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Contenu :
1 / .Introduction ................................................................................................................................................................2
2 / .Equations et schéma équivalent de la MAS en régime permanent (Modèle en régime
permanent)..................................................................................................................................................................2
2.1 Schéma équivalent.......................................................................................................... 2
2.2 Expressions du couple électromagnétique....................................................................... 3
2.3 Caractéristique électromécanique à tension et fréquence nominales .............................. 5
3 / .Techniques de variation de vitesse de la MAS ..........................................................................................6
3.1 Variation de la résistance rotorique................................................................................ 7
3.1.1 Contrôle statique de la résistance rotorique (ex)..........................................................................................8
3.1.2 Caractéristiques de cette technique ....................................................................................................................9
3.2 Récupération de l’énergie du rotor (Cascade hyposynchrone) ....................................... 9
3.3 Variation de la tension d’alimentation ......................................................................... 13
3.4 Variation de la fréquence d’alimentation...................................................................... 15
3.4.1 Association de la variation de la tension à la fréquence d’alimentation ........................................... 16
4 / .Références................................................................................................................................................................. 17
Commande Électrique II 2014/2015
1/. Introduction
-Comparée à la MCC, la MAS triphasée (notamment à cage) présente beaucoup d’avantage. On peut citer :
Sa construction est très simple,
Son prix est relativement bas (sans balais, sans aimants permanents, mettant en jeu des matériaux
standards [aluminium, cuivre, ... ] ),
Nécessite beaucoup moins d’entretien,
Très robuste
Sa puissance massique est élevée (moins encombrante),
Absence d’une source d’alimentation auxiliaire.
- Malgré tout ces avantages, elle a longtemps été destinée aux applications à vitesse constante. A cause de
la simple alimentation, il est difficile d’obtenir un découplage effectif des deux paramètres de commande
qui sont le flux et le couple. Une seule alimentation fourni à la fois les deux composantes du courant de
magnétisation et active (courant induit).
- Ce n’est qu’a partir des années 1970, que cette machine a pris une place importante dans les
entraînements à vitesse variable, grâce aux progrès réalisés dans la technologie des convertisseurs
statiques (puissance, fréquence, structure) et en informatique industrielle permettant d’implanter des
algorithmes de contrôle conduisant à des performances dynamiques importantes.
Si on veut représenter ces équations sous forme d’un schéma équivalent similaire à celui du transformateur, il
faut que les grandeurs rotoriques (secondaires) et statoriques (primaires) ont la même fréquence, pour cela , on
écrit l’équation de tension rotorique sous la forme suivante :
Rr
0 Ir js r (5)
g
Après des manipulations faites sur les équations précédentes (1, 3 à 5),
Vs Rs Is jsLs Iso (6)
Rr
0 Ir jsLs Iso js LrIr (7)
g
Avec Iso Is Ir
A partir des équations (6) et (7), on peut tracer le schéma équivalent d’une phase statorique avec
grandeurs rotoriques ramenées au stator et fuites magnétiques totalisées au rotor de la figure (1) :
Is Rs I r Lr
I so
Vs Vs Ls Rr
g
Fig. (1) : Schéma équivalent d’une phase de la MAS avec grandeurs rotoriques ramenées au
stator et fuites magnétiques totalisées au rotor
Avec :
- Rs : résistance d’une phase statorique - Ns : nombre de tours des enroulements stator
- Rr : résistance d’une phase rotorique - Nr : nombre de tours des enroulements rotor
- Ls : inductance cyclique statorique - Kbs : facteur de bobinage des enroulements stator
- Lr : inductance cyclique rotorique - Kbr : facteur de bobinage des enroulements rotor
- M sr : inductance mutuelle cyclique rotor/stator - s 2fs : pulsation des grandeurs statoriques
' 2
- R Rr m :
r résistance rotorique ramenée au stator. - fs : fréquence d’alimentation statorique
- L'r Lr m 2 : inductance rotorique ramenée au stator - r g.s 2fr : pulsation des grandeurs rotoriques
- m M sr / Ls N s Kbs / (N r Kbr ) :rapport de transformation - g s / s : glissement
- 1 M sr2 / (LsLr ) : Coefficient de dispersion - p : vitesse de rotation électrique du rotor
- I mIr :
r
'
courant rotorique ramené au stator - : vitesse de rotation mécanique du rotor
'
- Is0 Is I :
r Courant magnétisant - p: nombre de paires de pôles
La puissance électromagnétique représente la puissance transmise au rotor, c-à-d la puissance qui se dissipe dans
Rr'
la résistance ( ).
g
Rr' ' 2
Pem 3 Ir
g (8)
Cem s
Avec : Ir' est valeur efficace du courant rotorique ramené ' Ir' '
s s : est la vitesse mécanique de rotation du champ tournant
p
3 Rr'
Donc, on peut écrire : Cem Ir2 (9)
s / p g
- 1/. Pour déterminer Ir' , on remplace le circuit statorique par son équivalent de Thevenin :
Z th
Is Rs I r - I r
I so Rth X th
Vs Vth
Vs Ls
jXs jsLs
Soit : V th Vs Vs
Rs jXs Rs jsLs
jXsRs
Z th Rth jXth
Rs jXs
Avec :
Xs2Rs Rs2 Xs
Rth , Xth
Rs2 Xs2 Rs2 Xs2
V th
Donc le courant Ir' s’écrit : Ir'
(Rth Rr / g ) j (Xth sLr )
V th
En valeur efficace : Ir'
(Rth Rr / g ) 2 (Xth s Lr ) 2
Remplaçant l’expression du courant ' Ir' ' dans celle du couple (9), on trouve :
3p 2 Rr / g
Cem V th (10)
s (Rth Rr / g )2 (Xth s Lr )2
- 2 / . Pour des raisons de simplification, le courant magnétisant pour certaines machines est faible
relativement au courant " Ir' ", donc on peut approximer : Rs Is Rs I r' .
Ce procédé revient à négliger l’influence du courant magnétisant sur la chute de tension statorique.
I so
Vs Vs Ls Rr
g
3p 2 Rr / g
Cem Vs (11)
s (Rs Rr / g )2 (s Lr ) 2
- 3 / . En fonction du flux statorique : (En faisant apparaitre le valeur efficace du flux statorique)
Sans simplification et suivant le schéma équivalent de la figure (1), on a :
Vs V s
Ir' I r'
Rr / g jsLr (Rr / g ) (sLr ) 2
2
3p Rr / g
Le expression du couple : Cem Vs2 (12)
s (Rr / g ) 2 (s Lr ) 2
Vs
On a : Vs js s s
s
et r gs
Rr / g
L’expression du couple électromagnétique devient : Cem 3 p s2 s
(Rr / g ) 2 (s Lr )2
r Rr
Cem 3 p s2 (13)
(Rr ) 2 (r Lr ) 2
R
Cem 3 p m 2 s2 2 r r 2
Rr (r Lr )
3èmeZone
Cmax 1èreZone
frein par contre moteur
courant
-Ωs Ω 0 0 Ω Ωs
g 2 1 g max 0 -g max
-Ωs 0 Ωs Ω
Ω Ωs
-Cmax 2èmeZone
génératrice
Rr
En fonction des éléments de Thevenin, on trouve : gmax (15)
Rth2 (Xth sLr )2
3p V th2
et Cmax (16)
2s Rth Rth2 (Xth sLr ) 2
3p V s2
et Cmax (18)
2s Rs Rs2 (sLr )2
L’organigramme suivant présente les techniques classiques permettant d’agir sur la vitesse de rotation d’après les
équations (19) et (20).
Vitesse de rotation
s g
s
g
g m ax 2 g m ax 1 gmax n 0
3p Vs2
et C max
2s Rs Rs2 (sLr ) 2
a. Le couple max est indépendant de " Rr ", la machine développe son " C max " quelque soit la
résistance " Rreq "
b. Le glissement max augmente avec l’augmentation de " Rr ".
Le couple de démarrage augmente avec la résistance rotorique.
La vitesse varie peu autour du point de synchronisme (à vide)
Pour avoir une variation continue de la vitesse de rotation (par exemple : démarrage linéaire) et réaliser le
réglage de la vitesse de rotation en BF, il faut associer les convertisseurs statiques
ir
MAS Ld
Ω Id
A 2π/3
Capteur
Id
ir
Rext T ' ' 2π
rapport -Id
cyclique
B
forme du courant ir ( t )
Id
Ω
I d* *
Vcom
- -
*
Ω Circuit
de commande
Reg. de vitesse Reg. de courant
- Si les ondulations (harmoniques) du courant continu ‘ I d ’ sont négligeables (courant lisse), la valeur efficace du
courant rotorique est : Ir 2 / 3 Id .
- La résistance apparente entre les deux points ‘A’ et ‘B’ en fonction de la commutation de l’interrupteur ‘T’ :
RAB (1 )Rext
- La puissance dissipée dans la résistance RAB : PAB RAB I d2
PAB 1
- Si les convertisseurs sont idéaux, la puissance dissipée par phase rotorique : Pp / r (1 )Rext Ir2
3 2
1
- D’après cette équation, la résistance rotorique est augmentée par : (1 )Rext .
2
1
- Donc la résistance totale du circuit rotorique / phase : Rreq Rr (1 )Rext (21)
2
1
qui varie entre Rr et Rr Rext quand varie entre 0 et 1.
2
o Une autre solution : utilise une gradateur sur la sortie du rotor ou un redresseur commandé (Fig.6) :
Rext Id
R Rext R
S MAS S MAS Rext
T Rext T
Ω Ω
Capteur *
Vcom ( 0 ) Circuit Capteur *
Vcom ( 0 ) Circuit
de commande
de commande
(a ) (b)
Le rendement : Pm / Pa 1 g .
Pour diminuer la vitesse, c'est-à-dire accroître le glissement, on est amené à gaspiller de l’énergie à
l’extérieur du rotor, dans un rhéostat de réglage
- ce procédé est limité que pour les moteurs à bagues(à rotor bobiné).
Pr gPa Convertisseur
de fréquence
- Il est clair qu’on peut agir sur le glissement (sur la vitesse) par action sur la puissance du rotor ‘ Pr ’ (par variation
de la tension ‘ Vr ’)
- Pour renvoyer la puissance active ‘ Pr ’ vers le réseau et avoir un fonctionnemnt en cascade hyposynchrone, on
utilise les composants suivants :
Un redresseur à diodes
Une inductance de lissage
Un onduleur non autonome à thyristors
Un transformateur pour adapter la tension
- Souvent la vitesse est réglable de 50% à 100% de la vitesse nominale.
Réseau 3
" Vs , fs " Pa " Vs , fs "
rapport
MAS transf rapport
" m " Transformateur transf
Ω " mT "
Pmec (1 g )Pa
I d ( Ld , Rd )
Pr
" Vr , fr " Ud
ir "Vsconv , fs "
U d
Int_2 " 0 "
Analyse du fonctionnement :
Pour des raison de simplification, on suppose que les pertes dans la machine et dans les convertisseurs sont
négligeables.
1. Machine asynchrone : m
Vs Vr
A l’arrêt :
V r m V s , fr fs MAS
2. Redresseur à diodes :
3 3
- La tension moyenne à la sortie du redresseur : Ud Vr 2
3 6
Ud g m V s (22)
- L’inductance ‘ Ld ’ permet de réduire les ondulations du courant ‘ Id ’.
- Si le courant est parfaitement lissé, la valeur efficace du courant rotorique est : I r 2 / 3 Id
3. Onduleur non-autonome :
3 6
- Le montage redresseur produit une tension moyenne : U d mT Vs cos 0 (23)
Le glissement est donc fonction de l’angle d’amorçage de l’onduleur non-autonome variant entre / 2 et .
Pour des raisons de sécurité (protection contre le court-circuit : inversion de ud pour des angles d’amorçage
0
proche de 180°), l’anle est limité entre : ( 90 0 150 ).
2 6
Le choix du rapport de transformation ‘ mT ’ est guidé, pour un moteur donné, par la plage de variation de vitesse
désirée de N s à (1 gmax )N s .
Si on néglige les pertes dans le rotor et le redresseur, le principe de convertisation de la puissance conduit à :
Pr g Pa g Pem U d Id
3 6 3 6 p
Donc g Cem s g m V s I d Cem m V s I d (25)
s
Le couple est l’image du courant ‘ Id ’, donc la variation d el’angle d’amorçage modifie ‘ U d ’ ( U d ) et par
la suite la vitesse de rotation.
mT
La vitesse de rotation est donnée par : (1 g ) s s (1 cos 0 ) indépendante de la charge
m
(du couple ). En réalité, ces vitesses correspondent à un fonctionnement à vide à courant faible (voir Fig.8).
Cem
0
4 3 2 1 s
0
130 120
110 100 90
Fig.(8). : Caractéristiques électromagnétiques de la cascade hyposynchrone avec
variation de l’angle d’amorçage et supposition des pertes négligeables
U d U d 3 6
Donc : Id et U d mT Vs cos 0 R Id (26)
R
La puissance du rotor : Pr g Cem s U d Id (27)
3 6 3 6
On pose : K mT Vs et K1 m V s
Donc U d K cos 0 et U d g K1 (28)
Si on remplace (Fa) et (Fc) dans (Fb), on obtient :
K cos 0 g K p K1
g Cem s g K1 Cem (K cos 0 g K1 ) (29)
R s R
D’après cette expression et pour des valeurs de ‘ 0 ’ constantes : Cem g . Les caractéristiques Cem f ( g )
pour des valeurs différentes de ‘ 0 ’ peuvent être représentées par droites sensiblement parallèles (Fig.9).
Cem
130 120 110 100 90
0
4 3 2 1 s
Fig.(9) : caractéristiques électromagnétiques de la cascade hyposynchrone avec
variation de l’angle d’amorçage et supposition des pertes non-négligeables
La puissance consommée est moindre donc un rendement élevé (de l’ordre de 90° à 95°).
Permet le réglage de vitesse même à faible charge.
L’inconvénient de cette technique est la facteur de puissance le plus faible et l’équipement lui-même est
couteux.
Ce qui limite sont utilisation pour des puissances inférieure à 01 MW.
La présence des bagues nécessite un entretien fréquent.
Elle est utilisée pour les fortes puissances dans l’entraînement des machines centrifuges (pompes, ventilateurs,
compresseurs,..) et des plages de vitesse de 50% à 100% de la vitesse nominale.
Cem
Avec :
V sn
V sn V s1 V s 2 V s 3 ...
C r k 2
V s1
C m ax n
Vs2
C m ax 1
Cr k
V s3
C m ax 2
s
g
1 g m ax 0
Fig.(10) : Caractéristiques électromagnétique de la MAS pour différentes valeurs de Rr
Le couple max décroit avec la tension d’alimentation ( Vs → Cmax ), ce qui limite le fonctionnement .
Le glissement max est indépendant de la tension (ce qui limite aussi la variation de vitesse).
Le couple de démarrage diminue avec la tension d’alimentation ‘ Vs ’.
Gradateur
L1
L2 MAS
L3
Capteur
Circuit Ω
de commande
*
Vcom ( 0 )
Reg. de
courant
Ω* Is* Is
-
-
Ω Reg. de vitesse
Avantages :
- Son domaine d’application est limité. Elle est utilisée surtout pour la variation de vitesse des
charges à couple proportionnel au carré de la vitesse ‘ Cr k N 2 ’ comme l’entraînement des
pompes, ventilateurs .....
- Utilisée pour les moteurs à cage et à rotor bobiné.
- Utilisée au démarrage des moteurs
- Les gradateurs sont des montages qui ont l’avantage de simplicité.
Inconvénients :
- Le gradateurs est un puissant générateur d’harmonique, les courant harmoniques diminuent encore
les performances du moteur et perturbent le réseau d’alimentation.
- Faible variation de vitesse à vide ou la vitesse est proche du synchronisme.
- Cette technique simple présente l’inconvénient de limiter fortement le fonctionnement surtout pour
les charges à couple constant qui peut décrocher du fait de la forte diminution du couple avec la
tension.
- Augmentation du glissement, c’est l’augmentation des pertes dissipées au rotor et donc diminution
du rendement ( 1 g : g ).
Remarque importante :
Unité de commande
Capteur
Vs*
ω *s
fs1
fsn
fs1
fs2
0
s 2 s1 sn s1 s2
1ère Zone :
V sn
Si la fréquence fs ( fs fsn ) à Vs Vsn donc s augmente : s sn
fsn
Se qui conduit à l’augmentation du flux au-delà de sa valeur nominale et par la suite la saturation du circuit
magnétique de la machine et l’augmentation du courant (courant magnétisant) (déformation des courants,
harmoniques, pertes) et l’échauffement excessif.
Donc c’est fonctionnement indésirable.
Dans cette zone, le couple max augmente.
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Commande Classique de la Machine Asynchrone Commande Électrique II 2014/2015
2ème Zone :
Vsn
Si la fréquence fs ( fs fsn ) à Vs Vsn donc s diminue : et devient s sn
fsn
Dans cette zone, le couple max diminue.
La variation de la fréquence doit être associée avec la variation de la tension d’alimentation suivant le
Vs V
rapport tension / fréquence constant : s s max sn (avec Vs Rs Is )
s 2 fs
pour maintenir la flux constant (avec la supposition que Rs Is négligeable devant Vs ).
Vsn
Généralement, on prend : s sn .
sn
C max
fs 3 fs 2 fs1 fsn
fs 4
fs 5
fs 6
s6 s5 s4 s3 s2 s1 sn
On constate que :
- Le couple max que peut développer la machine sera approximativement maintenu constant,
- A l’exception pour les basses vitesses (correpondant à ‘ s ’ faible, donc ‘ Vs ’ faible) ou le couple
diminue à cause de la diminution du flux.
La fréquence s’approche de zéro, donc la tension Vs ks est absorbée par la chute de tension
‘ Rs Is ’ ou la chute ‘ Rs Is ’ n’est plus négligeable devant ‘ Vs ’.
Vs ks Rs Is
Rs I s 0
s
Vs ks V0
V0 s
Si le flux est maintenu constant, le couple et le courant sont indépendants de ‘ s ’ et dépendant seulement de
‘ r g s ’ suivant l’expression du couple pour les faibles glissemnt, c-à-d :
3 pm 2
Cem s2 r
Rr
Ke r
Cette zone est appelée zone à flux constant (couple constant, tension variable).
Au-delà de la fréquence nominale ‘ fs fsn ’, le flux n’est plus maintenu constant car on n’est limité en
tension ( Vs Vsn ). Dans cette zone appelée zone de fonctionnement par affaiblissemnt de champ (en
sousexcitation, défluxage) :
- La tension d’alimentation est maintenue à sa valeur nominale
- Le couple max diminue avec l’augmentation de la vitesse de rotation
(de la fréquence d’alimentation).
4 / . Références
[1] Gay Séguier, " Introduction à l’électrotechnique approfondie". (Tec&Doc).
[2] Jean Bonal, "Entraînements électriques à vitesse variable", Lavoisier Tec&Doc, 1997.
[3] J.-P.Caron, J.-P.Hautier, "Modélisation et commande de la machine asynchrone", , Technip, Paris’1995.
[4] Guy Grellet , Guy Clerc , "Actionneurs électriques, , Principes, Modèles, Commandes", Eyrolles , 2000
[5] Bernard de Fornel, " Machines asynchrones - Alimentation et caractéristiques", Techniques de l’ingénieur,
Référence D3 620 , août 2004.
[6] Bernard de Fornel, "Alimentation des machines asynchrones", Techniques de l’ingénieur, Référence
D3620 , juin 1990.