intérieur des carottes à employer dépend de la dimension D du granulat (norme NFP
18.304) et doit être en général au moins égale à 3D.

Les diamètres des couronnes les plus utilisés sont de 70 mm et 100 mm.

Une fois la carotte extraite, on procède par sciage à l’aide d’une scie diamantée, l’éprouvette aura un
élancement égale à 2 : L= 2D.

Précautions :

- Il faut conserver la carotte, avant le transport au laboratoire, contre la dessiccation.

- Lors du transport, les carottes doivent être maintenues à l’abri des chocs.

3.3.3. Principaux essais effectués

a- Essais concernant les constituants du béton

On distingue deux familles d’essais :

- Essais sur les liants hydrauliques : Ce sont généralement des essais d’identification chimique
(teneur en sulfate, teneur en chlore…)

- Essais sur les granulats : Granulométrie, coefficient volumétrique, porosité, coefficient


d’absorption d’eau…

b- Essais de détermination des caractéristiques mécaniques

Ce sont les essais mécaniques courants tel que : l’essai de compression, l’essai de traction par flexion,
l’essai de traction par fendage.

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