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LISBOA
2009
ii
AGNÈS ANNE FRANÇOISE LE GAC ARINTO
sous la direction de
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Nº Arquivo
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vi
TABLE DES FIGURES
PREMIÈRE PARTIE
vii
Figure I-2.22 Nef et abside de la Sé Velha en 1892. 25
Figure I-2.23 Détail du retable majeur de la Sé Velha en 1892. 26
Figure I-2.24 Signalisation d’éléments manquants dans le retable majeur en 1892 : nombreux 27
éléments filiformes de la structure portante et de la figuration (anges de
l’Assomption et armoiries de l’évêque D. Jorge de Almeida sous les pieds de la
Vierge).
Figure I-2.25 Nef et vue partielle de l’abside (côté de l’Epître) de la Sé Velha, en 1893. 28
Figure I-2.26 Détail de la « talha » baroque de l’abside de la Sé Velha, en 1893. 29
Figure I-2.27 Retable majeur de la Sé Velha, en 1918. 30
Figure I-2.28 Retable majeur de la Sé Velha, en 1948. 31
Figure I-2.29 Retable majeur de la Sé Velha, en 1957. 32
Figure I-2.30 Détail du retable majeur de la Sé Velha, vers 1957, sans le tabernacle. 33
Figure I-2.31 Retable majeur de la Sé Velha, en 1962. 34
Figure I-2.32 Retable majeur de la Sé Velha, en 1988. 35
Figure I-2.33 Retable majeur de la Sé Velha, en 1997. 36
Figure I-2.34 Statuettes données comme provenant du retable majeur de la Sé Velha, et 37
appartenant au fonds de collection du Museu Nacional Machado de Castro de
Coimbra.
Figure I-2.35 Détail du Grand Retable de la cathédrale de Tolède (1498-1504). 37
Figure I-2.36 Retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500). 38
Figure I-2.37 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500), où le groupe sculpté 39
de la Pietà, situé au centre du premier registre, contient une figuration nombreuse
avec saint Jean et les trois saintes femmes (Marie Madeleine, Marie de Cléophas, et
Marie, mère de Jacques et Jean).
Figure I-2.38 Retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524). 40
Figure I-2.39 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524), où le groupe de 41
l’Assomption contient huit anges disposés par paires, ainsi que le donateur qui
assiste à la montée aux cieux de la Vierge.
Figure I-3.01 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). a) Image 42
générale de l’enduit triple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de la première
passe (couche 1a) de cet enduit triple.
Figure I-3.02 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 43
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ;
b) diffractogramme de cette même passe dans la zone où elle présente une particule
noire de grande dimension.
Figure I-3.03 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 44
Deux diffractogrammes de la troisième passe (couche 1c) de l’enduit triple.
Figure I-3.04 Apprêts gothiques du retable dans l’espace de l’Assomption (échantillon R-Bl). a) 45
diffractogramme de la première passe (couche 1a) de l’enduit double; b)
diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de cet enduit.
Figure I-3.05 Apprêts gothiques de la niche de Saint Paul (échantillon 9-Br). a) Image de l’enduit 46
simple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de cet enduit.
Figure I-3.06 Apprêts gothiques sous les carnations d’un soldat de la Résurrection (éch. 4-Sb1). 47
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ; b)
diffractogramme de la troisième passe (couche 1c) de cet enduit.
Figure I-3.07 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur la 48
structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les spectres obtenus et leur
respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.08 Etude semi quantitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur 49
la structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les résultats obtenus indiquent
que l’alliage d’or ne comporte ni argent (Ag), ni cuivre (Cu). Il est pur.
Figure I-3.09 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur un 50
brocart appliqué de la niche de St Paul (échant. 9-Br2). Les deux spectres obtenus et
leur respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.10 Études qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de l’argenture originale 51
appliquée en 1502 sur le fond de l’édicule de la Vierge de l’Assomption
(échantillon R-Bl) – L’analyse indique que l’argent est pur.
Figure I-3.11 Aspect actuel des vêtements de saint Paul, présentant peut-être une certaine parité 52
avec l’aspect plus ancien de « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-3.12 Aspect actuel des chausses de saint Damien, rappelant fortement l’aspect plus 53
ancien de « brocarts-appliqués isolés » sur glacis coloré.
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Figure I-3.13 Ange de la Charola du Convento de Cristo, à Tomar. Polychromie gothique 54
originale (vers 1515) portant des « brocarts appliqués isolés ».
Figure I-3.14 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 55
appliqués. Etat de conservation en 1976.
Figure I-3.15 Les brocarts-appliqués qui ornaient les pans latéraux de la niche de saint Luc ont été 56
recouverts par une nouvelle polychromie en 1685. Ils ne sont décelables qu’en
lumière rasante.
Figure I-3.16 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 57
appliqués. Etat de conservation en 2004.
Figure I-3.17 Fragments de plaques de brocart-appliqué juxtaposées, dont la coupe et 58
l’orientation aléatoires ne permettent pas d’avoir une bonne lecture du patron textile
imité, même si certaines parties ont conservé des rehauts à la laque rouge qui
doivent mieux définir le motif.
Figure I-3.18 La plaque de brocart-appliqué la plus grande, située à la verticale dans l’angle 59
supérieur gauche de la niche de saint Luc, mesure 17,1 x 11 cm.
Figure I-3.19 Détails des brocarts-appliqués dont les lignes en relief correspondent à celles 60
d’abord gravées (donc en creux) dans la matrice. On compte 11-12 lignes/cm2.
Figure I-3.20 a) Dessin des motifs du brocart-appliqué, autrefois rehaussé de laque rouge ; b) 61
Superposition du décalque du motif supérieur dextre (en rouge) sur le motif
supérieur sénestre (en noir). Les dessins ne coïncident pas totalement.
Figure I-3.21 Tissu de brocart formant un baldaquin dans une peinture de Jérôme Bosch (c. 1470- 62
1485).
Figure I-3.22 Tissu de brocart dans une peinture du Maître de la Vie de Sainte Lucie (actif en 63
1480).
Figure I-3.23 Tissu de brocart dans une peinture de Gérard David (c. 1506). 64
Figure I-3.24 Tissu de brocart dans une peinture de Paul Véronèse (1562). 65
Figure I-3.25 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 66
de la niche de saint Luc (échant. 2-Br2), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.26 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 67
de la niche de saint Luc (échantillon 2-Fundo Nicho), obtenus par THM-GC/MS.
La pâte est à base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.27 Diffractogramme de la couche jaune orangée à l’huile, servant à fixer un brocart- 68
appliqué sur le fond de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br1).
Figure I-3.28 Etude au MEB-EDS de la pâte d’un brocart-appliqué fixé sur la niche de saint Paul 69
(échantillon 9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui indiquent nettement
l’emploi de pigments à base de plomb (minium orange et blanc de plomb), à base
de fer (ocre jaune), et à base de calcium (craie pour céruse ?). Ces pigments servent
de charge et peut-être de siccatifs.
Figure I-3.29 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 70
de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire. Elle contient vraisemblablement un peu d’huile, impossible à
identifiée.
Figure I-3.30 Etude au MEB-EDS de la feuille d’étain qui a permis de faire un brocart-appliqué 71
de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon 9-Br2). Le spectre indique nettement
l’emploi d’étain pur, la composition élémentaire n’accusant que Sn.
Figure I-3.31 Etude au MEB-EDS de la couche d’or de couleur ayant permis l’application de 72
feuille d’or sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon
9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de siccatifs à
base de plomb (litharge ?) et aussi de cuivre (vert-de-gris ?), dans cette technique de
dorure grasse et mate.
Figure I-3.32 Etude au MEB (images BSE et SE) et MEB-EDS de la laque colorée qui recouvre 73
la feuille d’or, sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502
(échantillon 9-Br2). La composition élémentaire accuse nettement le cuivre (Cu),
qui fait supposer l’emploi de résinate de cuivre et donc d’une laque verte.
Figure I-4.01 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1583 (échantillon R-O1). Approche 74
semi-quantitative, qui indique que l’alliage d’or est pur.
Figure I-4.02 Examens aux MO et MEB des différentes couches composant le fond bleu d’un 75
fenestrage (échantillon R-B3), en particulier du bleu de smalt appliqué en 1583.
L’analyse ponctuelle au MEB-EDS reflète bien l’emploi d’un verre (Si) potassique
(K) coloré au cobalt (Co) et contenant des impuretés, dont des traces de nickel (Ni).
ix
Figure I-5.01 Retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Détail des niches du troisième registre 76
et des quatre saints patrons qu’elles abrîtent.
Figure I-5.02 Détail des niches vides qui abritent les quatre saints patrons du retable majeur de la 77
Sé Velha. Contrairement aux panneaux latéraux qui présentent l’imitation d’un tissu
de brocart, peint en deux tons de rose à l’époque baroque, le panneau central du
fond de ces niches ne porte pas de polychromie. Nous pensons y voir les marques
d’un grattage des couches anciennes, qui ont laissé des vestiges de préparation
blanche dans les fibres du bois. Ces panneaux ne sont pas visibles lorsque les
sculptures y sont adossées.
Figure I-5.03 Détail de la niche vide de saint Paul, au troisième registre du retable de la Sé Velha. 78
Les couches anciennes semblent avoir été grattées sur le panneau central du fond. Il
est possible que cette intervention ait eu lieu en 1685, pour répondre à l’une des
clauses du contrat de polychromie qui prévoyait de « laver le retable jusqu’au
bois ».
Figure I-5.04 Détail de la niche vide qui abrîte le groupe sculpté de saint Matthieu, au premier 79
registre du retable de la Sé Velha. Le double panneau central du fond de cette niche
ne porte pas de polychromie et a nécessairement fait l’objet d’un grattage des
couches anciennes, dont les « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-5.05 Détail des revers des quatre saints patrons du retable de la Sé Velha. Les marques 80
d’outils, de gouge (St Paul et St Côme) ou d’herminette (St Pierre et St Damien),
montrent le travail bien différencié de l’évidement des pièces, que l’on doit très
certainement à deux sculpteurs.
Figure I-5.06 Détail de quatre anges de la voûte. Il apparaît clairement que les deux anges portant 81
des instruments de la Passion du Christ – celui portant la couronne d’épine (Nº 220,
en bas à gauche) et celui portant la lance de la Crucifixion (Nº 187, en bas à droite)
–, sont de la main d’un autre sculpteur que les deux autres dont les attributs ont été
perdus (Nº 183 et 189, en haut). Il nous semble que ces derniers sont d’origine, ou
en tout cas qu’ils sont plus anciens. La taille des volumes et des plis est à la fois
plus complexe et plus raffinée. Les aspects morphologiques des visages semblent
traités avec plus de soins.
Figure I-8.01 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Luc, sculpté vers 1500 pour le 82
retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. La facture des personnages, autant que
l’essence de bois employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.02 Face et revers du groupe de la Résurrection, sculpté vers 1500 pour le retable 83
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.03 Face et revers de la Nativité sculptée en 1899 lors de la restauration du retable 84
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.04 Face et revers de l’Evangéliste saint Marc sculpté en 1899 lors de la restauration du 85
retable de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.05 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Jean, restauré en 1899 lors de 86
l’intervention sur le du retable de la Sé Velha. La facture de l’aigle, autant que
l’essence de bois employée (châtaignier) indiquent que cet attribut a été refait.
Figure I-8.06 L’Assomption dans le retable majeur de la Sé Velha. Sur l’ensemble des Anges qui 87
entourent la Vierge, deux seulement (vêtus de rouge) sont originaux. Les autres
datent de 1899.
Figure I-8.07 Détails de deux Anges de l’Assomption de la Vierge, dans le retable majeur de la 88
Sé Velha. Leurs formes autant que leurs polychromies révèlent les goûts de deux
époques différentes. Le premier (Nº 12-A1), dont l’expression est gothique, porte le
sgraffito caractéristique de la repolychromie appliquée en 1685. Le second (Nº 12-
A3), de facture beaucoup plus récente, porte les effets de dorure et de couleur
propres à la restauration de 1900.
Figure I-8.08 Détails de différentes interventions effectuées en 1899-1900, sur le retable majeur 89
de la Sé Velha de Coimbra, au niveau des éléments sculptés du mobilier : fixation
de décoration architectonique à l’aide de vis et application d’une nouvelle dorure
sur mixtion, sur une étoile d’un fenestrage. La mixtion jaune clair déborde sur le
fond bleu.
x
Figure I-8.09 Diffractogramme des apprêts appliqués sur la Vierge de la Nativité, en 1900. 90
Figure I-8.10 Diffractogramme de la mixtion jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de 90
dorure à l’huile, sur une étoile de la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.11 Etude au MEB (image en mode électrons retro-diffusés) et MEB-EDS de la mixtion 91
jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de dorure à l’huile sur une étoile de
la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.12 Spectres EDS de la dorure (restauration) appliquée en 1900, sur la Vierge du groupe 92
de la Nativité (échantillon 3-V3). Analyses ponctuelles qui démontrent que l’alliage
d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.13 Étude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur la 93
Vierge de la Nativité (échantillon 3-V3). L’alliage d’or contient de l’argent et du
cuivre.
Figure I-8.14 Spectres EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une étoile du retable (zone 94
supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les résultats obtenus montrent
que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.15 Etude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une 95
étoile du retable (zone supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les
analyses ponctuelles montrent que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.16 Spectre infrarouge (FTIR) de la couche bleue appliquée en surface, en 1900, sur le 96
fond de la niche de saint Luc (échantillon 2-Br2 couche 9). L’analyse donne les pics
caractéristiques du bleu de Prusse, du blanc de plomb et du liant huileux.
Figure I-8.17 Diffractogramme de la couche au bleu de Prusse recouvrant, en 1900, un des fonds 96
de la structure portante du retable (échantillon R-B3).
Figure I-8.18 Etude qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de la couche au bleu de Prusse 97
appliquée, en 1900, sur un des fonds de la structure portante du retable (échantillon
R-Bl).
Figure I-8.19 Groupe de l’Evangéliste saint Matthieu, à la prédelle du retable majeur de la Sé 98
Velha. Détail de la retouche faite sur le manteau de saint Matthieu, en 1902.
Figure I-9.01 Première Corps du retable majeur de la Sé Velha où figure l’Assomption. Etat 99
d’empoussièrement en 1975.
Figure I-9.02 Anapaula Abrantes examinant l’un des groupes de la prédelle, lors du constat d’état 99
du retable, en 1975.
Figure I-9.03 Dépoussiérage du retable à sec, à l’aide de brosses et d’aspirateurs, en 1976. 100
Opération conduite ici par José Torrado (en haut) et Herménio Fontes.
Figure I-9.04 Luísa Santos et Anapaula Abrantes procédant à la fixation de la polychromie du 101
groupe de saint Matthieu, en 1976.
Figure I-9.05 Enlèvement des excès de cire-résine sur un des groupes de la prédelle, après 102
fixation de la polychromie en 1976.
Figure I-9.06 Aspect du retable majeur après l’intervention de conservation (nettoyage et fixation 103
de la polychromie), en 1976.
Figure I-9.07 Préparation de la « cire-résine » devant servir à la fixation des couches picturales, 104
telle que cet adhésif était préparé au Département des Sculptures polychromes de
l’Instituto de José de Figueiredo, par Anapaula Abrantes, à partir des années 70.
Photocopie du premier feuillet de la recette retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I.9.08 Préparation de la « cire-résine » (suite). Photocopie du second feuillet de la recette 105
retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I-9.09 Cire-résine de 1976 (ligne rouge) présente sur l’échantillon 9-4 et mélange 106
référence de cire-résine de 1997 (ligne bleue) en spectroscopie infrarouge.
Figure I-9.10 Echant. 2-L3 – (Tunique St. Luc) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 106
microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
Figure I-9.11 Echant. 10-6 – (Manteau de St. Damien) Couche superficielle d’un fleuron 107
quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-
résine de 1976.
Figure I-9.12 Echant. 8-9 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un galon lacunaire de 107
l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine
de 1976.
Figure I-9.13 Echant. 9-2 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 107
microscopie optique et en spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
xi
SECONDE PARTIE
Figure II-1.01 Stratification des différentes couches appliquées sur la structure portante en 1685, 111
pour obtenir les principaux effets artistiques recherchés : 1) encollage du support en
chêne ; 2a) première couche de l’enduit double au plâtre ; 2b) seconde couche de
l’enduit double au plâtre ; 3) assiette à dorer ou bol ; 4) dorure brunie ; 5) couche
bleu des fenestrage, correspondant ici à l’application de bleu de Prusse, en 1900.
Figure II-2.01 Séchage des cuirs mégis (peaux de gants) après le dernier bain de tannage à l’alun. 112
Les substances tannantes et l’ « habillage » (jaune d’œuf et farine) se concentrent
dans les pattes qui seront rognées et dont on fait la colle.
Figure II-2.02 patte de peau de mouton rognée après tannage de la peau (à l’alun) 112
Figure II-2.03 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun 113
Figure II-2.04 Etude au MEB et imagerie en mode électrons rétrodiffusés d’une peau de gants 114
observée côté fleur et côté chair. Des globules de farine se trouvent à l’état libre,
particulièrement nombreux dans la structure fibrillaire de la peau.
Figure II-2.05 Préparation de colle de peau de gants à partir de rognures coupées en lanières. (a/b) 115
Cuisson à 100 ºC jusqu’à dissolution et réduction du liquide à un tiers. (c/d) Filtrage
de la colle. (e) Refroidissement et découpage en tranches minces. (f) Séchage des
plaques sur treillis.
Figure II-2.06 Image en mode «Electrons Secondaires» d’une goutte de colle de peau de gants. 116
Les particules blanches disséminées correspondent à de l’Alumine qui subsiste dans
la substance organique. Grossissement x200 / Barre d’échelle 100µm.
Figure II-2.07 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun et d’un échantillon 117
de parchemin (sans alun).
Figure II-2.08 Spectre dans l’Infrarouge de la colle de peau de gants (Spectra-Tech IRµS - Colle 117
sèche broyée avec KBr – 128 balayages– 4000-600 cm-1 – résolution= 4 cm-1).
Figure II-3.01 Apprêts baroques de la dorure brunie de la structure portante du retable (échantillon 118
R-O 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 6a) de l’enduit double ;
b) diffractogramme de la seconde passe (cam 6b) de cet enduit.
Figure II-3.02 Apprêts baroques de la couleur bleue dans l’espace de la Vierge, à l’extrémité du 119
rayonnement (échantillon R-B1). a) diffractogramme de l’enduit simple (cam 5).
Figure II-3.03 Apprêts baroques des camations de saint Paul (échantillon 9-1). a) diffractogramme 120
de la premiére passe (cam 1a) de l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde
passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.04 Apprêts baroques du Socle de saint Côme (échantillon 7-2). a) diffractogramme de 121
la premiére passe (cam 1a) de l’enduit simple ou double( ?) ; b) diffractogramme de
la seconde passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.05 Apprêts baroques des Carnations du soldat de dextre assis au sol dans le groupe de 122
la Résurrection (éch. 4-Sb 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 5a) de
l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde passe (cam 5b) de cet enduit.
Figure II-4.1a Macrophotographie d’une lacune dans la dorure de la structure portante du retable, 123
qui permet de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.1b Photographie d’une lacune dans la dorure du manteau de saint Matthieu, qui permet 124
de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.02 Etude du bol orangé (assiette) au MEB-EDS sur les cheveux de saint Côme / groupe 125
7 du troisième registre (échantillon 7-3) – Spectre de la composition élémentaire et
analyse semi-quantitative.
Figure II-4.03 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 126
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.04 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 127
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.05 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 128
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
xii
Figure II-4.06 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 129
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.07 Etude du bol au MEB-EDS sur le manteau du Christ / groupe 4 de la prédelle 130
(échantillon 4-C3) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.08 Etude du bol au MEB-EDS sur le tombeau du Christ / groupe 4 de la prédelle 131
(échantillon 4-C6) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.09 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations du soldat assis à dextre / groupe 4 de 132
la prédelle (échantillon 4-Sb1/B) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.10 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations de saint Matthieu / groupe 1 de la 133
prédelle (échantillon 1-M1) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.11 Étude par DRX du bol sous les cheveux de saint Matthieu (échant. 1-M2). 134
Figure II-4.12 Étude par DRX du bol sous les carnations de saint Paul (échantillon 9-1). 135
Figure II-4.13 Étude par DRX du bol sous la tunique de saint Pierre (échantillon 8-6). 136
Figure II-4.14 Étude par DRX du bol et des particules foncées de l’échantillon précédent. 137
Figure II-4.15 Étude par DRX de grains noirs dans le bol appliqué sur saint Pierre (8-6). 138
Figure II-4.16 Étude par DRX du bol sous le manteau du Christ Ressuscité (échant. 4-C3). 139
Figure II-5.01 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 140
portante du retable (échantillon R-O1). Analyses ponctuelles et qualitatives, dont
les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient des
traces infimes de cuivre.
Figure II-5.02 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 141
portante du retable (échantillon R-O1). Réalisation de plusieurs analyses
ponctuelles dont l’approche semi-quantitative tendrait à indiquer que l’alliage d’or
est pur ou qu’il contient des traces infimes de cuivre.
Figure II-5.03 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur une étoile du 142
Premier Corps du retable (échantillon R-E1). Analyses ponctuelles et qualitatives,
dont les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or contient des traces
d’argent, voire des traces de cuivre.
Figure II-5.04 Étude au MEB-EDS de la dorure de l’étoile du Premier Corps (éch. R-E1). 143
Approche semi-quantitative qui indique que l’alliage d’or contient des traces
d’argent et/ou de cuivre.
Figure II-5.05 Étude au MEB-EDS de la feuille d’or appliquée, en 1685, sur le socle de la statue 144
de saint Côme (échantillon 7-2). Analyses semi-quantitatives qui tendraient à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.06 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 145
saint Côme (échantillon 7-4). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.07 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 146
saint Côme (échantillon 7-5). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.08 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 147
de saint Côme (échantillon 7-7). L’analyse semi-quantitative tendrait à indiquer que
l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.09 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 148
saint Pierre (éch. 8-6). L’alliage d’or est pur ou contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.10 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le socle de la statue de 149
saint Paul (échantillon 9-5). Les deux analyses indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.11 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 150
saint Pierre. (échantillon 8-10a). Approche semi-quantitative qui tendrait à indiquer
que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.12 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 151
de saint Pierre (échantillon 8-10b). Les analyses semi-quantitatives indiquent que
l’alliage d’or contient un peu de cuivre.
Figure II-5.13 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statue de 152
saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
xiii
Figure II-5.14 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 153
de saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur ou qu’il contient quelques traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.15 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le socle de la statuette de 154
saint Matthieu (échantillon 1-M6). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.16 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la tunique de la statuette 155
de saint Luc – (échantillon 2-L2). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.17 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 156
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.18 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur un ornement de la statuette 157
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur.
Figure II-5.19 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 158
du Christ Ressuscité (échantillon 4-C3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.20 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la statue moyenne d’un 159
Apôtre (manteau du quatrième Apôtre - échantillon 11-A4.2). L’analyse tendrait à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.21 Diffractogramme de l’Argenture de l’armure d’un des soldats de la Résurrection 160
(4-Sh.1). Cette méthode d’analyse par DRX identifie bien la feuille d’argent.
Figure II-6.01 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 162
(échantillon B-R4). Observation aux MO et MEB de la couche de smalt appliquées
en 1685. Le registre en couleur au MO montre que, même à un faible
agrandissement (x65), les particules de verre coloré, grossièrement broyées, sont
aisément identifiables à leur taille (> 30 µm) et à leur couleur, même si elle ne
présentent pas toutes la même teinte, ni la même forme.
Figure II-6.02 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 163
(échantillon B-R4). Agrandissement de la couche de smalt observée dans les deux
registres précédents (Cf. Fig. II.6.01). Au MEB, il est plus facile d’observer les
fractures conchoïdales de certaines particules de smalt en mode électrons
secondaires (SE), cette technique d’examen accentuant l’aspect morphologique des
pigments et leur relief propre.
Figure II-6.03 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB- 164
EDS des différentes couches, en particulier du smalt appliqué en 1685 et des deux
couches colorées sous-jacentes au smalt, d’un rose pâle (couche 7) et d’un bleu clair
(couche 8).
Figure II-6.04 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Etude au MEB-EDS de la 165
sous-couche rose du smalt – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.05 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 166
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (1) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.06 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 167
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (2) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.07 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 168
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (3) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.08 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 169
(échantillon R-Bl). Examens aux MO et MEB-EDS des différentes couches, en
particulier du smalt appliqué en 1685 et de la couche sous-jacente rose (couche 6).
Figure II-6.09 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 170
(échantillon R-Bl). Etude au MEB-EDS de la sous-couche rose du smalt. Spectre et
analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de matières colorantes à
dominante rouge, essentiellement des composés du plomb ou du fer.
Figure II-6.10 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption (échantillon R-Bl). Etude de la 171
couche de bleu de smalt au MEB-EDS – Spectres de particules, qui accusent des
compositions différentes, où les valeurs en % de poids de K, Mg, Al, Fe et Co
varient.
xiv
Figure II-6.11 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 172
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Examens aux MO et MEB-EDS des
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.12 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 173
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Etude au MEB-EDS de la couche de bleu de
smalt – Spectre de la composition élémentaire d’un grain (1) et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.13 Fond bleu d’un fenestrage (échantillon R-B3). Examens aux MO et MEB-EDS des 174
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.14 Retable majeur de l’église du monastère bénédictin São-Romão-do-Neiva. Ce 175
retable occupait à l’origine l’abside de l’église du monastère Saint-Martin, à Tibães,
pour laquelle il avait été créé en 1664-1665. Translaté en 1755, il a fait l’objet de
travaux et été recouvert d’une nouvelle polychromie. Toute la structure portante du
mobilier présente un caractère dichrome, bleu clair et or, qui n’est pas à confondre
avec le revêtement original du XVIIe siècle, celui-là disparu.
Figure II-7.01 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de saint Matthieu 176
Figure II-7.02 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de l’Ange 176
Figure II-7.03 Détail du groupe sculpté 4 de la prédelle - Carnations du Christ ressuscité et des 176
soldats
Figure II-7.04 Détail du groupe sculpté 2 de la prédelle Carnations du broyeur de pigments 176
Figure II-7.05 Détail de la frise - Carnations d’une figure 176
Figure II-7.06 Détail de la statue de saint Côme (7). Carnations du visage 177
Figure II-7.07 Détail de la statue de saint Damien (10). Carnations du visage (Foto J. Pessoa 177
/1975)
Figure II-7.08 Détail de la statue de saint Pierre (8). Carnations du visage 177
Figure II-7.09 Détail de la statue de saint Paul (9). Carnations du visage 177
Figure II-7.10 Détail de la Vierge de l’Assomption (12). Carnations du visage 178
Figure II-7.11 Détail de l’Apôtre saint Jacques (11-A5). Carnations du visage et des mains 178
Figure II-7.12 Détail d’un Apôtre (11-A12). Carnations du visage 178
Figure II-7.13 Détail du groupe du Calvaire situé au sixième registre du retable – Carnations de la 179
Vierge Marie et de saint Jean qu’il est possible de comparer entre elles, et de
confronter par ailleurs avec les carnations du Christ crucifié. Le doute subsiste
quant à une intervention postérieure ou non sur ce dernier, étant donnée la tonalité
générale assez ocrée des chairs qui paraît plutôt due au jaunissement d’un vernis
qu’à la coloration voulue d’un corps moribond.
Figure II-7.14 Echantillon 1-A1 correspondant aux carnations de l’Ange du Groupe de saint 180
Matthieu (prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB), avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation
double et du polissage, intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant
vraisemblablement le rendu de chairs brillantes.
Figure II-7.15 Echantillon 4-C1 correspondant aux carnations du Christ ressuscité (Groupe 4 de la 181
prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) ou en mode
électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation double et du polissage,
intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant vraisemblablement le rendu de
chairs brillantes.
Figure II-7.16 Echantillon 4-Sb1 correspondant aux carnations du soldat endormi à dextre (Groupe 182
4 de la prédelle) Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE). C’est le seul échantillon sur lequel il est possible de visualiser une très fine
couche de finition sur les chairs pour leur donner un ton plus rougeâtre. A l’endroit
de cette couche, la carnation sous-jacente est lisse et apparemment polie.
Figure II-7.17 Echantillon 9-1 correspondant aux carnations de saint Paul (Groupe 9 au troisième 183
registre) - Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) et en mode
électrons secondaires (SE), et tests de coloration spécifique. Le polissage est moins
xv
probant sur ces carnations doubles. Mais il faut compter avec la qualité du
prélèvement (en arrière de la main et donc moins accessible), le broyage assez
grossier ici des composés du plomb, et enfin une éventuelle altération de surface.
Figure II-7.18 Carnations d’un personnage de la frise (montant gauche) - Macrophotographie et 184
traitement d’image qui rend manifeste la présence d’une couche superficielle
grossièrement étendue à la brosse et contenant des petits agrégats de matière solide.
Figure II-7.19 Echantillon R-C1 correspondant aux carnations d’un personnage de la frise 185
(montant gauche) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE), et test de coloration spécifique au
Vert Malachite. Présence d’une couche superficielle très fine de nature distincte,
contenant une gomme et des agrégats de blanc de plomb. Les marques grossières de
coups de pinceau que porte cette couche laisse supposer qu’il s’agit plutôt d’une
intervention postérieure.
Figure II-7.20 Spectre FTIR de la couche des carnations du personnage de la frise (échantillon 186
R-C1, cam. 3). Huile et blanc de plomb.
Figure II-7.21 Diffractogramme des Carnations du Christ Réssucité (4-C1) et d’un personnage de 187
la frise (R-C1).Mélange de blanc de plomb et vermillon en proportions variables.
Figure II-7.21 Statue de saint Amaro, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège 188
Saint-Benoit de Coimbra, sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.22 Statue de saint Grégoire Le Grand (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 188
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.23 Statue de saint Anselme (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), 189
sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira (1692).
Dans le contrat de polychromie qui nous est parvenu, les carnations de saint
Anselme ont été exigées « au pinceau sur poli ».
Figure II-7.24 Statue de saint Benoît (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite). 189
Sculpteur et polychromeur anonymes (XVIIe s.). Les carnations mates de saint
Benoît sont dues à une repolychromie partielle du XIXe/XXe s. Cette figure de
dévotion continue d’être présentée au culte dans l’église Notre-Dame des Carmes, à
Coimbra.
Figure II-7.25 Statue de saint Ildefonse (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 189
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira
(1692). Etat des carnations avant leur nettoyage, en 2003. L’accumulation de suie et
de cire n’empêche pas d’avoir une lecture de l’aspect satiné.
Figure II-7.26 Statue de sainte Françoise la Romaine (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 190
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs et de l’impact de ce même éclairage sur la lecture
des physionomies
Figure II-7.27 Statue de sainte Gertrude (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 190
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692). L’aspect des chairs est identique à celui de la statue de sainte
Françoise la Romaine (Fig. II-7.20), avec laquelle celle-ci forme une paire.
Figure II-7.28 Statue de l’Ange Gabriel (de l’église Saint-Benoit de Coimbra, aujourd’hui 191
détruite). Sculptée par Cipriano da Cruz (1684) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692).Traitement assez rare du visage où les yeux sont verts et où l’intérieur
des paupières est plus rosé. L’aspect actuellement altéré des carnations ne laisse pas
deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.29 Statue d’une Pietà, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège Saint- 191
Benoit de Coimbra. Sculptée par Cipriano da Cruz (1684). Polychromie attribuée à
Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac). Nous remarquerons la coloration rouge plus
intense autours des yeux qui traduit ici la douleur. L’aspect actuellement altéré des
carnations ne laisse pas deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.30 Sculpture de Sainte Combe, provenant de la Sé Velha de Coimbra et aujourd’hui 192
exposée dans la Sé Nova. Les carnations ont été rafraîchies, soit par un surpeint,
soit par l’application de vernis ou d’huile siccative.
xvi
Figure II-7.31 Vierge à l’Enfant, conservée au Musée d’Aveiro. Statuette malinoise (XVIe s.) / 193
Polychromie XVIIe s. attribuée à Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac).
Figure II-7.32 Sculpture de Notre-Dame du Rosaire, de l’ex-église des dominicaines d’Aveiro 193
(actuellement, Musée d’Aveiro). Sculpture et Polychromie anonymes du XVIIe
siècle.
Figure II-8.01 Diffractogramme de la Couleur bleue du manteau d’un Apôtre (11-A4.3). Azurite 194
conjuguée à du noir de carbone amorphe pour modifier la nuance.
Figure II-8.02 Diffractogrammes de Couleurs vertes issues des tuniques de saint Pierre (8-4) et de 195
saint Côme (7-4), respectivement. L’azurite et le vert-de-gris les distinguent.
Figure II-8.03 Diffractogrammes de la couleur rouge employée sur le manteau du Christ Ressucité 196
(4-C3) et la marbure du tombeau du Christ (4-C6). Emploi de vermillon.
Figure II-8.04 Diffractogramme de la Couleur orange du manteau de saint Mattieu (1-M3). 197
Minium et un peu de vermillion mélangé.
Figure II-8.05 Diffractogramme de la Couleur rouge orangé du manteau de saint Côme (7-5). 198
Mélange de vermillon et de craie, voire de blanc de plomb.
Figure II-8.06 Diffractogramme de la Couleur brune des cheveux de saint Côme (7-3). Présence 199
de pigments ocres et noirs (non détectés), associés peut-être à de la craie.
Figure II-8.07 Diffractogrammes d’adhésifs de couleur blanchâtre (9-4) et orange (2-L3) ayant 200
servi a fixé des motifs en relief de brocard d’application. Composés de blanc de
plomb et de minium.
Figure II-8.08 Diffractogramme de la Couleur rose du brocard peint sur les niches de saint Paul (9- 201
Br2). Majorité de blanc de plomb et contenant du vermillon.
Figure II-8.09 Polychromie de la Vierge – manteau bleu avec motif « bouclé par la trame » de 202
l’artichaut.
Figure II-8.10 Polychromie de la Vierge – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 203
« broderies d’application » avec fleurons quadrilobés.
Figure II-8.11 Polychromie de la Vierge – Laque rouge sur le revers du manteau et sertissage de 204
pierreries sur les orfrois.
Figure II-8.12 Polychromie de saint Pierre – Motifs « bouclé par la trame » de pomme de pin et 205
« broderies d’application ».
Figure II-8.13 Polychromie de saint Pierre – Tunique bleu-vert avec motifs « bouclé par la trame » 206
- Revers du manteau avec laque rouge.
Figure II-8.14 Détail de la polychromie sur la tunique de saint Pierre. 207
Figure II-8.15 Polychromie de saint Paul – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 208
« broderies d’application » sur le manteau.
Figure II-8.16 Polychromie de saint Paul – « Broderies d’application » sur le manteau et la 209
tunique.
Figure II-8.17 Polychromie de saint Côme – Cheveux bruns. Motif « bouclé par la trame » de 210
l’artichaut sur le manteau.
Figure II-8.18 Polychromie de saint Côme – Détail du manteau orange et de l’estoffage. 211
Figure II-8.19 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 212
manteau.
Figure II-8.20 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 213
manteau.
Figure II-8.21 Polychromie de saint Damien – Détail des « broderies d’application » sur le 214
manteau.
Figure II-8.22 Quelques Apôtres et polychromie bleue du quatrième : motif « bouclé par la 215
trame » et « broderies d’application » avec fleurons lancéolés.
Figure II-8.23 Polychromie du Christ et du tombeau – Manteau rouge du Christ avec motifs 216
« bouclé par la trame » et « broderies d’application ».
Figure II-8.24 Polychromie de l’Évangéliste saint Jean – Manteau rouge et tunique verte avec 217
motifs « bouclé par la trame ».
Figure II-8.25 Polychromie de l’Évangéliste saint Matthieu – Manteau orange et tunique vert 218
foncé. Détails de l’estoffage et du sertissage de pierreries (perdues).
Figure II-8.26 Polychromie de l’Évangéliste saint Luc – Manteau rouge et tunique verte avec 219
motif « bouclé par la trame ».
Figure II-9.01 Réceptaire de Bernardo Montón dont l’édition originale date de 1734. Édition de 220
1761 (Biblioteca Nacional de Lisboa / S.A. 12.197 P).
xvii
Figure II-9.02 Première et dernière éditions portugaises connues du réceptaire de B. de Monton: a) 201
Édition de 1744 (BNL / S.A. 17.359 P) ; b) Édition de 1856 (BNL / S.A. 12.208 P).
Figure II-9.03 Recettes du réceptaire de B. de Monton correspondantes aux Nos 199 201
(« Composição para imitar bordados… ») et 200 (« Uzo desta composição ») de
l’édition portugaise de 1744, reproduites aux Nos 54 et 55 dans l’édition de 1818
(BNL / S.A. 19.961 P).
Figure II-9.04 Cours de Chymie de Pierre Thibaut dont l’édition originale date de 1667. 202
a) Édition de 1674 (BNL / S.A. 5424) ; b) Fourneaux (bain de sable et bain-marie)
et vaisseaux figurant sur la Gravure Nº 3 de cet ouvrage.
Figure II-9.05 Histoire générale des Drogues simples & composées de Pierre Pomet dont l’édition 203
originale date de 1695. Édition de 1735 (BNL / S.A. 2796).
Figure II-9.06 Représentations de genévriers au XVIIe s., extraites de l’Histoire générale des 204
Drogues simples & composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Grand
Genevre" ou genévrier commun (Juniperus communis L. de la famille des
Cupressaceae) - Gravure Nº 95 ;
b) "Petit Genevre" ou genévrier cade, également appelé oxycèdre (Juniperus
oxycedrus L.) - Gravure Nº 96.
Figure II-9.07 Substances gommeuses et résineuses exsudées de différents végétaux après 205
incision, et leurs représentations au XVIIe s., extraites de l’Histoire Générale des
Drogues simples et composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Lintisque",
ou Lentisque (Pistacia Lentiscus L., de la famille des Anarcadiaceae) dont on tire le
mastic - Gravure Nº 89 ; b) "Gomme Elemi" (de la famille des Burséraceae) -
Gravure Nº 14 ; c) "Assa Fœtida" (arbrisseau du genre des Férulaceae : Laserpitium
ou bien Ferula assafœtida L. par exemple, de la famille des Apiaceae) dont on tire
la gomme du même nom - Gravure Nº 9 ; d) "Sagapenum" (Ferula persica L., aussi
de la famille des Apiaceae) dont on tire la gomme sagapin - Gravure Nº 14.
Figure II-9.08 Représentation des abeilles et produits de la ruche au XVIIe s. : "Mouches à miel". 206
Gravure Nº 46 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de
Pomet (édition de 1735 - BNL).
Figure II-9.09 Représentation de conifères au XVIIe s. : "Terebenthe, Sapin & Pin". Gravure Nº 206
26 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet
(1735 - BNL).
Figure II-9.10 Premier Corps du retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Nous pouvons voir, de 207
gauche à droite, et de bas en haut : 1/ groupe de saint Mathieu et l'ange - 2/ groupe
de saint Luc, avec broyeur de pigments et bœuf - 3/ Nativité - 4/ groupe de la
Résurrection - 5/ groupe de saint Jean et l'aigle - 6/ groupe de saint Marc avec le
lion - 7/ saint Côme - 8/ saint Pierre - 9/ saint Paul – 10/ saint Damien - 11/ groupe
des apôtres - 12/ groupe de la vierge de l'Assomption. Photo José Pessoa / IPCR
Figure II-9.11 Numérotation des Douze Apôtres assistant à l’Assomption de la Vierge. Pour ce 208
groupe compact étagé sur trois niveaux, la façon de les compter respecte la lecture
occidentale de gauche à droite, et ascensionnelle, de bas en haut.
Figure II-9.12 Fleurons aux formes pointues 208
Figure II-9.13 Fleurons aux formes arrondies 208
Figure II-9.14 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc)). Prédominance de la cire.
Figure II-9.15 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance de la cire.
Figure II-9.16 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité). Prédominance de la cire.
Figure II-9.17 Pâte translucide d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 210
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.1a – Tunique de St. Pierre).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.18 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.19 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.20 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.21 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.22 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
xviii
Figure II-9.23 Pâte brun clair d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.24 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-6 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.25 Pâte translucide d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance de la cire.
Figure II-9.26 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 213
infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance de la cire.
Figure II-9.27 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, en chromatographie 214
hautes températures après triméthylsilylation. L’échantillon (4-C4 - Manteau du
Christ) constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (4-C4 - Manteau du Christ). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.28 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, en chromatographie hautes 215
températures après triméthylsilylation (12-V1- Manteau de la Vierge).
L’échantillon constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (12-V1 - Manteau de la Vierge). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.29 Couche supérieure orangée d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 216
spectroscopie IR (échant. 8-8 cam.1b – Tunique de St. Pierre). Cire et huile.
Figure II-9.30 Couche d’«or de couleur» d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en 217
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance de
l’huile.
Figure II-9.31 Couche d’«or de couleur» d’un galon orange de l’orfroi, en microcopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.32 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.33 Echant. 8-10 – (Manteau de St. Pierre) Couche d’«or de couleur» d’un galon orange 218
de l’orfroi, en microcopie optique et spectroscopie infrarouge. Huile et cire.
Figure II-9.34 Couche d’«or de couleur» d’un décor de pomme de pin, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.2 – Tunique de St. Pierre). Huile et cire.
Figure II-9.35 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.36 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron quadrilobé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.37 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron lancéolé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.38 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.39 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.40 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.41 Adhésif de couleur blanchâtre d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.42 Adhésif de couleur blanchâtre d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et 221
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4).
Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.43 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, sur registre 221
microphotographique et en spectroscopie infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St.
xix
Pierre). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.44 Adhésif de couleur orangée d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 7-7 – Manteau de St. Côme). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.45 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.46 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.47 Adhésif de couleur orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-5 – Manteau de St. Damien). Liant huileux,
contaminé par de la cire
Figure II-9.48 Adhésif de couleur orange d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-6 – Manteau de St. Damien). Liant huileux
contaminé par de la cire.
Figure II-9.49 Adhésif rose d’un cabochon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 223
infrarouge (échant. 4-C5 – Manteau du Christ). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.50 a) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, en chromatographie hautes 224
températures après triméthylsilylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc).
L’échantillon donne un signal très faible. Il contient presque exclusivement une
huile moyennement oxydée. On observe bien les quantité importantes d’acides
palmitique (E16:0) et stéarique (E18:0) sous forme d’esters de triméthylsilyle.
b) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Les marqueurs des corps
gras autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.51 Pyrogramme de l’échantillon 2-L4 – Huile siccative non identifiée et cire. 225
Figure II-9.52 Chromatogrammes des échantillons SFX-J2-2B et SXF-J1-A1 (deux figures 247
jésuites), obtenus en HTGC (A et B), et après méthanolyse acide et
triméthylsilylation (C et D).
Figure II-9.53 Brocatelle annelée d’or et d’argent - XVIe s. – Espagne / Motif de la pomme de pin 248
(BASTOS, 1954, Est. XXXVI).
Figure II-9.54 Velours coupé, bouclé par la trame de filé or - c.1550 / Motif de la pomme de 248
grenade - Espagne / Italie ? (Fondation Abbeg-Stiftung).
Figure II-9.55 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (Museu Nacional de Machado de 249
Castro, de Coimbra / Nº Inventaire 525 T).
Figure II-9.56 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 250
végétaux bouclés par la trame de filé or.
Figure II-9.57 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 251
végétaux bouclés par la trame de filé or. Brocart à trois hauteurs.
Figure II-9.58 Devant d’autel – XVIIe siècle (Museu Nacional de Machado de Castro, de 252
Coimbra). Détails des bandes médianes et brodées.
Figure II-9.59 Bandes médianes et brodées du devant d’autel du Couvent de la Mère de Dieu, à 253
Lisbonne (Museu Nacional de Arte Antiga – Nº Inv. 539 Tec.).
Figure II-9.60 Retable Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie 254
Manoel da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Vues générales.
Figure II-9.61 Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie Manoel 255
da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Reliefs sous-jacents.
Figure II-9.62 Sainte Comba (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 256
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.63 Sainte Comba (polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le 257
Gac) – Détails des orfrois du manteau.
Figure II-9.64 Manteau de sainte Comba (a) et robe de la Piétà (b), qui portent le même motif, 258
adapté au volume des sculptures et coloré suivant leur iconographie.
Figure II-9.65 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira - ca. 1690) – Vue 259
partielle des vêtements (Cf. la robe rouge à la Figure précédente).
Figure II-9.66 Pietà (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie anonyme – Attrib. Manoel 260
da Costa Pereira par Le Gac – ca. 1690) – Vue générale et détails.
Figure II-9.67 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac – ca. 261
1690) – Détails des deux motifs d’«artichaut» du manteau.
Figure II-9.68 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 262
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vues générales.
xx
Figure II-9.69 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 263
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Détails des décors en relief.
Figure II-9.70 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 264
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.71 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 265
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.72 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 266
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.73 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 267
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.74 Saint Anselme (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 268
– Détail des «bouclé par la trame» et «broderies d’application».
Figure II-9.75 Saint Ildefonse (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 269
– Détails des «broderies d’application» et «bouclé par la trame».
Figure II-9.76 Saint Louis de Gonzague (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - 270
1688) – Vue générale et détail de l’orfroi de la capeline.
Figure II-9.77 Beatus Louis de Gonzague (polychromeur anonyme - 1688) – Orfrois en relief 271
appliqués sur la capeline et la soutanelle.
Figure II-9.78 Beatus Stanislas Kotska (sculpt. anonyme - XVIIe s. / polychr. anonyme - 1688) – 272
Vue générale et détail du «bouclé par la trame» de la soutanelle.
Figure II-9.79 Beatus Stanislas Kotska (polychromeur anonyme - 1688) – Détails des «broderies 273
d’applications» et pierreries sur les orfrois de la capeline.
Figure II-9.80 Archange saint Michel (sculpture Jean de Rouen - 1538 / polychromie anonyme - 274
Attrib. Manuel Ferreira par Le Gac) – Vue Générale et détails
Figure II-9.81 Archange saint Michel (sculpt. Jean de Rouen - 1538 / polychr. anonyme - Attrib. 275
Manuel Ferreira par Le Gac) – Détails des décors de la cape.
Figure II-9.82 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 276
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue Générale et détail du rochet.
Figure II-9.83 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 277
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.84 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 278
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.85 Saint Antoine (polychromeur anonyme - Attrib. M. da Costa Pereira par Le Gac) – 279
Détails des décors du camail : motif de la «pomme de pin» et orfroi.
Figure II-9.86 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 280
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.87 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 281
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.88 Retable majeur de Sertã (sculp. António Gomes et Domingos Nunes - 1686 / 282
polychr. Francisco da Rocha - 1691) – Vue générale et détail.
Figure II-9.89 Retable majeur de Sertã (polychromie Francisco da Rocha - 1691) – Détails du 283
tissu de brocart imité sur d’anciens fonds de niche.
Figure II-9.90 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 284
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.91 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 285
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails de l’orfroi avec pierreries.
xxi
xxii
ÍNDICE DAS FIGURAS
PRIMEIRA PARTE
Figure I-2.01 Vista da abside e do retábulo da Sé Velha, a partir da porta da entrada ocidental. 6
Figure I-2.02 Retábulo mor da Sé Velha, em 2000. 7
Figure I-2.03 Planta da Sé Velha de Coimbra e localização do retábulo mor. 8
Figure I-2.04 Corte transversal da Sé Velha de Coimbra ao nível do transepto. 9
Figure I-2.05 Estrutura do retábulo mor da Sé Velha. 10
Figure I-2.06 Predela a) em seis compartimentos onde estão expostos os Quatro Evangelistas, b) 11
bem como a Natividade e o grupo da Ressurreição no centro do Primeiro Registo.
Figure I-2.07 Primeiro Corpo do retábulo mor da Sé Velha. 12
Figure I-2.08 Segundo Corpo do retábulo mor da Sé Velha. 13
Figure I-2.09 Os Quatro Evangelistas ao nível da predela. Foto J. Pessoa (IMC) 14
Figure I-2.10 Cúpula da abside. 15
Figure I-2.11 Morcego esculpido sobre a consola inferior de um dos nichos que ladeiam a Virgem 16
da Assunção.
Figure I-2.12 Os três brasões do bispo D. Jorge de Almeida que figuram no retábulo, segundo 17
uma ordem ascendente de tamanho. Photo J. Pessoa (IMC).
Figure I-2.13 Retábulo dos santos Crespim e Crespinho da Igreja Sainte-Waudru de Herentals, da 18
autoria de Passier Borman e realizado cerca de 1520. Neste retábulo, da oficina de
Bruxelas, sobressai o coroamento muito elaborado.
Figure I-2.14 Anunciação do Retábulo da Virgem (Museu de la Ville de Bruxelles), realizado 19
cerca de 1490-1500. Nesta cena do retábulo da oficina de Bruxelas, demos
particular atenção ao arco trilobado encimado por volutas enroladas como gavinhas.
Figure I-2.15 Enterramento e Ressurreição de Cristo, do Retábulo da Paixão (Museu Royaux 19
d’Art et d’Histoire, em Bruxelas). Neste retábulo da oficina de Bruxelas, realizado
na secunda metade do século XV, notaremos os arcos trilobados encimados por
chavetas simplificadas.
Figure I-2.16 Retábulo de pedra de Estinnes-au-Mont (capela de Nossa Senhora de Cambron), 20
produzido cerca de 1530. Os arcos góticos, os pináculos e as chaves colgadas são
dignos de um mecenato principesco, bem como a rede de pedra flamejante que
serve de remate, idêntica à do retábulo da Sé Velha de Coimbra.
Figure I-2.17 Retábulo da Virgem da Flamengrie (capela de São Martinho, de Roubaix), 21
produzido nos anos 1527-1530. A caixa é enfeitada com chavetas e florões que dão,
ao conjunto escultórico, uma dinâmica notável.
Figure I-2.18 Retábulo da Paixão de Claude Villa e Gentina Solaro, realizado cerca de 1470. 22
Neste retábulo da oficina de Bruxelas, típico do mecenato que gozava a arte da
Corte, são dignos de menção os ornatos rendilhados de madeira que enfeitam as
arcaturas.
Figure I-2.19 Retábulo de sainte Dymphne da igreja Sainte-Dymphne de Geel, produzido cerca de 23
1510-1520. Neste retábulo do Brabante, sobressai o motivo do Calvário que serve
de remate.
Figure I-2.20 Altar da Santa Cruz da igreja de Santo Lesmes em Burgos (capela dos Salamanca). 23
Retábulo de madeira entalhado, erguido num enorme nicho de pedra coroado por
pináculos e florões, e rematado por consolas em forma de pedículos onde assentam
as três principais figuras do Calvário.
xxiii
Figure I-2.21 Nave e abside da Sé Velha, em 1871. 24
Figure I-2.22 Nave e abside da Sé Velha, em 1892. 25
Figure I-2.23 Pormenor do retábulo mor da Sé Velha, em 1892. 26
Figure I-2.24 Elementos em falta (assinalados) no retábulo mor, em 1892 : numerosos elementos 27
fitomórficos e flamejante da estrutura e da figuração (estatuetas dos Anjos da
Assunção e brasão do bispo D. Jorge de Almeida debaixo dos pés da Virgem).
Figure I-2.25 Nave e vista parcial da abside (lado da Epístola) da Sé Velha, em 1893. 28
Figure I-2.26 Pormenor da talha barroca da abside da Sé Velha, em 1893. 29
Figure I-2.27 Retábulo mor da Sé Velha, em 1918. 30
Figure I-2.28 Retábulo mor da Sé Velha, em 1948. 31
Figure I-2.29 Retábulo mor da Sé Velha, em 1957. 32
Figure I-2.30 Pormenor do retábulo mor da Sé Velha, em 1957, sem o tabernáculo. 33
Figure I-2.31 Retábulo mor da Sé Velha, em 1962. 34
Figure I-2.32 Retábulo mor da Sé Velha, em 1988. 35
Figure I-2.33 Retábulo mor da Sé Velha, em 1997. 36
Figure I-2.34 Estatuetas dadas como provenientes do retábulo mor da Sé Velha, e pertencentes à 37
colecção do Museu Nacional Machado de Castro de Coimbra.
Figure I-2.35 Pormenor do Grande Retábulo da Catedral de Toledo (1498-1504). 37
Figure I-2.36 Retábulo mor da Catedral de Orense (c. 1500). 38
Figure I-2.37 Pormenor do retábulo mor da Catedral de Orense (c. 1500), onde o grupo 39
escultórico da Pietà, no centro do primeiro registo, contém uma figuração numerosa
com S. João e as três Santas Mulheres (Maria Madalena, Maria de Cleophas, e
Maria, mãe de João e Tiago).
Figure I-2.38 Retábulo mor da catedral de Oviedo (1511-1524). 40
Figure I-2.39 Pormenor do retábulo mor da Catedral de Oviedo (1511-1524), onde o grupo da 41
Assunção contém oito anjos distribuídos aos pares, bem como o comitente que
assiste à elevação da Virgem.
Figure I-3.01 Camadas preparatórias góticas da estrutura retabular (amostra R-O1). a) Imagem 42
geral no SEM (BSE) da preparação tripla ; b) difractograma da primeira demão
(camada 1a) desta preparação tripla.
Figure I-3.02 Camadas preparatórias góticas da estrutura retabular (amostra R-O1). a) difrac- 43
tograma da segunda demão (camada 1b) da preparação tripla ; b) difractograma
também da segunda demão (camada 1a) mas numa zona que apresenta uma
partícula preta de grande dimensão.
Figure I-3.03 Camadas preparatórias góticas da estrutura retabular (amostra R-O1). Dois 44
difractogramas da terceira demão (camada 1c) da preparação tripla.
Figure I-3.04 Camadas preparatórias góticas do retábulo (amostra R-Bl). b) difractograma da 45
primeira demão (camada 1a) desta preparação dupla. ; b) difractograma da segunda
demão (camada 1b) desta preparação.
Figure I-3.05 Camadas preparatórias góticas do nicho de são Paulo (amostra 9-Br). a) Imagem 46
geral no SEM (BSE) da preparação simples ; b) difractograma desta preparação.
Figure I-3.06 Camadas preparatórias góticas subjacentes às carnações de um soldado da 47
Ressurreição (amostra 4-Sb1). a) difractograma da segunda demão (camada 1b) da
preparação tripla ; b) difractograma da terceira demão (camada 1c) desta
preparação.
Figure I-3.07 Análise qualitativa por SEM-EDS da folha de ouro original aplicada, em 1502, 48
sobre a estrutura retabular (amostra R-O1) – Os espectros e respectivas
composições elementares indicam que a liga de ouro é pura.
Figure I-3.08 Análise quantitativa por SEM-EDS da folha de ouro original aplicada, em 1502, 49
sobre a estrutura retabular (amostra R-O1) – Os resultados obtidos indicam que a
liga de ouro não contém nem prata (Ag) nem cobre (Cu). É pura.
Figure I-3.09 Análise qualitativa por SEM-EDS da folha de ouro original aplicada, em 1502, 50
sobre um brocado-aplicado do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Os dois espectros
obtidos e respectivas composições elementares indicam que a liga de ouro é pura.
Figure I-3.10 Análise qualitativa e semi-quantitativa por SEM-EDS da folha de prata original 51
aplicada, em 1502, sobre o fundo do nicho da Virgem da Assunção (amostra R-Bl).
A análise indica que a prata é pura.
Figure I-3.11 Actual aspecto das vestes de S. Paulo, susceptível de apresentar uma certa paridade 52
com o aspecto mais antigo de « brocados-aplicados justapostos ».
Figure I-3.12 Actual aspecto das meias de S. Damião, lembrando o aspecto mais antigo de 53
« brocados-aplicados isolados », aplicados esses sobre veladuras.
xxiv
Figure I-3.13 Anjo da Charola do Convento de Cristo, de Tomar. Policromia gótica original 54
(c. 1515) com « brocados-aplicados isolados ».
Figure I-3.14 Fundo do nicho de S. Lucas, coberto de placas justapostas de brocados-aplicados. 55
Estado de conservação em 1976.
Figure I-3.15 Os brocados-aplicados, que ornamentavam as partes laterais do nicho de S. Lucas, 56
foram recobertos por uma nova policromia em 1685. Apenas são perceptíveis em
luz rasante.
Figure I-3.16 Fundo do nicho de S. Lucas, coberto de placas justapostas de brocados-aplicados. 57
Estado de conservação em 2004.
Figure I-3.17 Fragmentos de placas de brocados-aplicados justapostos, cujo recorte e orientação 58
aleatória não permitem ter uma boa leitura do padrão têxtil imitado, até mesmo
quando certas partes conservaram alguns dos realces a vermelho (com laca)
destinados a definir melhor o motivo.
Figure I-3.18 A placa maior de brocado-aplicado, fixa no sentido vertical no canto superior 59
esquerdo do nicho de S. Lucas, mede 17,1 cm x 11 cm.
Figure I-3.19 Pormenores dos brocados-aplicados, cujas riscas em relevo correspondem às 60
gravadas na matriz (em madeira ou em metal), na altura da sua manufactura.
Contam-se 11-12 linhas/cm2.
Figure I-3.20 a) Desenho dos motivos, outrora realçados com laca vermelha ; b) sobreposição do 61
decalque do motivo superior esquerdo (a vermelho) sobre o motivo superior direito
(a preto). Os desenhos não coincidem totalmente.
Figure I-3.21 Tecido de brocado representando um baldaquino, numa pintura de Jérôme Bosch (c. 62
1470-1485).
Figure I-3.22 Tecido de brocado numa pintura do Maître de la Vie de Sainte Lucie (activo em 63
1480).
Figure I-3.23 Tecido de brocado numa pintura de Gérard David (c. 1506). 64
Figure I-3.24 Tecido de brocado numa pintura de Paul Véronèse (1562). 65
Figure I-3.25 a) Pyrograma e b) Cromatograma (m/z = 74) da pasta de um brocado-aplicado do 66
nicho de S. Lucas (amostra 2-Br2), por THM-GC/MS. A pasta é à base de cera e
contém um óleo não identificado.
Figure I-3.26 a) Pyrograma e b) Cromatograma (m/z = 74) da pasta de um brocado-aplicado do 67
nicho de S. Lucas (amostra 2-Fundo Nicho), por THM-GC/MS. A pasta é à base de
cera e contém um óleo não identificado.
Figure I-3.27 Difractograma da camada amarelo alaranjado, a óleo, que serviu para fazer aderir os 68
brocados-aplicados no fundo do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br1).
Figure I-3.28 Análise por SEM-EDS da pasta de um brocado-aplicado colocado no nicho de S. 69
Paulo (amostra 9-Br2). Espectro e análise semi-quantitativa que indicam
nitidamente o recurso a pigmentos à base de chumbo (mínio laranja e branco de
chumbo), à base de ferro (ocre amarelo), e à base de cálcio (cré para cerusa ?).
Estes pigmentos servem de carga e talvez como secativos.
Figure I-3.29 a) Pyrograma e b) Cromatograma (m/z = 74) da pasta de um brocado-aplicado do 70
nicho de S. Paulo (amostra 9-Br), por THM-GC/MS. A pasta é à base de cera.
Contém um pouco de óleo, impossível de identificar.
Figure I-3.30 Análise por SEM-EDS da folha de estanho que permitiu dar forma ao brocado- 71
aplicado, antes da sua colocação no nicho de S. Paulo, em 1502 (amostra 9-Br2). O
espectro, acusando unicamente Sn, confirma que o metal é puro.
Figure I-3.31 Estudo por SEM-EDS da camada de « or de couleur » utilizada no douramento do 72
brocado-aplicado do nicho de S. Paulo, em 1502 (amostra 9-Br2). Espectro e
análise semi-quantitativa que sugerem a presença de pigmentos secativos à base de
chumbo (lithargírio ?) et também de cobre (verdigris ?), nesta técnica de
douramento a óleo e mate.
Figure I-3.32 Estudo por SEM (imagens BSE e SE) e SEM-EDS da laca corada que se sobrepõe 73
localmente à folha de ouro, sobre um brocado-aplicado do nicho de S. Paulo, em
1502 (amostra 9-Br2). A composição elementar acusa nitidamente o cobre (Cu),
que faz supor a utilização de resinato de cobre, ou seja, de uma laca verde.
Figure I-4.01 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada em 1583 sobre a estrutura retabular 74
(amostra R-O1). Análise semi-quantitativa que indica que a liga de ouro é pura.
Figure I-4.02 Exames ao MO e SEM das diferentes camadas constituindo um dos fundos azuis da 75
estrutura (amostra R-B3), em particular do pigmento esmalte aplicado em 1583. A
análise pontual por SEM-EDS reflecte bem a sua constituição: um vidro (Si)
potássico (K) tingido com cobalto (Co) e contendo vestígios de níquel (Ni).
xxv
Figure I-5.01 Retábulo mor da Sé Velha de Coimbra. Pormenor dos nichos do terceiro registo e 76
dos quatro santos patronos que albergam.
Figure I-5.02 Pormenores dos nichos vazios que albergam os santos patronos do retábulo mor da 77
Sé Velha. Contrariamente aos paneis laterais que apresentam a imitação de um
tecido de brocado, pintado em dois tons de rosa na época barroca, o painel central
do fundo desses nichos não tem policromia. Ou deixou de ter, já que parece ter
marcas de raspagem das camadas antigas sob a forma de vestígios da preparação
branca entranhada nas fibras da madeira. Esses painéis não ficam à vista quando as
esculturas estão expostas e portanto encostadas nos seus respectivos nichos.
Figure I-5.03 Pormenor do nicho vazio de S. Paulo, ao nível do terceiro registo do retábulo mor 78
da Sé Velha. As camadas antigas parecem ter sido raspadas no painel central. É
possível que esta intervenção tenha ocorrido em 1685, para atender à uma das
cláusulas do contrato de policromia, a qual estipulava que o retábulo havia de “ser
lavado até que fique em madeira”.
Figure I-5.04 Pormenor do nicho vazio que alberga o grupo escultórico de são Mateus, ao nível 79
do primeiro registo do retábulo da Sé Velha. O duplo painel central do fundo deste
nicho não tem policromia. As camadas antigas foram obviamente raspadas, em
particular as correspondentes aos « brocados-aplicados justapostos» que
constituíam o seu principal acabamento.
Figure I-5.05 Pormenor do reverso dos suportes dos quatro santos patronos do retábulo da Sé 80
Velha. As marcas de ferramentas, de goiva (S. Paulo e S. Cosme) ou de enchó (S.
Pedro e S. Damião), deixadas no trabalho de eliminação da médula e aligeiramento
dos toros de madeira, parecem dever atribuir-se a dois escultores com práticas
diferentes.
Figure I-5.06 Pormenor de quatro anjos da cúpula. É óbvio que dois deles, que levam os 81
instrumentos da Paixão de Cristo – aquele com a coroa de espinho (Nº 220, em
baixo à esquerda) e o outro com a lança da Crucificação (Nº 187, em baixo à
direita) –, não são da mesma autoria que os dois restantes, cujos atributos estão
perdidos (Nº 183 e 189, em cima). Somos de opinião que esses dois últimos são
originais, ou pelo menos de factura mais antiga. O entalhe dos volumes e das pregas
é simultaneamente mais complexo e mais sofisticado. Os traços morfológicos dos
rostos parecem ter sido esculpidos com mais cuidado.
Figure I-8.01 Frente e verso do grupo escultórico de S. Lucas, entalhado cerca de 1500 para o 82
retábulo mor da Sé Velha de Coimbra. Tanto a factura das personagens, como a
essência da madeira utilizada (carvalho) indicam que este grupo é original.
Figure I-8.02 Frente e verso do grupo escultórico da Ressurreição, entalhado cerca de 1500 para o 83
retábulo mor da Sé Velha de Coimbra. Tanto a factura das personagens, como a
essência da madeira utilizada (carvalho) indicam que este grupo é original.
Figure I-8.03 Frente e verso da Natividade entalhada em 1899 aquando do restauro do retábulo 84
mor da Sé Velha. Tanto a factura das personagens, como a essência da madeira
utilizada (castanho) indiciam logo que este grupo data de uma época diferente da do
retábulo.
Figure I-8.04 Frente e verso do grupo escultórico de S. Marcos, entalhado em 1899 aquando do 85
restauro do retábulo mor da Sé Velha. Tanto a factura das personagens, como a
essência da madeira utilizada (castanho) indiciam logo que este grupo data de uma
época diferente da do retábulo.
Figure I-8.05 Frente e verso do grupo escultórico de S. João, restaurado em 1899 aquando da 86
intervenção no retábulo mor da Sé Velha. Tanto a factura da águia, como a essência
da madeira utilizada (castanho) indiciam que este atributo de S. João foi restituído.
Figure I-8.06 Assunção no retábulo mor da Sé Velha. No conjunto dos anjos que rodeiam a 87
Virgem, somente dois (vestidos de vermelho) são originais. Os outros seis foram
refeitos em 1899.
Figure I-8.07 Pormenores de dois Anjos da Assunção da Virgem, no retábulo mor da Sé Velha. 88
As suas formas, bem como a sua respectiva policromia, revelam os gostos de duas
épocas diferentes. O primeiro (Nº 12-A1), cuja expressão é gótica, ostenta o
esgrafitado típico da policromia de 1685. O secundo (Nº 12-A3), de factura muito
mais recente, apresenta o douramento e a cor próprios do restauro de 1900.
Figure I-8.08 Pormenores de diferentes intervenções realizadas em 1899-1900, no retábulo mor 89
da Sé Velha, ao nível dos elementos esculpidos da estrutura : fixação com parafusos
de elementos decorativos e aplicação de um douramento a óleo numa das estrelas
do fundo celestial. O mordente amarelo claro transborda sobre a camada azul.
xxvi
Figure I-8.09 Difractograma da preparação aplicada sobre a Virgem da Natividade, em 1900. 90
Figure I-8.10 Difractograma da camada pictórica amarelo claro aplicada, em 1900, para dourar 90
uma estrela da estrutura retabular (amostra R-E1).
Figure I-8.11 Estudo por SEM (imagens BSE) e SEM-EDS da camada pictórica amarelo claro 91
aplicada, em 1900, para dourar uma estrela da estrutura retabular, numa técnica de
douramento a óleo (amostra R-E1).
Figure I-8.12 Espectros EDS da folha de ouro aplicada em 1900, sobre as vestes da Virgem do 92
grupo da Natividade (amostra 3-V3). Análises pontuais que demonstram que a liga
de ouro contém prata (Ag) e cobre (Cu).
Figure I-8.13 Análise semi-quantitativa por SEM-EDS da folha de ouro aplicada em 1900 sobre 93
as vestes da Virgem da Natividade (amostra 3-V3). A liga de ouro, que contém
prata (Ag) e cobre (Cu), assemelha-se a um ouro de 19,5 quilates.
Figure I-8.14 Espectros EDS da folha de ouro aplicada, em 1900, sobre uma estrela do retábulo 94
(zona superior do Primeiro Corpo - Amostra R-E1). Os resultados obtidos mostram
que a liga de ouro contém prata (Ag) e cobre (Cu).
Figure I-8.15 Estudo semi-quantitativo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1900, sobre 95
uma estrela do retábulo (zona superior do Primeiro Corpo - Amostra R-E1). As
análises pontuais mostram que a liga de ouro contém prata (Ag) e cobre (Cu).
Figure I-8.16 Espectro FTIR da camada azul aplicada, em 1900, no nicho de S. Lucas (Amostra 96
2.Br2 camada 9). Os picos são característicos do azul da Prússia, do branco de
chumbo e do aglutinante oleoso.
Figure I-8.17 Difractograma da camada com azul da Prússia que revestiu, em 1900, os fundos da 96
estrutura retabular (amostra R-B3).
Figure I-8.18 Estudo qualitativo e semi-quantitativo por SEM-EDS da camada azul da Prússia 97
que revestiu, em 1900, os fundos da estrutura retabular (amostra R-Bl)
Figure I-8.19 Grupo do Evangelista S. Mateus, ao nível da predela do retábulo mor da Sé Velha 98
de Coimbra. Pormenor do retoque feito no manto de S. Mateus, em 1902.
Figure I-9.01 Primeiro Corpo do retábulo-mor da Sé Velha onde figura a Assunção. Estado de 99
conservação e sujidade, em 1975. Foto José Pessoa (IJF/IMC), Classificador nº 233,
Foto nº 14.
Figure I-9.02 Anapaula Abrantes examinando um dos grupos escultóricos da predela, durante o 99
diagnóstico do retábulo, em 1975. Foto José Pessoa (IJF/IMC), Classificador nº
233, Foto nº 25.
Figure I-9.03 Limpeza a seco de poeiras, com escovas e aspiradores, em 1976. Tratamento 100
efectuado por José Torrado (em cima) e Arménio Fontes. Foto José Pessoa
(IJF/IMC), Classificador nº 233, Foto nº 235.
Figure I-9.04 Luísa Santos e Anapaula Abrantes procedendo à fixação da policromia do grupo 101
escultórico de S. Mateus, em 1976. Foto José Pessoa (IJF/IMC), Classificador nº
236, Foto nº 307.
Figure I-9.05 Remoção dos excessos de cera-resina num dos grupos da predela, após o tratamento 102
de fixação da policromia, em 1976. Foto José Pessoa (IJF/IMC), Classificador nº
238, Foto nº 355.
Figure I-9.06 Aspecto do retábulo mor após a intervenção de conservação (limpeza e fixação da 103
policromia), em 1976. Foto José Pessoa (IJF/IMC), Classificador nº 238, Foto 365.
Figure I-9.07 Preparação da cera-resina que serviu à fixação das camadas pictóricas, tal como 104
este adesivo era confeccionado no Departamento de Escultura policromada no
Instituto de José de Figueiredo, por Anapaula Abrantes, a partir dos anos 70.
Fotocópia da primeira página da receita transcrita por Gracelina Barros.
Figure I.9.08 Preparação da cera-resina (continuação). Fotocópia da segunda página da receita 105
transcrita por Gracelina Barros.
Figure I-9.09 Espectros FTIR da cera-resina de 1976 (a vermelho), presente na amostra 9-4, e de 106
uma mistura referência de cera-resina de 1997 (a azul).
Figure I-9.10 Amostra 2-L3 (túnica de S. Lucas). Camada superficial de um ornato de alcachofra, 106
vista ao MO e analisada por FTIR. Resíduos de cera-resina de 1976.
Figure I-9.11 Amostra 10-6 (manto de S. Damião). Camada superficial de um florão 107
quadrilobado vista ao MO e analisada por FTIR. Resíduos de cera-resina de 1976.
Figure I-9.12 Amostra 8-9 (manto de S Paulo) Camada superficial de um ornato lacunar do 107
debrum, vista ao MO e analisada por FTIR. Resíduos de cera-resina de 1976.
Figure I-9.13 Amostra 9-2 (manto de S. Paulo) Camada superficial de um ornato de alcachofra, 107
vista ao MO e analisada por FTIR. Resíduos de cera-resina de 1976.
xxvii
SEGUNDA PARTE
Figure II-1.01 Estratificação das diferentes camadas aplicadas sobre estrutura retabular em 1685, 111
para obter os efeitos artísticos principais procurados: 1) encolagem do suporte em
carvalho; 2a) primeira camada da preparação dupla em gesso; 2b) segunda camada
da preparação dupla em gesso; 3) “assiette à dorer” ou bolo; 4) douramento
brunido; 5) camada azul dos fundos, correspondendo aqui à aplicação do azul da
Prússia, em 1900.
Figure II-2.01 Secagem das peles de luvas, após um último banho de curtimento com alúmen. As 112
substâncias de curtume e o “nutrimento” (amarelo de ovo e farinha) concentram-se
nas patas que serão aparadas e das quais se faz a cola.
Figure II-2.02 Pele aparada de uma pata de ovelha, após curtimento da pele (com alúmen). 112
Figure II-2.03 Espectro EDS de uma amostra de pele de luvas curtida com alúmen. 113
Figure II-2.04 Estudo ao MEB (BSE) de uma pele de luvas observada dos lados da flor e do 114
carnal. Os glóbulos de farinha encontram-se no estado livre, particularmente
numerosos na estrutura fibrosa da pele.
Figure II-2.05 Preparação da cola de pele de luvas a partir de aparas cortadas em tiras. (a/b) 115
Cozedura a 100 ºC até dissolução e redução do líquido a um terço. (c/d) Filtragem
da cola. (e) Arrefecimento e recorte em tiras finas. (f) Secagem das placas sobre
rede.
Figure II-2.06 Imagem SEM (SE) de uma gota de cola de pele de luvas. As partículas brancas 116
disseminadas correspondem à Alumina que subsiste na substância orgânica.
Aumento x200.
Figure II-2.07 Espectro EDS de uma amostra de pele de luvas curtida com alúmen. 117
Figure II-2.08 Espectro FTIR da cola de pele de luvas (Spectra-Tech IRµS – Cola seca moída com 117
KBr – 128 varrimentos – 4000-600 cm-1 – resolução 4 cm-1).
Figure II-3.01 Camadas preparatórias barrocas aplicadas para o douramento brunido da estrutura 118
retabular (amostra R-O1). a) Difractograma da primeira demão (cam 6a) da
preparação dupla; b) difractograma da segunda demão (cam 6b) desta preparação.
Figure II-3.02 Camadas preparatórias barrocas aplicadas para a cor azul no espaço da Virgem, na 119
extremidade da área luminosa que a envolve (amostra R-O1). a) Difractograma da
primeira demão (cam 5) da preparação simples.
Figure II-3.03 Camadas preparatórias barrocas aplicadas para as carnações de S. Paulo (amostra 9- 120
1). a) Difractograma da primeira demão (cam 1a) da preparação dupla; b)
difractograma da segunda demão (cam 1b) desta preparação.
Figure II-3.04 Camadas preparatórias barrocas aplicadas para a peanha de S. Cosme (amostra 7-2). 121
a) Difractograma da primeira demão (cam 1a) da preparação simples ou dupla (?);
b) difractograma da segunda demão (cam 1b) desta preparação.
Figure II-3.05 Camadas preparatórias barrocas aplicadas para as carnações do soldado da direita 122
(para o espectador), sentado no solo no grupo da Ressurreição (amostra 4-Sb 1). a)
Difractograma da primeira demão (cam 5a) da preparação dupla; b) difractograma
da segunda demão (cam 5b) desta preparação.
Figure II-4.1a Macrofotografia de uma lacuna no douramento da estrutura retabular que permite 123
ver a cor alaranjada do bolo.
Figure II-4.1b Fotografia de uma lacuna no douramento do manto de S. Mateus, que permite ver a 124
cor alaranjada do bolo.
Figure II-4.02 Estudo do bolo alaranjado por SEM-EDS dos cabelos de S. Cosme / grupo 7 do 125
terceiro registo (amostra 7-3) – Espectro da composição elementar e análise semi-
quantitativa.
Figure II-4.03 Estudo da demão inferior do bolo por SEM-EDS sobre a túnica de S. Pedro / grupo 126
8 do terceiro registo (amostra 8-4 bolo 1a) – Espectro da composição elementar e
análise semi-quantitativa.
Figure II-4.04 Estudo da demão superior do bolo por SEM-EDS sobre a túnica de S. Pedro / grupo 127
8 do terceiro registo (amostra 8-4 bolo 1b) – Espectro da composição elementar e
análise semi-quantitativa.
xxviii
Figure II-4.05 Estudo da demão inferior do bolo por SEM-EDS sobre a peanha de S. Paulo / grupo 128
9 do terceiro registo (amostra 9-5 bolo 1a) – Espectro da composição elementar e
análise semi-quantitativa.
Figure II-4.06 Estudo da demão superior do bolo por SEM-EDS sobre a peanha de S. Paulo / 129
grupo 9 do terceiro registo (amostra 9-5 bolo 1b) – Espectro da composição
elementar e análise semi-quantitativa.
Figure II-4.07 Estudo do bolo por SEM-EDS do manto do Cristo / grupo 4 da predela (amostra 4- 130
C3) – Espectro da composição elementar e análise semi-quantitativa.
Figure II-4.08 Estudo do bolo por SEM-EDS do túmulo do Cristo / grupo 4 da predela (amostra 4- 131
C6) – Espectro da composição elementar e análise semi-quantitativa.
Figure II-4.09 Estudo do bolo por SEM-EDS das carnações do soldado sentado à direita do 132
observador / grupo 4 da predela (amostra 4-Sb1/B4) – Espectro da composição
elementar e análise semi-quantitativa.
Figure II-4.10 Estudo do bolo por SEM-EDS das carnações de S. Mateus / grupo 1 da predela 133
(amostra 1-M1) – Espectro da composição elementar e análise semi-quantitativa.
Figure II-4.11 Estudo por DRX do bolo debaixo dos cabelos de S. Mateus (amostra 1-M2). 134
Figure II-4.12 Estudo por DRX do bolo debaixo das carnações de S. Paulo (amostra 9-1). 135
Figure II-4.13 Estudo por DRX do bolo debaixo da túnica de S. Pedro (amostra 8-6). 136
Figure II-4.14 Estudo por DRX do bolo e das partículas escuras da amostra precedente. 137
Figure II-4.15 Estudo por DRX dos grãos pretos do bolo aplicado sobre S. Pedro (amostra 8-6). 138
Figure II-4.16 Estudo por DRX do bolo debaixo do manto do Cristo Ressuscitado (amostra 4-C3). 139
Figure II-5.01 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a estrutura 140
retabular (amostra R-O1). Análises pontuais e qualitativas, cujos espectros tendem a
indicar que a liga de ouro é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.02 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a estrutura 141
retabular (amostra R-O1). Realização de várias análises pontuais, cuja abordagem
semi-quantitativa tende a indicar que a liga de ouro é pura ou que contém uma
ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.03 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre uma estrela do 142
Primeiro Corpo do retábulo (amostra R-E1). Análises pontuais e qualitativas, cujos
espectros tendem a indicar que a liga de ouro contém uma proporção de prata e
talvez também de cobre.
Figure II-5.04 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada da estela do Primeiro Corpo 143
(amostra R-E1). Abordagem semi-quatitativa que indica que a liga de ouro contém
uma proporção de prata e/ou de cobre.
Figure II-5.05 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a peanha da 144
estátua de S. Cosme (amostra 7-2). Análises semi-quantitativas que tendem a
indicar que a liga de ouro é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.06 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a túnica da estátua 145
de S. Cosme (amostra 7-4). A análise indica que a liga de ouro é pura ou que
contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.07 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre o manto da estátua 146
de S. Cosme (amostra 7-5). A análise tende a indicar que a liga de ouro é pura ou
que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.08 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre um ornamento da 147
estátua de S. Cosme (amostra 7-7). A análise semi-quantitativa tende a indicar que a
liga de ouro é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre e/ou de prata.
Figure II-5.09 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a túnica da estátua 148
de S. Pedro (amostra 8-6). A liga de ouro é pura ou contém uma ínfima proporção
de cobre.
Figure II-5.10 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a peanha da 149
estátua de S. Paulo (amostra 9-5). As duas análises indicam que a liga de ouro é
pura.
Figure II-5.11 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre o manto da estátua 150
de S. Pedro (amostra 8-10a). A abordagem semi-quantitativa tende a indicar que a
liga de ouro é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.12 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre um ornamento da 151
estátua de S. Pedro (amostra 8-10b). As análises semi-quantitativas indicam que a
liga de ouro contém uma porção de cobre.
xxix
Figure II-5.13 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre o manto da estátua 152
de S. Paulo (amostra 9-4). A análise tende a indicar que a liga de ouro é pura ou que
contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.14 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre um ornamento da 153
estátua de S. Paulo (amostra 9-4). A análises tende a indicar que a liga de ouro é
pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre e/ou de prata.
Figure II-5.15 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a peanha da 154
estatueta de S. Mateus (amostra 1-M6). A análise indica que a liga de ouro é pura
ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.16 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a túnica da 155
estatueta de S. Lucas (amostra 2-L2). A análise indica que a liga de ouro é pura ou
que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.17 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre o manto da 156
estatueta de S. Lucas (amostra 2-L3). A análise indica que a liga de ouro é pura.
Figure II-5.18 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre um ornamento da 157
estatueta de S. Lucas (amostra 2-L3). A análise tende a indicar que a liga de ouro é
pura.
Figure II-5.19 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre o manto da 158
estatueta do Cristo Ressuscitado (amostra 4-C3). A análise indica que a liga de ouro
é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.20 Estudo por SEM-EDS da folha de ouro aplicada, em 1685, sobre a estátua média 159
dum Apóstolo (manto do quarto Apóstolo - amostra 11-A4.2). A análise tende a
indicar que a liga de ouro é pura ou que contém uma ínfima proporção de cobre.
Figure II-5.21 Difractograma do prateamento da armadura de um dos soldados da Ressurreição 160
(amostra 4-Sh1). Este método de análise por DRX identifica bem a folha de prata.
Figure II-6.01 Fundo azul do nicho da Virgem da Assunção, entre os raios luminosos (amostra B- 162
R4). Observação ao MO e SEM da camada de esmalte aplicados em 1685. O registo
da cor ao MO mostra que, mesmo a um ligeiro aumento (x65), as partículas de
vidro colorido, grosseiramente moídas, são facilmente identificadas pelo seu
tamanho (> 30 µm) e pela sua cor, mesmo que não apresentem a mesma tinta, nem
a mesma forma.
Figure II-6.02 Fundo azul do nicho da Virgem da Assunção, entre os raios luminosos (amostra B- 163
R4). Aumento da camada de esmalte observada nos dois registos precedentes (Cf.
Fig. II.6.01). Ao SEM, é mais fácil observar as fracturas concoidais de certas
partículas de esmalte em modo electrões secundários (SE), esta técnica de exame
acentuando o aspecto morfológico dos pigmentos e o seu relevo muito próprio.
Figure II-6.03 Fundo azul do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Exames ao MO e SEM (BSE) das 164
diferentes camadas, em particular da do esmalte aplicado em 1685 e das duas
camadas coloridas subjacentes ao esmalte, de um rosa pálido (camada 7) e de um
azul claro (camada 8)
Figure II-6.04 Fundo azul do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Estudo por SEM-EDS da sub- 165
camada rosa do esmalte – Espectro da composição elementar e análise semi-
quantitativa.
Figure II-6.05 Fundo azul do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Exames ao MO e SEM da 166
camada azul do esmalte – Estudo por SEM-EDS de um grão de esmalte (1) e
análise semi-quantitativa.
Figure II-6.06 Fundo azul do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Exame ao MO e SEM da camada 167
do azul de esmalte – Estudo por SEM-EDS de um grão de esmalte (2) e análise
semi-quantitativa.
Figure II-6.07 Fundo azul do nicho de S. Paulo (amostra 9-Br2). Exame ao MO e SEM da camada 168
do azul de esmalte – Estudo por SEM-EDS de um grão de esmalte (3) e análise
semi-quantitativa.
Figure II-6.08 Fundo azul do nicho da Virgem da Assunção, na periferia da área luminosa que a 169
envolve (amostra R-B1). Exames ao MO e SEM (BSE) das diferentes camadas, em
particular da do esmalte aplicado em 1685 e da camada rosa subjacente (camada 6).
Figure II-6.09 Fundo azul do nicho da Virgem da Assunção, na periferia da área luminosa que a 170
envolve (amostra R-B1). Estudo por SEM-EDS da sub-camada rosa do esmalte.
Espectro e análise semi-quantitativa que sugerem a presença de materiais corantes
com dominante vermelha, correspondentes essencialmente a compostos de chumbo
e ferro.
xxx
Figure II-6.10 Fundo azul do nicho da Virgem da Assunção (amostra R-B1). Estudo da camada 171
azul do esmalte por SEM-EDS – Espectros de partículas, que acusam diferentes
composições, onde os valores em % de peso de K, Mg, Al,Fe e Co variam.
Figure II-6.11 Fundo azul do nicho dos quatro profetas, no registro da Virgem da Assunção 172
(amostra R-Bleu1). Exames ao MO e SEM (BSE) das diferentes camadas, em
particular da do azul de esmalte (camada 5) aplicado em 1685 e da camada
subjacente do bolo (camada 4) correspondente a do douramento do retábulo.
Figure II-6.12 Fundo azul de um nicho dos quatro profetas, no registo da Virgem da Assunção 173
(amostra R-Bleu1). Estudo por SEM-EDS da camada de azul de esmalte – Espectro
da composição elementar de um grão (1) e análise semi-quantitativa.
Figure II-6.13 Fundo azul (amostra R-B3). Exames ao MO e SEM (BSE) das diferentes camadas, 174
em particular da do azul de esmalte (camada 5) aplicado em 1685 e da camada
subjacente do bolo (camada 4) correspondente a do douramento do retábulo.
Figure II-6.14 Retábulo mor da igreja do mosteiro beneditino de São Romão do Neiva. Este 175
retábulo ocupava originalmente a abside da igreja do mosteiro de São Martinho, em
Tibães, para a qual foi criado em 1664-1665. Trasladado em 1760, foi objecto de
obras e foi recoberto por uma nova policromia. Toda a estrutura retabular apresenta
uma dicromia azul claro e ouro, que se não deve confundir com o revestimento
original do séc. XVII, entretanto desaparecido
xxxi
muito fina de natureza distinta, contendo uma goma e agregações de branco de
chumbo. As marcas grosseiras de pinceladas presentes nesta camada deixam supor
que se trata antes de uma intervenção posterior.
Figure II-7.19 Carnações de uma personagem do friso ( montante esquerdo do retábulo) – 185
Macrofotografia (x40) e tratamento de imagem que manifestam a presença de uma
camada superficial grosseiramente estendida com trincha e que contém pequenos
agregados de matéria sólida.
Figure II-7.20a Espectro FTIR da camada das carnações da personagem do friso (amostra R-C1, 186
cam. 3). Óleo e branco de chumbo.
Figure II-7.20b Difractoragrama das Carnações do Cristo Ressuscitado (4-C1) e de uma 187
personagem do friso (R-C1). Mistura de branco de chumbo e vermelhão em
proporções variáveis.
Figure II-7.21 Estátua de Santo Amaro, proveniente da igreja (hoje destruída) do Colégio de São 188
Bento de Coimbra, esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por
Pascoal de Sousa (1692). Iluminações diferentes permitem ajuizar do aspecto mais
ou menos lustroso das carnes.
Figure II-7.22 Estátua de S. Gregório-o-Grande, (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje 188
destruída), esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por Pascoal de
Sousa (1692). Iluminações diferentes permitem ajuizar do aspecto mais ou menos
lustroso das carnes.
Figure II-7.23 Estátua de Santo Anselmo, (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje destruída), 189
esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por Manuel Ferreira (1692).
No contrato da policromia que chegou até nós, as carnações de Santo Anselmo
foram exigidas “a pincel sobre polimento”.
Figure II-7.24 Estátua de S. Bento (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje destruída). Escultor e 189
pintor anónimos (séc. XVII). As carnações mates de S. Bento devem-se a uma
repolicromia parcial do séc. XIX/XX. Esta figura de devoção continua de ser
apresentada ao culto na igreja de Nossa-Senhora do Carmo, em Coimbra
Figure II-7.25 Estátua de Santo Ildefonso (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje destruída), 189
esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por Manuel Ferreira (1692).
Estados das carnações antes da sua limpeza, em 2003. A acumulação de fuligem e
de cera não impedem ter uma leitura do aspecto satinado dessas carnações.
Figure II-7.26 Estátua de S. Francisca Romana (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje 190
destruída), esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por Pascoal de
Sousa (1692). Iluminações diferentes permitem ajuizar do aspecto mais ou menos
lustroso das carnes e do impacto da iluminação sobre a leitura das fisionomias.
Figure II-7.27 Estátua de S. Gertrudes (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje destruída), 190
esculpida por Cipriano da Cruz (1685) e policromada por Pascoal de Sousa (1692).
O aspecto das carnes é idêntico ao da estátua de S. Francisca Romana (Fig. II-7.20),
com a qual esta forma um par.
Figure II-7.28 Estátua do Anjo Gabriel (da igreja de São Bento de Coimbra, hoje destruída), 191
esculpida por Cipriano da Cruz (1684) e policromada por Pascoal de Sousa (1692).
Tratamento bastante raro do rosto onde os olhos são verdes e o interior das
pálpebras é mais rosa. O actual aspecto alterado das carnações não deixa adivinhar
o grau de brilho que tinham originalmente.
Figure II-7.29 Estátua de uma Pietà, proveniente da igreja (hoje destruída) do Colégio de São 191
Bento de Coimbra. Esculpida por Cipriano da Cruz (1684). Policromia atribuída a
Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac). Salientaremos a coloração vermelha mais
intensa à volta dos olhos que aqui traduz a dor. O actual aspecto alterado das
carnações não deixa adivinhar o grau de brilho que tinham originalmente.
Figure II-7.30 Escultura de S. Comba, proveniente da Sé Velha de Coimbra e hoje exposta na Sé 192
Nova. As carnações foram refrescadas, seja por um repinte, seja pela aplicação de
verniz ou óleo secativo,
Figure II-7.31 Virgem com o Menino, conservada no Museu de Aveiro. Estatueta de Malines (séc. 193
XVI) / Policromia do séc. XVII atribuída a Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac).
Figure II-7.32 Escultura de Nossa Senhora do Rosário, da ex-igreja das dominicanas de Aveiro 193
(actualmente, Museu de Aveiro). Escultura e policromia anónimas do séc. XVII.
Figure II-8.01 Difractogramas das cores azuis do manto da Virgem da Assunção (12-V2 e 12-V3). 194
Azurite, conjugada também com um preto de carbono amorfo para modificar o seu
matiz.
xxxii
Figure II-8.02 Difractogramas das cores verdes extraídas das túnicas de S. Pedro (8-4) e de S. 195
Cosme (7-4), respectivamente. O azurite e o verdigris distinguem-nos.
Figure II-8.03 Difractogramas da cor vermelha empregue no manto do Cristo Ressuscitado (4-C3) 196
e no mármore do túmulo de Cristo (4-C6). Utilização de vermelhão.
Figure II-8.04 Difractograma da cor laranja do manto de S. Mateus (1-M3). Mistura de mínio e de 197
um pouco de vermelhão.
Figure II-8.05 Difractograma da cor vermelha alaranjada do manto de S. Cosme (7-5). Mistura de 198
vermelhão e de giz, e talvez de branco de chumbo também.
Figure II-8.06 Difractograma da cor castanha dos cabelos de S. Cosme (7-3). Presença de 199
pigmentos ocres e pretos (não detectados), associados talvez ao giz.
Figure II-8.07 Difractogramas de adesivos de cor esbranquiçada (9-4) e laranja (2-L3) utilizados 200
na fixação dos motivos em relevo dos brocados de aplicação. Adesivos compostos
por branco de chumbo e mínio.
Figure II-8.08 Difractograma da cor rosa do brocado pintado nos nichos de S. Paulo (9-Br2). Cor 201
composta maioritariamente por branco de chumbo e contendo vermelhão.
Figure II-8.09 Policromia da Virgem – Manto azul com o motivo “anelado por trama” 202
representando uma alcachofra.
Figure II-8.10 Policromia da Virgem – Motivo “anelado por trama” representando uma alcachofra 203
e “bordado de aplicação”, aqui imitado com florões quadrilobados.
Figure II-8.11 Policromia da Virgem – Laca vermelha sobre o reverso do manto e engaste de 204
pedrarias sobre os debruns.
Figure II-8.12 Policromia de S. Pedro – Motivo “anelado por trama” figurando uma pinha e 205
“brocado de aplicação”.
Figure II-8.13 Policromia de S. Pedro – Túnica azul esverdeado com motivos “anelados por 206
trama”. Reverso do manto com laca vermelha.
Figure II-8.14 Detalhe da policromia sobre a túnica de S. Pedro. 207
Figure II-8.15 Policromia de S. Paulo – Motivo “anelado por trama” representando uma alcachofra 208
e “brocado de aplicação” sobre o manto.
Figure II-8.16 Policromia de S. Paulo – “Brocados de aplicação” sobre o manto e a túnica. 209
Figure II-8.17 Policromia de S. Cosme – Cabelos castanhos. Motivos “anelados por trama” de 210
alcachofra sobre o manto.
Figure II-8.18 Policromia de S. Cosme – Detalhe do manto laranja e do estofado. 211
Figure II-8.19 Policromia de S. Cosme – Detalhe dos motivos “anelados por trama” sobre o 212
manto.
Figure II-8.20 Policromia de S. Cosme – Detalhe dos motivos “anelados por trama” sobre o 213
manto.
Figure II-8.21 Policromia de S. Damião – Detalhe dos “brocados aplicados” sobre o manto. 214
Figure II-8.22 Apóstolos – A policromia azul do quarto Apóstolo tem motivo ”anelado por trama” 215
e “brocados de aplicação” com florões lanceolados.
Figure II-8.23 Policromia do Cristo e do túmulo – Manto vermelho do Cristo com motivos 216
“anelados por trama” e “brocados de aplicação”.
Figure II-8.24 Policromia do Evangelista S. João – Manto vermelho e túnica verde com motivos 217
“anelados por trama”.
Figure II-8.25 Policromia do Evangelista S. Mateus – Manto laranja e túnica verde escura. 218
Detalhes do estofado e do engaste de pedrarias (perdidas).
Figure II-8.26 Policromia do Evangelista S. Lucas – Manto vermelho e túnica verde com motivos 219
“anelados por trama”.
Figure II-9.01 Receituário de Bernardo de Montón cuja edição original data de 1734. Edição de 220
1761 (Biblioteca Nacional de Lisboa/ S.A. 12.197 P).
Figure II-9.02 Primeira e ultima edições portuguesas conhecidas do receituário de B. de Montón: 221
a) Edição de 1744 (BNL/ S.A. 17.359 P) ; b) Edição de 1856 (BNL/ S.A. 12.208 P).
Figure II-9.03 Receitas do receituário de B. de Montón correspondentes aos Nos 199 221
(« Composição para imitar bordados… ») e 200 (« Uzo desta composição ») da
edição portuguesa de 1744, reproduzidas nos Nos 54 e 55 na edição de 1818 (BNL/
S.A. 19.961 P).
Figure II-9.04 Cours de Chymie de Pierre Thibaut cuja edição original data de 1667. a) Edição de 222
1674 (BNL/ S.A. 5424); b) Fornos (banhos de areia e banho-maria) e recipientes
que figuram sobre a Gravura Nº3 desta obra.
Figure II-9.05 Histoire générale des Drogues simples & composées de Pierre Pomet cuja edição 223
original data de 1695. Edição de 1735 (BNL/ S.A. 2796).
xxxiii
Figure II-9.06 Representações de zimbros no séc. XVII, extraídas da Histoire générale des 224
Drogues simples & composées de Pomet (edição de 1735 - BNL): a) "Grand
Genevre" ou zimbro comum (Juniperus communis L. da família dos Cupressaceae)
- Gravura Nº 95 ; b) "Petit Genevre" ou zimbro cado, igualmente chamado de
“oxycèdre” (Juniperus oxycedrus L.) - Gravura Nº 96.
Figure II-9.07 Substância à base de goma e à base de resina exsudadas de diferentes vegetais após 225
incisão, e suaa representações no séc. XVII, extraídas da Histoire Générale des
Drogues simples et composées de Pomet (edição de 1735 - BNL) : a) "Lintisque",
ou Lentisco (Pistacia Lentiscus L., da familia das Anarcadiaceae) de onde se tira o
betume - Gravura Nº 89 ; b) "Gomme Elemi" (da família das Burseraceae) -
Gravura Nº 14 ; c) "Assa Fœtida" (arbusto da família das Ferulaceae : Laserpitium
ou então Ferula assafœtida L. por exemplo, da família das Apiaceae) de onde se
retira a goma com o mesmo nome - Gravura Nº 9 ; d) "Sagapenum" (Ferula persica
L., também da família das Apiaceae) de onde se retira a goma de pinheiro - Gravura
Nº 14.
Figure II-9.08 Representação das abelhas e produtos da colmeia no séc.XVII : "Mouches à miel". 226
Gravura Nº 46 extraída da Histoire générale des Drogues simples & composées de
Pomet (edição de 1735 - BNL).
Figure II-9.09 Representação de coníferos no séc. XVII: "Terebenthe, Sapin & Pin". Gravura Nº 226
26 extraida da Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet (1735
- BNL).
Figure II-9.10 Primeiro Corpo do retábulo mor da Sé Velha de Coimbra. Podemos ver, da 227
esquerda para a direita, e de baixo para cima: 1/ grupo de S. Mateus e o anjo – 2/
grupo de S. Lucas, com o boi e o escravo que moe pigmentos – 3/ Natividade – 4/
grupo da Ressurreição – 5/ grupo de S. João e a águia – 6/ grupo de S. Marcos com
o leão – 7/ S. Cosme – 8/ S. Pedro – 9/ S. Paulo – 10/ S. Damião – 11/ grupo dos
Apóstolos – 12/ grupo da Virgem da Assunção. Foto José Pessoa (IJF/IMC)
Figure II-9.11 Numeração dos Doze Apóstolos assistindo à Assunção da Virgem. Para este grupo 228
compacto, disposto em três níveis, a maneira de os contar respeita a leitura
ocidental da esquerda para a direita, e ascensional, de baixo para cima.
Figure II-9.12 Florões lanceolados com formas pontiagudas. 228
Figure II-9.13 Florões quadrilobados com formas arredondadas. 228
Figure II-9.14 Pasta de cor clara proveniente de um ornato de alcachofra. Estudo ao MO e por 229
FTIR (amostra 2-L3 – Túnica de S. Lucas). Predominância da cera.
Figure II-9.15 Pasta de cor clara de um ornato de alcachofra, ao Estudo ao MO e por FTIR 229
(amostra 2-L4 – Túnica de S. Lucas). Predominância da cera.
Figure II-9.16 Pasta de cor clara proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 229
(amostra 4-C4 – Manto do Cristo Ressuscitado). Predominância da cera.
Figure II-9.17 Pasta translúcida de um ornato proveniente de pinha, estudado ao MO e por FTIR 230
(amostra 8-8 cam.1a – Túnica de S. Pedro). Predominância da cera.
Figure II-9.18 Pasta de cor clara proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 230
(amostra 8-9 – Manto de S. Pedro). Predominância da cera.
Figure II-9.19 Pasta de cor laranja proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por 230
FTIR (amostra 8-10 – Manto de S. Pedro). Predominância da cera.
Figure II-9.20 Pasta de cor clara de um ornato de alcachofra, estudado ao MO e por FTIR (amostra 231
9-2 – Manto de S. Paulo). Predominância da cera.
Figure II-9.21 Pasta de cor clara proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 231
(amostra 9-3 – Manto de S. Paulo). Predominância da cera.
Figure II-9.22 Pasta de cor laranja proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por 231
FTIR (amostra9-4 – Manto de S. Paulo). Predominância da cera.
Figure II-9.23 Pasta de cor castanha proveniente de um galão de debrum, estudado ao MO e por 232
FTIR (amostra 10-5 – Manto de S. Damião). Predominância da cera.
Figure II-9.24 Pasta de cor castanha proveniente de um florão quadrilobado, estudado ao MO e 232
por FTIR (amostra 10-6 – Manto de S. Damião). Predominância da cera.
Figure II-9.25 Pasta translúcida proveniente de um florão lanceolado, estudado ao MO e por FTIR 232
(amostra 11-A4.5 – Manto do Apóstolo 4). Predominância da cera.
Figure II-9.26 Pasta de cor castanha proveniente de um florão quadrilobado, estudado ao MO e 233
por FTIR (amostra 12-V1 – Manto da Virgem). Predominância da cera.
Figure II-9.27 a) Cronomatograma da pasta de cor clara proveniente de um galão de debrum, 234
obtido por HTGC após trimetilsililação. A amostra (4-C4 – Manto do Cristo). A
amostra, essencialmente constituída de cera, dá um sinal importante. A presença de
triglicéridos não é posta em evidência. b) Cronomatograma da pasta de cor clara
proveniente de um galão de debrum, após metanólise e trimetilsililação (4-C4 –
xxxiv
Manto do Cristo). Os marcadores de substâncias gordas além das da cera (de qiue
faz parte o ácido palmítico E16.0) são o glicerol e os diácidos (em particular o ácido
azeláico D9).
Figure II-9.28 a) Cronomatograma da pasta de cor clara proveniente de um florão, obtido por 235
HTGC após trimetilsililação (12-V1 – Manto da Virgem). A amostra, constituída
essencialmente de cera, dá um sinal importante. A presença de triglicéridos não é
posta em evidência.
b) Cronomatograma da pasta de cor clara proveniente de um florão, após
metanólise e trimetilsililação (2-V1 – Manto da Virgem). Os marcadores de
substâncias gordas além das da cera (de que faz parte o ácido palmítico E16.0) são
o glicerol e os diácidos (em particular o ácido azeláico D9).
Figure II-9.29 Camada superior alaranjada de um ornato proveniente de pinha, estudado ao MO e 236
por FTIR (amostra 8-8 cam.1b – Túnica de S. Pedro). Cera e óleo.
Figure II-9.30 Camada de “or de couleur” de um ornato de alcachofra, estudado ao MO e por 237
FTIR (amostra 2-L3 – Túnica de S. Lucas). Predominância do óleo.
Figure II-9.31 Camada de “or de couleur” de um galão laranja de debrum, estudado ao MO e por 237
FTIR (amostra 9-4 – Manto de S. Paulo). Óleo e cera.
Figure II-9.32 Camada de “or de couleur” de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 237
(amostra 9-3 – Manto de S. Paulo). Óleo e cera.
Figure II-9.33 Camada de “or de couleur” de um galão laranja de debrum, estudado ao MO e por 238
FTIR (amostra 8-10 – Manto de S. Pedro). Óleo e cera.
Figure II-9.34 Camada de “or de couleur” de debrum proveniente de pinha, estudado ao MO e por 238
FTIR (amostra 8-8 cam.2 – Túnica de S. Pedro). Óleo e cera.
Figure II-9.35 Camada de “or de couleur” de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 238
(amostra 10-5 – Manto de S. Damião). Predominância da cera.
Figure II-9.36 Camada de “or de couleur” de um florão quadrilobado, ao estudado ao MO e por 239
FTIR (amostra 12-V1 – Manto da Virgem). Predominância da cera.
Figure II-9.37 Camada de “or de couleur” de um florão lanceolado, estudado ao MO e por FTIR 239
(amostra 11-A4.5 – Manto do Apóstolo 4). Predominância da cera.
Figure II-9.38 Camada de “or de couleur” de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 239
(amostra 4-C4 – Manto do Cristo Ressuscitado). Predominância da cera.
Figure II-9.39 Adesivo de cor esbranquiçada de um galão do debrum, estudado ao MO e por FTIR 240
(amostra 8-9 – Manto de S. Pedro). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.40 Adesivo de cor esbranquiçada de um galão do debrum, estudado ao MO e por FTIR 240
(amostra 9-3 – Manto de S. Paulo). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.41 Adesivo de cor esbranquiçada de um ornato de alcachofra, estudado ao MO e por 240
FTIR (amostra 9-2 – Manto de S. Paulo). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.42 Adesivo de cor esbranquiçada de um florão lanceolado, estudado ao MO e por 241
FTIR (11-A4.5 – Manto do Apóstolo 4). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.43 Adesivo de cor esbranquiçada de um galão do debrum, estudado por 241
microfotografia e por FTIR (amostra 8-10 – Manto de S. Pedro). Predominância do
aglutinante oleoso.
Figure II-9.44 Adesivo de cor alaranjada de um galão do debrum, estudado ao MO e por FTIR 242
(amostra 7-7 – Manto de S. Cosme). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.45 Adesivo de cor alaranjada de um ornato de alcachofra, estudado ao MO e por FTIR 242
(amostra 2-L4 – Túnica de S. Lucas). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.46 Adesivo de cor alaranjada de um ornato de alcachofra, estudado ao MO e por FTIR 242
(amostra 2-L3 – Túnica de S. Lucas). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.47 Adesivo de cor laranja de um galão de debrum, estudado ao MO e por FTIR 243
(amostra 10-5 – Manto de S. Damião). Aglutinante oleoso contaminado pela cera.
Figure II-9.48 Adesivo de cor laranja de um florão quadrilobado, estudado ao MO e por FTIR 243
(amostra 10-6 – Manto de S. Damião). Aglutinante oleoso contaminado pela cera.
Figure II-9.49 Adesivo cor-de-rosa de um cabochão outrora fixo no debrum, estudado ao MO e 243
por FTIR (amostra 4-C5 – Manto do Cristo). Predominância do aglutinante oleoso.
Figure II-9.50 a) Cronomatograma do adesivo de um ornato de alcachofra, obtido por HTGC após 244
trimetilsililação (amostra 2-L4 – Túnica de S. Lucas). A amostra dá um sinal fraco.
Ela contém quase exclusivamente um óleo mais ou menos oxidado. Observamos
bem as quantidades importantes dos ácidos, palmítico (E16:0) e esteárico (E18:0),
sob a forma de ésteres de trimetilsililação.
b) Cronomatograma do adesivo de um ornato de alcachofra, após metanólise e
trimetilsililação (amostra 2-L4 – Túnica de S. Lucas). Os marcadores de substâncias
gordas além das da cera (de que faz parte o ácido palmítico E16.0) são o glicerol e
os diácidos (em particular o ácido azeláico D9).
xxxv
Figure II-9.51 Pirograma da amostra 2-L4 – Oleo secativo não identificado e cera. 245
Figure II-9.52 Cromatogramas das amostras SFX-J2-2B e SXF-J1-A1 (duas figuras jesuítas), 246
obtidos por HTGC (A e B), e após metanólise ácida e trimetilsililação (C e D).
Figure II-9.53 Brocatel anelado de ouro e prata – Séc. XVI – Espanha / Motivos de pinha 248
(BASTOS, 1954, Est. XXXVI).
Figure II-9.54 Veludo cortado, anelado por trama de ouro laminado – c.1550 – Motivo de romã – 248
Espanha / Itália? (Fundação Abbeg-Stiftung).
Figure II-9.55 Pluvial da Sé Velha de Coimbra – séc. XVI (Museu Nacional de Machado de 249
Castro, de Coimbra / Nº Inventário 525 T).
Figure II-9.56 Pluvial da Sé Velha de Coimbra – séc. XVI (MNMC 525 T). Detalhes dos motivos 250
vegetais anelados por trama de ouro laminado.
Figure II-9.57 Pluvial da Sé Velha de Coimbra – séc. XVI (MNMC 525 T). Detalhes dos motivos 251
vegetais anelados por trama de ouro laminado. Brocado com três altos.
Figure II-9.58 Frontal de altar – séc. XVI (Museu Nacional de Machado de Castro, de Coimbra). 252
Detalhes das bandas medianas e bordadas.
Figure II-9.59 Bandas medianas e bordadas da frente do altar do Convento da Mâe de Deus, em 253
Lisboa (Museu Nacional de Arte Antiga – Nº Inv. 539 Tec.).
Figure II-9.60 Retábulo de Nossa Senhora do Pranto (escultura João Afonso - séc. XV / 254
policromia Manoel da Costa Pereira - 1686 [recoberta]). Vistas gerais.
Figure II-9.61 Nossa Senhora do Pranto (escultura João Afonso - séc. XV / policromia Manoel da 255
Costa Pereira - 1686 [recoberta]). Relevos subjacentes.
Figure II-9.62 S. Comba (escultor anónimo - séc. XVII / pintor anónimo – Atribuição a Manoel da 256
Costa Pereira por Le Gac). Vista geral e detalhe.
Figure II-9.63 S. Comba (pintor anónimo - Atribuição a Manoel da Costa Pereira por Le Gac). 257
Detalhes do debrum no manto.
Figure II-9.64 Manto de S. Comba (a) e vestido da Pietá (b), que usam o mesmo motivo, adaptado 258
ao volume das esculturas e colorido de acordo com a sua iconografia.
Figure II-9.65 Pietà (pintor anónimo – Atribuição a Manoel da Costa Pereira - ca. 1690). Vista 259
parcial das vestes (ver o vestido vermelho da figura anterior [Fig. II-9.64]).
Figure II-9.66 Pietà (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia anónima – Atribuída a 260
Manoel da Costa Pereira por Le Gac - ca. 1690). Vista geral e detalhe.
Figure II-9.67 Pietà (policromia anónima – Atribuída a Manoel da Costa Pereira por Le Gac - ca. 261
1690). Detalhes dos dois motivos de alcachofra do manto.
Figure II-9.68 Nossa Senhora da Conceição (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia 262
Manuel Ferreira - 1691). Vistas gerais.
Figure II-9.69 Nossa Senhora da Conceição (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia 263
Manuel Ferreira - 1691). Detalhes dos ornatos em relevo.
Figure II-9.70 Santo Anselmo (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 264
1691). Vista geral e detalhe de um motivo de alcachofra do pluvial.
Figure II-9.71 Santo Ildefonso (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 265
1691). Vista geral e detalhe de um motivo de alcachofra do pluvial.
Figure II-9.72 Santo Anselmo (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 266
1691). Vista geral e detalhe dos ornamentos do pluvial.
Figure II-9.73 Santo Ildefonso (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 267
1691). Vista geral e detalhe dos ornamentos do pluvial.
Figure II-9.74 Santo Ildefonso (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 268
1691). Detalhe dos “anelados por trama” e “brocados de aplicação”.
Figure II-9.75 Santo Ildefonso (escultura Cipriano da Cruz - 1685 / policromia Manuel Ferreira - 269
1691). Detalhe dos “anelados por trama” e “brocados de aplicação”.
Figure II-9.76 Beato Luis de Gonzague (escultor anónimo - séc. XVII / pintor anónimo - 1688). 270
Vista geral e detalhe do debrum da capinha.
Figure II-9.77 Beato Luis de Gonzague (pintor anónimo - 1688). Debrum em relevo aplicado 271
sobre a capinha e a sotaina.
Figure II-9.78 Beato Stanislas Kotska (escultor anónimo - séc. XVII / pintor anónimo - 1688). 272
Vista geral e detalhe do “anelado por trama” da sotaina.
Figure II-9.79 Beato Stanislas Kotska (pintor anónimo - 1688). Detalhes dos “brocados de 273
aplicação” e pedrarias sobre o debrum da capinha.
Figure II-9.80 Arcanjo São Miguel (escultura Jean de Rouen - 1538 / policromia anónima – 274
Atribuída a Manuel Ferreira por Le Gac). Vista geral e detalhes.
Figure II-9.81 Arcanjo São Miguel (escultura Jean de Rouen - 1538 / policromia anónima – 275
Atribuída a Manuel Ferreira por Le Gac). Detalhes dos ornatos da capa.
Figure II-9.82 Santo António (escultor anónimo - séc. XVI / pintor anónimo – Atribuição a 276
Manoel da Costa Pereira por Le Gac). Vista geral e detalhe do roquete.
xxxvi
Figure II-9.83 Santo António (pintor anónimo - Atribuição a Manoel da Costa Pereira por Le Gac. 277
Detalhes (fotos de 1947 e 2003).
Figure II-9.84 Santo António (pintor anónimo - Atribuição a Manoel da Costa Pereira por Le 278
Gac). Detalhes (fotos de 1947 e 2003).
Figure II-9.85 Santo António (pintor anónimo - Atribuição a Manoel da Costa Pereira por Le 279
Gac). Detalhes dos ornatos da murça: motivos da pinha e do debrum.
Figure II-9.86 Nossa Senhora da Luz (escultor anónimo - séc. XV / pintor anónimo - ca. 1690). 280
Vista geral e detalhes de uma alcachofra e do debrum do manto.
Figure II-9.87 Nossa Senhora da Luz (pintor anónimo - ca. 1690). Detalhes de uma alcachofra e 281
do debrum do manto.
Figure II-9.88 Retábulo mor de Sertã (entalhadores António Gomes e Domingos Nunes - 1686 / 282
pintor Francisco da Rocha - 1691). Vista geral e detalhes.
Figure II-9.89 Retábulo mor de Sertã (pintor Francisco da Rocha - 1691). Detalhe do tecido de 283
brocado imitado sobre antigos fundos de nichos.
Figure II-9.90 Virgem com o Menino (atelier de Malines - séc. XVI / policromia anónima – 284
Atribuída a Manoel da Costa Pereira por Le Gac). Vista geral e detalhe.
Figure II-9.91 Virgem com o Menino (atelier de Malines - séc. XVI / policromia anónima – 285
Atribuída a Manoel da Costa Pereira por Le Gac). Detalhes do debrum com
pedrarias.
xxxvii
xxxviii
FIGURES
xxiii
xxiv
Figure I-1.01 : Chevet de la Sé Velha de Coimbra (mai 2004).
1
Figure I-1.02 : Façade occidentale de la Sé Velha de Coimbra.
© Raph 2005
2
Chevet de la Sé Velha au début du XXe siècle - Clichés extraits de la Revue A Arte, article de José Pessanha (1918).
Figure I-1.05 : Carreaux de faïence mudéjars recouvrant les piliers. Nef de la Sé Velha en 1890.
3
Dessin de Teixeira de Carvalho, fait le 5 juillet 1893.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, 1930, p. 176.
Figure I-1.07 : Fonts baptismaux sculptés par le sculpteur Pedro Anriquez et son frère.
4
Document extrait de l’ouvrage de CHICÓ M., MENDONÇA M. de, PAMPLONA F. de & PERES D.,
História da Arte em Portugal, Porto: Portucalense Editora, 1948, vol. II , Fig. 412.
Figure I-1.08 : Dessin des stalles aujourd’hui disparues du Convento de Cristo, à Tomar.
5
Document extrait de l’ouvrage Portugal Roman (I), Edition Zodiaque la nuit des temps, 1986, planche 10
© Zodiaque 1986
6
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
7
Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais (D.G.E.M.N.)
Document extrait du Boletim da D.G.E.M.N., nº 109, consacré à la Sé Velha de Coimbra, 1962, Fig. 2.
Figure I-2.03 : Plan de la Sé Velha de Coimbra et localisation (en rouge) du retable majeur.
8
5 m
9
SECOND CORPS
7ème Registre
6ème Registre
PREMIER
CORPS
4ème Registre
3ème Registre
2ème Registre
Figure I-2.05 :
Structure PREDELLE
du retable majeur 1er Registre
de la Sé Velha.
----------------------------------------
10
Figure I-2.06 : Prédelle a) à six compartiments où siègent les Quatre Evangélistes, b) ainsi qu’une
Nativité et le groupe de la Résurrection au centre de ce Premier Registre.
11
Figure I-2.07 : Premier Corps du retable majeur de la Sé Velha.
12
Figure I-2.08 : Second Corps du retable majeur de la Sé Velha
13
Fig. I-2.09a : Groupes de saint Matthieu et de saint Luc au niveau de la prédelle, à dextre du retable.
Fig. I-2.09b : Groupes de saint Jean et de saint Marc au niveau de la prédelle, à senestre du retable.
Figure I-2.09 : Les Quatre Évangélistes au niveau de la Prédelle. Photo J. Pessoa (IMC)
14
Fig. I-2.10a – Coupole en plan redressée. Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do Instituto dos Museus e da
Conservação (IMC)
15
Figure I-2.11 : Chauve-souris sculptée sur la console inférieure de l’une des niches encadrant la
Vierge de l’Assomption.
16
Fig. I-2.12c – Blason au cinquième registre, au pied de la Croix, dans la zone de transition entre les deux
Corps du retable - Hauteur du blason : 102 cm.
Fig. I-2.12b – Blason au quatrième registre, sous les pieds de la Vierge - Hauteur du blason : 47 cm.
Fig. I-2.12a – Blason au niveau de la frise, à la base du mobilier - Hauteur du blason : 14 cm.
Figure I-2.12 : Les trois blasons de l’évêque D. Jorge de Almeida qui figurent dans le retable,
suivant une lecture ascensionnelle et par ordre croissant de taille. Photo J. Pessoa (IMC).
17
Document extrait de Buyle Marjan et Vanthillo Christine, Herentals – Retable des saints Crépin et Crépinien,
In Retables flamands et brabançons dans les monuments belges, Bruxelles,
Ministerie van de Vlaamse Gemeenschap, Afdeling Monumenten en Lanschappen, 2000, illustration p. 183.
Figure I-2.13 : Retable des saints Crépin et Crépinien de l’église Sainte-Waudru à Herentals, signé
Passier Borman et réalisé vers 1520. Dans ce retable bruxellois, on remarquera le couronnement en
forme d’accolades et le décor architectonique fort élaboré de la partie supérieure.
18
Extrait de Steyaert Delphine et Périer-d’Ieteren Catheline,
Retable de la Vierge,
In Guide bruxellois des retables des Pays-Bas
méridionaux (XVe-XVIe siècles), Bruxelles: Université
Libre de Bruxelles, Centre de Recherches et d’Etudes
technologiques des Arts plastiques, 2000, Fig. 1, p. 20.
19
Document extrait de Borchgrave d’Altena J. et Mambour Josée, Retables en pierre du Hainaut,
Mons: Fédération du Tourisme de la Province de Hainaut, 1968, illustration p. 31.
20
Document extrait de Borchgrave d’Altena J. et Mambour Josée, Retables en bois du Hainaut,
Mons: Fédération du Tourisme de la Province de Hainaut, 1983 (2ème édition), illustration p. 20.
Figure I-2.17 : Retable marial de la Flamengrie (chapelle Saint-Martin de Roubaix), produit dans
les années 1527-1530. La caisse est surmontée d’accolades et de fleurons qui donnent à l’ensemble
sculpté une dynamique importante.
21
Document extrait de De Boodt Ria, Centres de production et organisation du travail,
In Retables flamands et brabançons dans les monuments belges, Bruxelles,
Ministerie van de Vlaamse Gemeenschap, Afdeling Monumenten en Lanschappen, 2000, illustration p. 22.
Figure I-2.18 : Retable de la Passion de Claude Villa et Gentina Solaro, réalisé vers 1470. Dans ce
retable bruxellois, typique du patronage que connaissait l’art de cour, on remarquera les dentelles
de bois qui bordent les cintres des arcs.
22
Document extrait de Buyle Marjan et Vanthillo Christine, Geel – Retable de sainte Dymphne,
Retables flamands et brabançons dans les monuments belges, Bruxelles,
Ministerie van de Vlaamse Gemeenschap, Afdeling Monumenten en Lanschappen, 2000, illustration p. 171.
Figure I-2.19 : Retable de sainte Dymphne de l’église Sainte-Dymphne à Geel, réalisé vers 1510-
1520. Dans ce retable brabançon, on remarquera le motif du Calvaire placé en amortissement.
23
Bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XII.
24
Bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XIII.
25
Détail du bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XIII.
26
Détail du bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XIII.
Figure I-2.24 : Signalisation d’éléments manquants dans le retable majeur en 1892 se rapportant à
de nombreux éléments filiformes de la structure portante et de la figuration (anges de
l’Assomption et armoiries de l’évêque D. Jorge de Almeida sous les pieds de la Vierge).
27
Bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XVII.
Figure I-2.25 : Nef et vue partielle de l’abside (côté méridional) de la Sé Velha, en 1893.
28
Détail du bromure de J. Sartoris, autrefois conservé à la Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais.
Document extrait de l’ouvrage de Vasconcelos, A Sé-velha de Coimbra, Arquivo da Universidade de Coimbra,
[1930] 1992, planche XVII.
29
Cliché de Bordallo fait expressément pour la Revue A Arte
Document extrait de Pessanha, A Sé Velha de Coimbra, A Arte,
1918, illustration p. 17.
30
Photographie de la maison Rasteiro
Document extrait du second volume de A História da Arte em Portugal, Portucalense Editora, Porto,
1948, Fig. 410, p. 446.
31
Document extrait de Reis-Santos, Olivier de Gand. Sculpteur du XVIe siècle au Portugal,
in Hommage au Professeur D. Roggen, Anvers, 1957 – Reproduit en 1997
In Estudos sobre Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina, Pedro Dias (Coor.), Lisboa,
Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, p. 47.
32
Document extrait de Reis-Santos, Olivier de Gand. Sculpteur du XVIe siècle au Portugal,
in Hommage au Professeur D. Roggen, Anvers, 1957 – Reproduit en 1997
In Estudos sobre Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina, Pedro Dias (Coor.), Lisboa,
Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, p. 47.
Figure I-2.30 : Détail du retable majeur de la Sé Velha, vers 1957, sans le tabernacle.
33
Direcção Geral dos Edifícios e Monumentos Nacionais (D.G.E.M.N.)
Document extrait du Boletim da D.G.E.M.N., nº 109, consacré à la Sé Velha de Coimbra,
1962, Fig. 33.
34
Document extrait de Macedo, O retábulo-mor da Sé Velha de Coimbra,
In Actas do IV Simpósio Luso Espanhol de História da Arte, Coimbra, 1988 – Reproduit en 1997
In Estudos sobre Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina, Pedro Dias (Coor.), Lisboa:
Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, p. 219.
35
Document extrait du catalogue d’exposition:
O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina, Lisboa,
Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997, p. 91.
36
a b c
Figure I-2.34 : Statuettes de a) sainte Barbe, b) saint Jérôme et c) saint Grégoire données comme
provenant du retable majeur de la Sé Velha, et appartenant au fonds de collection du Museu
Nacional Machado de Castro de Coimbra.
Document extrait de Grilo Fernando, A escultura em madeira de influência flamenga em Portugal. Artistas e obras,
In O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina, Lisboa,
Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997, illustration p. 92.
37
Document extrait de Grilo Fernando, A escultura em madeira de influência flamenga em Portugal. Artistas e obras,
In O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina,
Lisboa: Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997.
Illustration, p. 79.
38
Document extrait de Grilo Fernando, A escultura em madeira de influência flamenga em Portugal. Artistas e obras,
In O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina,
Lisboa: Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997.
Illustration, p. 79.
Fig. I-2.37 : Détail du retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500), où le groupe sculpté de
la Pietà, situé au centre du premier registre, contient une figuration nombreuse avec saint Jean et
les trois saintes femmes (Marie Madeleine, Marie de Cléophas, et Marie, mère de Jacques et Jean).
39
Document extrait de Grilo Fernando, A escultura em madeira de influência flamenga em Portugal. Artistas e obras,
In O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina,
Lisboa: Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997.
Illustration, p. 79.
40
Document extrait de Grilo Fernando, A escultura em madeira de influência flamenga em Portugal. Artistas e obras,
In O Brilho do Norte. Escultura e Escultores do Norte da Europa em Portugal. Época Manuelina,
Lisboa: Comissão Nacional para as Comemorações dos Descobrimentos Portugueses, 1997.
Illustration, p. 79.
41
R-O1
MO x65 1c
R-O1
MEB (BSE) 1b
x100 – 25 kV
1a
Fig. I-3.01a
R-O1
MO x65
Fig. I-3.01b
42
R-O1 Cam 1b (1502)
R-O1
MO x65
R-O1 Cam 1b
1a (1502)
(1508) – avec particule noire
R-O1
MO x65
43
R-O1 Cam 1c (1502)
R-O1
MO x65
R-O1
MO x65
44
R-B1 Cam 1a (1502)
R-Bl
MO x110
R-Bl
MO x110
Figure I-3.04: Apprêts gothiques du retable dans l’espace de l’Assomption (échantillon R-Bl).
a) diffractogramme de la première passe (couche 1a) de l’enduit double ;
b) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de cet enduit.
45
9-Br
MO x110 2
Bois
Fig. I-3.05a
9-Br
MO x110
Fig. I-3.05b
46
4-Sb1 Cam 1b (1502)
4-Sb1
MO x65
R-O1 Cam
4-Sb1 Cam1a
1c (1508)
(1502)
4-Sb1
MO x65
Figure I-3.06: Apprêts gothiques sous les carnations d’un soldat de la Résurrection (éch. 4-Sb1).
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ;
b) diffractogramme de la troisième passe (couche 1c) de cet enduit.
47
R-O1 – detail de la dorure de 1502
MEB/ BSE – x100 – 25 keV
RO1502a.imp
Première analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
RO1502b.imp
Seconde analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
RO1502c.imp
Troisième analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
Figure I-3.07 : Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur la
structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les spectres obtenus et leur respective
composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
48
R-O1 – detail de la dorure de 1502
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV
RO1502b.imp
Analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools RO1502A 22.10.2005 (14:33)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
RO1502B 22.10.2005 (14:38)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
RO1502C 22.10.2005 (14:42)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure I-3.08 : Etude semi quantitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur
la structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les résultats obtenus indiquent que l’alliage
d’or ne comporte ni argent (Ag), ni cuivre (Cu). Il est pur.
49
9-Br2 – MO x110 détail de la dorure 9-Br2 – MEB/BSE x1500 – 25 keV 9-Br2 – MEB/BSE x2000 – 25 keV
9Br2au1.imp
Première analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
9Br2au2.imp
Seconde analyse ponctuelle au MEB-EDS (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque gothique (1502)
Figure I-3.09 : Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur un
brocart appliqué de la niche de St Paul (échantillon 9-Br2) – Les deux spectres obtenus et leur
respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
50
R-Bl – MO x65 R-Bl – MEB/BSE x80 – 25 keV R-Bl – MEB/ SE x1500 – 25 keV
RBlag8.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’argent employée à l’époque gothique (1502)
===============================
RBLAG8 21.02.2006 (16:08)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RBlag8.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
51
Figure I-3.11 : Aspect actuel des vêtements de saint Paul, présentant peut-être une certaine parité
avec l’aspect plus ancien de « brocarts-appliqués couvrants ».
52
Figure I-3.12 : Aspect actuel des chausses de saint Damien, rappelant fortement l’aspect plus
ancien de « brocarts-appliqués isolés » sur glacis coloré.
53
Photo IPPAR
54
Photo J. Pessoa (IJF/IMC), hecktachrome Nº 13332.
Figure I-3.14 : Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts-
appliqués. Etat de conservation en 1976.
55
Figure I-3.15 : Les brocarts-appliqués qui ornaient les pans latéraux de la niche de saint Luc ont
été recouverts par une nouvelle polychromie en 1685. Ils ne sont décelables qu’en lumière rasante.
56
Figure I-3.16 : Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts-
appliqués. Etat de conservation en 2004.
57
Figure I-3.17 : Fragments de plaques de brocart-appliqué juxtaposées, dont la coupe et
l’orientation aléatoires ne permettent pas d’avoir une bonne lecture du patron textile imité, même
si certaines parties ont conservé des rehauts à la laque rouge qui doivent mieux définir le motif.
58
Figure I-3.18 : La plaque de brocart-appliqué la plus grande, située à la verticale dans l’angle
supérieur gauche de la niche de saint Luc, mesure 17,1 cm x 11 cm.
59
Figure I-3.19 : Détails des brocarts-appliqués dont les lignes en relief correspondent à celles
d’abord gravées (donc en creux) dans la matrice. On compte 11-12 lignes / cm2.
60
Fig. 1-3.21a
Fig. 1-3.21b
Figure 1-3.20: a) Dessin des motifs du brocart-appliqué, autrefois rehaussé de laque rouge.
b) Superposition du décalque du motif supérieur gauche (en rouge) sur le motif supérieur droit (en
noir). Les dessins ne coïncident pas totalement.
61
Les Noces de Cana
62
La Vierge et l’Enfant Jésus,
avec Sainte Catherine d’Alexandrie,
sainte Barbe, sainte Ursule et sainte Cécile.
Document extrait de BERNARD Bruce, A Rainha do Céu, 1989, Porto: Edições ASA, illustration p. 112.
Fig.1-3.22 : Tissu de brocart dans une peinture du Maître de la Vie de Sainte Lucie (actif en 1480).
63
Figure 1-3.23 : Tissu de brocart dans une peinture de Gérard David (c. 1506).
64
La Vierge à l'Enfant assise sur le trône,
entourée des saints Jean-Baptiste enfant,
Joseph, Jérôme, Justine et François.
Document extrait de ZUFFI Stefano, Venecia, Colección Capitales del arte, Sociedad Editorial Electa España, 1999.
Illustration p. 219
Figure 1-3.24 : Tissu de brocart dans une peinture de Paolo Véronèse (1562).
65
Fig. I-3.25a - Pâte d’un brocart-appliqué fixé, en 1502, sur la niche de saint Luc (échant. 2-Br2).
Pyrogramme (Total Ion Chromatogram), réalisé à 610 ºC, dont les pics correspondent tous à des acides gras
méthylés. Aucun composé caractéristique des résines naturelles n’a été détecté.
Fig. I-3.25b - Pâte d’un brocart-appliqué fixé, en 1502, sur la niche de saint Luc (échant. 2-Br2).
Le chromatogramme (Extracted Ion Chromatogram) sélectionné sur l’ion 74 (m/z = 74) présentent des acides
gras saturés au nombre pair d’atomes de carbone, dont le pic le plus intense correspond au composé 7
(C16:0), caractéristique de la cire d’abeille. La présence d’acide azélaïque et de quelques acides gras au
nombre impair d’atomes de carbone laisse supposer l’ajout d’une huile à la cire.
66
Fig. I-3.26a - Pâte d’un brocart-appliqué fixé, en 1502, sur la niche de saint Luc (échantillon 2-Nicho).
Pyrogramme (Total Ion Chromatogram), réalisé à 610 ºC, dont les pics correspondent tous à des acides gras
méthylés. Aucun composé caractéristique des résines naturelles n’a été détecté.
Fig. I-3.26b - Pâte d’un brocart-appliqué fixé, en 1502, sur la niche de saint Luc (échantillon 2-Nicho).
Le chromatogramme (Extracted Ion Chromatogram) sélectionné sur l’ion 74 (m/z = 74) présentent des acides
gras saturés au nombre pair d’atomes de carbone, dont le pic le plus intense correspond au composé 7
(C16:0), caractéristique de la cire d’abeille. La présence d’acide azélaïque et de quelques acides gras au
nombre impair d’atomes de carbone laisse supposer l’ajout d’une huile à la cire.
67
9-Br1 cam 3 (1502)
3
2
1b
1a
support
9-Br1 – MO x110
Figure 1-3.27 : Diffractogramme de la couche jaune orangée à l’huile, servant à fixer un brocart-
appliqué sur le fond de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br1).
68
9-Br2 – MO x110 9-Br2 detail pâte brocart 1502 MEB/ BSE x400 – 25 keV
9br2bro2
Analyse EDS d’une aire de (20 x 20) µm2 de la pâte d’un brocart-appliqué gothique confectionné en 1502
===============================
9BR2BRO2 14.03.2006 (11:15)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
9br2bro2
Quantifications des éléments de l’analyse EDS ci-dessus
Figure I-3.28 : Etude au MEB-EDS de la pâte d’un brocart-appliqué fixé, en 1502, sur la niche de
saint Paul (échantillon 9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui indiquent nettement
l’emploi de pigments à base de plomb (minium orange et blanc de plomb) et à base de fer (ocre
jaune), et peut-être de calcium (craie ?). Ces pigments servent de charge et peut-être de siccatifs.
69
Figure I-3.29 : a) Pyrogramme (Total Ion Chromatogram) et b) Chromatogramme (Extracted Ion
Chromatogram - m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué de la niche de saint Paul (échantillon
9-Br), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à base de cire. Elle contient vraisemblablement un
peu d’huile, impossible à identifiée.
70
9-Br2 – MO x110
9-Br2 détail de la feuille d’étain employée, en 1502, comme agent démoulant du brocart-appliqué
MEB/ BSE x400 – 25 keV
9br2sn1
Analyse EDS d’une aire de (10 X 10) µm2 – feuille d’étain employée, en 1502, pour faire le brocart-appliqué
9br2sn1
Spectre obtenu après analyse au MEB-EDS
Figure I-3.30 : Etude au MEB-EDS de la feuille d’étain qui a permis de faire et de démouler un
brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon 9-Br2). Le spectre indique
nettement l’emploi d’étain pur, la composition élémentaire n’accusant que Sn.
71
9-Br2 – MO x110 9-Br2 detail or de couleur 1502 MEB/ BSE x400 – 25 keV
9br2ssn2
Analyse EDS d’une aire de (4x4) µm2 de la couche d’or de couleur servant à poser la dorure du brocart
===============================
9BR2SSN2 14.03.2006 (11:09)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
9br2ssn2
Quantifications des éléments de l’analyse EDS ci-dessus
Couche d’or de couleur, ou « huile de litharge » (?) servant à poser la dorure du brocart-appliqué, en 1502
Figure I-3.31 : Etude au MEB-EDS de la couche d’or de couleur ayant permis l’application de
feuille d’or sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (Echantillon 9-Br2). Spectre
et analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de siccatifs à base de plomb (litharge ?) et
aussi de cuivre (vert-de-gris ?), dans cette technique de dorure grasse et mate.
72
9-Br2 – MO x110 9-Br2 MEB/ BSE x150 – 25 keV 9-Br2 MEB/ SE x150 – 25 keV
9br2cu1
Analyse EDS d’une aire de (4 x 4) µm2 de la couche de résinate de cuivre réalisée en 1502
9br2cu1
Spectre obtenu après analyse au MEB-EDS
Figure I-3.32 : Etude au MEB (images BSE et SE) et MEB-EDS de la laque colorée qui recouvre
la feuille d’or, sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (Echantillon 9-Br2). La
composition élémentaire accuse nettement le cuivre (Cu), qui fait supposer l’emploi de résinate de
cuivre et donc d’une laque verte.
73
R-O1 – detail de la dorure de 1583
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools RO183A 22.10.2007 (14:46)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
RO183B 22.10.2007 (14:50)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
RO183C 22.10.2007 (14:55)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure I-4.01 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1583 (échantillon R-O1). Approche
semi-quantitative, qui indique que l’alliage d’or est pur.
74
6. Bleu de Prusse
(1900 ?)
5. Bleu de smalt
(1685)
4. Bolus (1685)
3. Apprêts blancs
(1685)
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
6. Bleu de Prusse
5. Bleu de smalt
4. Bolus
3. Apprêts blancs
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
Figure I-4.02 : Examens aux MO et MEB des différentes couches composant le fond bleu d’un
fenestrage (échantillon R-B3), en particulier du bleu de smalt appliqué en 1583. L’analyse
ponctuelle au MEB-EDS reflète bien l’emploi d’un verre (Si) potassique (K) coloré au cobalt (Co)
et contenant des traces de nickel (Ni).
75
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 274 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 281
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 269 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 286
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
76
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 275 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 282
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 270 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 287
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
Figure I-5.02 : Détail des niches vides qui abritent les quatre saints patrons du retable majeur de la
Sé Velha. Contrairement aux panneaux latéraux qui présentent l’imitation d’un tissu de brocart,
peint en deux tons de rose à l’époque baroque, le panneau central du fond de ces niches ne porte
pas de polychromie. Nous pensons y voir les marques d’un grattage des couches anciennes, qui ont
laissé des vestiges de préparation blanche dans les fibres du bois. Ces panneaux ne sont pas
visibles lorsque les sculptures y sont adossées.
77
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 282 - Photo José Pessoa (1976)
Figure I-5.03 : Détail de la niche vide de saint Paul. Les couches anciennes semblent avoir été
grattées sur le panneau central du fond. Il est possible que cette intervention ait eu lieu en 1685,
pour répondre à l’une des clauses du contrat de polychromie qui prévoyait de « laver le retable
jusqu’au bois ».
78
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 302
Photo José Pessoa
Figure I-5.04 : Retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Détail de la niche vide qui abrîte le
groupe sculpté de saint Matthieu, au premier registre. Le double panneau central du fond de cette
niche ne porte pas de polychromie et a nécessairement fait l’objet d’un grattage des couches
anciennes, dont les « brocarts-appliqués couvrants ».
79
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 280 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 285
Revers de saint Pierre Revers de saint Paul
Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 273 Archives IJF / Dossier 236 / Photo Nº 292
Revers de saint Côme Revers de saint Damien
Figure I-5.05 : Détail des revers des quatre saints patrons du retable de la Sé Velha. Les marques
d’outils, de gouge (Sts Paul et Côme) ou d’herminette (Sts Pierre et Damien), montrent le travail
différencié de l’évidement des pièces que l’on doit très certainement à deux sculpteurs.
80
Archives IJF / Dossier 234 / Photo Nº 183 Archives IJF / Dossier 234 / Photo Nº 189
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
Archives IJF / Dossier 234 / Photo Nº 220 (détail) Archives IJF / Dossier 234 / Photo Nº 187
Photo José Pessoa Photo José Pessoa
Figure I-5.06 : Détail de quatre anges de la voûte. Il apparaît clairement que les deux anges portant
des instruments de la Passion du Christ, soit celui portant la couronne d’épine (Nº 220, en bas à
gauche) et celui portant la lance de la Crucifixion (Nº 187, en bas à droite), sont de la main d’un
autre sculpteur que les deux autres dont les attributs ont été perdus (Nº 183 et 189, en haut). Il nous
semble que ces derniers sont d’origine, ou en tout cas qu’ils sont plus anciens. La taille des
volumes et des plis est à la fois plus complexe et plus raffinée. Les aspects morphologiques des
visages semblent traités avec plus de soins.
81
Groupe de l’Evangéliste saint Luc (2) Archives IJF / Dossier 237 / Clichés Nº 324 et 326
Prédelle Photo José Pessoa – 1976
Figure I-8.01 : Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Luc, sculpté vers 1500 pour le
retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. La facture des personnages, autant que l’essence de
bois employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
82
Groupe sculpté de la Résurrection (4) Archives IJF / Dossier 237 / Clichés Nº 339 et 342
Prédelle Photo José Pessoa – 1976
Figure I-8.02 : Face et revers du groupe de la Résurrection, sculpté vers 1500 pour le retable
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois employée (chêne)
indiquent que ce groupe est d’origine.
83
Groupe sculpté de la Nativité (3) Archives IJF / Dossier 237 / Clichés Nº 332 et 334
Prédelle Photo José Pessoa – 1976
Figure I-8.03 : Face et revers de la Nativité sculptée en 1899 lors de la restauration du retable
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois employée
(châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque que celle du retable.
84
Groupe sculpté de l’Evangéliste saint Marc (6) Archives IJF / Dossier 238 / Clichés Nº 354 et 357
Prédelle Photo José Pessoa – 1976
Figure I-8.04 : Face et revers de l’Evangéliste saint Marc sculpté en 1899 lors de la restauration du
retable de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois employée
(châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque que celle du retable.
85
Groupe sculpté de l’Evangéliste saint Jean Détail de l’aigle restitué en 1899
Prédelle (Archives IJF / Dossier 238 / Clichés Nº 345, 348 et 347)
Figure I-8.05 : Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Jean, restauré en 1899 lors de
l’intervention de grande envergure sur le retable de la Sé Velha. La facture de l’aigle, autant que
l’essence de bois employée (châtaignier) indiquent que cet attribut a été refait.
86
Détail d’une photographie de José Pessoa (Arquivo de Fotografias - IJF/IMC) – 2000
Figure I-8.06 : L’Assomption dans le retable majeur de la Sé Velha. Sur l’ensemble des Anges qui
entourent la Vierge, deux seulement (vêtus de rouge) sont originaux. Les autres datent de 1899.
87
Ange de l’Assomption de la Vierge - original Ange de l’Assomption de la Vierge - 1899
Localisé dans l’angle inférieur senestre (Nº 12-A1) Localisé au mileu, à senestre (Nº 12-A3)
Figure I-8.07 : Détails de deux Anges de l’Assomption de la Vierge, dans le retable majeur de la
Sé Velha. Leurs formes autant que leurs polychromies révèlent les goûts de deux époques
différentes. Le premier (Nº 12-A1), dont l’expression est gothique, porte le sgraffito
caractéristique de la repolychromie appliquée en 1685. Le second (Nº 12-A3), de facture beaucoup
plus récente, porte les effets de dorure et de couleur propres à la restauration de 1900.
88
Figure I-8.08 : Détails de différentes interventions effectuées en 1899-1900, sur le retable majeur
de la Sé Velha de Coimbra, au niveau des éléments sculptés du mobilier : fixation de décoration
architectonique à l’aide de vis et application d’une nouvelle dorure sur mixtion, sur une étoile d’un
fenestrage. La mixtion jaune clair déborde sur le fond bleu.
89
3-V1 Cam 1 (1900)
3-V1
MO x220
Figure I-8.09 : Diffractogramme des apprêts appliqués sur la Vierge de la Nativité, en 1900.
R-E1
MO x110
R-E1
MEB (BSE)
X1500 – 25 keV
Figure I-8.10 : Diffractogramme de la mixtion jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de
dorure à l’huile sur une étoile de la structure portante (échantillon R-E1).
90
Échantillon R-E1 – MEB (BSE) X5000 – 25 keV
91
3-V3 – détail de la dorure de 1900
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV
3V3au1.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
3V3au2.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x6000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
3V3au3.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x8000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
Figure I-8.12 : Spectres EDS de la dorure appliquée en 1900, sur la Vierge du groupe de la
Nativité (échantillon 3-V3). Analyses ponctuelles qui démontrent que l’alliage d’or contient de
l’argent et du cuivre.
92
===============================
3V3AU1 22.10.2007 (16:05)
===============================
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @ 41.2 1.03121 1.04585 17.49 44.04 + 5.26 *
Cu K-alpha @ 12.8 1.09273 1.02716 3.49 8.79 + 2.47
Ag L-ser @ 7.4 1.04693 1.00355 2.24 5.63 + 3.82 *
Al K-ser @ 2.4 1.01475 1.00195 0.67 1.69 + 1.42 <
K K-alpha @ 1.7 1.05177 1.00242 0.36 0.92 + 0.86 <
Pb M-ser @ 26.2 1.03582 1.03532 11.09 27.92 + 6.16 *
Si K-ser @ 4.0 1.02202 1.00294 0.98 2.47 + 0.77 *
Fe K-alpha @ 8.1 1.08218 1.01597 1.91 4.80 + 1.61
Ca K-alpha @ 7.1 1.05675 1.00302 1.49 3.74 + 1.14 *
3-V3 – détail de la dorure de 1900 -----------------------------------------------------------------
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV standardless 39.71 100.00 [1s]
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @ 62.1 1.03165 1.02891 27.92 68.67 + 6.25 *
Ag L-ser @ 25.8 1.04759 1.00368 8.12 19.98 + 7.36 *
Cu K-alpha @ 16.3 1.09403 1.02957 4.62 11.35 + 2.55
-----------------------------------------------------------------
standardless 40.66 100.00 [1s]
3V3au1.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
===============================
3V3AU2 22.10.2007 (16:11)
===============================
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @ 70.9 1.03291 1.05638 31.12 36.03 + 5.79
Cu K-alpha @ 19.0 1.09778 1.02599 5.56 6.44 + 2.64
Ag L-ser @ 8.2 1.04949 1.00324 2.60 3.01 + 3.07
Al K-ser @ 6.2 1.01555 1.00179 1.78 2.06 + 0.90
Si K-ser @ 6.6 1.02321 1.00271 1.70 1.96 + 0.66
Fe K-alpha @ 11.2 1.08665 1.01455 2.79 3.23 + 1.53
Ca K-alpha @ 6.0 1.05984 1.00273 1.31 1.52 + 1.15
K K-alpha @ 1.0 1.05458 1.00209 0.23 0.27 + 0.59 <
3-V3 – détail de la dorure de 1900 Pb M-ser @ 88.1 1.03777 1.02945 39.28 45.47 + 8.37
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV -----------------------------------------------------------------
standardless 86.38 100.00 [2s]
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @131.2 1.03323 1.02389 61.51 81.96 +11.30 *
Ag L-ser @ 22.9 1.04998 1.00337 7.49 9.99 + 6.86 *
Cu K-alpha @ 20.1 1.09875 1.02767 6.04 8.05 + 2.56
-----------------------------------------------------------------
standardless 75.05 100.00 [2s]
3V3au2.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x6000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
===============================
3V3AU3 22.10.2007 (16:16)
===============================
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @ 96.8 1.03110 1.03429 41.15 56.18 + 8.31
Cu K-alpha @ 19.9 1.09241 1.02698 5.41 7.38 + 3.69
Ag L-ser @ 5.4 1.04677 1.00343 1.62 2.21 + 3.04
Al K-ser @ 9.7 1.01470 1.00208 2.68 3.65 + 1.23
Si K-ser @ 16.9 1.02194 1.00297 4.11 5.61 + 1.19
Fe K-alpha @ 15.4 1.08190 1.01549 3.57 4.87 + 1.95
Ca K-alpha @ 4.8 1.05656 1.00296 0.99 1.35 + 1.15
K K-alpha @ 2.4 1.05159 1.00225 0.51 0.69 + 1.13 <
3-V3 – détail de la dorure de 1900 Pb M-ser @ 31.3 1.03570 1.03191 13.22 18.04 + 6.70
MEB/ BSE – x4000 – 25 keV -----------------------------------------------------------------
standardless 73.24 100.00 [2s]
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @140.4 1.03310 1.02409 65.58 81.19 +11.20 *
Ag L-ser @ 24.5 1.04978 1.00339 7.99 9.89 + 8.25 *
Cu K-alpha @ 24.1 1.09836 1.02770 7.20 8.91 + 3.13
-----------------------------------------------------------------
standardless 80.77 100.00 [2s]
3V3au3.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x8000) de la feuille d’or employée pour la restauration du retable (1900)
93
R-E1 – detail de la dorure de 1900
MEB/ BSE – x1000 – 25 keV
RE1au2a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée pour restaurer le retable (1900)
RE1au2b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée pour restaurer le retable (1900)
RE1au2c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée pour restaurer le retable (1900)
Figure I-8.14 : Spectres EDS de la dorure appliquée en 1900 sur une étoile du retable (zone
supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les résultats obtenus montrent que l’alliage d’or
contient de l’argent et du cuivre.
94
===============================
RE1AU2 22.10.2007 (16:58)
===============================
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @107.6 1.03347 1.03401 49.68 61.53 + 8.33 *
Ag L-ser @ 17.7 1.05034 1.00327 5.77 7.15 + 4.85 *
Cu K-alpha @ 15.0 1.09945 1.02679 4.52 5.60 + 2.36
Fe K-alpha @ 1.4 1.08814 1.01477 0.35 0.43 + 0.78 <
Ca K-alpha @ 5.4 1.06087 1.00268 1.22 1.51 + 1.04
Al K-ser @ 1.4 1.01582 1.00192 0.42 0.53 + 0.89 <
Si K-ser @ 2.8 1.02361 1.00301 0.74 0.92 + 0.59 *
R-E1 – detail de la dorure de 1900 Pb M-ser @ 39.2 1.03842 1.02989 18.03 22.33 + 6.96 *
MEB/ BSE – x1000 – 25 keV -----------------------------------------------------------------
standardless 80.74 100.00 [2s]
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @131.7 1.03333 1.02414 61.97 81.62 +10.42 *
Ag L-ser @ 28.8 1.05012 1.00336 9.50 12.51 + 7.01 *
Cu K-alpha @ 14.7 1.09902 1.02794 4.46 5.87 + 2.61
-----------------------------------------------------------------
standardless 75.93 100.00 [2s]
RE1au2a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée sur une étoile pour la restaurer (1900)
===============================
RE1AU2B 22.10.2007 (17:09)
===============================
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @105.3 1.03366 1.02306 49.87 85.52 +12.07 *
Ag L-ser @ 13.9 1.05062 1.00331 4.61 7.91 + 7.43
Cu K-alpha @ 11.0 1.10002 1.02731 3.35 5.74 + 3.35
Ca K-alpha @ 2.1 1.06122 1.00272 0.48 0.83 + 1.31 <
-----------------------------------------------------------------
standardless 58.31 100.00 [2s]
*** PUzaf results ***
R-E1 – detail de la dorure de 1900 elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
MEB/ BSE – x1500 – 25 keV Au M-ser @102.6 1.03359 1.02316 48.55 84.49 +12.23 *
Ag L-ser @ 15.7 1.05051 1.00331 5.21 9.07 + 8.63
Cu K-alpha @ 12.1 1.09980 1.02746 3.70 6.44 + 3.48 *
-----------------------------------------------------------------
standardless 57.46 100.00 [2s]
RE1au2b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée sur une étoile pour la restaurer (1900)
===============================
RE1AU2C 22.10.2007 (17:11)
===============================
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @ 87.4 1.03366 1.03437 40.49 61.35 +10.33 *
Ag L-ser @ 8.4 1.05062 1.00324 2.76 4.18 + 4.94
Cu K-alpha @ 16.5 1.10002 1.02638 5.00 7.57 + 3.35 *
Ca K-alpha @ 4.9 1.06122 1.00267 1.11 1.68 + 1.56 <
Al K-ser @ 1.3 1.01591 1.00186 0.37 0.57 + 1.15 <
Si K-ser @ 0.5 1.02375 1.00295 0.14 0.21 + 0.62 <
Pb M-ser @ 35.0 1.03864 1.02916 16.13 24.44 +10.57 *
R-E1 – detail de la dorure de 1900 ----------------------------------------------------------------
MEB/ BSE – x5000 – 25 keV standardless 66.00 100.00 [2s]
*** PUzaf results ***
elem/line____P/B______B_______F________c______c(100%)__confid._h_
Au M-ser @116.9 1.03313 1.02414 54.67 81.15 +12.74 *
Ag L-ser @ 21.6 1.04982 1.00339 7.05 10.46 + 8.78
Cu K-alpha @ 18.9 1.09844 1.02776 5.65 8.39 + 4.26 *
-----------------------------------------------------------------
standardless 67.37 100.00 [2s]
RE1au2c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x4000) de la feuille d’or employée sur une étoile pour la restaurer (1900)
Figure I-8.15 : Etude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une
étoile du retable (zone supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les analyses ponctuelles
montrent que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
95
2-Br2 – MO x110
MO x220
Figure I-8.16 : Spectre infrarouge (FTIR) de la couche bleue appliquée en surface, en 1900, sur le
fond de la niche de saint Luc (échantillon 2-Br2 couche 9). L’analyse donne les pics
caractéristiques du bleu de Prusse, du blanc de plomb et du liant huileux.
R-B3
MO x65
Figure I-8.17 : Diffractogramme de la couche au bleu de Prusse recouvrant, en 1900, un des fonds
de la structure portante du retable (échantillon R-B3).
96
R-Blprs.imp
Analyse EDS d’une aire de (50 x 50) µm2, de la couche de bleu de Prusse (1900)
Retenir en particulier la présence des éléments Barium (Ba) et Fer (Fe)
===============================
RBLPRS 21.02.2006 (17:00)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
R-Blprs.imp
Quantification des éléments de l’analyse EDS ci-dessus
Figure I-8.18 : Etude qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de la couche au bleu de Prusse
appliquée, en 1900, sur un des fonds de la structure portante du retable (échantillon R-Bl).
97
Groupe sculpté de saint Matthieu (1)
Prédelle
b) Ornement en relief
1685
5 cm
a) Retouche
faite en 1902
Détail de la retouche faite sur le manteau de saint Matthieu (a), pour imiter un motif « bouclé
par la trame » autrefois en relief comme le motif adjacent bien conservé (b), visible à senestre.
98
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 233, Photo Nº 14
Figure I-9.01 : Première Corps du retable majeur de la Sé Velha où figure l’Assomption. Etat
d’empoussièrement en 1975.
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 233, Photo Nº 25
Figure I-9.02 : Anapaula Abrantes examinant l’un des groupes de la prédelle, lors du constat d’état
du retable, en 1975.
99
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 233, Photo Nº 235
100
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 236, Photo Nº 307
101
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 238, Photo Nº 355
Figure I-9.05 : Enlèvement des excès de cire-résine sur un des groupes de la prédelle, après
fixation de la polycromie en 1976. Photo José Pessoa (IJF/IMC), Classeur nº 238, Photo nº 355.
102
Cliché José Pessoa. Arquivo Fotográfico do actual Instituto dos Museus e da Conservação (IMC)
Document extrait de Processo EO-40 Sé Velha de Coimbra, Classeur nº 238, Photo Nº 365
Figure I-9.06 : Aspect du retable majeur après l’intervention de conservation (nettoyage et fixation
de la polychromie), en 1976. Photo José Pessoa (IJF/IMC), Classeur nº 238, Photo nº 365.
103
Figure I-9.07 : Préparation de la « cire-résine » devant servir à la fixation des couches picturales,
telle que cet adhésif était préparé au Département des Sculptures polychromes de l’Instituto de
José de Figueiredo, par Anapaula Abrantes, à partir des années 70. Photocopie du premier feuillet
de la recette retranscrite par Gracelina Barros.
104
Figure I-9.08 : Préparation de la « cire-résine » (suite). Photocopie du second feuillet de la recette
retranscrite par Gracelina Barros.
105
Figure I-9.09 : Cire-résine de 1976 (ligne rouge) présente sur l’échantillon 9-4 et mélange-
référence de cire-résine de 1997 (ligne bleue) en spectroscopie infrarouge (FTIR).
100
95 2-L2, camada superficial
90
85
80 1378
1414 1174
75 730 720
1513
70
65 1473
60
1463
55
%T
2954
1736
50
45
40
35
30
25
15 2849
2917
10
Figure I-9.10 : Echant. 2-L3 – (Tunique St. Luc) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en
microscopie optique et spectroscopie infrarouge (FTIR). Couche de cire-résine de 1976.
106
100
10-6, camada sobre dourado
95
1650 1175 720
90 1418 730
80
1736
75
2954
70
65
%T
60
55
50
45 2850
40
Figure I-9.11 : Echant. 10-6 – (Manteau de St. Damien) Couche superficielle d’un fleuron
quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge (FTIR). Couche de cire-résine
de 1976.
100
95
1378 1171
90
1737
85 719
729
80 1472
75 1463
2955
70
%T
65
60
55
50
45
40
35 2849
Microscope optique x65 30 2917
Figure I-9.12 : Echant. 8-9 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un galon lacunaire
de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge (FTIR). Couche de cire-résine
de 1976.
100
1169
95 1377
1737
90
9-2ab, camada 3
85
1473 719
80
729
75 1463
70 2955
65
60
%T
55
50
45
40
35
30
25
2849
Microscopie optique x110 20
2917
15
4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure I-9.13 : Echant. 9-2 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un décor
d’artichaut, en microscopie optique et en spectroscopie infrarouge (FTIR). Couche de cire-
résine de 1976.
107
108
SECONDE PARTIE
109
110
5 4 3 2b 2a 1
Figure II-1.01 : Stratification des différentes couches appliquées sur la structure portante du retable
majeur de la Sé Velha de Coimbra, en 1685, pour obtenir les principaux effets artistiques
recherchés : 1) encollage du support en chêne ; 2a) première couche de l’enduit double au plâtre ;
2b) seconde couche de l’enduit double au plâtre ; 3) assiette à dorer ou bol ; 4) dorure brunie ;
5) couche bleu des fenestrage, correspondant ici à l’application de bleu de Prusse, en 1900.
111
Figure II-2.01 : Séchage des cuirs mégis (peaux de gants) après le dernier bain de tannage à l’alun.
Les substances tannantes et l’ « habillage » (jaune d’œuf et farine) se concentrent dans les pattes
qui seront rognées et dont on fait la colle.
Figure II-2.02 : patte de peau de mouton rognée après tannage de la peau (à l’alun).
112
Figure II-2.03 : Spectres EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun.
113
Fig. II-2.04a Peau1 / Côté fleur – MEB (BSE) x400 – 25 keV
Figure II-2.04 : Etude au MEB et imagerie en mode électrons rétrodiffusés d’une peau de gants
observée côté fleur et côté chair. Des globules de farine se trouvent à l’état libre, particulièrement
nombreux dans la structure fibrillaire de la peau.
114
a b
c d
e f
Figure II-2.05 : Préparation de colle de peau de gants à partir de rognures coupées en lanières.
(a/b) Cuisson à 100 ºC jusqu’à dissolution et réduction du liquide à un tiers. (c/d) Filtrage de la
colle. (e) Refroidissement et découpage en tranches minces. (f) Séchage des plaques sur treillis.
115
Figure II-2.06 : Image en mode «Electrons
Secondaires» d’une goutte de colle de peau
de gants. Les particules blanches
disséminées correspondent à de l’Alumine
qui subsiste dans la substance organique.
Grossissement x200 / Barre d’échelle
100µm.
116
Figure II-2.07 : Spectres EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun
et d’un échantillon de parchemin (sans alun).
Figure II-2.08 : Spectre dans l’Infrarouge de la colle de peau de gants (Spectra-Tech IRµS - Colle
sèche broyée avec KBr – 128 balayages– 4000-600 cm-1 – résolution= 4 cm-1).
117
R-O1 Cam 6a (1685)
R-O1
MO x65
Dorure brunie de la structure portante du retable (échantillon R-O 1 Cam 6a) – DRX.
Première passe de l’enduit double appliqué en 1685.
Contient du sulfate de calcium anhydre (80,45 %), du gypse (8,70 %) et du quartz
(1,60 %). Rien ou presque ne signale la présence de terres argileuses.
R-O1
MO x65
Dorure brunie de la structure portante du retable (échantillon R-O 1 Cam 6b) – DRX.
Seconde passe de l’enduit double appliqué en 1685.
Contient du sulfate de calcium anhydre (92,46 %), du gypse (5,46 %) et du quartz
(1,08 %). Là encore, rien ou presque ne signale la présence de terres argileuses.
118
R-B1 Cam 5 (1685)
R-Bl
MO x110
Figure II-3.02: Apprêts baroques de la couleur bleue dans l’espace de la Vierge, à l’extrémité du
rayonnement (échantillon R-B1). a) diffractogramme de l’enduit simple (cam 5).
119
9-1 Cam 1a (1685)
9-1
MO x 110
9-1
MO x 110
Figure II-3.03: Apprêts baroques des camations de saint Paul (échantillon 9-1).a) diffractogramme
de la premiére passe (cam 1a) de l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde passe
(cam 1b) de cet enduit.
120
7-2 Cam 1a (1685)
7-2
MO x110
7-2
MO x110
121
4-Sb1 Cam 3a (1685)
4-Sb1
MO x65
4-Sb1
MO x65
Figure II-3.05: Apprêts baroques des Carnations du soldat de dextre assis au sol dans le groupe de
la Résurrection (échantillon 4-Sb 1).a) diffractogramme de la premiére passe (cam 5a) de l’enduit
double ; b) diffractogramme de la seconde passe (cam 5b) de cet enduit.
122
1 cm
123
Figure II-4.01b : Photographie d’une lacune dans la dorure du manteau de saint Matthieu, qui
permet de voir la couleur orangée du bol.
124
7-3 – MO x110 7-3 detail bolus BSE x300 – 25 keV
73bol1.imp
Analyse EDS d’une aire de (20 x 20) µm2, de la couche orangée (1685)
===============================
73BOL1 14.03.2006 (16:25)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
73bol1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Couche orangée (assiette à dorer) présente sous les cheveux de saint Côme (1685)
Figure II-4.02 : Etude du bol orangé (assiette) au MEB-EDS --sur les cheveux de saint Côme /
groupe 7 du troisième registre (échantillon 7-3) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
125
8-4 – MO x220 8-4 detail bolus 1 BSE x1500 – 20 keV
84bbol1a.imp
Analyse EDS d’une aire de (10 x 10) µm2, de la passe inférieure (bol 1a) de l’assiette appliquée en 1685
===============================
84BBOL1A 08.03.2006 (15:25)
===============================
Eo:20.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure II-4.03 : Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre /
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1a) – Spectre de la composition élémentaire et
analyse semi-quantitative.
126
8-4 – MO x220 8-4 detail bolus 2 BSE x3000 – 20 keV
84bbol1b.imp
Analyse EDS d’une aire de (2 x 2) µm2, de la passe supérieure (bol 1b) de l’assiette appliquée en 1685
===============================
84BBOL1B 08.03.2006 (15:29)
===============================
Eo:20.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure II-4.04 : Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre /
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1b) – Spectre de la composition élémentaire et
analyse semi-quantitative.
127
9-5 – MO x220 9-5 detail bolus 1 BSE x3000 – 25 keV
95bol1.imp
Analyse EDS d’une aire de (2 x 2) µm2, de la passe inférieure (bol 1) de l’assiette appliquée en 1685
===============================
95BOL1 02.03.2006 (11:30)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure II-4.05 : Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1a) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
128
9-5 – MO x220 9-5 detail bolus 2 BSE x3000 – 25 keV
95bol2.imp
Analyse EDS d’une aire de (2 x 2) µm2, de la passe supérieure (bol 2) de l’assiette appliquée en 1685
===============================
95BOL2 02.03.2006 (11:34)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure II-4.06 : Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe
9 du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1b) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
129
4-C3 – MO x200 4-C3 detail bolus BSE x500 – 25 keV
4-C3bol1.imp
Analyse EDS d’une aire de (4 x 4) µm2, de l’assiette (1685)
===============================
4C3BOL1 21.02.2006 (14:52)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
4-C3bol1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Assiette orangée de la dorure brunie appliquée sur le manteau du Christ (1685)
Figure II-4.07 : Etude du bol au MEB-EDS sur le manteau du Christ / groupe 4 de la prédelle
(échantillon 4-C3) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-quantitative.
130
4-C6 – MO x110 4-C6 détail bolus BSE x400 – 25 keV
4-C6bolp1.imp
Analyse EDS ponctuelle de l’assiette (1685)
===============================
4C6BOLP1 02.03.2006 (16:56)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
4-C6bolp1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Assiette à dorer présente sous les couches de couleur du tombeau du Christ (1685)
Figure II-4.08 : Etude du bol au MEB-EDS sur le tombeau du Christ / groupe 4 de la prédelle
(échantillon 4-C6) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-quantitative.
131
4-Sb1/B – MO x200 4-Sb1/B détail bolus BSE x200 – 25 keV
4-Sbbol1.imp
Analyse EDS d’une aire de (10 x 10) µm2, de l’assiette (1685)
===============================
4SBBOL1 14.03.2006 (14:22)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Figure II-4.09 : Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations du soldat assis à dextre / groupe 4 de
la prédelle (échantillon 4-Sb1/B) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
132
1-M1 – MO x110 1-M1 detail bolus BSE x800 – 15 keV
1-M1bol1a.imp
Analyse EDS d’une aire de (4 x 4) µm2, de l’assiette (1685)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 1M1BOL1A 17.01.2006 (15:03)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
1-M1bol1a.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Couche orangée (assiette à dorer) présente sous les carnations de saint Matthieu (1685)
Figure II-4.10 : Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations de saint Matthieu / groupe 1 de la
prédelle (échantillon 1-M1) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-quantitative.
133
1-M2
1-M2 cam.2
Diffractogramme de l’assiette appliquée sur saint Matthieu (groupe 1 de la prédelle)
qui met en évidence la présence d’ocre jaune, sous forme de goethite, comme
composé du fer spécifique aux argiles bolaires. La présence de gypse et d’anhydrite
est certainement due, dans ce cas, à la coexistence des blancs d’apprêt sous la couche
d’assiette au moment de l’analyse. Quant à la cérusite, sa présence s’explique, selon
nous, du fait de la stratigraphie des couches adjacentes au bol (du blanc de plomb
dans la sous-couche des cheveux).
Figure II-4.11 : Étude par DRX du bol sous les cheveux de saint Matthieu (échant. 1-M2).
9-1
Ce diffractogramme a été réalisé sur l’assiette vue par dessus, c'est-à-dire après
élimination de la couche des carnation et de la couche orangée du manteau de saint
Paul, à base de minium, prise ici en sandwich entre l’assiette et les carnations. La
couche directement présentée au faisceau de rayons X est la couche de bol supérieure,
la plus foncée. En dessous se trouvent la couche de bol la plus claire, et encore en
dessous, les blancs d’apprêt.
Figure II-4.12 : Étude par DRX du bol sous les carnations de saint Paul (échantillon 9-1).
8-6
8-6 cam.2b
Diffractogramme de l’assiette appliquée sur saint Pierre (groupe 8 du second registre)
qui ne met pas en évidence la présence des terres spécifiques à l’application d’un bol.
Il est étonnant que la goethite n’apparaisse pas comme dans l’échantillon 9-1 cam.2,
étant donné que la succession des deux passes de bol est vraiment très similaire. Le
quartz est le seul qui soit propre à l’argile mais peut aussi résulter de l’utilisation de
prêle sur la préparation blanche de la sculpture, avant la pose de l’assiette. La plupart
des composés cristallins recensés (le gypse, l’anhydrite, la cérusite et surtout l’or) sont
dus aux matériaux employés à d’autres niveaux topographiques de l’échantillon, soit
supérieur (dorure elle-même), soit inférieurs (blancs d’apprêt) pour faire les
différentes strates de la polychromie.
Ce diffractogramme a été réalisé sur l’assiette vue par dessus, c'est-à-dire après
élimination des couches formant la couleur de la tunique : la feuille d’or, la sous-
couche au blanc de plomb et la couche verte à l’azurite qui s’y superposait. La couche
directement présentée au faisceau de rayons X est la couche de bol la plus foncée
(2b). En dessous se trouvent la couche de bol plus claire (2a), puis les blancs d’apprêt
(1b et 1a).
Figure II-4.13 : Étude par DRX du bol sous la tunique de saint Pierre (échantillon 8-6).
8-6
8-6 cam.2b
Diffractogramme de l’assiette appliquée sur saint Pierre (groupe 8 du second registre)
Contre-exemple du même diffractogramme, qui montre que les raies (en rouge)
correspondantes à de l’os calciné – phospahate de calcium et de magnésium – n’ont
pas leur place dans les composés cristallins susceptibles d’être recensés.
Figure II-4.14 : Étude par DRX du bol et des particules foncées de l’échantillon précédent.
8-6
8-6 cam.2b
Diffractogramme de l’assiette appliquée sur saint Pierre (groupe 8 du second registre)
Région du même diffractogramme, entre 24θ et 60θ, qui montre que la principale raie
(en rouge), à 26,5θ, correspondante à du graphite – carbone pur – et localisée à côté
d’une raie spécifique du quartz, est peut-être admissible dans ce cas. Toutefois, la raie
en question ne provoque pas un épaulement à gauche comme on pourrait s’y attendre.
8-6
8-6 cam.2b
Diffractogramme de l’assiette appliquée sur saint Pierre (groupe 8 du second registre)
Identique au diffractogramme antérieur.
Agrandissement. Région du même diffractogramme, entre 23θ et 33θ.
Figure II-4.15 : Étude par DRX de grains noirs dans le bol appliqué sur saint Pierre (8-6)
4-C3
Figure II-4.16 : Étude par DRX du bol sous le manteau du Christ Ressuscité (échant. 4-C3).
R-O1 – detail de la dorure de 1685
MEB/ SE – x500 – 25 keV
RO1685a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
RO1685b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
RO1685c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.01 : Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure
portante du retable (échantillon R-O1). Analyses ponctuelles et qualitatives, dont les spectres
tendraient à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient des traces infimes de cuivre.
140
===============================
RO1685A 22.10.2007 (15:11)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RO1685a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
===============================
RO1685B 22.10.2007 (15:16)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RO1685b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x6000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
===============================
RO1685C 22.10.2007 (15:20)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RO1685c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x6000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.02 : Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure
portante du retable (échantillon R-O1). Réalisation de plusieurs analyses ponctuelles dont
l’approche semi-quantitative tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient des
traces infimes de cuivre.
141
R-E1 – detail de la dorure de 1685
MEB/ BSE – x1000 – 25 keV
RE1au1a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
RE1au1b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
RE1au1c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.03 : Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur une étoile du
Premier Corps du retable (échantillon R-E1). Analyses ponctuelles et qualitatives, dont les spectres
tendraient à indiquer que l’alliage d’or contient des traces d’argent, voire des traces de cuivre.
142
===============================
RE1AU1 22.10.2007 (16:54)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RE1au1a.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée sur une étoile à l’époque baroque (1685)
===============================
RE1AU1B 22.10.2007 (17:20)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RE1au1b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée sur une étoile à l’époque baroque (1685)
===============================
RE1AU1C 22.10.2007 (17:21)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
RE1au1c.imp
Troisième analyse EDS ponctuelle (x10.000) de la feuille d’or employée sur une étoile à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.04 : Étude au MEB-EDS de la dorure de l’étoile du Premier Corps (éch. R-E1). Appro-
che semi-quantitative qui indique que l’alliage d’or contient des traces d’argent et/ou de cuivre.
143
7-2 – dorure de 1685 7-2 – détail de la dorure de 1685
MO x110 MEB/ BSE – x500 – 25 keV
72au1.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or utilisée sur la statue à l’époque baroque (1685)
72au2.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or utilisée sur la statue à l’époque baroque (1685)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 72AU1 21.12.2004 (12:10)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
72AU2 21.12.2004 (12:12)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
72au1.imp / 72au2.imp
Quantifications des éléments dans l’alliage d’or de 1685, à partir des deux analyses EDS ci-dessus.
Figure II-5.05 : Étude au MEB-EDS de la feuille d’or appliquée, en 1685, sur le socle de la statue
de saint Côme (échantillon 7-2). Analyses semi-quantitatives qui tendraient à indiquer que l’alliage
d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
144
7-4 – MO x110 détail de la dorure
74au1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statuette de st Matthieu en 1685
Figure II-5.06 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de
saint Côme (échantillon 7-4). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient
d’infimes traces de cuivre.
145
7-5 – MO x110 détail de la dorure 7-5 – MEB/EDS x200 – 25 keV 7-5 – MEB/BSE x500 – 25 keV
75au1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statue de saint Côme, en 1685
===============================
75AU1 14.03.2006 (16:45)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
75au1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.07 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de
saint Côme (échantillon 7-5). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
146
7-7 – MO x65
7-7or2a.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur un ornement baroque de la statue de saint Paul (1685)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 77OR2A 14.03.2006 (17:33)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
7-7or2a.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.08 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue
de saint Côme (échantillon 7-7). L’analyse semi-quantitative tendrait à indiquer que l’alliage d’or
est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre et/ou d’argent.
147
8-6 – MO x220
86au1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statue de saint Pierre, en 1685
===============================
86AU1 22.09.2004 (15:37)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
86au1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.09 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de
saint Pierre (échantillon 8-6 ). L’alliage d’or est pur ou il contient d’infimes traces de cuivre.
148
9-5 – MO x220 détail de la dorure 9-5 – MEB/BSE x1000 – 25 keV 9-5 – MEB/BSE x3000 – 25 keV
95au1.imp
Première analyse EDS ponctuelle de la dorure employée sur le socle de st Paul, à l’époque baroque (1685)
95au2.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle de la dorure employée sur le socle de st Paul, à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.10 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le socle de la statue de
saint Paul (échantillon 9-5). Les deux analyses indiquent que l’alliage d’or est pur.
149
8-10a – détail de la dorure de 1685 8-10a – détail de la dorure de 1685
MO – x220 MO – x320
810aau2.imp
Analyses EDS ponctuelles (x5000) de la feuille d’or employée pour dorer le manteau de St Pierre, en 1685
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 810AAU2A 21.12.2004 (11:24)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
810AAU2B 21.12.2004 (11:29)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
Figure II-5.11 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de
saint Pierre. (échantillon 8-10a). Approche semi-quantitative qui tendrait à indiquer que l’alliage
d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
150
8-10b – détail de la dorure de 1685 8-10b – détail de la dorure de 1685
MEB/ BSE – x80 – 25 keV MEB/ BSE – x2000 – 25 keV
810bau1.imp
Première analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or sur un ornement à l’époque baroque (1685)
810bau1b.imp
Seconde analyse EDS ponctuelle (x5000) de la feuille d’or sur un ornement à l’époque baroque (1685)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 810BAU1 21.12.2004 (12:25)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
===============================
810BAU1B 21.12.2004 (12:32)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
810bau1b.imp / 810bau1b.imp
Quantifications des éléments dans l’alliage d’or de 1685, à partir des deux analyses EDS ci-dessus.
Figure II-5.12 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue
de saint Pierre (échantillon 8-10b). Les analyses semi-quantitatives indiquent que l’alliage d’or
contient un peu de cuivre.
151
9-4 – MO x65 détail de la dorure 9-4 – MEB/BSE x1500 – 25 keV 9-4 – MEB/BSE x5000 – 25 keV
94or1a.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur la statue de saint Paul à l’époque baroque (1685)
===============================
94OR1A 11.01.2006 (16:59)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
94or1a.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.13 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statue de
saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
152
9-4 – MO x65 9-4 – MO x100 9-4 détail dorure MEB/BSE x1500 – 25 keV
94or2a.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur un ornement baroque de la statue de saint Paul (1685)
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 94OR2A 17.01.2006 (11:53)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
94or2a.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.14 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue
de saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient quelques traces de cuivre et/ou d’argent.
153
1-M6 – MO x320 1-M6 détail dorure MEB/BSE x1000 – 25 keV 1-M6 MEB/BSE x5000 – 25 keV
1m6au15.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statuette de saint Matthieu en 1685
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 1M6AAU15 29.12.2005 (15:53)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
1m6au15.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.15 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le socle de la statuette de
saint Matthieu (échantillon 1-M6). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient
d’infimes traces de cuivre.
154
2-L2 – MO x220 2 -L2 détail dorure MEB/BSE x3000 – 25 keV
2l2au1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statuette de st Luc à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.16 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la tunique de la statuette
de saint Luc – (échantillon 2-L2). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient
d’infimes traces de cuivre.
155
2-L3 – MO x65 2-L3 détail dorure MEB/BSE x1500 – 25 keV
2l3au11.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur la statuette de saint Luc à l’époque baroque (1685)
===============================
2L3AU11 11.01.2006 (15:15)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
2l3au11.imp
Quantification (automatique puis manuelle) des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.17 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la statuette de saint Luc
(échantillon 2-L3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur.
156
2-L3 – MO x110 2-L3 détail dorure MEB/BSE x1500 – 25 keV
2l3au21.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur un ornement de saint Luc, à l’époque baroque (1685)
= =============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 2L3AU21 11.01.2006 (15:11)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
2l3au21.imp
Quantification (automatique puis manuelle) des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.18 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur un ornement de la statuette
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur.
157
4-C3 – MO x220 4-C3 détail dorure MEB/BSE x3000 – 25 keV
4c3au1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x5000) de la dorure appliquée sur la statuette du Christ à l’époque baroque (1685)
Figure II-5.19 : Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette
du Christ Ressuscité (échantillon 4-C3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
158
11-A4.2 – MO x110 détail dorure 11-A4.2 – MEB/BSE x150 – 25 keV 11-A4.2 – MEB/BSE x300 – 25 keV
11a42or1.imp
Analyse EDS ponctuelle de la dorure appliquée sur la statue d’un Apôtre, à l’époque baroque (1685)
= =============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 11A42OR1 17.01.2006 (17:23)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
11a42or1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Figure II-5.20 - Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la statue moyenne d’un
Apôtre (manteau du quatrième Apôtre - échantillon 11-A4.2). L’analyse tendrait à indiquer que
l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
159
4-Sh1 cam 3 (1685)
4-Sh1
MEB (BSE)
X150 – 25 keV
160
161
Echantillon R-B4 - Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
Examen au Microscope optique x65 - Identification du smalt au milieu des couches baroques de 1685.
Echantillon R-B4 - Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
Examen au microscope électronique à balayage x100 – 25 keV – Image en mode électrons rétrodiffusés.
Figure II-6.01 : Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
(échantillon B-R4). Observation aux MO et MEB de la couche de smalt appliquées en 1685. Le
registre en couleur au MO montre que, même à un faible agrandissement (x65), les particules de
verre coloré, grossièrement broyées, sont aisément identifiables à leur taille (> 30 µm) et à leur
couleur, même si elle ne présentent pas toutes la même teinte, ni la même forme.
162
Echantillon R-B4 - Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
Examen au microscope électronique à balayage x300 – 25 keV – Image en mode électrons rétrodiffusés.
Echantillon R-B4 - Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
Examen au microscope électronique à balayage x500 – 25 keV – Image en mode électrons secondaires.
Figure II-6.02 : Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux
(échantillon B-R4). Agrandissement de la couche de smalt observée dans les deux registres
précédents (Cf. Fig. II.6.01). Au MEB, il est plus facile d’observer les fractures conchoïdales de
certaines particules de smalt en mode électrons secondaires (SE), cette technique d’examen
accentuant l’aspect morphologique des pigments et leur relief propre.
163
10. Rose
9. Bleu de smalt
8. Bleu clair
7. Rose pâle
6. Encollage
5. Résinate de cuivre
4. Feuille d’or pur
3. Mordant
2. Feuille d’étain
1. Masse du
«brocart-appliqué»
10. Rose
9. Bleu de smalt
8. Bleu clair
7. Rose pâle
6. Encollage
5. Résinate de cuivre
4. Feuille d’or pur
3. Mordant
2. Feuille d’étain
1. Masse du brocart
Figure II-6.03 : Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et
MEB-EDS des différentes couches, en particulier du smalt appliqué en 1685 et des deux couches
colorées sous-jacentes au smalt, d’un rose pâle (couche 7) et d’un bleu clair (couche 8).
164
9-Br2 – MO x65 9-Br2 – MO x110 9-Br2 – MO x320
9br2ros1.imp
Analyse EDS d’une aire de (20 x 20) µm2 de la couche rose pâle servant de sous-couche au smalt (1685)
===============================
9BR2ROS1 08.03.2006 (16:58)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
9br2ros1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Sous-couche rose du smalt, appliquée en 1685 sur le fond de la niche de saint Paul
Figure II-6.04 : Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Etude au MEB-EDS de la
sous-couche rose du smalt – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-quantitative.
165
9-Br2 – MO x65 9-Br2 – MO x110 9-Br2 – MO x220
9-Br2 – MEB/ BSE x150 – 25 keV 9-Br2 detail grain de smalt 1 – MEB/ BSE x500 – 25 keV
9br2
Examen au MO et au MEB d’un grain très pâle (1) de la couche de bleu de smalt appliquée en 1685
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 9BR2SMAL 08.03.2006 (17:09)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.1 keV (TO:35.0 TI: 2.0)
9br2sma2.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Particule de smalt d’un bleu très pâle (1), appartenant à la couche de bleu de smalt appliquée en 1685
Figure II-6.05 : Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (1) et analyse semi-
quantitative.
166
9-Br2 – MO x320 sec 9-Br2 detail grain de smalt 2 MEB/ SE x600 – 25 keV
9br2sma2.imp
Analyse EDS ponctuelle d’un grain de smalt (2) appartenant à la couche bleue de smalt appliquée en 1685
=============================== ===============================
RONTEC EDWIN WinTools 9BR2SMA2 14.03.2006 (10:41)
=============================== ===============================
version: 3.1 eng Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
9br2sma2.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Particule de smalt d’un bleu assez intense (2), appartenant à la couche bleu de smalt appliquée en 1685
Figure II-6.06 : Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (2) et analyse semi-
quantitative.
167
9-Br2 – MO x320 sec 9-Br2 détail grain de smalt 3 MEB/ BSE x400 – 25 keV
9br2sma3.imp
Analyse EDS ponctuelle d’un grain de smalt (3) appartenant à la couche bleue de smalt appliquée en 1685
===============================
9BR2SMA3 14.03.2006 (10:53)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
9br2sma3.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Grain de smalt d’un bleu également intense (3), appartenant à la couche bleue de smalt appliquée en 1685
Figure II-6.07 : Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (3) et analyse semi-
quantitative.
168
9. Bleu de Prusse
8. Blanc bleuté
7. Bleu de smalt
6. Rose
5. Apprêts blancs
4. Noir
3. Feuille d’argent
2. Bolus
9. Bleu de Prusse
8. Blanc bleuté
7. Bleu de smalt
6. Rose
5. Apprêts blancs
4. Noir
3. Feuille d’argent
2. Bolus
169
R-Bl – MO x220 sec R-Bl détail rose MEB/ BSE X300 – 25 keV
R-Blrose.imp
Analyse EDS ponctuelle de la sous-couche rose appliquée sous le smalt (1685), dans la niche de la Vierge
===============================
RBLROSE 21.02.2006 (16:17)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
R-Blrose.imp
Quantifications des éléments de l’analyse EDS ci-dessus
Sous-couche rose du bleu de smalt, appliqué sur la niche de la Vierge de l’Assomption, en 1685.
170
R-Bl detail smalt – MEB/ BSE
X600 – 25 keV
R-Blsmalt1.imp
Analyse EDS ponctuelle (x8000) d’un grain (1) de la couche de smalt (1685)
R-Blsmalt2.imp
Analyse EDS ponctuelle (x1500) d’un grain (2) de la couche de smalt (1685)
R-Blsmalt4.imp
Analyse EDS ponctuelle (x1500) d’un grain (4) de la couche de smalt (1685)
Figure II-6.10 : Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption (échantillon R-Bl). Etude de la
couche de bleu de smalt au MEB-EDS – Spectres de particules, qui accusent des compositions
différentes, où les valeurs en % de poids de K, Mg, Al, Fe et Co varient.
171
6. Bleu de Prusse
(1900 ?)
5. Bleu de smalt
(1685)
4. Bolus (1685)
3. Apprêts blancs
(1685)
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
Echantillon R-Bleu1 - Fond bleu d’une niche des quatre prophètes (registre de la Vierge de l’Assomption)
Examen au Microscope optique x65 – Identification (en noir) des couches baroques appliquées en 1685
6. Bleu de Prusse
5. Bleu de smalt
4. Bolus
3. Apprêts blancs
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
Echantillon R-Bleu1 – Fond bleu d’une niche des quatre prophètes (registre de la Vierge de l’Assomption)
Examen au microscope électronique à balayage x100 – 25 keV – Image en mode électrons rétrodiffusés
Figure II-6.11 : Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Examens aux MO et MEB-EDS des différentes couches, en
particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et de la couche sous-jacente de bolus
(couche 4) correspondant à l’assiette dans la dorure du retable.
172
R-Bleu1 – MO x110 sec R-Bleu1 détail grain de smalt MEB/ SE x600 – 25 keV
Rbleu1sma1.imp
Analyse EDS ponctuelle d’un grain de smalt (1) appartenant à la couche bleu de smalt appliquée en 1685
===============================
RBL1SMA1 21.02.2006 (17:08)
===============================
Eo:25.0 keV (TO:35.0 TI: 0.0)
Rbleu1sma1.imp
Quantification des éléments de la précédente analyse EDS
Particule de smalt d’un bleu assez foncé (1), appartenant à la couche bleu de smalt appliquée en 1685
Figure II-6.12 : Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Etude au MEB-EDS de la couche de bleu de smalt – Spectre
de la composition élémentaire d’un grain (1) et analyse semi-quantitative.
173
6. Bleu de Prusse
(1900 ?)
5. Bleu de smalt
(1685)
4. Bolus (1685)
3. Apprêts blancs
(1685)
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
6. Bleu de Prusse
5. Bleu de smalt
4. Bolus
3. Apprêts blancs
2. Smalt (1583)
1. Azurite (1502)
Figure II-6.13 : Fond bleu d’un fenestrage (échantillon R-B3). Examens aux MO et MEB-EDS des
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et de la couche
sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la dorure du retable.
174
Figure II-6.14 : Retable majeur de l’église du monastère bénédictin São-Romão-do-Neiva. Ce
retable occupait à l’origine l’abside de l’église du monastère Saint-Martin, à Tibães, pour laquelle
il avait été créé en 1664-1665. Translaté en 1755, il a fait l’objet de travaux et été recouvert d’une
nouvelle polychromie. Toute la structure portante du mobilier présente un caractère dichrome, bleu
clair et or, qui n’est pas à confondre avec le revêtement original du XVIIe siècle, celui-là disparu.
175
Figure II-7.01 : Détail du groupe sculpté 1 de la Figure II-7.02 : Détail du groupe sculpté 1 de la
prédelle Carnations de saint Matthieu prédelle Carnations de l’Ange
Figure II-7.03 : Détail du groupe sculpté 4 de la prédelle - Carnations du Christ ressuscité et des soldats
Figure II-7.04 : Détail du groupe sculpté 2 de la Figure II-7.05 : Détail de la frise - Carnations d’une
prédelle Carnations du broyeur de pigments figure
176
Figure II-7.06 : Détail de la statue de saint Côme Figure II-7.07 : Détail de la statue de saint Damien
(7) Carnations du visage (10) Carnations du visage (Foto J. Pessoa /1975)
Figure II-7.08 : Détail de la statue de saint Pierre Figure II-7.09 : Détail de la statue de saint Paul (9)
(8) Carnations du visage Carnations du visage
177
Figure II-7.10 : Détail de la Vierge de l’Assomption (12) Carnations du visage
Figure II-7.11 : Détail de l’Apôtre saint Jacques Figure II-7.12 : Détail d’un Apôtre (11-A12)
(11-A5) Carnations du visage et des mains Carnations du visage
178
Figure II-7.13 : Détail du groupe du Calvaire situé au sixième registre du retable – Carnations de la Vierge
Marie et de saint Jean qu’il est possible de comparer entre elles, et de confronter par ailleurs avec les
carnations du Christ crucifié. Le doute subsiste quant à une intervention postérieure ou non sur ce dernier,
étant donnée la tonalité générale assez ocrée des chairs qui paraît plutôt due au jaunissement d’un vernis
qu’à la coloration voulue d’un corps moribond. Photographie José Pessoa ( IMC).
179
1-A1 – MO x110 1-A1 – BSE x100 – 20 keV 1-A1 – BSE x200 – 20 keV
Figure II-7.14 : Echantillon 1-A1 correspondant aux carnations de l’Ange du Groupe de saint Matthieu
(prédelle) - Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à balayage (MEB) avec
imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) ou en mode électrons secondaires (SE). Mise en évidence
de la carnation double et du polissage, intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant
vraisemblablement le rendu de chairs brillantes.
180
4-C1 – MO x220 4-C1 – MEB (BSE) X100 – 20 keV 4-C1 – MEB (BSE) x300 – 20 keV
Figure II-7.15 : Echantillon 4-C1 correspondant aux carnations du Christ ressuscité (Groupe 4 de la
prédelle) - Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à balayage (MEB) avec
imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) et en mode électrons secondaires (SE). Mise en évidence de
la carnation double et du polissage, intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant vraisemblablement
le rendu de chairs brillantes.
181
4-Sb1 – MO x65
Figure II-7.16 : Echantillon 24-Sb1 correspondant aux carnations du soldat endormi à dextre (Groupe 4 de la
prédelle) Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à balayage (MEB) avec
imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE). C’est le seul échantillon sur lequel il est possible de
visualiser une très fine couche de finition sur les chairs pour leur donner un ton plus rougeâtre. A l’endroit de
cette couche, la carnation sous-jacente est lisse et apparemment polie.
182
9-1 – MO x110 9-1 – MEB (BSE) x100 – 25 keV 9-1 – MEB (BSE) x250 – 25 keV
Figure II-7.17 : Echantillon 9-1 correspondant aux carnations de saint Paul (Groupe 9 au troisième registre) -
Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à balayage (MEB) avec imagerie en
mode électrons rétrodiffusés (BSE) et en mode électrons secondaires (SE). Le polissage est moins probant
sur ces carnations doubles. Mais il faut compter avec la qualité du prélèvement (en arrière de la main et donc
moins accessible), le broyage assez grossier ici des composés du plomb, et enfin une éventuelle altération
de surface.
183
Petit personnage nu,
de la frise du retable,
situé sur le montant gauche
de la structure portante.
Agrandissement Manuel
R-C1 – MO x110
R-C1 – MO x 110
Coloration au Vert malachite
(observation à sec)
Bleu = présence huile
R-C1 – MEB (BSE) x80 – 20 keV R-C1 – MEB (BSE) x150 – 20 keV R-C1 – MEB (SE) x150 – 20 keV
R-C1 – MEB (BSE) x1200 – 20 keV R-C1 – MEB (SE) x1200 – 20 keV
Figure II-7.18 : Echantillon R-C1 correspondant aux carnations d’un personnage de la frise (montant
gauche). Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à balayage (MEB) avec
imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) ou en mode électrons secondaires (SE), et test de coloration
spécifique au Vert Malachite. Présence d’une couche superficielle très fine de nature distincte, contenant une
gomme et des agrégats de blanc de plomb. Les marques grossières de coups de pinceau que porte cette
couche laisse supposer qu’il s’agit plutôt d’une intervention postérieure.
184
igure II-7.19 : Carnations d’un personnage de la frise (montant gauche) - Macrophotographie (x40) et
traitement d’image qui rend manifeste la présence d’une couche superficielle grossièrement étendue à la
brosse et contenant de petits agrégats de matière solide.
185
Figure II-7.20a: Spectre FTIR de la couche des carnations du personnage de la frise (échantillon
R-C1, cam. 3). Huile et blanc de plomb.
.
186
4-C1 cam 3 (1685)
4-C1
MO x220
4-C1
MEB (BSE)
X150 – 25 keV
R-C1
MO x110
R-C1
MEB (BSE)
x80 – 25 keV
Figure II-7.20b: Diffractogramme des Carnations du Christ Réssucité (4-C1) et d’un personnage
de la frise (R-C1).Mélange de blanc de plomb et vermillon en proportions variables.
187
Figure II-7.21 : Statue de saint Amaro provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège Saint-Benoit de
Coimbra, sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de Sousa (1692). Deux
éclairages différents permettent de juger de l’aspect plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.22 : Statue de saint Grégoire Le Grand (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite),
sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages
différents permettent de juger de l’aspect plus ou moins lustré des chairs.
188
Figure II-7.23 : Statue de saint Anselme (église Figure II-7.24 : Statue de saint Benoît (église Saint-
Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite). Sculpteur et
sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée polychromeur anonymes (XVIIe s.). Les carnations
par Manuel Ferreira (1692). Dans le contrat de mates de saint Benoît sont dues à une repolychromie
polychromie qui nous est parvenu, les carnations de partielle du XIXe/XXe s. Cette figure de dévotion
saint Anselme ont été exigées « au pinceau sur continue d’être présentée au culte dans l’église
poli ». Nossa Senhora do Carmo, à Coimbra.
Figure II-7.25 : Statue de saint Ildefonse (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), sculptée
par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira (1692). Etat des carnations avant leur
nettoyage, en 2003. L’accumulation de suie et de cire n’empêche pas d’avoir une lecture de l’aspect satiné.
189
Figure II-7.26 : Statue de sainte Françoise la Romaine (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de Sousa (1692). Deux
éclairages différents permettent de juger de l’aspect plus ou moins lustré des chairs et de l’impact de ce
même éclairage sur la lecture des physionomies.
Figure II-7.27 : Statue de sainte Gertrude (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), sculptée
par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de Sousa (1692). L’aspect des chairs est identique
à celui de la statue de sainte Françoise la Romaine (Fig. II-7.20), avec laquelle celle-ci forme une paire.
190
Figure II-7.28 : Statue de l’Ange Gabriel (église du Collège Saint-Benoit de Coimbra, aujourd’hui détruite),
sculptée par Cipriano da Cruz (1684) et polychromée par Pascoal de Sousa (1692).Traitement assez rare du
visage où les yeux sont verts et où l’intérieur des paupières est plus rosé. L’aspect actuellement altéré des
carnations ne laisse pas deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.29 : Statue d’une Pietà, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège Saint-Benoit de
Coimbra. Sculptée par Cipriano da Cruz (1684). Polychromie attribuée à Manuel da Costa Pereira (A. Le
Gac). Nous remarquerons la coloration rouge plus intense autours des yeux qui traduit ici la douleur. L’aspect
actuellement altéré des carnations ne laisse pas deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
191
Figure II-7.30 : Sculpture de Sainte Combe (profils gauche et droit), provenant de la Sé Velha de Coimbra et
aujourd’hui exposée dans la Sé Nova. Les carnations ont été rafraîchies, soit par un surpeint, soit par
l’application de vernis ou d’huile siccative, qui a laissé des marques grossières de coups de brosse.
192
Figure II-7.31 : Vierge à l’Enfant, conservée au Figure II-7.32 : Sculpture de Notre-Dame du Rosaire,
Musée d’Aveiro. Statuette malinoise (XVIe s.) / de l’ex-église des dominicaines d’Aveiro (actuellement,
Polychromie XVIIe s. attribuée à Manuel da Costa Musée d’Aveiro).Sculpture et Polychromie (anonymes
Pereira (A. Le Gac). du XVIIe siècle
.
193
12-V2 cam 1 (1685)
12-V2
MO x110
12-V3
MO x220
194
8-6 cam 5-6 (1685)
8-6
MO x220
8-6
MEB (BSE)
X1000 – 20 keV
Scan rapide
7-4
MO x110
7-4
MEB (BSE)
X200 – 25 keV
Figure II-8.02: Diffractogrammes de couleurs vertes issues des tuniques de saint Pierre (8-6) et
de saint Côme (7-4), respectivement. L’azurite et le vert-de-gris les distinguent..
195
4-C3 cam 4-5 (1685)
4-C3
MO x110
4-C3
MEB (BSE)
X500 – 25 keV
4-C6
MO x110
4-C6
MEB (BSE)
X150 – 25 keV
196
1-M3 cam 5b (1685)
1-M3
MO x110
1-M3
MEB (BSE)
X300 – 25 keV
1-M3
MEB (BSE)
X500 – 25 keV
Couleur orange (couche superficielle) - Manteau de saint Matthieu – 1685
Mélange contenant majoritairement du minium et un peu de vermillon, lequel
n’apparaît pas dans ce diffractogramme.
197
7-5 cam 6-7 (1685)
7-5
MO
(détail de x110)
7-5
MEB (BSE)
X500 – 25keV
Figure II-8.05: Diffractogramme de la couleur rouge orangé du manteau de saint Côme (7-5).
Mélange de vermillon et de craie, voire de blanc de plomb.
198
7-3 cam 3 (1685)
7-3
MO x220
7-3
MEB (BSE)
X300 – 25 keV
Figure II-8.06: Diffractogramme de la couleur brune des cheveux de saint Côme (7-3). Présence
de pigments ocres et noirs (non détectés), associés peut-être à de la craie.
199
9-4 cam 1 (1685)
9-4
MO x65
9-4
MO x110
9-4
MEB (BSE)
X400 – 20 KeV Adhésif de fixation (blanchâtre) d’un motif en relief de brocart (Matthieu) –
Repolychromie de 1685
Composé de minium et blanc de plomb.
2-L3
MO x65
2-L3
MEB (EDS)
X100 – 22 keV
Figure II-8.07: Diffractogrammes d’adhésifs de couleur blanchâtre (9-4) et orange (2-L3) ayant
servi a fixé des motifs en relief de brocart d’application. Composés de blanc de plomb et de
minium.
200
9-Br2 cam 10 (1685)
9-Br2
MO x320
9-Br2
MO x320
9-Br2
MEB (BSE) Couleur rose du brocart peint sur les niches, ici sur la partie inférieure de l’édicule de
X400 – 25 keV saint Paul – 1685
Strate majoritairement composée de blanc de plomb et contenant du vermillon. La
présence d’une laque rouge (non détectée par cette méthode) est à prendre en compte
dans la teinte telle qu’elle est perçue.
Figure II-8.08: Diffractogramme de la couleur rose du brocart peint sur les niches de saint Paul
(9-Br2). Majorité de blanc de plomb et contenant du vermillon.
201
Figure II-8.09 : Polychromie de la Vierge – manteau bleu avec motif « bouclé par la trame » de l’artichaut.
202
Figure II-8.10 : Polychromie de la Vierge – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et « broderies d’application » avec fleurons quadrilobés.
203
Figure II-8.11 : Polychromie de la Vierge – Laque rouge sur le revers du manteau et sertissage de pierreries sur les orfrois.
204
Figure II-8.12 : Polychromie de saint Pierre – Motifs « bouclé par la trame » de pomme de pin et « broderies d’application ».
205
Figure II-8.13 : Polychromie de saint Pierre – Tunique bleu-vert avec motifs « bouclé par la trame » - Revers du manteau avec laque rouge.
206
Figure II-8.14 : Détail de la polychromie sur la tunique de saint Pierre.
207
Figure II-8.15 : Polychromie de saint Paul – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et « broderies d’application » sur le manteau.
208
Figure II-8.16 : Polychromie de saint Paul – « Broderies d’application » sur le manteau et la tunique.
209
Figure II-8.17 : Polychromie de saint Côme – Cheveux bruns. Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut sur le manteau.
210
Figure II-8.18 : Polychromie de saint Côme – Détail du manteau orange et de l’estoffage.
211
Figure II-8.19 : Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le manteau.
212
Figure II-8.20 : Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le manteau.
213
Figure II-8.21 : Polychromie de saint Damien – Détail des « broderies d’application » sur le manteau.
214
Figure II-8.22 : Quelques Apôtres et polychromie bleue du quatrième : motif « bouclé par la trame » et « broderies d’application » avec fleurons lancéolés.
215
Figure II-8.23 : Polychromie du Christ et du tombeau – Manteau rouge du Christ avec motifs « bouclé par la trame » et « broderies d’application ».
216
Figure II-8.24 : Polychromie de l’Évangéliste saint Jean – Manteau rouge et tunique verte avec motifs « bouclé par la trame ».
217
Figure II-8.25 : Polychromie de l’Évangéliste saint Matthieu – Manteau orange et tunique vert foncé. Détails de l’estoffage et du sertissage de pierreries (perdues).
218
Figure II-8.26 : Polychromie de l’Évangéliste saint Luc – Manteau rouge et tunique verte avec motif « bouclé par la trame ».
219
Figure II-9.01 : Réceptaire de Bernardo Montón dont l’édition originale date de 1734. Édition de
1761 (Biblioteca Nacional de Lisboa / S.A. 12.197 P).
220
Figure II-9.02a Figure II-9.02b
Figure II-9.02 : Première et dernière éditions portugaises connues du réceptaire de B. de Monton:
a) Édition de 1744 (BNL / S.A. 17.359 P) ; b) Édition de 1856 (BNL / S.A. 12.208 P).
221
Figure II-9.04a
Figure II-9.04b
Figure II-9.04 : Cours de Chymie de Pierre Thibaut dont l’édition originale date de 1667.
a) Édition de 1674 (BNL / S.A. 5424) ; b) Fourneaux (bain de sable et bain-marie) et vaisseaux
figurant sur la Gravure Nº 3 de cet ouvrage.
222
Figure II-9.05 : Histoire générale des Drogues simples & composées de Pierre Pomet dont
l’édition originale date de 1695. Édition de 1735 (BNL / S.A. 2796).
223
Figure II-9.06a Figure II-9.06b
Figure II-9.06 : Représentations de genévriers au XVIIe s., extraites de l’Histoire générale des
Drogues simples & composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Grand Genevre" ou
genévrier commun (Juniperus communis L. de la famille des Cupressaceae) - Gravure Nº 95 ;
b) "Petit Genevre" ou genévrier cade, également appelé oxycèdre (Juniperus oxycedrus L.) -
Gravure Nº 96.
224
Figure II-9.07a Figure II-9.07b
225
Figure II-9.08 : Représentation des abeilles et produits de la ruche au XVIIe s. : "Mouches à miel".
Gravure Nº 46 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet (édition
de 1735 - BNL).
Figure II-9.09 : Représentation de conifères au XVIIe s. : "Terebenthe, Sapin & Pin". Gravure Nº
26 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet (1735 - BNL).
226
12
8 9
7 10
11
1 2 3 4 5 6
Figure II-9.10 – Premier Corps du retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Nous pouvons voir,
de gauche à droite, et de bas en haut : 1/ groupe de saint Mathieu et l'ange - 2/ groupe de saint Luc,
avec broyeur de pigments et bœuf - 3/ Nativité - 4/ groupe de la Résurrection - 5/ groupe de saint
Jean et l'aigle - 6/ groupe de saint Marc avec le lion - 7/ saint Côme - 8/ saint Pierre - 9/ saint Paul
– 10/ saint Damien - 11/ groupe des apôtres - 12/ groupe de la vierge de l'Assomption. Photo
José Pessoa / IPCR
227
11
9
12
10
5 7
6 8
1 2 3 4
Figure II-9.11 : Numérotation des Douze Apôtres assistant à l’Assomption de la Vierge. Pour ce
groupe compact étagé sur trois niveaux, la façon de les compter respecte la lecture occidentale de
gauche à droite, et ascensionnelle, de bas en haut.
Figure II-9.12 : Fleurons aux formes Figure II-9.13 : Fleurons aux formes
pointues arrondies
228
100
2L3, camada relevo
90
80
1415
70
1176 720
1513 1196
730
60
50 1463
%T
1473
40 2954
1736
30
20
10
2850
0
2918
Figure II-9.14 : Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en spectroscopie
infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc)). Prédominance de la cire.
180
160 1378
1415
1473
100
1463
%T
80
2955
1737
60
40
20
0 2850
2918
Figure II-9.15 : Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 2-L4 - Tunique de St. Luc). Prédominance de la cire.
100
8-9, camada 4
90
80
3358 1377
1176
1417
70 719
730
60
1514
50
%T
1463
1473
40 2955
1737
30
20
10
2850
-0 2918
Figure II-9.16 : Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 4-C4 –Manteau du Christ ressuscité). Prédominance de la cire.
229
Microscope optique x110
Figure II-9.17 : Pâte translucide d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.1a –Tunique de St. Pierre). Prédominance de la cire.
100
95
90 1632
85
75 1417
70 2954 1736
65 1463
1472
60
%T
1511
55
50
45
40
35
30
2849
25
2917
20
Figure II-9.18 : Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 8-9 –Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
100
95
1175
1377 719
90
1418 730
2955
85 1508
1463
75
70
%T
65
60
55
50
2849
45
40 2918
Figure II-9.19 : Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 8-10 –Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
230
100
95
876
90
1700
85 719
9-2ab, camada 1
80 1175
730
75 1418
70 1509
65 2954
1736 1463
60 1473
%T
55
50
45
40
35
30
25
20 2849
15 2918
Figure II-9.20 : Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
140
130
120 3275
720
1377
730
110 1517 1417
1176
100
9-3, camada relevo
90
1463
1473
80
%T
2954
70 1736
60
50
40
30
20
2850
10
2918
Figure II-9.21 : Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
100
95
681
90 1045 720
1716 1175 730
80 1737
2954
1463
75
%T
1521
1398
70
65
60
55
2849
50 2917
Figure II-9.22 : Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
231
100
95
90
10-5, camada relevo
85 1376 1175 720
1418
80 730
75
1509
70 2954
1463
65 1473
1736
60
%T
55
50
45
40
35
30
25
2849
20
2918
15
Figure II-9.23 : Pâte brun clair d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 10-5 –Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
100
10-06, camada 2
95
90
85
681
80
75
70 719
1378 730
1415 1176
65
1513
60
%T
55 2954 1463
1737 1473
50
45
40
35
30
25
20 2849
15 2918
Figure II-9.24 : Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 10-6 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
100
11-A4_7, camada relevo
95
90
1378
85 1415
1176
720
80
730
1463
75 1473
2954
70 1737
%T
65
60
55
50
45
40 2849
35
2918
30
Figure II-9.25 : Pâte translucide d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 11-A4.5 –Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance de la cire.
232
105
12V1,camada relevo
100
95
1176
720
90 1473 730
2954 1463
85
1737
80
%T
75
70
65
60
2849
55
50
2918
Microscope optique x110 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.26 : Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance de la cire.
233
Série1 4-C4
cire46
HTGC après triméthylsilylation Ex TMS ester d’acide à x atomes de carbone
cire40
Hx Hydrocarbure à x atomes de carbone
cire42
Ax Alcool silylé à x atomes de carbone
cire44
Cire x Céride à x atomes de carbone
cire48
Cire Céride hydroxylé à x atomes de carbone
x,15-OH
E24:0
cire46,15-OH
H 29
cire44,15-OH
H27
H 31
E26:0
E28:0
cire40,15-OH
cire48,15-OH
E30:0
E16:0
cire42,15-OH
cire50
E32:0
cire50
E22:0
Æ-amyrine
E34:0
H 33
H 25
E18:0
cire38
E23:0
A30
A28
A32
H 30
A26
Fig. II-9.27a : Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, en chromatographie hautes
températures après triméthylsilylation. L’échantillon (4-C4 - Manteau du Christ) constitué
essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La présence de triglycérides n’est pas mise en
évidence.
A28
E24:0
A26
E24:0,23-hydroxylé
E16:0,14-hydroxylé
A32
H27
E28:0,27-hydroxylé
E26:0,25-hydroxylé
E18:0,9,10-dihydroxylé
E18:0,17-hydroxylé
E18:0,16-hydroxylé
Glycérol
E20:0,19-hydroxylé
E30:0,29-hydroxylé
E26:0 H29
H31
E28:0
E22:0 H25
E18:0
E30:0
E18:1
E32:0
A34
E34:0
D9
H23
E20:0
E23:0
H33
D8
Fig. II-9.27b : Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (4-C4 - Manteau du Christ). Les marqueurs des corps gras autres que ceux de la cire
(dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
234
Série0 12-V1
cire46
cire40
HTGC après triméthylsilylation
cire44
cire42
cire48
Hx Hydrocarbure à x atomes de carbone
cire46,15-OH
E24:0
cire44,15-OH
H 29
cire40,15-OH
E28:0
H 31
E30:0
cire48,15-OH
cire42,15-OH
H 27
E26:0
cire50
cire50
Æ-amyrine
E32:0
E34:0
H 33
E22:0
cire38
E16:0
H 25
A30
E18:0
E23:0
A30
A28
H 30
Fig. II-9.28a : Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, en chromatographie hautes températures
après triméthylsilylation (12-V1- Manteau de la Vierge). L’échantillon constitué essentiellement de cire
donne lieu à un signal important. La présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
carbone
A30
A24
A28
E16:0,14-hydroxylé
E24:0
A26
E24:0,23-hydroxylé
A32
H27
H29
E28:0,27-hydroxylé
E26:0,25-hydroxylé
E18:0,16-hydroxylé
E18:0,17-hydroxylé
H31
E18:0,9,10-dihydroxylé
E20:0,19-hydroxylé
E28:0
E30:0,29-hydroxylé
E26:0
E18:0
Glycérol
H25
E30:0
D9
E18:1
E22:0
A34
E32:0
E34:0
E23:0
E20:0
E18:2
E10:0
H23
H33
E14:0
D8
D10
Fig. II-9.28b : Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, après méthanolyse et triméthylsiliylation
(12-V1 - Manteau de la Vierge). Les marqueurs des corps gras autres que ceux de la cire (dont l’acide
palmitique E16:0) sont le glycérol et les diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
235
Microscope optique x110
Figure II-9.29 : Couche supérieure orangée d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.1b – Tunique de St. Pierre). Cire et huile.
236
Microscopie optique x220
Figure II-9.30 : Couche d’«or de couleur» d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance de l’huile.
Figure II-9.31 : Couche d’«or de couleur» d’un galon orange de l’orfroi, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.32 : Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
237
Microscope optique x110
Figure II-9.33 : Echant. 8-10 – (Manteau de St. Pierre) Couche d’«or de couleur» d’un galon orange
de l’orfroi, en microcopie optique et spectroscopie infrarouge. Huile et cire.
Figure II-9.34 : Couche d’«or de couleur» d’un décor de pomme de pin, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.2 – Tunique de St. Pierre). Huile et cire.
90
80
70
778
1737
60 879
%T
50 674
10
2849
-0 2918
Microscope optique x110 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.35 : Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
238
Microscope optique x110
Figure II-9.36 : Couche d’«or de couleur» d’un fleuron quadrilobé, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance de la cire.
Figure II-9.37 : Couche d’«or de couleur» d’un fleuron lancéolé, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance de la cire.
105
2L3, camada sobre relevo
100
885
95
1378
1737
90
85
719
80 729
75 1463
2955
%T
1473
70
65
60
55
50
45
2849
40
2917
Figure II-9.38 : Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 4-C4 –Manteau du Christ ressuscité). Prédominance de la cire.
239
Microscope optique x110
Figure II-9.39 : Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance du liant huileux.
45
778
40
1173
1732 1100
35 3539 2855 839
1045
1051
30
2928
%T
25 1526
681
20
15
10
5
1406
Microscope optique x65 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.40 : Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance du liant huileux.
100
95
3533
90
2852 839
1731
2925 1045
85
1051
9-2ab, adesivo branco
80
%T
75 680
70
65
60
55
50 1398
Microscope optique x110 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.41 : Adhésif de couleur blanchâtre d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 9-2 –Manteau de St. Paul). Prédominance du liant huileux.
240
100
95 14-A4-7, adesivo branco
90
85 769
839
80 1046
1710
3360
75 1736
70
3538
65 2854
60
55
%T
50 2926
45
1521
40 682
35
30
25
20
15
1404
10
Microscope optique x110 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.42 : Adhésif de couleur blanchâtre d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 - Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance du liant
huileux.
100
8-10b, camada branca
719
95
839 730
90 3537
1045
1174
85
1717
80
1734 681
1541
75
%T
2850
70
65 2919
60
55
Microphotographie x0,63
50 1404
Figure II-9.43 : Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, sur registre
microphotographique et en spectroscopie infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St. Pierre).
Prédominance du liant huileux.
241
99
98 1704
1735
97
96
3536
95 2853 776
838
94 2923 1519
7-7, camada 4
93 1045
%T
92
91
90
89
88
87
Figure II-9.44 : Adhésif de couleur orangée d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 7-7 – Manteau de St. Côme). Prédominance du liant huileux.
100
95
725
90 779
85 914 839
80
3533
75 3385 1169 681
70
65 1612
2855
1711 1034
60
%T
1103 1045
55 1738
50
45 2927
40
35 1530
30
25
20
Microscope optique x110 15
1406
10
4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.45 : Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance du liant huileux.
100
2-L3, adesivo laranja
90
720
775
839
80
1045
70 1709
1737
3534 3402
60
%T
50
682
40
30
2851
20
1522
10 2921
Microscope optique x65
1406
-0
4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.46 : Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance du liant huileux.
242
100
80
70
839
721
775
60 1711 1046
3413
1098
1738 1171
50 3538
%T
40
30
20 2852 682
1521
10
2924
Microscope optique x110
0 1406
Figure II-9.47 : Adhésif de couleur orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (éch. 10-5 – Manteau de St. Damien). Liant huileux, contaminé par de la cire.
Figure II-9.48 : Adhésif de couleur orange d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et
spectroscopie infrarouge (éch. 10-6 – Manteau de St. Damien). Liant huileux contaminé par de la cire.
100
90 ------5-------
80
70 845
1710 1097 776
1736
1045
60 3403
3538
%T
50
40
2852
30
682
20
2923
1522
10
Microscope optique x110
1417
0
4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
Wavenumbers (cm-1)
Figure II-9.49 : Adhésif rose d’un cabochon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie
infrarouge (échant. 4-C5 – Manteau du Christ). Prédominance du liant huileux.
243
Série1 2-L4
HTGC après triméthylsilylation
Ex TMS ester d’acide à x atomes de
carbone
E18:0
Ç-amyrine
Æ-amyrine
E20:0
E22:0
E24:0
E23:0
E26:0
cire40
E30:0
E28:0
cire42
Figure II-9.50a : Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, en chromatographie hautes
températures après triméthylsilylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). L’échantillon donne un signal
très faible. Il contient presque exclusivement une huile moyennement oxydée. On observe bien les quantité
importantes d’acides palmitique (E16:0) et stéarique (E18:0) sous forme d’esters de triméthylsilyle.
E18:1
E18:0,9,10-dihydroxylé
E16:0,15-hydroxylé
Æ-amyrine
A24
D10
Glucose
E18:2
E18:1
E20:0
E24:0
H27
D8
H29
244
Ref. Ácidos Metilados
Abundance
2-L4 A
P
S
Azeláico
Palmítico
Esteárico
A TIC: 2L4.D\data.ms
16.138
1100000
1000000
A P
P
22.335
900000
P/S = 2.215
800000
700000
Ácidos gordos metilados provenientes do óleo e da cera A/P = 0.875
600000
500000
S
S
400000 26.360
300000
200000
100000
Time-->
Figure II-9.51 : Pyrogramme de l’échantillon 2-L4 – Huile siccative non identifiée et cire
245
Série0 SFX-J2-2B Série4 SFX-A1-J1
3 Déhydroabiétate de TMS
cire46
cire40
cire46
HTGC après triméthylsilylation 1 Pimarate de TMS
HTGC après triméthylsilylation
5 7-oxo déhydroabiétate de TMS
2 7-déhydro déhydroabiétate de TMS
Ex TMS ester d’acide à x atomes de carbone
cire48
3 Déhydroabiétate de TMS
cire44
cire40
cire42
cire46,15-OH
4 15-OTMS déhydroabiétate de TMS Hx Hydrocarbure à x atomes de carbone
5 7-oxo déhydroabiétate de TMS Ax Alcool silylé à x atomes de carbone
cire48
7 7-oxo-15-OTMS déhydroabiétate de TMS Cire x Céride à x atomes de carbone
cire44
5 Ex TMS ester d’acide à x atomes de carbone Cire Céride hydroxylé à x atomes de carbone
E24:0
x,15-OH
Hx Hydrocarbure à x atomes de carbone
cire42
Ax Alcool silylé à x atomes de carbone
H31
H29
x,15-OH
H27
H 29
E24:0
E28:0
cire44,15-OH
cire40,15-OH
cire48,15-OH
7
E26:0
cire42,15-OH
cire46,15-OH
E30:0
H 27
H 31
cire50
E26:0
cire50
cire48,15-OH
cire44,15-OH
E16:0
E32:0
E16:0
cire42,15-OH
E28:0
E34:0
3
cire40,15-OH
cire50
Æ-amyrine
E22:0
cire50
E30:0
E18:0
H25
E22:0
5
E32:0
H 25
2 4
E34:0
H33
cire38
E18:0
1
E23:0
A30
cire38
A28
A30
A32
H30
A32
A24
A26
3
A – échantillon SFX-J2-2B - chromatographie hautes températures B - échantillon SFX-J1-A1 - chromatographie hautes températures
après triméthylsilylation après triméthylsilylation
E16:0
Série0 SFX-J2-2B
Glycérol
E16:0
E16:0,15-hydroxylé
3 Déhydroabiétate de méthyle 4 7-oxo déhydroabiétate de méthyle
A30
4 7-oxo déhydroabiétate de méthyle Ex Ester méthylique d’acide à x atomes de carbone
A28
A24
E24:0
A26
A32
E24:0,23-hydroxylé
E16:0,14-hydroxylé
A24
A28
E16:0,14-hydroxylé
H27
E24:0
A32
E18:1
H27
E24:0,23-hydroxylé
A26
E28:0,27-hydroxylé
E18:0,9,10-dihydroxylé
H29
E26:0,25-hydroxylé
D9
E28:0,27-hydroxylé
E18:1
E18:0,17-hydroxylé
H29
4
E18:0
H31
E26:0,25-hydroxylé
E18:0,17-hydroxylé
E28:0
E26:0
E18:0,16-hydroxylé
E18:0,16-hydroxylé
E18:0,9,10-dihydroxylé
E20:0,19-hydroxylé
2
E20:0,19-hydroxylé
E30:0
H31
E30:0,29-hydroxylé
Glycérol
E30:0,29-hydroxylé
H25
3
H25
E28:0
E26:0
E30:0
E18:0
H23
E32:0
Æ-amyrine
E22:0
E22:0
Galactose
E34:0
E32:0
D8
Glucose
E34:0
E18:2
A34
E20:0
A34
Glucose
E18:2
D10
H23
E23:0
H33
E14:0
E14:0
1 4
D9
23
Les chromatogrammes A et B, obtenus en HTGC, permettent de comparer les abondances relatives résine/cire
en calculant le rapport des hauteurs des pics correspondant respectivement à l’acide 7-oxo-déhydroabiétique
(nº 5), composé majoritaire pour la résine, et au céride à 46 atomes de carbone (C46), composé majoritaire
pour la cire.
Les chromatogrammes C et D, obtenus après méthanolyse acide et triméthylsilylation, permettent de comparer
la proportion relative de cire et de corps gras autre, en calculant dans ce cas le rapport des surfaces des pics
correspondant respectivement à l’acide azélaïque (D9) et à l’acide palmitique (E:16:0).
246
247
Figure II-9.53 : Brocatelle annelée d’or et d’argent - XVIe s. - Espagne Figure II-9.54 : Velours coupé, bouclé par la trame de filé or - c.1550
Motif de la pomme de pin (BASTOS, 1954, Est. XXXVI). Motif de la pomme de grenade - Espagne / Italie ? (Fondation Abbeg-Stiftung).
248
Figure II-9.55 : Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (Museu Nacional de Machado de Castro, de Coimbra / Nº Inventaire 525 T)
249
Figure II-9.56 : Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs végétaux bouclés par la trame de filé or.
250
1cm
Figure II-9.57 : Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs végétaux bouclés par la trame de filé or. Brocart à trois hauteurs.
251
Figure II-9.58 : Devant d’autel – XVIIe siècle (Museu Nacional de Machado de Castro, de Coimbra). Détails des bandes médianes et brodées.
252
Figure II-9.59 : Bandes médianes et brodées du devant d’autel du Couvent de la Mère de Dieu, à Lisbonne (Museu Nacional de Arte Antiga – Nº Inv. 539 Tec.)
253
Figure II-9.60 : Retable Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie Manoel da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Vues générales.
254
Figure II-9.61 : Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie Manoel da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Reliefs sous-jacents.
255
Figure II-9.62 : Sainte Comba (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
256
Figure II-9.63 : Sainte Comba (polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails des orfrois du manteau et de la robe.
257
Figure II-9.64 : Manteau de sainte Comba (a) et robe de la Piétà (b), qui portent le même motif, adapté au volume des sculptures et coloré suivant leur iconographie.
258
Figure II-9.65 : Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira - ca. 1690) – Vue partielle des vêtements (Cf. la robe rouge à la Figure précédente).
259
Document extrait de CORREIA Vergílio et GONÇALVES António Nogueira
Inventário Artístico de Portugal. Cidade de Coimbra,
Lisboa: Academia Nacional de Belas Artes, 1947 - Est. LVIII.
Figure II-9. 66 : Pietà (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac – ca. 1690) – Vue générale et détails.
260
Figure II-9.67 : Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac – ca. 1690) – Détails des deux motifs d’«artichaut» du manteau.
261
Figure II-9.68 : Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vues générales.
262
Figure II-9.69 : Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Détails des décors en relief.
263
Figure II-9.70 : Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
264
Figure II-9.71 : Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
265
Figure II-9.72 : Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
266
Figure II-9.73 : Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
267
Figure II-9.74 : Saint Anselme (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) – Détail des «bouclés par la trame» et «broderies d’application».
268
Figure II-9.75 : Saint Ildefonse (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) – Détails des «broderies d’application» et «bouclé par la trame».
269
Figure II-9.76 : Saint Louis de Gonzague (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - 1688) – Vue générale et détail de l’orfroi de la capeline.
270
Figure II-9.77 : Beatus Louis de Gonzague (polychromeur anonyme - 1688) – Orfrois en relief appliqués sur la capeline et la soutanelle.
271
Figure II-9.78 : Beatus Stanislas Kotska (sculpt. anonyme - XVIIe s. / polychr. anonyme - 1688) – Vue générale et détail du «bouclé par la trame» de la soutanelle.
272
Figure II-9.79 : Beatus Stanislas Kotska (polychromeur anonyme - 1688) – Détails des «broderies d’applications» et pierreries sur les orfrois de la capeline.
273
Figure II-9.80 : Archange saint Michel (sculpture Jean de Rouen - 1538 / polychromie anonyme - Attrib. Manuel Ferreira par Le Gac) – Vue Générale et détails
274
Figure II-9.81 : Archange saint Michel (sculpt. Jean de Rouen - 1538 / polychr. anonyme - Attrib. Manuel Ferreira par Le Gac) – Détails des décors de la cape.
275
Document extrait de CORREIA Vergílio et GONÇALVES António Nogueira
Inventário Artístico de Portugal. Cidade de Coimbra,
Lisboa: Academia Nacional de Belas Artes, 1947 - Est. XCVIII.
Figure II-9.82 : Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue Générale et détail du rochet.
276
Figure II-9.83 : Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
277
Document extrait de CORREIA Vergílio et GONÇALVES António Nogueira,
Inventário Artístico de Portugal. Cidade de Coimbra, Lisboa: Academia Nacional de Belas Artes, 1947
Estampa XCVIII.
Figure II-9.84 : Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
278
Figure II-9.85 : Saint Antoine (polychromeur anonyme - Attrib. M. da Costa Pereira par Le Gac) – Détails des décors du camail : motif en «pomme de pin» et orfroi.
279
Figure II-9.86 : Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 1690) – Détails d’un “artichaut” et de l’orfroi du manteau.
280
Figure II-9.87 : Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 1690) – Détails d’un “artichaut” et de l’orfroi du manteau.
281
Figure II-9.88 : Retable majeur de Sertã (sculp. António Gomes et Domingos Nunes - 1686 / polychr. Francisco da Rocha - 1691) – Vue générale et détail.
282
Figure II-9.89 : Retable majeur de Sertã (polychromie Francisco da Rocha - 1691) – Détails du tissu de brocart imité sur d’anciens fonds de niche.
283
Figure II-9.90 : Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
284
Figure II-9.91 : Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails et orfroi avec pierreries.
285
286
CATALOGUE
DES
COUPES STRATIGRAPHIQUES
287
288
RETABLE – STRUCTURE PORTANTE
8 Feuille d’or poli (1685)
8 7 Orange: couche de bolus (1685)
7 6 Blancs d’apprêt double au sulfate de calcium.
Liant protéinique (1685)
6b 6b – plâtre grossier (anhydrite)
6a – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
des pigments argileux
3
2b
2a 3 Feuille d’or poli (1685)
2 Orange: couche de bolus appliquée en deux
passes. Liant protéinique (1685)
1b 2b – passe qui contient du graphite
2a – passe sans graphite
1 Blancs d’apprêt double au sulfate de calcium.
Liant protéinique (1685)
1b – plâtre grossier (anhydrite)
1a – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
des pigments argileux
1a
(MO) x110
(MO) x110
289
6 Bleu: couche contenant du bleu de Prusse, du
blanc de plomb, du sulfate de baryum, un
pigment noir et des terres. Liant huileux (1900)
6
5 5 Bleu: smalt. Liant supposé huileux (1685)
4 4 Orange clair: fine couche de bolus (1685)
3 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
3 des pigments argileux
(MO) x65
(MO) x110
290
6 6 Bleu: couche contenant du bleu de Prusse, du
5 blanc de plomb, du sulfate de baryum, un
4 pigment noir et des terres. Liant huileux (1900)
3a
(MO) x110
9
9 Bleu: couche contenant du bleu de Prusse, du
blanc de plomb, du sulfate de baryum, un
pigment noir et des terres. Liant huileux (1900)
8 8 Blanc bleuté: sous-couche lumineuse pour le
7 bleu, faite au blanc de plomb (1900)
6
7 Bleu: smalt. Liant supposé huileux (1685)
5 6 Orange rose: argiles et vermillon (1685)
4 5 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
3
contenant du plâtre grossier (anhydrite)
2
4 Noir animal: dessin du rayonnement (1502)
1b 3 Feuille d’argent poli (1502)
2 Orange: fine couche de bolus (1502)
1 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
1a protéinique (1502)
1b – plâtre fin ou gypse (bihydrate)
1a – plâtre grossier (anhydrite)
(MO) x110
291
6 6 Feuille d’or (1900)
3 5 Jaune clair: or de couleur ou mixtion chargée
2 5 contenant du jaune de cadmium, du jaune de
chrome, du blanc de plomb et blanc de barytine,
du plâtre et de l’ocre. Liant huileux (1900)
4 4 Bleu: couleur de fond du fenestrage, contenant
du bleu de Prusse, du blanc de plomb et du
sulfate de baryum. Liant huileux (1900)
1 3 Feuille d’or poli (1685)
2 Orange: couche de bolus (1685)
1 Blancs d’apprêt simple ou double (?) au sulfate
de calcium. Liant protéinique (1685). Passes
non différenciées contenant du plâtre grossier
mélangé avec des pigments argileux.
(MO) x110
(MO) x110
292
9 Bleu: couche contenant du bleu de Prusse, du
blanc de plomb, du sulfate de baryum, un
pigment noir et des terres. Liant huileux (1900)
Provient d’une goutte tombée par inadvertance.
(MO) x110
2-Br2(a) – Niche de st Luc. Préparation du support en bois pour les plaques de brocart-appliqué
.
4 4 Rose: couche du brocart peint en rose (1685)
3
1 2 3 Orange: Couche huileuse servant à fixer le
brocart-appliqué. Contient du minium, du jaune
S double oxyde (de plomb et d’étain), peut-être du
massicot ( ?) et du blanc de plomb (1502)
2 Brun: couche très fine d’isolation de l’enduit
Liant protéinique (1502)
1 Blancs d’apprêt simple au gypse (sulfate de
calcium bihydrate), très riche en liant. Liant
protéinique (1502)
S Support en bois de chêne de la niche
(MO) x110
9-Br [a] – Niche st. Paul. Préparation du support en bois pour les plaques de brocart-appliqué
293
10 Rose clair: mélange de blanc de plomb,
vermillon et laque rouge fixée sur de la craie
10 (1685)
. 9 Bleu: smalt. Liant supposé huileux (1685)
8 Bleu clair: fine couche à base de blanc de
9 plomb, contenant peut-être de l’indigo fixé sur
. carbonate de calcium (1685)
7 Rose clair: Couche contenant du blanc de
8 plomb et du vermillon ou une laque rouge fixée
7 sur alumine et carbonate de calcium (1685)
6 5 6 Gris translucide : poussière et colle (1685)
4
3 5 Vert foncé: glacis au cuivre (1502)
2 4 Feuille d’or (1502)
3 Brun foncé: or de couleur pour la dorure (1502)
2 Feuille d’étain épaisse (1502)
1 1 Brun orangé: pâte du brocart-appliqué à base de
cire, contenant un peu de minium, du blanc de
plomb, et de l’ocre (1502)
(MO) x110
9-Br2 – Niche de st Paul. Passage entre une plaque de brocart-appliqué et le brocart peint en rose
(MO) x110
9-Br1 – Niche de st Paul. Préparation du support en bois pour les plaques de brocart-appliqué
(MO) x110
29-Br2 – Niche de st Paul. Passage entre une plaque de brocart-appliqué et le brocart peint en rose
294
4
4 Blanc translucide : couche gommeuse contenant
des particules de blanc de plomb (1900 ?)
1a
(MO) x110
(MO) x110
(MO)1ax110
295
. 5 Brun clair: retouche d’une lacune (1900 ?)
. 4 Beige: comblement d’une lacune avec des
5 pigments à base de plomb et de fer. Liant
3b 4 huileux (1900 ?)
3a
3 Rose: carnations doubles majoritairement au
2b
blanc de plomb, contenant du vermillon et de
2a l’ocre (1685) Les deux passes sont nettement
différenciées par le polissage intermédiaire.
1 2 Orange: couche de bolus appliquée en deux
passes. Liant protéinique (1685)
2b – passe qui contient du graphite
2a – passe sans graphite
1 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
des pigments argileux
(MO) x110
(MO) x110
(MO) x110
296
7 Brun transparent: matériaux à identifier : glacis
d’un vert jaunâtre donnant la teinte finale
(1685) ou couche d’huile oxydée appliquée en
7 1900 ?
6 6 Vert clair: vert-de-gris. Décor au sgraffito
4 5 (1685)
5 Blanc: blanc de plomb. Liant protéinique
3 (1685). Sous-couche lumineuse pour le décor au
sgraffito
4 Feuille d’or poli (1685)
2 3 Orange: couche fine de bolus (1685)
2 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Couche non différenciée, ou
bien superposition de trois passes ( ?). Contient
du plâtre grossier (anhydrite) avec des pigments
argileux
1 1 Blanc: résidus des blancs d’apprêt originaux au
gypse ou sulfate de calcium bihydrate (1502)
(MO) x110
1-M4 – Décor vert foncé au sgraffito (une seule nuance ?) sur la manche droite de saint Matthieu.
7 3
2 7 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976)
(MO) x320
297
GROUPE 2 - SAINT LUC ET LE BROYEUR DE PIGMENTS
(MO) x220
2-N1 - Carnations du broyeur de pigments (ouvrier sculpté et peint comme un esclave noir)
(MO) x220
298
GROUPE 3 – NATIVITÉ
(MO) x220
(MO) x220
.
.
4 Brun: mélange de matières colorantes (à
4 identifier), broyées très finement (broyage
3 industriel). Liant à identifier (1900)
3 Feuille d’or poli (1900)
2 2 Orange : couche de bolus. Liant protéinique
(1900)
1 Blancs d’apprêt apparemment simple, composé
1 de sulfate et de carbonate de calcium, soit un
mélange de plâtre et de craie. Liant protéinique
(1900). Passes non différenciées.
(MO) x220
299
6
5 6 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
4 l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des particules blanches (impuretés)
3
5 Rose très pâle: glacis accentuant les rougeurs
des carnations (matériaux à identifier). Liant
huileux (1900)
2 4 Blanc rosé: carnations composée surtout de
pigment blanc (1900)
3 Rose très pâle: couche de bolus ou
d’impression. Liant protéinique (1900)
2 Blancs d’apprêt apparemment simple, composé
de sulfate et de carbonate de calcium, soit un
mélange de plâtre et de craie. Liant protéinique
(1900). Passes non différenciées.
1 1 Brun translucide: encollage du support
S Support en bois de châtaignier
(MO) x220 S
(MO) x220
(MO) x220
300
5 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des particules blanches (impuretés)
(MO) x110
(MO) x110
301
GROUPE 4 – CHRIST RÉSSUSCITÉ ET SOLDATS ENDORMIS
4 Translucide: cire-résine. Goutte résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976)
3c
3 Rose clair: carnations doubles (majoritairement
au blanc de plomb, contenant du vermillon
(1685). Les deux passes (3b et 3c) sont
3b nettement différenciées par le polissage
intermédiaire. Liant huile/protéines
302
8 Rose foncé: couche riche en vermillon et ocre.
Liant huileux (1685). Rougeurs du visage
8 7 Rose clair: carnations simple majoritairement
au blanc de plomb, contenant du vermillon et
très peu d’ocre. Liant huileux (1685).
7
6 Orange: couche de bolus (1685)
5 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
6 contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
des pigments argileux
5 4 Rose foncé: couche organique non identifiée :
de protection, de lustrage ou de fixation ?
(1502 / 1583 / 1685 ?)
3 Rose: carnations contenant du blanc de plomb
4
et du vermillon. Liant huileux (1502)
3 2 Blanc: couche d’impression au blanc de plomb.
1c 1d 2 Liant protéinique ? (1502)
1 Blancs d’apprêt triple au sulfate de calcium.
1b Liant protéinique (1502)
1d – colle - imperméabilisation de l’apprêt
1a 1c – plâtre fin ou gypse (bihydrate)
(MO) x65 1b – plâtre mixte (anhydrite/bihydrate)
1a – plâtre grossier (anhydrite) / encollage blanc
4-Sb1 – Carnations d’un des soldats assis près du tombeau
.
. 3
2 3 Feuille d’argent polie, très oxydée
2 Orange: couche de bolus (1685)
1b 1 Blancs d’apprêt double au sulfate de calcium.
Liant protéinique (1685)
1b – plâtre grossier (anhydrite)
1a – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
des pigments argileux
E Brun: encollage du support
1a
Encollage
(MO) x65
303
SCULPTURE 7 – SAINT CÔME
(MO) x110
.
.
5 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
5 l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des particules blanches (impuretés)
3 3 4
2 4 Brun rougeâtre: matériaux non identifiés.
Rehaut du socle sur la dorure (1685)
3 Feuille d’or poli (1685)
2 Orange: couche de bolus. Liant protéinique
1 (1685)
1 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes peu différenciées,
contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
des pigments argileux.
(MO) x110
Encollage
(MO) x110
304
6 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976)
6
5 5 Vert clair: vert-de-gris (acétate basique de Cu,
3 4 plus bleu, et acétate neutre de Cu, plus vert ?).
2 Liant huileux. Décor au sgraffito (1685)
4 Blanc: blanc de plomb. Liant protéinique
(1685). Sous-couche lumineuse pour le décor au
1 sgraffito
3 Feuille d’or poli (1685)
2 Orange: couche de bolus. Liant protéinique
(1685).
1 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
des pigments argileux
(MO) x110
7-4 – Décor vert au sgraffito (une seule nuance) sur la tunique de saint Côme
.
.
6 Rouge foncé: rehauts ponctuels à la laque rouge
6 (matériaux à identifier) (1685)
5 Orange: mélange de minium, de vermillon, de
5 blanc de plomb et de craie, formant le décor au
3 4 sgraffito. Émulsion huile/protéine (œuf ?)
2 (1685)
4 Blanc: blanc de plomb. Liant huileux (1685).
Sous-couche lumineuse pour le décor au
1 sgraffito
3 Feuille d’or poli (1685)
2 Orange: couche de bolus. Liant protéinique
(1685).
1 Blancs d’apprêt au sulfate de calcium. Liant
protéinique (1685). Passes non différenciées,
contenant du plâtre grossier (anhydrite) avec
des pigments argileux
(MO) x110
(MO) x110
305
SCULPTURE 8 – SAINT PIERRE
(MO) x110
306
3
2b
2a 1b 3 Feuille d’or poli (1685)
2 Brunâtre: couche de bolus en 2 passes (1685)
1a 8b – passe contenant un pigment brun très
finement broyé
8a – passe plus orange
1 Blancs d’apprêt double.Liant protéinique (1685)
1b – plâtre grossier (anhydrite)
S 1a – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
des pigments argileux [Matière de charge en
faible épaisseur, rendue translucide par la résine
d’inclusion]
S Support en bois de chêne de la statue
(MO) x220
(MO) x110
307
SCULPTURE 9 – SAINT PAUL
5 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des particules blanches (impuretés)
9-1 – Carnations de saint Paul – passage entre le revers orange de la manche et la main droite
(MO) x110
308
8 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient de nombreuses impuretés
2
2 Rose clair: carnations doubles majoritairement
au blanc de plomb, contenant du vermillon et de
2b
l’ocre (1685). Les deux passes sont légèrement
différenciées par leur tonalité respective.
2a
1 Brun clair: carnations contenant du blanc de
1 plomb, du minium et de l’ocre (1583)
(MO) x110
(MO) x110
10-6(a) – Dorure du manteau de saint Damien (couches sous un ornement en relief – 10-6 b/c)
309
5 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des impuretés.
5 4 Brun: mélange de pigments à base de terre et de
pigment noir (matériaux à identifier) (1685).
Couleur associée optiquement à la précédente.
3 Noir : noir de carbone (1685)
2 Blanc: couche très irrégulière de blanc de
4 plomb. Liant protéinique (1685). Sous-couche
très fine pour le décor au sgraffito
1 Feuille d’or poli (1685)
3
2
1 [Cf. les couches restantes dans 10-2(a)]
(MO) x220
10-2(b) – Décor brun noir au sgraffito sur les chausses de saint Damien
2
[Cf. les couches de couleur dans 10-2(b)]
1c
2 Orange brunâtre: couche de bolus (1685)
1 Blancs d’apprêt triple au sulfate de calcium.
1b Liant protéinique (1685)
1c – plâtre grossier anhydrite
1b – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
une très grande proportion de pigments argileux
1a 1a – plâtre grossier (anhydrite) mélangé avec
des pigments argileux
E Blanc translucide: encollage blanc (1685)
Encollage
(MO) x110
10-2(a) – Dorure sur les chausses de saint Damien (couches sous-jacentes au sgraffito brun noir)
(MO) x220
10-4 – Décor gris violacé au sgraffito, avec rehauts en rouge, sur le pourpoint de saint Damien
310
GROUPE 11 – DOUZE APÔTRES
8 Marron: mélange de terre. Liant huileux (1900).
Retouche débordante sur une lacune du talon.
311
6 Beige mélange de terre. Liant huileux (1900).
Retouche débordante sur la main
6 5 Rose clair: carnations majoritairement au blanc
de plomb, contenant du vermillon. Liant huileux
5 (1685). Passes non différenciées.
4 Brun translucide: couche de colle (1685)
(MO) x220
11-A5.1 – Carnations du cinquième Apôtre (st Jacques / rangée médiane, à dextre) – main gauche
11-A12.1 – Carnations du douzième Apôtre (rangée supérieure, dernier à sénestre) – joue droite
312
GROUPE 12 – LA VIERGE ET UN DES ANGES DE L’ASSOMPTION
(MO) x110
(MO) x220
(MO) x110
12-A3 – Tunique rouge de l’un des anges flottant à droite de la Vierge (rangée du milieu)
313
5 Rose clair: carnations doubles, majoritairement
au blanc de plomb et contenant du vermillon,
avec lustrage intermédiaire et final (1685)
5d – seconde couche des carnations
5c – lustrage intermédiaire
5b – première couche des carnations
5a – passe plus claire. couche d’impression au
5d
blanc de plomb. Liant huileux.
5c 4 Brun foncé : couche de colle (1685)
5b 3 Beige rosé : Carnations simple contenant du
blanc de plomb, du minium et de l’ocre (1583).
5a 2 Beige rose: Carnations avec lustrage final. Liant
huileux (1502).
2c 3 4 2c – matière non identifiée (ni protéinique, ni
2b huileuse). Couche de lustrage de la première
passe des carnations.
2a
2b – première couche des carnations contenant
1b du blanc de plomb, un peu de vermillon.
1a 2a – passe plus claire. Couche d’impression au
blanc de plomb. Liant huileux.
Couches préparatoires des carnations (1502)
1a – couche d’imperméabilisation de l’enduit
1 maigre. Liant protéinique (colle)
(MO) x110 1b – couche au sulfate de calcium et colle
314
GROUPES 1 ET 2 DE LA PRÉDELLE – ORNEMENTS BAROQUES
5
4
5 3
4 2
2
1 1
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Contient des impuretés.
4 Adhésif brun: couche principalement organique à base de colle animale, contenant un peu de craie et de quartz et servant à la
fixation de la verroterie ? (1685 / 1900 ?)
3 Couche blanc grisâtre : blanc de plomb et sulfate de calcium à l’huile, servant peut-être à fixer l’élément en verre teintée et/ou à
renforcer l’effet de réflexion lumineuse (1685).
2 Feuille de plomb d’un aspect grisâtre, utilisée peut-être dans le but de créer une base assez réfléchissante pour la pose d’un
élément en verre teinté (1685)
– Noir: espace vide entre la pâte et les strates suivantes
1 Adhésif rose: couche huileuse à base de blanc de plomb et contenant du vermillon en proportions variables suivant
l’homogénéité du mélange. Sert à la fixation d’un cabochon coloré (1685)
1-A4 – Couche consistante rose et peinte en surface, servant à la fixation d’un cabochon coloré
2 5
5
4 4
3 3
2 2
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Contient des impuretés.
2-L3 – Colombin d’un artichaut: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc orangé
5
5 4
5 3
3
2
2
1
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Contient des impuretés.
2-L4 – Colombin d’un artichaut: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc orangé
315
CHRIST RESSUSCITÉ (4) ET SAINT CÔME (7) – ORNEMENTS BAROQUES
4
3
2 4 Cire-résine: résidus de l’adhésif ayant servi à
fixer la polychromie au XXe siècle (1976).
Contient des impuretés.
(MO) x65
4-C5 – Élément de sertissage pour un cabochon coloré (manteau du Christ): pâte rose et peinte
5
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à
fixer la polychromie au XXe siècle (1976).
4 Couche translucide
(MO) x65
316
SAINT PIERRE (8) – ORNEMENTS BAROQUES EN RELIEF
(MO) x110
8-8 – Colombin d’une pomme-de-pin (tunique de St. Pierre): pâte translucide (dorure lacunaire)
8-9 – Galon de l’orfroi (manteau de St. Pierre) : pâte translucide fixée avec un adhésif blanc
4
3 4 Translucide: cire-résine. Couche résiduelle de
2 l’adhésif de fixation de la polychromie (1976).
Contient des impuretés issues d’autres couches.
317
SAINT PAUL (9) – ORNEMENTS BAROQUES DU MANTEAU
9
9
7 8
9 8
6
4 et 5 7
2 et 3
1 7
MO x110 MO x110 MO x110
9 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Couche assez translucide.
8 Gris : imitation d’un ton argenté par un mélange de pigments très divers, dont du blanc de plomb, des terres et du noir (1685)
7 Relief du brocart : pâte en cire contenant quelques particules éparses de minium et de blanc de plomb (1685)
6 Adhésif blanc jaunâtre: couche huileuse à base de blanc de plomb et contenant de l’ocre, servant à fixer l’ornement (1685)
5 Rouge : couleur du décor au sgraffito, contenant essentiellement du vermillon (1685)
4 Sous-couche blanche au blanc de plomb (1685)
3 Dorure à l’eau. Feuille d’or (1685)
2 Bolus brunâtre : deux couches superposées formant l’assiette de la dorure brunie (1685)
1 Blancs d’apprêt maigres au sulfate de calcium. Liant protéinique (1685)
9-2 – Colombin d’un artichaut: pâtre translucide et peinte, fixée avec un adhésif blanc jaunâtre
5 5
4 4
2 3
3
2
2
5 Cire-résine: résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Couche assez translucide.
9-3 – Galon d’orfroi: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc jaunâtre
2 3 2
5
4
3
2
1
MO x220 MO x65 MO x110
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Contient des impuretés.
9-4 – Galon d’orfroi: pâte orange et dorée, fixée avec un adhésif blanc jaunâtre
318
SAINT DAMIEN (10) – ORNEMENTS BAROQUES DU MANTEAU
5
4
2 3
2
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Couche translucide
10-5 (a et b) – Galon de l’orfroi: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif orange
2
5
4 3
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à fixer la polychromie au XXe siècle (1976). Couche translucide
10-6 (b et c) – fleuron quadrilobé: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif orange (et blanc)
319
APÔTRES (11) – ORNEMENTS BAROQUES EN RELIEF DES MANTEAUX
(MO) x110
11-A1.1 – Galon d’orfroi: pâte translucide, fixée avec un adhésif blanc orangé
(MO) x65
11-A3.5 – Colombin d’un artichaut: pâtre translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc grisâtre
(4)
5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à
2
fixer la polychromie au XXe siècle (1976).
Couche translucide prise dans une bulle d’air et
contenant des impuretés.
11-A3.6 – Galon d’orfroi: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc grisâtre
320
2 7
7 Relief du brocart: reste de pâte en cire,
contenant quelques particules de minium (1685)
6 Adhésif blanc orangé: couche huileuse
contenant du blanc de plomb avec des agrégats
6 de minium, servant à fixer l’ornement (1685)
5 Sgraffito bleu : couche d’azurite et de blanc de
plomb, avec des impuretés, donnant la couleur
5 de fond à l’imitation du tissu de brocart.
4 Sous-couche blanche au blanc de plomb (1685)
3 4 3 Dorure à l’eau. Feuille d’or poli (1685)
2 2 Bolus orange : couche de silicates d’aluminium,
d’ocre et de kaolin (argiles fines) formant
1 l’assiette de la dorure brunie (1685)
1 Blancs d’apprêt maigres au sulfate de calcium.
Liant protéinique (1685)
(MO) x110
11-A4.2 – Colombin d’un artichaut: pâte fixée avec un adhésif blanc orangé
11-A4.5 – fleuron lancéolé: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif blanc orangé
(MO) x110
11-A4.6 – Galon d’orfroi: pâte translucide, fixée avec un adhésif rose pâle
321
VIERGE DE L’ASSOMPTION (12) – ORNEMENT EN RELIEF DU MANTEAU
(4)
2 5 Cire-résine : résidus de l’adhésif ayant servi à
3 fixer la polychromie au XXe siècle (1976).
6 Couche translucide
12-V1 – fleuron quadrilobé: pâte translucide et dorée, fixée avec un adhésif orange
322
EXAMENS
ET
COLORATIONS SPÉCIFIQUES
323
324
300 µm
MO x65 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 25 keV
MO x65 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x65 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
326
MO x100 – Champ clair MO x100 – Lumière réfléchie
327
MO x65 – Lumière réfléchie
Échantillon R-B3 – Fond bleu du retable: Azurite sur sous-couche noire. Polychromie de 1502
328
MO x65 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 - 25 keV
MO x65 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x65 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
329
300 µm
MO x65 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 - 25 keV
MO x65 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x65 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
330
MO x100 – Champ clair MO x100 – Lumière réfléchie
331
300 µm
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
332
MO x110 – Lumière réfléchie MO x220 – Lumière réfléchie
200 µm
333
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
334
MO x110 – Coloration à la Fuchsine acide: présence de protéines (en rose)
335
300 µm
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
336
MO x100 – Champ clair MO x100 – Lumière réfléchie
337
MO x65 – Vue générale de l’échantillon en lumière réfléchie
MO x65 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x65 – Vert Malachite: huile (bleu)
338
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (BSE) x100 - 25 keV MEB (BSE) x400 - 25 keV
339
300 µm
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
340
300 µm
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
341
100 µm
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
342
MO x200 – Lumière réfléchie
343
MO x220 – Lumière réfléchie (observation à sec)
100 µm
MEB (image BSE) x800 - 25 keV MEB (image BSE) x300 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
344
MO x220 – Lumière réfléchie
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
345
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
347
MO x220 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x220 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
348
MO x200 – Champ clair MO x200 – Lumière réfléchie
349
300 7m
MO x220 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 - 25 keV
MO x220 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x220 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
350
MO x200 – Lumière réfléchie
351
Echantillon 4-C3 - MO x200 – F7 (BP 510-560 et LP 590)
Echantillons 4-C3 et 4-C6 – Comparaison des strates sous filtre d’excitation dans le vert (F7)
352
MO x110 – Lumière réfléchie
353
300 µm
MO x65 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x100 - 25 keV
MO x65 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x65 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
354
MO x110 – Champ clair MO x110 – Lumière réfléchie
355
30 µm
MO x65 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x600 - 25 keV
MO x110– Fuscine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
356
MO x200 – Lumière réfléchie
357
MO x100 – Champ clair MO x100 – Champ sombre
358
MO x100 – Champ clair MO x100 – Lumière réfléchie
359
MO x100 – Champ sombre MO x100 – Lumière réfléchie
360
MO x200 – Champ clair MO x200 – Champ sombre
361
MO x200 – Lumière réfléchie MO x200 – Lumière polarisante
362
MO x100 – Lumière polarisante MO x100 – Lumière réfléchie
363
MO x110 – générale – couches préparatoires: MO x110 – vue générale – couches picturales: couche
enduit au plâtre (sulfate de calcium) et à la colle bleutée des cheveux (1502) au blanc de plomb et à
et couche d’isolation à la colle animale l’azurite, dans un liant huileux.
MO x110 – coloration à la Fuchsine acide : présence de MO x110 – coloration à la Fuchsine acide : présence de
protéines (colle animale) protéines
300 7m
8-2 –MEB
MEB(BSE)
(BSE)x150
x150- -25
25keV
keV––plâtre
plâtreetetcolle
colle 8-2 MO
– MO x110 – Rhodamine
x110 – colorationB: présence
à la d’huile
Rhodamine (liant ou
B présence
contamination ?)
d’huile (liant ou contamination)
Échantillon 8-2 – Cheveux de saint Pierre (stratigraphie divisée sur deux échantillons)
364
MO x200 – Lumière réfléchie MO x200 – Lumière polarisante
365
MO x110 (montage à sec) – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 – 20 keV
MO x110 – Fuchsine: Protéines (en rose) MO x110 – Rhodamine B: Huile (en rose)
366
100 µm
MO x220 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x200 - 25 keV
100 µm
MO x200 – Fluorescence - F5: UV (BP 395-440 et LP 470)
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
367
MO x220 – Lumière réfléchie
368
MO x200 – Lumière réfléchie MO x200 – champ clair
369
MO x65 – Lumière réfléchie
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
370
MO x100 – Lumière réfléchie MO x100 – Lumière réfléchie
MO x100 – F5: UV (BP 395-440 et LP 470) MO x100 – F5: UV (BP 395-440 et LP 470)
371
300 µm
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Vert Malachite: présence d’huile (bleu)
372
MO x200 – Lumière polarisante MO x200 – Lumière réfléchie
373
MO x110 – Lumière réfléchie MEB (image BSE) x150 - 25 keV
MO x110 – Fuchsine: présence de protéines (rose) MO x110 – Rhodamine B: présence d’huile (rose)
374
MO x110 – Fuchsine: protéines (rose) MO x110 – Vert Malachite: huile (bleu)
375
MO x110 – Lumière réfléchie
376
MO x200 – Champ sombre MO x200 – Lumière réfléchie
377
MO x200 – Lumière réfléchie MO x65 – Coloration Fuchsine: protéines (rose)
378
AGNÈS ANNE FRANÇOISE LE GAC ARINTO
sous la direction de
Nº Arquivo
Copyright
Nº Arquivo
Copyright
TABLE DES FIGURES
PREMIÈRE PARTIE
vii
Figure I-2.22 Nef et abside de la Sé Velha en 1892. 25
Figure I-2.23 Détail du retable majeur de la Sé Velha en 1892. 26
Figure I-2.24 Signalisation d’éléments manquants dans le retable majeur en 1892 : nombreux 27
éléments filiformes de la structure portante et de la figuration (anges de
l’Assomption et armoiries de l’évêque D. Jorge de Almeida sous les pieds de la
Vierge).
Figure I-2.25 Nef et vue partielle de l’abside (côté de l’Epître) de la Sé Velha, en 1893. 28
Figure I-2.26 Détail de la « talha » baroque de l’abside de la Sé Velha, en 1893. 29
Figure I-2.27 Retable majeur de la Sé Velha, en 1918. 30
Figure I-2.28 Retable majeur de la Sé Velha, en 1948. 31
Figure I-2.29 Retable majeur de la Sé Velha, en 1957. 32
Figure I-2.30 Détail du retable majeur de la Sé Velha, vers 1957, sans le tabernacle. 33
Figure I-2.31 Retable majeur de la Sé Velha, en 1962. 34
Figure I-2.32 Retable majeur de la Sé Velha, en 1988. 35
Figure I-2.33 Retable majeur de la Sé Velha, en 1997. 36
Figure I-2.34 Statuettes données comme provenant du retable majeur de la Sé Velha, et 37
appartenant au fonds de collection du Museu Nacional Machado de Castro de
Coimbra.
Figure I-2.35 Détail du Grand Retable de la cathédrale de Tolède (1498-1504). 37
Figure I-2.36 Retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500). 38
Figure I-2.37 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500), où le groupe sculpté 39
de la Pietà, situé au centre du premier registre, contient une figuration nombreuse
avec saint Jean et les trois saintes femmes (Marie Madeleine, Marie de Cléophas, et
Marie, mère de Jacques et Jean).
Figure I-2.38 Retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524). 40
Figure I-2.39 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524), où le groupe de 41
l’Assomption contient huit anges disposés par paires, ainsi que le donateur qui
assiste à la montée aux cieux de la Vierge.
Figure I-3.01 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). a) Image 42
générale de l’enduit triple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de la première
passe (couche 1a) de cet enduit triple.
Figure I-3.02 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 43
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ;
b) diffractogramme de cette même passe dans la zone où elle présente une particule
noire de grande dimension.
Figure I-3.03 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 44
Deux diffractogrammes de la troisième passe (couche 1c) de l’enduit triple.
Figure I-3.04 Apprêts gothiques du retable dans l’espace de l’Assomption (échantillon R-Bl). a) 45
diffractogramme de la première passe (couche 1a) de l’enduit double; b)
diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de cet enduit.
Figure I-3.05 Apprêts gothiques de la niche de Saint Paul (échantillon 9-Br). a) Image de l’enduit 46
simple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de cet enduit.
Figure I-3.06 Apprêts gothiques sous les carnations d’un soldat de la Résurrection (éch. 4-Sb1). 47
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ; b)
diffractogramme de la troisième passe (couche 1c) de cet enduit.
Figure I-3.07 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur la 48
structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les spectres obtenus et leur
respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.08 Etude semi quantitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur 49
la structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les résultats obtenus indiquent
que l’alliage d’or ne comporte ni argent (Ag), ni cuivre (Cu). Il est pur.
Figure I-3.09 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur un 50
brocart appliqué de la niche de St Paul (échant. 9-Br2). Les deux spectres obtenus et
leur respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.10 Études qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de l’argenture originale 51
appliquée en 1502 sur le fond de l’édicule de la Vierge de l’Assomption
(échantillon R-Bl) – L’analyse indique que l’argent est pur.
Figure I-3.11 Aspect actuel des vêtements de saint Paul, présentant peut-être une certaine parité 52
avec l’aspect plus ancien de « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-3.12 Aspect actuel des chausses de saint Damien, rappelant fortement l’aspect plus 53
ancien de « brocarts-appliqués isolés » sur glacis coloré.
viii
Figure I-3.13 Ange de la Charola du Convento de Cristo, à Tomar. Polychromie gothique 54
originale (vers 1515) portant des « brocarts appliqués isolés ».
Figure I-3.14 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 55
appliqués. Etat de conservation en 1976.
Figure I-3.15 Les brocarts-appliqués qui ornaient les pans latéraux de la niche de saint Luc ont été 56
recouverts par une nouvelle polychromie en 1685. Ils ne sont décelables qu’en
lumière rasante.
Figure I-3.16 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 57
appliqués. Etat de conservation en 2004.
Figure I-3.17 Fragments de plaques de brocart-appliqué juxtaposées, dont la coupe et 58
l’orientation aléatoires ne permettent pas d’avoir une bonne lecture du patron textile
imité, même si certaines parties ont conservé des rehauts à la laque rouge qui
doivent mieux définir le motif.
Figure I-3.18 La plaque de brocart-appliqué la plus grande, située à la verticale dans l’angle 59
supérieur gauche de la niche de saint Luc, mesure 17,1 x 11 cm.
Figure I-3.19 Détails des brocarts-appliqués dont les lignes en relief correspondent à celles 60
d’abord gravées (donc en creux) dans la matrice. On compte 11-12 lignes/cm2.
Figure I-3.20 a) Dessin des motifs du brocart-appliqué, autrefois rehaussé de laque rouge ; b) 61
Superposition du décalque du motif supérieur dextre (en rouge) sur le motif
supérieur sénestre (en noir). Les dessins ne coïncident pas totalement.
Figure I-3.21 Tissu de brocart formant un baldaquin dans une peinture de Jérôme Bosch (c. 1470- 62
1485).
Figure I-3.22 Tissu de brocart dans une peinture du Maître de la Vie de Sainte Lucie (actif en 63
1480).
Figure I-3.23 Tissu de brocart dans une peinture de Gérard David (c. 1506). 64
Figure I-3.24 Tissu de brocart dans une peinture de Paul Véronèse (1562). 65
Figure I-3.25 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 66
de la niche de saint Luc (échant. 2-Br2), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.26 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 67
de la niche de saint Luc (échantillon 2-Fundo Nicho), obtenus par THM-GC/MS.
La pâte est à base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.27 Diffractogramme de la couche jaune orangée à l’huile, servant à fixer un brocart- 68
appliqué sur le fond de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br1).
Figure I-3.28 Etude au MEB-EDS de la pâte d’un brocart-appliqué fixé sur la niche de saint Paul 69
(échantillon 9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui indiquent nettement
l’emploi de pigments à base de plomb (minium orange et blanc de plomb), à base
de fer (ocre jaune), et à base de calcium (craie pour céruse ?). Ces pigments servent
de charge et peut-être de siccatifs.
Figure I-3.29 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 70
de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire. Elle contient vraisemblablement un peu d’huile, impossible à
identifiée.
Figure I-3.30 Etude au MEB-EDS de la feuille d’étain qui a permis de faire un brocart-appliqué 71
de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon 9-Br2). Le spectre indique nettement
l’emploi d’étain pur, la composition élémentaire n’accusant que Sn.
Figure I-3.31 Etude au MEB-EDS de la couche d’or de couleur ayant permis l’application de 72
feuille d’or sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon
9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de siccatifs à
base de plomb (litharge ?) et aussi de cuivre (vert-de-gris ?), dans cette technique de
dorure grasse et mate.
Figure I-3.32 Etude au MEB (images BSE et SE) et MEB-EDS de la laque colorée qui recouvre 73
la feuille d’or, sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502
(échantillon 9-Br2). La composition élémentaire accuse nettement le cuivre (Cu),
qui fait supposer l’emploi de résinate de cuivre et donc d’une laque verte.
Figure I-4.01 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1583 (échantillon R-O1). Approche 74
semi-quantitative, qui indique que l’alliage d’or est pur.
Figure I-4.02 Examens aux MO et MEB des différentes couches composant le fond bleu d’un 75
fenestrage (échantillon R-B3), en particulier du bleu de smalt appliqué en 1583.
L’analyse ponctuelle au MEB-EDS reflète bien l’emploi d’un verre (Si) potassique
(K) coloré au cobalt (Co) et contenant des impuretés, dont des traces de nickel (Ni).
ix
Figure I-5.01 Retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Détail des niches du troisième registre 76
et des quatre saints patrons qu’elles abrîtent.
Figure I-5.02 Détail des niches vides qui abritent les quatre saints patrons du retable majeur de la 77
Sé Velha. Contrairement aux panneaux latéraux qui présentent l’imitation d’un tissu
de brocart, peint en deux tons de rose à l’époque baroque, le panneau central du
fond de ces niches ne porte pas de polychromie. Nous pensons y voir les marques
d’un grattage des couches anciennes, qui ont laissé des vestiges de préparation
blanche dans les fibres du bois. Ces panneaux ne sont pas visibles lorsque les
sculptures y sont adossées.
Figure I-5.03 Détail de la niche vide de saint Paul, au troisième registre du retable de la Sé Velha. 78
Les couches anciennes semblent avoir été grattées sur le panneau central du fond. Il
est possible que cette intervention ait eu lieu en 1685, pour répondre à l’une des
clauses du contrat de polychromie qui prévoyait de « laver le retable jusqu’au
bois ».
Figure I-5.04 Détail de la niche vide qui abrîte le groupe sculpté de saint Matthieu, au premier 79
registre du retable de la Sé Velha. Le double panneau central du fond de cette niche
ne porte pas de polychromie et a nécessairement fait l’objet d’un grattage des
couches anciennes, dont les « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-5.05 Détail des revers des quatre saints patrons du retable de la Sé Velha. Les marques 80
d’outils, de gouge (St Paul et St Côme) ou d’herminette (St Pierre et St Damien),
montrent le travail bien différencié de l’évidement des pièces, que l’on doit très
certainement à deux sculpteurs.
Figure I-5.06 Détail de quatre anges de la voûte. Il apparaît clairement que les deux anges portant 81
des instruments de la Passion du Christ – celui portant la couronne d’épine (Nº 220,
en bas à gauche) et celui portant la lance de la Crucifixion (Nº 187, en bas à droite)
–, sont de la main d’un autre sculpteur que les deux autres dont les attributs ont été
perdus (Nº 183 et 189, en haut). Il nous semble que ces derniers sont d’origine, ou
en tout cas qu’ils sont plus anciens. La taille des volumes et des plis est à la fois
plus complexe et plus raffinée. Les aspects morphologiques des visages semblent
traités avec plus de soins.
Figure I-8.01 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Luc, sculpté vers 1500 pour le 82
retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. La facture des personnages, autant que
l’essence de bois employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.02 Face et revers du groupe de la Résurrection, sculpté vers 1500 pour le retable 83
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.03 Face et revers de la Nativité sculptée en 1899 lors de la restauration du retable 84
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.04 Face et revers de l’Evangéliste saint Marc sculpté en 1899 lors de la restauration du 85
retable de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.05 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Jean, restauré en 1899 lors de 86
l’intervention sur le du retable de la Sé Velha. La facture de l’aigle, autant que
l’essence de bois employée (châtaignier) indiquent que cet attribut a été refait.
Figure I-8.06 L’Assomption dans le retable majeur de la Sé Velha. Sur l’ensemble des Anges qui 87
entourent la Vierge, deux seulement (vêtus de rouge) sont originaux. Les autres
datent de 1899.
Figure I-8.07 Détails de deux Anges de l’Assomption de la Vierge, dans le retable majeur de la 88
Sé Velha. Leurs formes autant que leurs polychromies révèlent les goûts de deux
époques différentes. Le premier (Nº 12-A1), dont l’expression est gothique, porte le
sgraffito caractéristique de la repolychromie appliquée en 1685. Le second (Nº 12-
A3), de facture beaucoup plus récente, porte les effets de dorure et de couleur
propres à la restauration de 1900.
Figure I-8.08 Détails de différentes interventions effectuées en 1899-1900, sur le retable majeur 89
de la Sé Velha de Coimbra, au niveau des éléments sculptés du mobilier : fixation
de décoration architectonique à l’aide de vis et application d’une nouvelle dorure
sur mixtion, sur une étoile d’un fenestrage. La mixtion jaune clair déborde sur le
fond bleu.
x
Figure I-8.09 Diffractogramme des apprêts appliqués sur la Vierge de la Nativité, en 1900. 90
Figure I-8.10 Diffractogramme de la mixtion jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de 90
dorure à l’huile, sur une étoile de la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.11 Etude au MEB (image en mode électrons retro-diffusés) et MEB-EDS de la mixtion 91
jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de dorure à l’huile sur une étoile de
la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.12 Spectres EDS de la dorure (restauration) appliquée en 1900, sur la Vierge du groupe 92
de la Nativité (échantillon 3-V3). Analyses ponctuelles qui démontrent que l’alliage
d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.13 Étude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur la 93
Vierge de la Nativité (échantillon 3-V3). L’alliage d’or contient de l’argent et du
cuivre.
Figure I-8.14 Spectres EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une étoile du retable (zone 94
supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les résultats obtenus montrent
que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.15 Etude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une 95
étoile du retable (zone supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les
analyses ponctuelles montrent que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.16 Spectre infrarouge (FTIR) de la couche bleue appliquée en surface, en 1900, sur le 96
fond de la niche de saint Luc (échantillon 2-Br2 couche 9). L’analyse donne les pics
caractéristiques du bleu de Prusse, du blanc de plomb et du liant huileux.
Figure I-8.17 Diffractogramme de la couche au bleu de Prusse recouvrant, en 1900, un des fonds 96
de la structure portante du retable (échantillon R-B3).
Figure I-8.18 Etude qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de la couche au bleu de Prusse 97
appliquée, en 1900, sur un des fonds de la structure portante du retable (échantillon
R-Bl).
Figure I-8.19 Groupe de l’Evangéliste saint Matthieu, à la prédelle du retable majeur de la Sé 98
Velha. Détail de la retouche faite sur le manteau de saint Matthieu, en 1902.
Figure I-9.01 Première Corps du retable majeur de la Sé Velha où figure l’Assomption. Etat 99
d’empoussièrement en 1975.
Figure I-9.02 Anapaula Abrantes examinant l’un des groupes de la prédelle, lors du constat d’état 99
du retable, en 1975.
Figure I-9.03 Dépoussiérage du retable à sec, à l’aide de brosses et d’aspirateurs, en 1976. 100
Opération conduite ici par José Torrado (en haut) et Herménio Fontes.
Figure I-9.04 Luísa Santos et Anapaula Abrantes procédant à la fixation de la polychromie du 101
groupe de saint Matthieu, en 1976.
Figure I-9.05 Enlèvement des excès de cire-résine sur un des groupes de la prédelle, après 102
fixation de la polychromie en 1976.
Figure I-9.06 Aspect du retable majeur après l’intervention de conservation (nettoyage et fixation 103
de la polychromie), en 1976.
Figure I-9.07 Préparation de la « cire-résine » devant servir à la fixation des couches picturales, 104
telle que cet adhésif était préparé au Département des Sculptures polychromes de
l’Instituto de José de Figueiredo, par Anapaula Abrantes, à partir des années 70.
Photocopie du premier feuillet de la recette retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I.9.08 Préparation de la « cire-résine » (suite). Photocopie du second feuillet de la recette 105
retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I-9.09 Cire-résine de 1976 (ligne rouge) présente sur l’échantillon 9-4 et mélange 106
référence de cire-résine de 1997 (ligne bleue) en spectroscopie infrarouge.
Figure I-9.10 Echant. 2-L3 – (Tunique St. Luc) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 106
microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
Figure I-9.11 Echant. 10-6 – (Manteau de St. Damien) Couche superficielle d’un fleuron 107
quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-
résine de 1976.
Figure I-9.12 Echant. 8-9 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un galon lacunaire de 107
l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine
de 1976.
Figure I-9.13 Echant. 9-2 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 107
microscopie optique et en spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
xi
SECONDE PARTIE
Figure II-1.01 Stratification des différentes couches appliquées sur la structure portante en 1685, 111
pour obtenir les principaux effets artistiques recherchés : 1) encollage du support en
chêne ; 2a) première couche de l’enduit double au plâtre ; 2b) seconde couche de
l’enduit double au plâtre ; 3) assiette à dorer ou bol ; 4) dorure brunie ; 5) couche
bleu des fenestrage, correspondant ici à l’application de bleu de Prusse, en 1900.
Figure II-2.01 Séchage des cuirs mégis (peaux de gants) après le dernier bain de tannage à l’alun. 112
Les substances tannantes et l’ « habillage » (jaune d’œuf et farine) se concentrent
dans les pattes qui seront rognées et dont on fait la colle.
Figure II-2.02 patte de peau de mouton rognée après tannage de la peau (à l’alun) 112
Figure II-2.03 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun 113
Figure II-2.04 Etude au MEB et imagerie en mode électrons rétrodiffusés d’une peau de gants 114
observée côté fleur et côté chair. Des globules de farine se trouvent à l’état libre,
particulièrement nombreux dans la structure fibrillaire de la peau.
Figure II-2.05 Préparation de colle de peau de gants à partir de rognures coupées en lanières. (a/b) 115
Cuisson à 100 ºC jusqu’à dissolution et réduction du liquide à un tiers. (c/d) Filtrage
de la colle. (e) Refroidissement et découpage en tranches minces. (f) Séchage des
plaques sur treillis.
Figure II-2.06 Image en mode «Electrons Secondaires» d’une goutte de colle de peau de gants. 116
Les particules blanches disséminées correspondent à de l’Alumine qui subsiste dans
la substance organique. Grossissement x200 / Barre d’échelle 100µm.
Figure II-2.07 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun et d’un échantillon 117
de parchemin (sans alun).
Figure II-2.08 Spectre dans l’Infrarouge de la colle de peau de gants (Spectra-Tech IRµS - Colle 117
sèche broyée avec KBr – 128 balayages– 4000-600 cm-1 – résolution= 4 cm-1).
Figure II-3.01 Apprêts baroques de la dorure brunie de la structure portante du retable (échantillon 118
R-O 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 6a) de l’enduit double ;
b) diffractogramme de la seconde passe (cam 6b) de cet enduit.
Figure II-3.02 Apprêts baroques de la couleur bleue dans l’espace de la Vierge, à l’extrémité du 119
rayonnement (échantillon R-B1). a) diffractogramme de l’enduit simple (cam 5).
Figure II-3.03 Apprêts baroques des camations de saint Paul (échantillon 9-1). a) diffractogramme 120
de la premiére passe (cam 1a) de l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde
passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.04 Apprêts baroques du Socle de saint Côme (échantillon 7-2). a) diffractogramme de 121
la premiére passe (cam 1a) de l’enduit simple ou double( ?) ; b) diffractogramme de
la seconde passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.05 Apprêts baroques des Carnations du soldat de dextre assis au sol dans le groupe de 122
la Résurrection (éch. 4-Sb 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 5a) de
l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde passe (cam 5b) de cet enduit.
Figure II-4.1a Macrophotographie d’une lacune dans la dorure de la structure portante du retable, 123
qui permet de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.1b Photographie d’une lacune dans la dorure du manteau de saint Matthieu, qui permet 124
de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.02 Etude du bol orangé (assiette) au MEB-EDS sur les cheveux de saint Côme / groupe 125
7 du troisième registre (échantillon 7-3) – Spectre de la composition élémentaire et
analyse semi-quantitative.
Figure II-4.03 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 126
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.04 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 127
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.05 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 128
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
xii
Figure II-4.06 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 129
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.07 Etude du bol au MEB-EDS sur le manteau du Christ / groupe 4 de la prédelle 130
(échantillon 4-C3) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.08 Etude du bol au MEB-EDS sur le tombeau du Christ / groupe 4 de la prédelle 131
(échantillon 4-C6) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.09 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations du soldat assis à dextre / groupe 4 de 132
la prédelle (échantillon 4-Sb1/B) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.10 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations de saint Matthieu / groupe 1 de la 133
prédelle (échantillon 1-M1) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.11 Étude par DRX du bol sous les cheveux de saint Matthieu (échant. 1-M2). 134
Figure II-4.12 Étude par DRX du bol sous les carnations de saint Paul (échantillon 9-1). 135
Figure II-4.13 Étude par DRX du bol sous la tunique de saint Pierre (échantillon 8-6). 136
Figure II-4.14 Étude par DRX du bol et des particules foncées de l’échantillon précédent. 137
Figure II-4.15 Étude par DRX de grains noirs dans le bol appliqué sur saint Pierre (8-6). 138
Figure II-4.16 Étude par DRX du bol sous le manteau du Christ Ressuscité (échant. 4-C3). 139
Figure II-5.01 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 140
portante du retable (échantillon R-O1). Analyses ponctuelles et qualitatives, dont
les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient des
traces infimes de cuivre.
Figure II-5.02 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 141
portante du retable (échantillon R-O1). Réalisation de plusieurs analyses
ponctuelles dont l’approche semi-quantitative tendrait à indiquer que l’alliage d’or
est pur ou qu’il contient des traces infimes de cuivre.
Figure II-5.03 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur une étoile du 142
Premier Corps du retable (échantillon R-E1). Analyses ponctuelles et qualitatives,
dont les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or contient des traces
d’argent, voire des traces de cuivre.
Figure II-5.04 Étude au MEB-EDS de la dorure de l’étoile du Premier Corps (éch. R-E1). 143
Approche semi-quantitative qui indique que l’alliage d’or contient des traces
d’argent et/ou de cuivre.
Figure II-5.05 Étude au MEB-EDS de la feuille d’or appliquée, en 1685, sur le socle de la statue 144
de saint Côme (échantillon 7-2). Analyses semi-quantitatives qui tendraient à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.06 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 145
saint Côme (échantillon 7-4). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.07 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 146
saint Côme (échantillon 7-5). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.08 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 147
de saint Côme (échantillon 7-7). L’analyse semi-quantitative tendrait à indiquer que
l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.09 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 148
saint Pierre (éch. 8-6). L’alliage d’or est pur ou contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.10 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le socle de la statue de 149
saint Paul (échantillon 9-5). Les deux analyses indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.11 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 150
saint Pierre. (échantillon 8-10a). Approche semi-quantitative qui tendrait à indiquer
que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.12 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 151
de saint Pierre (échantillon 8-10b). Les analyses semi-quantitatives indiquent que
l’alliage d’or contient un peu de cuivre.
Figure II-5.13 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statue de 152
saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
xiii
Figure II-5.14 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 153
de saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur ou qu’il contient quelques traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.15 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le socle de la statuette de 154
saint Matthieu (échantillon 1-M6). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.16 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la tunique de la statuette 155
de saint Luc – (échantillon 2-L2). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.17 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 156
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.18 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur un ornement de la statuette 157
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur.
Figure II-5.19 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 158
du Christ Ressuscité (échantillon 4-C3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.20 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la statue moyenne d’un 159
Apôtre (manteau du quatrième Apôtre - échantillon 11-A4.2). L’analyse tendrait à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.21 Diffractogramme de l’Argenture de l’armure d’un des soldats de la Résurrection 160
(4-Sh.1). Cette méthode d’analyse par DRX identifie bien la feuille d’argent.
Figure II-6.01 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 162
(échantillon B-R4). Observation aux MO et MEB de la couche de smalt appliquées
en 1685. Le registre en couleur au MO montre que, même à un faible
agrandissement (x65), les particules de verre coloré, grossièrement broyées, sont
aisément identifiables à leur taille (> 30 µm) et à leur couleur, même si elle ne
présentent pas toutes la même teinte, ni la même forme.
Figure II-6.02 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 163
(échantillon B-R4). Agrandissement de la couche de smalt observée dans les deux
registres précédents (Cf. Fig. II.6.01). Au MEB, il est plus facile d’observer les
fractures conchoïdales de certaines particules de smalt en mode électrons
secondaires (SE), cette technique d’examen accentuant l’aspect morphologique des
pigments et leur relief propre.
Figure II-6.03 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB- 164
EDS des différentes couches, en particulier du smalt appliqué en 1685 et des deux
couches colorées sous-jacentes au smalt, d’un rose pâle (couche 7) et d’un bleu clair
(couche 8).
Figure II-6.04 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Etude au MEB-EDS de la 165
sous-couche rose du smalt – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.05 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 166
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (1) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.06 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 167
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (2) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.07 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 168
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (3) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.08 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 169
(échantillon R-Bl). Examens aux MO et MEB-EDS des différentes couches, en
particulier du smalt appliqué en 1685 et de la couche sous-jacente rose (couche 6).
Figure II-6.09 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 170
(échantillon R-Bl). Etude au MEB-EDS de la sous-couche rose du smalt. Spectre et
analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de matières colorantes à
dominante rouge, essentiellement des composés du plomb ou du fer.
Figure II-6.10 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption (échantillon R-Bl). Etude de la 171
couche de bleu de smalt au MEB-EDS – Spectres de particules, qui accusent des
compositions différentes, où les valeurs en % de poids de K, Mg, Al, Fe et Co
varient.
xiv
Figure II-6.11 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 172
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Examens aux MO et MEB-EDS des
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.12 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 173
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Etude au MEB-EDS de la couche de bleu de
smalt – Spectre de la composition élémentaire d’un grain (1) et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.13 Fond bleu d’un fenestrage (échantillon R-B3). Examens aux MO et MEB-EDS des 174
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.14 Retable majeur de l’église du monastère bénédictin São-Romão-do-Neiva. Ce 175
retable occupait à l’origine l’abside de l’église du monastère Saint-Martin, à Tibães,
pour laquelle il avait été créé en 1664-1665. Translaté en 1755, il a fait l’objet de
travaux et été recouvert d’une nouvelle polychromie. Toute la structure portante du
mobilier présente un caractère dichrome, bleu clair et or, qui n’est pas à confondre
avec le revêtement original du XVIIe siècle, celui-là disparu.
Figure II-7.01 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de saint Matthieu 176
Figure II-7.02 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de l’Ange 176
Figure II-7.03 Détail du groupe sculpté 4 de la prédelle - Carnations du Christ ressuscité et des 176
soldats
Figure II-7.04 Détail du groupe sculpté 2 de la prédelle Carnations du broyeur de pigments 176
Figure II-7.05 Détail de la frise - Carnations d’une figure 176
Figure II-7.06 Détail de la statue de saint Côme (7). Carnations du visage 177
Figure II-7.07 Détail de la statue de saint Damien (10). Carnations du visage (Foto J. Pessoa 177
/1975)
Figure II-7.08 Détail de la statue de saint Pierre (8). Carnations du visage 177
Figure II-7.09 Détail de la statue de saint Paul (9). Carnations du visage 177
Figure II-7.10 Détail de la Vierge de l’Assomption (12). Carnations du visage 178
Figure II-7.11 Détail de l’Apôtre saint Jacques (11-A5). Carnations du visage et des mains 178
Figure II-7.12 Détail d’un Apôtre (11-A12). Carnations du visage 178
Figure II-7.13 Détail du groupe du Calvaire situé au sixième registre du retable – Carnations de la 179
Vierge Marie et de saint Jean qu’il est possible de comparer entre elles, et de
confronter par ailleurs avec les carnations du Christ crucifié. Le doute subsiste
quant à une intervention postérieure ou non sur ce dernier, étant donnée la tonalité
générale assez ocrée des chairs qui paraît plutôt due au jaunissement d’un vernis
qu’à la coloration voulue d’un corps moribond.
Figure II-7.14 Echantillon 1-A1 correspondant aux carnations de l’Ange du Groupe de saint 180
Matthieu (prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB), avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation
double et du polissage, intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant
vraisemblablement le rendu de chairs brillantes.
Figure II-7.15 Echantillon 4-C1 correspondant aux carnations du Christ ressuscité (Groupe 4 de la 181
prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) ou en mode
électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation double et du polissage,
intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant vraisemblablement le rendu de
chairs brillantes.
Figure II-7.16 Echantillon 4-Sb1 correspondant aux carnations du soldat endormi à dextre (Groupe 182
4 de la prédelle) Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE). C’est le seul échantillon sur lequel il est possible de visualiser une très fine
couche de finition sur les chairs pour leur donner un ton plus rougeâtre. A l’endroit
de cette couche, la carnation sous-jacente est lisse et apparemment polie.
Figure II-7.17 Echantillon 9-1 correspondant aux carnations de saint Paul (Groupe 9 au troisième 183
registre) - Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) et en mode
électrons secondaires (SE), et tests de coloration spécifique. Le polissage est moins
xv
probant sur ces carnations doubles. Mais il faut compter avec la qualité du
prélèvement (en arrière de la main et donc moins accessible), le broyage assez
grossier ici des composés du plomb, et enfin une éventuelle altération de surface.
Figure II-7.18 Carnations d’un personnage de la frise (montant gauche) - Macrophotographie et 184
traitement d’image qui rend manifeste la présence d’une couche superficielle
grossièrement étendue à la brosse et contenant des petits agrégats de matière solide.
Figure II-7.19 Echantillon R-C1 correspondant aux carnations d’un personnage de la frise 185
(montant gauche) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE), et test de coloration spécifique au
Vert Malachite. Présence d’une couche superficielle très fine de nature distincte,
contenant une gomme et des agrégats de blanc de plomb. Les marques grossières de
coups de pinceau que porte cette couche laisse supposer qu’il s’agit plutôt d’une
intervention postérieure.
Figure II-7.20 Spectre FTIR de la couche des carnations du personnage de la frise (échantillon 186
R-C1, cam. 3). Huile et blanc de plomb.
Figure II-7.21 Diffractogramme des Carnations du Christ Réssucité (4-C1) et d’un personnage de 187
la frise (R-C1).Mélange de blanc de plomb et vermillon en proportions variables.
Figure II-7.21 Statue de saint Amaro, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège 188
Saint-Benoit de Coimbra, sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.22 Statue de saint Grégoire Le Grand (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 188
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.23 Statue de saint Anselme (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), 189
sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira (1692).
Dans le contrat de polychromie qui nous est parvenu, les carnations de saint
Anselme ont été exigées « au pinceau sur poli ».
Figure II-7.24 Statue de saint Benoît (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite). 189
Sculpteur et polychromeur anonymes (XVIIe s.). Les carnations mates de saint
Benoît sont dues à une repolychromie partielle du XIXe/XXe s. Cette figure de
dévotion continue d’être présentée au culte dans l’église Notre-Dame des Carmes, à
Coimbra.
Figure II-7.25 Statue de saint Ildefonse (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 189
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira
(1692). Etat des carnations avant leur nettoyage, en 2003. L’accumulation de suie et
de cire n’empêche pas d’avoir une lecture de l’aspect satiné.
Figure II-7.26 Statue de sainte Françoise la Romaine (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 190
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs et de l’impact de ce même éclairage sur la lecture
des physionomies
Figure II-7.27 Statue de sainte Gertrude (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 190
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692). L’aspect des chairs est identique à celui de la statue de sainte
Françoise la Romaine (Fig. II-7.20), avec laquelle celle-ci forme une paire.
Figure II-7.28 Statue de l’Ange Gabriel (de l’église Saint-Benoit de Coimbra, aujourd’hui 191
détruite). Sculptée par Cipriano da Cruz (1684) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692).Traitement assez rare du visage où les yeux sont verts et où l’intérieur
des paupières est plus rosé. L’aspect actuellement altéré des carnations ne laisse pas
deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.29 Statue d’une Pietà, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège Saint- 191
Benoit de Coimbra. Sculptée par Cipriano da Cruz (1684). Polychromie attribuée à
Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac). Nous remarquerons la coloration rouge plus
intense autours des yeux qui traduit ici la douleur. L’aspect actuellement altéré des
carnations ne laisse pas deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.30 Sculpture de Sainte Combe, provenant de la Sé Velha de Coimbra et aujourd’hui 192
exposée dans la Sé Nova. Les carnations ont été rafraîchies, soit par un surpeint,
soit par l’application de vernis ou d’huile siccative.
xvi
Figure II-7.31 Vierge à l’Enfant, conservée au Musée d’Aveiro. Statuette malinoise (XVIe s.) / 193
Polychromie XVIIe s. attribuée à Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac).
Figure II-7.32 Sculpture de Notre-Dame du Rosaire, de l’ex-église des dominicaines d’Aveiro 193
(actuellement, Musée d’Aveiro). Sculpture et Polychromie anonymes du XVIIe
siècle.
Figure II-8.01 Diffractogramme de la Couleur bleue du manteau d’un Apôtre (11-A4.3). Azurite 194
conjuguée à du noir de carbone amorphe pour modifier la nuance.
Figure II-8.02 Diffractogrammes de Couleurs vertes issues des tuniques de saint Pierre (8-4) et de 195
saint Côme (7-4), respectivement. L’azurite et le vert-de-gris les distinguent.
Figure II-8.03 Diffractogrammes de la couleur rouge employée sur le manteau du Christ Ressucité 196
(4-C3) et la marbure du tombeau du Christ (4-C6). Emploi de vermillon.
Figure II-8.04 Diffractogramme de la Couleur orange du manteau de saint Mattieu (1-M3). 197
Minium et un peu de vermillion mélangé.
Figure II-8.05 Diffractogramme de la Couleur rouge orangé du manteau de saint Côme (7-5). 198
Mélange de vermillon et de craie, voire de blanc de plomb.
Figure II-8.06 Diffractogramme de la Couleur brune des cheveux de saint Côme (7-3). Présence 199
de pigments ocres et noirs (non détectés), associés peut-être à de la craie.
Figure II-8.07 Diffractogrammes d’adhésifs de couleur blanchâtre (9-4) et orange (2-L3) ayant 200
servi a fixé des motifs en relief de brocard d’application. Composés de blanc de
plomb et de minium.
Figure II-8.08 Diffractogramme de la Couleur rose du brocard peint sur les niches de saint Paul (9- 201
Br2). Majorité de blanc de plomb et contenant du vermillon.
Figure II-8.09 Polychromie de la Vierge – manteau bleu avec motif « bouclé par la trame » de 202
l’artichaut.
Figure II-8.10 Polychromie de la Vierge – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 203
« broderies d’application » avec fleurons quadrilobés.
Figure II-8.11 Polychromie de la Vierge – Laque rouge sur le revers du manteau et sertissage de 204
pierreries sur les orfrois.
Figure II-8.12 Polychromie de saint Pierre – Motifs « bouclé par la trame » de pomme de pin et 205
« broderies d’application ».
Figure II-8.13 Polychromie de saint Pierre – Tunique bleu-vert avec motifs « bouclé par la trame » 206
- Revers du manteau avec laque rouge.
Figure II-8.14 Détail de la polychromie sur la tunique de saint Pierre. 207
Figure II-8.15 Polychromie de saint Paul – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 208
« broderies d’application » sur le manteau.
Figure II-8.16 Polychromie de saint Paul – « Broderies d’application » sur le manteau et la 209
tunique.
Figure II-8.17 Polychromie de saint Côme – Cheveux bruns. Motif « bouclé par la trame » de 210
l’artichaut sur le manteau.
Figure II-8.18 Polychromie de saint Côme – Détail du manteau orange et de l’estoffage. 211
Figure II-8.19 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 212
manteau.
Figure II-8.20 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 213
manteau.
Figure II-8.21 Polychromie de saint Damien – Détail des « broderies d’application » sur le 214
manteau.
Figure II-8.22 Quelques Apôtres et polychromie bleue du quatrième : motif « bouclé par la 215
trame » et « broderies d’application » avec fleurons lancéolés.
Figure II-8.23 Polychromie du Christ et du tombeau – Manteau rouge du Christ avec motifs 216
« bouclé par la trame » et « broderies d’application ».
Figure II-8.24 Polychromie de l’Évangéliste saint Jean – Manteau rouge et tunique verte avec 217
motifs « bouclé par la trame ».
Figure II-8.25 Polychromie de l’Évangéliste saint Matthieu – Manteau orange et tunique vert 218
foncé. Détails de l’estoffage et du sertissage de pierreries (perdues).
Figure II-8.26 Polychromie de l’Évangéliste saint Luc – Manteau rouge et tunique verte avec 219
motif « bouclé par la trame ».
Figure II-9.01 Réceptaire de Bernardo Montón dont l’édition originale date de 1734. Édition de 220
1761 (Biblioteca Nacional de Lisboa / S.A. 12.197 P).
xvii
Figure II-9.02 Première et dernière éditions portugaises connues du réceptaire de B. de Monton: a) 201
Édition de 1744 (BNL / S.A. 17.359 P) ; b) Édition de 1856 (BNL / S.A. 12.208 P).
Figure II-9.03 Recettes du réceptaire de B. de Monton correspondantes aux Nos 199 201
(« Composição para imitar bordados… ») et 200 (« Uzo desta composição ») de
l’édition portugaise de 1744, reproduites aux Nos 54 et 55 dans l’édition de 1818
(BNL / S.A. 19.961 P).
Figure II-9.04 Cours de Chymie de Pierre Thibaut dont l’édition originale date de 1667. 202
a) Édition de 1674 (BNL / S.A. 5424) ; b) Fourneaux (bain de sable et bain-marie)
et vaisseaux figurant sur la Gravure Nº 3 de cet ouvrage.
Figure II-9.05 Histoire générale des Drogues simples & composées de Pierre Pomet dont l’édition 203
originale date de 1695. Édition de 1735 (BNL / S.A. 2796).
Figure II-9.06 Représentations de genévriers au XVIIe s., extraites de l’Histoire générale des 204
Drogues simples & composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Grand
Genevre" ou genévrier commun (Juniperus communis L. de la famille des
Cupressaceae) - Gravure Nº 95 ;
b) "Petit Genevre" ou genévrier cade, également appelé oxycèdre (Juniperus
oxycedrus L.) - Gravure Nº 96.
Figure II-9.07 Substances gommeuses et résineuses exsudées de différents végétaux après 205
incision, et leurs représentations au XVIIe s., extraites de l’Histoire Générale des
Drogues simples et composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Lintisque",
ou Lentisque (Pistacia Lentiscus L., de la famille des Anarcadiaceae) dont on tire le
mastic - Gravure Nº 89 ; b) "Gomme Elemi" (de la famille des Burséraceae) -
Gravure Nº 14 ; c) "Assa Fœtida" (arbrisseau du genre des Férulaceae : Laserpitium
ou bien Ferula assafœtida L. par exemple, de la famille des Apiaceae) dont on tire
la gomme du même nom - Gravure Nº 9 ; d) "Sagapenum" (Ferula persica L., aussi
de la famille des Apiaceae) dont on tire la gomme sagapin - Gravure Nº 14.
Figure II-9.08 Représentation des abeilles et produits de la ruche au XVIIe s. : "Mouches à miel". 206
Gravure Nº 46 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de
Pomet (édition de 1735 - BNL).
Figure II-9.09 Représentation de conifères au XVIIe s. : "Terebenthe, Sapin & Pin". Gravure Nº 206
26 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet
(1735 - BNL).
Figure II-9.10 Premier Corps du retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Nous pouvons voir, de 207
gauche à droite, et de bas en haut : 1/ groupe de saint Mathieu et l'ange - 2/ groupe
de saint Luc, avec broyeur de pigments et bœuf - 3/ Nativité - 4/ groupe de la
Résurrection - 5/ groupe de saint Jean et l'aigle - 6/ groupe de saint Marc avec le
lion - 7/ saint Côme - 8/ saint Pierre - 9/ saint Paul – 10/ saint Damien - 11/ groupe
des apôtres - 12/ groupe de la vierge de l'Assomption. Photo José Pessoa / IPCR
Figure II-9.11 Numérotation des Douze Apôtres assistant à l’Assomption de la Vierge. Pour ce 208
groupe compact étagé sur trois niveaux, la façon de les compter respecte la lecture
occidentale de gauche à droite, et ascensionnelle, de bas en haut.
Figure II-9.12 Fleurons aux formes pointues 208
Figure II-9.13 Fleurons aux formes arrondies 208
Figure II-9.14 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc)). Prédominance de la cire.
Figure II-9.15 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance de la cire.
Figure II-9.16 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité). Prédominance de la cire.
Figure II-9.17 Pâte translucide d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 210
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.1a – Tunique de St. Pierre).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.18 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.19 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.20 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.21 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.22 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
xviii
Figure II-9.23 Pâte brun clair d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.24 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-6 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.25 Pâte translucide d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance de la cire.
Figure II-9.26 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 213
infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance de la cire.
Figure II-9.27 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, en chromatographie 214
hautes températures après triméthylsilylation. L’échantillon (4-C4 - Manteau du
Christ) constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (4-C4 - Manteau du Christ). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.28 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, en chromatographie hautes 215
températures après triméthylsilylation (12-V1- Manteau de la Vierge).
L’échantillon constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (12-V1 - Manteau de la Vierge). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.29 Couche supérieure orangée d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 216
spectroscopie IR (échant. 8-8 cam.1b – Tunique de St. Pierre). Cire et huile.
Figure II-9.30 Couche d’«or de couleur» d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en 217
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance de
l’huile.
Figure II-9.31 Couche d’«or de couleur» d’un galon orange de l’orfroi, en microcopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.32 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.33 Echant. 8-10 – (Manteau de St. Pierre) Couche d’«or de couleur» d’un galon orange 218
de l’orfroi, en microcopie optique et spectroscopie infrarouge. Huile et cire.
Figure II-9.34 Couche d’«or de couleur» d’un décor de pomme de pin, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.2 – Tunique de St. Pierre). Huile et cire.
Figure II-9.35 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.36 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron quadrilobé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.37 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron lancéolé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.38 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.39 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.40 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.41 Adhésif de couleur blanchâtre d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.42 Adhésif de couleur blanchâtre d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et 221
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4).
Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.43 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, sur registre 221
microphotographique et en spectroscopie infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St.
xix
Pierre). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.44 Adhésif de couleur orangée d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 7-7 – Manteau de St. Côme). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.45 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.46 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.47 Adhésif de couleur orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-5 – Manteau de St. Damien). Liant huileux,
contaminé par de la cire
Figure II-9.48 Adhésif de couleur orange d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-6 – Manteau de St. Damien). Liant huileux
contaminé par de la cire.
Figure II-9.49 Adhésif rose d’un cabochon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 223
infrarouge (échant. 4-C5 – Manteau du Christ). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.50 a) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, en chromatographie hautes 224
températures après triméthylsilylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc).
L’échantillon donne un signal très faible. Il contient presque exclusivement une
huile moyennement oxydée. On observe bien les quantité importantes d’acides
palmitique (E16:0) et stéarique (E18:0) sous forme d’esters de triméthylsilyle.
b) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Les marqueurs des corps
gras autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.51 Pyrogramme de l’échantillon 2-L4 – Huile siccative non identifiée et cire. 225
Figure II-9.52 Chromatogrammes des échantillons SFX-J2-2B et SXF-J1-A1 (deux figures 247
jésuites), obtenus en HTGC (A et B), et après méthanolyse acide et
triméthylsilylation (C et D).
Figure II-9.53 Brocatelle annelée d’or et d’argent - XVIe s. – Espagne / Motif de la pomme de pin 248
(BASTOS, 1954, Est. XXXVI).
Figure II-9.54 Velours coupé, bouclé par la trame de filé or - c.1550 / Motif de la pomme de 248
grenade - Espagne / Italie ? (Fondation Abbeg-Stiftung).
Figure II-9.55 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (Museu Nacional de Machado de 249
Castro, de Coimbra / Nº Inventaire 525 T).
Figure II-9.56 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 250
végétaux bouclés par la trame de filé or.
Figure II-9.57 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 251
végétaux bouclés par la trame de filé or. Brocart à trois hauteurs.
Figure II-9.58 Devant d’autel – XVIIe siècle (Museu Nacional de Machado de Castro, de 252
Coimbra). Détails des bandes médianes et brodées.
Figure II-9.59 Bandes médianes et brodées du devant d’autel du Couvent de la Mère de Dieu, à 253
Lisbonne (Museu Nacional de Arte Antiga – Nº Inv. 539 Tec.).
Figure II-9.60 Retable Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie 254
Manoel da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Vues générales.
Figure II-9.61 Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie Manoel 255
da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Reliefs sous-jacents.
Figure II-9.62 Sainte Comba (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 256
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.63 Sainte Comba (polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le 257
Gac) – Détails des orfrois du manteau.
Figure II-9.64 Manteau de sainte Comba (a) et robe de la Piétà (b), qui portent le même motif, 258
adapté au volume des sculptures et coloré suivant leur iconographie.
Figure II-9.65 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira - ca. 1690) – Vue 259
partielle des vêtements (Cf. la robe rouge à la Figure précédente).
Figure II-9.66 Pietà (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie anonyme – Attrib. Manoel 260
da Costa Pereira par Le Gac – ca. 1690) – Vue générale et détails.
Figure II-9.67 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac – ca. 261
1690) – Détails des deux motifs d’«artichaut» du manteau.
Figure II-9.68 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 262
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vues générales.
xx
Figure II-9.69 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 263
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Détails des décors en relief.
Figure II-9.70 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 264
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.71 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 265
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.72 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 266
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.73 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 267
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.74 Saint Anselme (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 268
– Détail des «bouclé par la trame» et «broderies d’application».
Figure II-9.75 Saint Ildefonse (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 269
– Détails des «broderies d’application» et «bouclé par la trame».
Figure II-9.76 Saint Louis de Gonzague (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - 270
1688) – Vue générale et détail de l’orfroi de la capeline.
Figure II-9.77 Beatus Louis de Gonzague (polychromeur anonyme - 1688) – Orfrois en relief 271
appliqués sur la capeline et la soutanelle.
Figure II-9.78 Beatus Stanislas Kotska (sculpt. anonyme - XVIIe s. / polychr. anonyme - 1688) – 272
Vue générale et détail du «bouclé par la trame» de la soutanelle.
Figure II-9.79 Beatus Stanislas Kotska (polychromeur anonyme - 1688) – Détails des «broderies 273
d’applications» et pierreries sur les orfrois de la capeline.
Figure II-9.80 Archange saint Michel (sculpture Jean de Rouen - 1538 / polychromie anonyme - 274
Attrib. Manuel Ferreira par Le Gac) – Vue Générale et détails
Figure II-9.81 Archange saint Michel (sculpt. Jean de Rouen - 1538 / polychr. anonyme - Attrib. 275
Manuel Ferreira par Le Gac) – Détails des décors de la cape.
Figure II-9.82 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 276
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue Générale et détail du rochet.
Figure II-9.83 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 277
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.84 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 278
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.85 Saint Antoine (polychromeur anonyme - Attrib. M. da Costa Pereira par Le Gac) – 279
Détails des décors du camail : motif de la «pomme de pin» et orfroi.
Figure II-9.86 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 280
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.87 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 281
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.88 Retable majeur de Sertã (sculp. António Gomes et Domingos Nunes - 1686 / 282
polychr. Francisco da Rocha - 1691) – Vue générale et détail.
Figure II-9.89 Retable majeur de Sertã (polychromie Francisco da Rocha - 1691) – Détails du 283
tissu de brocart imité sur d’anciens fonds de niche.
Figure II-9.90 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 284
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.91 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 285
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails de l’orfroi avec pierreries.
xxi
xxii
FIGURES
xxiii
xxiv
TABLE DES FIGURES
PREMIÈRE PARTIE
vii
Figure I-2.22 Nef et abside de la Sé Velha en 1892. 25
Figure I-2.23 Détail du retable majeur de la Sé Velha en 1892. 26
Figure I-2.24 Signalisation d’éléments manquants dans le retable majeur en 1892 : nombreux 27
éléments filiformes de la structure portante et de la figuration (anges de
l’Assomption et armoiries de l’évêque D. Jorge de Almeida sous les pieds de la
Vierge).
Figure I-2.25 Nef et vue partielle de l’abside (côté de l’Epître) de la Sé Velha, en 1893. 28
Figure I-2.26 Détail de la « talha » baroque de l’abside de la Sé Velha, en 1893. 29
Figure I-2.27 Retable majeur de la Sé Velha, en 1918. 30
Figure I-2.28 Retable majeur de la Sé Velha, en 1948. 31
Figure I-2.29 Retable majeur de la Sé Velha, en 1957. 32
Figure I-2.30 Détail du retable majeur de la Sé Velha, vers 1957, sans le tabernacle. 33
Figure I-2.31 Retable majeur de la Sé Velha, en 1962. 34
Figure I-2.32 Retable majeur de la Sé Velha, en 1988. 35
Figure I-2.33 Retable majeur de la Sé Velha, en 1997. 36
Figure I-2.34 Statuettes données comme provenant du retable majeur de la Sé Velha, et 37
appartenant au fonds de collection du Museu Nacional Machado de Castro de
Coimbra.
Figure I-2.35 Détail du Grand Retable de la cathédrale de Tolède (1498-1504). 37
Figure I-2.36 Retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500). 38
Figure I-2.37 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Orense (ca. 1500), où le groupe sculpté 39
de la Pietà, situé au centre du premier registre, contient une figuration nombreuse
avec saint Jean et les trois saintes femmes (Marie Madeleine, Marie de Cléophas, et
Marie, mère de Jacques et Jean).
Figure I-2.38 Retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524). 40
Figure I-2.39 Détail du retable majeur de la cathédrale d’Oviedo (1511-1524), où le groupe de 41
l’Assomption contient huit anges disposés par paires, ainsi que le donateur qui
assiste à la montée aux cieux de la Vierge.
Figure I-3.01 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). a) Image 42
générale de l’enduit triple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de la première
passe (couche 1a) de cet enduit triple.
Figure I-3.02 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 43
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ;
b) diffractogramme de cette même passe dans la zone où elle présente une particule
noire de grande dimension.
Figure I-3.03 Apprêts gothiques de la structure portante du retable (échantillon R-O1). 44
Deux diffractogrammes de la troisième passe (couche 1c) de l’enduit triple.
Figure I-3.04 Apprêts gothiques du retable dans l’espace de l’Assomption (échantillon R-Bl). a) 45
diffractogramme de la première passe (couche 1a) de l’enduit double; b)
diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de cet enduit.
Figure I-3.05 Apprêts gothiques de la niche de Saint Paul (échantillon 9-Br). a) Image de l’enduit 46
simple, au MEB (BSE) ; b) diffractogramme de cet enduit.
Figure I-3.06 Apprêts gothiques sous les carnations d’un soldat de la Résurrection (éch. 4-Sb1). 47
a) diffractogramme de la seconde passe (couche 1b) de l’enduit triple ; b)
diffractogramme de la troisième passe (couche 1c) de cet enduit.
Figure I-3.07 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur la 48
structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les spectres obtenus et leur
respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.08 Etude semi quantitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur 49
la structure portante du retable (échantillon R-O1) – Les résultats obtenus indiquent
que l’alliage d’or ne comporte ni argent (Ag), ni cuivre (Cu). Il est pur.
Figure I-3.09 Étude qualitative au MEB-EDS de la dorure originale appliquée en 1502 sur un 50
brocart appliqué de la niche de St Paul (échant. 9-Br2). Les deux spectres obtenus et
leur respective composition élémentaire indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure I-3.10 Études qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de l’argenture originale 51
appliquée en 1502 sur le fond de l’édicule de la Vierge de l’Assomption
(échantillon R-Bl) – L’analyse indique que l’argent est pur.
Figure I-3.11 Aspect actuel des vêtements de saint Paul, présentant peut-être une certaine parité 52
avec l’aspect plus ancien de « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-3.12 Aspect actuel des chausses de saint Damien, rappelant fortement l’aspect plus 53
ancien de « brocarts-appliqués isolés » sur glacis coloré.
viii
Figure I-3.13 Ange de la Charola du Convento de Cristo, à Tomar. Polychromie gothique 54
originale (vers 1515) portant des « brocarts appliqués isolés ».
Figure I-3.14 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 55
appliqués. Etat de conservation en 1976.
Figure I-3.15 Les brocarts-appliqués qui ornaient les pans latéraux de la niche de saint Luc ont été 56
recouverts par une nouvelle polychromie en 1685. Ils ne sont décelables qu’en
lumière rasante.
Figure I-3.16 Fond de la niche de saint Luc, couvert de plaques juxtaposées de brocarts- 57
appliqués. Etat de conservation en 2004.
Figure I-3.17 Fragments de plaques de brocart-appliqué juxtaposées, dont la coupe et 58
l’orientation aléatoires ne permettent pas d’avoir une bonne lecture du patron textile
imité, même si certaines parties ont conservé des rehauts à la laque rouge qui
doivent mieux définir le motif.
Figure I-3.18 La plaque de brocart-appliqué la plus grande, située à la verticale dans l’angle 59
supérieur gauche de la niche de saint Luc, mesure 17,1 x 11 cm.
Figure I-3.19 Détails des brocarts-appliqués dont les lignes en relief correspondent à celles 60
d’abord gravées (donc en creux) dans la matrice. On compte 11-12 lignes/cm2.
Figure I-3.20 a) Dessin des motifs du brocart-appliqué, autrefois rehaussé de laque rouge ; b) 61
Superposition du décalque du motif supérieur dextre (en rouge) sur le motif
supérieur sénestre (en noir). Les dessins ne coïncident pas totalement.
Figure I-3.21 Tissu de brocart formant un baldaquin dans une peinture de Jérôme Bosch (c. 1470- 62
1485).
Figure I-3.22 Tissu de brocart dans une peinture du Maître de la Vie de Sainte Lucie (actif en 63
1480).
Figure I-3.23 Tissu de brocart dans une peinture de Gérard David (c. 1506). 64
Figure I-3.24 Tissu de brocart dans une peinture de Paul Véronèse (1562). 65
Figure I-3.25 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 66
de la niche de saint Luc (échant. 2-Br2), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.26 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 67
de la niche de saint Luc (échantillon 2-Fundo Nicho), obtenus par THM-GC/MS.
La pâte est à base de cire et contient une huile non identifiée.
Figure I-3.27 Diffractogramme de la couche jaune orangée à l’huile, servant à fixer un brocart- 68
appliqué sur le fond de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br1).
Figure I-3.28 Etude au MEB-EDS de la pâte d’un brocart-appliqué fixé sur la niche de saint Paul 69
(échantillon 9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui indiquent nettement
l’emploi de pigments à base de plomb (minium orange et blanc de plomb), à base
de fer (ocre jaune), et à base de calcium (craie pour céruse ?). Ces pigments servent
de charge et peut-être de siccatifs.
Figure I-3.29 a) Pyrogramme et b) Chromatogramme (m/z = 74) de la pâte d’un brocart-appliqué 70
de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br), obtenus par THM-GC/MS. La pâte est à
base de cire. Elle contient vraisemblablement un peu d’huile, impossible à
identifiée.
Figure I-3.30 Etude au MEB-EDS de la feuille d’étain qui a permis de faire un brocart-appliqué 71
de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon 9-Br2). Le spectre indique nettement
l’emploi d’étain pur, la composition élémentaire n’accusant que Sn.
Figure I-3.31 Etude au MEB-EDS de la couche d’or de couleur ayant permis l’application de 72
feuille d’or sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502 (échantillon
9-Br2). Spectre et analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de siccatifs à
base de plomb (litharge ?) et aussi de cuivre (vert-de-gris ?), dans cette technique de
dorure grasse et mate.
Figure I-3.32 Etude au MEB (images BSE et SE) et MEB-EDS de la laque colorée qui recouvre 73
la feuille d’or, sur un brocart-appliqué de la niche de saint Paul, en 1502
(échantillon 9-Br2). La composition élémentaire accuse nettement le cuivre (Cu),
qui fait supposer l’emploi de résinate de cuivre et donc d’une laque verte.
Figure I-4.01 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1583 (échantillon R-O1). Approche 74
semi-quantitative, qui indique que l’alliage d’or est pur.
Figure I-4.02 Examens aux MO et MEB des différentes couches composant le fond bleu d’un 75
fenestrage (échantillon R-B3), en particulier du bleu de smalt appliqué en 1583.
L’analyse ponctuelle au MEB-EDS reflète bien l’emploi d’un verre (Si) potassique
(K) coloré au cobalt (Co) et contenant des impuretés, dont des traces de nickel (Ni).
ix
Figure I-5.01 Retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Détail des niches du troisième registre 76
et des quatre saints patrons qu’elles abrîtent.
Figure I-5.02 Détail des niches vides qui abritent les quatre saints patrons du retable majeur de la 77
Sé Velha. Contrairement aux panneaux latéraux qui présentent l’imitation d’un tissu
de brocart, peint en deux tons de rose à l’époque baroque, le panneau central du
fond de ces niches ne porte pas de polychromie. Nous pensons y voir les marques
d’un grattage des couches anciennes, qui ont laissé des vestiges de préparation
blanche dans les fibres du bois. Ces panneaux ne sont pas visibles lorsque les
sculptures y sont adossées.
Figure I-5.03 Détail de la niche vide de saint Paul, au troisième registre du retable de la Sé Velha. 78
Les couches anciennes semblent avoir été grattées sur le panneau central du fond. Il
est possible que cette intervention ait eu lieu en 1685, pour répondre à l’une des
clauses du contrat de polychromie qui prévoyait de « laver le retable jusqu’au
bois ».
Figure I-5.04 Détail de la niche vide qui abrîte le groupe sculpté de saint Matthieu, au premier 79
registre du retable de la Sé Velha. Le double panneau central du fond de cette niche
ne porte pas de polychromie et a nécessairement fait l’objet d’un grattage des
couches anciennes, dont les « brocarts-appliqués couvrants ».
Figure I-5.05 Détail des revers des quatre saints patrons du retable de la Sé Velha. Les marques 80
d’outils, de gouge (St Paul et St Côme) ou d’herminette (St Pierre et St Damien),
montrent le travail bien différencié de l’évidement des pièces, que l’on doit très
certainement à deux sculpteurs.
Figure I-5.06 Détail de quatre anges de la voûte. Il apparaît clairement que les deux anges portant 81
des instruments de la Passion du Christ – celui portant la couronne d’épine (Nº 220,
en bas à gauche) et celui portant la lance de la Crucifixion (Nº 187, en bas à droite)
–, sont de la main d’un autre sculpteur que les deux autres dont les attributs ont été
perdus (Nº 183 et 189, en haut). Il nous semble que ces derniers sont d’origine, ou
en tout cas qu’ils sont plus anciens. La taille des volumes et des plis est à la fois
plus complexe et plus raffinée. Les aspects morphologiques des visages semblent
traités avec plus de soins.
Figure I-8.01 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Luc, sculpté vers 1500 pour le 82
retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. La facture des personnages, autant que
l’essence de bois employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.02 Face et revers du groupe de la Résurrection, sculpté vers 1500 pour le retable 83
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (chêne) indiquent que ce groupe est d’origine.
Figure I-8.03 Face et revers de la Nativité sculptée en 1899 lors de la restauration du retable 84
majeur de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.04 Face et revers de l’Evangéliste saint Marc sculpté en 1899 lors de la restauration du 85
retable de la Sé Velha. La facture des personnages, autant que l’essence de bois
employée (châtaignier) indiquent clairement que ce groupe date d’une autre époque
que celle du retable.
Figure I-8.05 Face et revers du groupe de l’Evangéliste saint Jean, restauré en 1899 lors de 86
l’intervention sur le du retable de la Sé Velha. La facture de l’aigle, autant que
l’essence de bois employée (châtaignier) indiquent que cet attribut a été refait.
Figure I-8.06 L’Assomption dans le retable majeur de la Sé Velha. Sur l’ensemble des Anges qui 87
entourent la Vierge, deux seulement (vêtus de rouge) sont originaux. Les autres
datent de 1899.
Figure I-8.07 Détails de deux Anges de l’Assomption de la Vierge, dans le retable majeur de la 88
Sé Velha. Leurs formes autant que leurs polychromies révèlent les goûts de deux
époques différentes. Le premier (Nº 12-A1), dont l’expression est gothique, porte le
sgraffito caractéristique de la repolychromie appliquée en 1685. Le second (Nº 12-
A3), de facture beaucoup plus récente, porte les effets de dorure et de couleur
propres à la restauration de 1900.
Figure I-8.08 Détails de différentes interventions effectuées en 1899-1900, sur le retable majeur 89
de la Sé Velha de Coimbra, au niveau des éléments sculptés du mobilier : fixation
de décoration architectonique à l’aide de vis et application d’une nouvelle dorure
sur mixtion, sur une étoile d’un fenestrage. La mixtion jaune clair déborde sur le
fond bleu.
x
Figure I-8.09 Diffractogramme des apprêts appliqués sur la Vierge de la Nativité, en 1900. 90
Figure I-8.10 Diffractogramme de la mixtion jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de 90
dorure à l’huile, sur une étoile de la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.11 Etude au MEB (image en mode électrons retro-diffusés) et MEB-EDS de la mixtion 91
jaune clair ayant servie, en 1900, à l’application de dorure à l’huile sur une étoile de
la structure portante (échantillon R-E1).
Figure I-8.12 Spectres EDS de la dorure (restauration) appliquée en 1900, sur la Vierge du groupe 92
de la Nativité (échantillon 3-V3). Analyses ponctuelles qui démontrent que l’alliage
d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.13 Étude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur la 93
Vierge de la Nativité (échantillon 3-V3). L’alliage d’or contient de l’argent et du
cuivre.
Figure I-8.14 Spectres EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une étoile du retable (zone 94
supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les résultats obtenus montrent
que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.15 Etude semi-quantitative au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1900, sur une 95
étoile du retable (zone supérieure du Premier Corps - Échantillon R-E1). Les
analyses ponctuelles montrent que l’alliage d’or contient de l’argent et du cuivre.
Figure I-8.16 Spectre infrarouge (FTIR) de la couche bleue appliquée en surface, en 1900, sur le 96
fond de la niche de saint Luc (échantillon 2-Br2 couche 9). L’analyse donne les pics
caractéristiques du bleu de Prusse, du blanc de plomb et du liant huileux.
Figure I-8.17 Diffractogramme de la couche au bleu de Prusse recouvrant, en 1900, un des fonds 96
de la structure portante du retable (échantillon R-B3).
Figure I-8.18 Etude qualitative et semi quantitative au MEB-EDS de la couche au bleu de Prusse 97
appliquée, en 1900, sur un des fonds de la structure portante du retable (échantillon
R-Bl).
Figure I-8.19 Groupe de l’Evangéliste saint Matthieu, à la prédelle du retable majeur de la Sé 98
Velha. Détail de la retouche faite sur le manteau de saint Matthieu, en 1902.
Figure I-9.01 Première Corps du retable majeur de la Sé Velha où figure l’Assomption. Etat 99
d’empoussièrement en 1975.
Figure I-9.02 Anapaula Abrantes examinant l’un des groupes de la prédelle, lors du constat d’état 99
du retable, en 1975.
Figure I-9.03 Dépoussiérage du retable à sec, à l’aide de brosses et d’aspirateurs, en 1976. 100
Opération conduite ici par José Torrado (en haut) et Herménio Fontes.
Figure I-9.04 Luísa Santos et Anapaula Abrantes procédant à la fixation de la polychromie du 101
groupe de saint Matthieu, en 1976.
Figure I-9.05 Enlèvement des excès de cire-résine sur un des groupes de la prédelle, après 102
fixation de la polychromie en 1976.
Figure I-9.06 Aspect du retable majeur après l’intervention de conservation (nettoyage et fixation 103
de la polychromie), en 1976.
Figure I-9.07 Préparation de la « cire-résine » devant servir à la fixation des couches picturales, 104
telle que cet adhésif était préparé au Département des Sculptures polychromes de
l’Instituto de José de Figueiredo, par Anapaula Abrantes, à partir des années 70.
Photocopie du premier feuillet de la recette retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I.9.08 Préparation de la « cire-résine » (suite). Photocopie du second feuillet de la recette 105
retranscrite par Gracelina Barros.
Figure I-9.09 Cire-résine de 1976 (ligne rouge) présente sur l’échantillon 9-4 et mélange 106
référence de cire-résine de 1997 (ligne bleue) en spectroscopie infrarouge.
Figure I-9.10 Echant. 2-L3 – (Tunique St. Luc) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 106
microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
Figure I-9.11 Echant. 10-6 – (Manteau de St. Damien) Couche superficielle d’un fleuron 107
quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-
résine de 1976.
Figure I-9.12 Echant. 8-9 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un galon lacunaire de 107
l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine
de 1976.
Figure I-9.13 Echant. 9-2 – (Manteau de St. Paul) Couche superficielle d’un décor d’artichaut, en 107
microscopie optique et en spectroscopie infrarouge. Couche de cire-résine de 1976.
xi
SECONDE PARTIE
Figure II-1.01 Stratification des différentes couches appliquées sur la structure portante en 1685, 111
pour obtenir les principaux effets artistiques recherchés : 1) encollage du support en
chêne ; 2a) première couche de l’enduit double au plâtre ; 2b) seconde couche de
l’enduit double au plâtre ; 3) assiette à dorer ou bol ; 4) dorure brunie ; 5) couche
bleu des fenestrage, correspondant ici à l’application de bleu de Prusse, en 1900.
Figure II-2.01 Séchage des cuirs mégis (peaux de gants) après le dernier bain de tannage à l’alun. 112
Les substances tannantes et l’ « habillage » (jaune d’œuf et farine) se concentrent
dans les pattes qui seront rognées et dont on fait la colle.
Figure II-2.02 patte de peau de mouton rognée après tannage de la peau (à l’alun) 112
Figure II-2.03 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun 113
Figure II-2.04 Etude au MEB et imagerie en mode électrons rétrodiffusés d’une peau de gants 114
observée côté fleur et côté chair. Des globules de farine se trouvent à l’état libre,
particulièrement nombreux dans la structure fibrillaire de la peau.
Figure II-2.05 Préparation de colle de peau de gants à partir de rognures coupées en lanières. (a/b) 115
Cuisson à 100 ºC jusqu’à dissolution et réduction du liquide à un tiers. (c/d) Filtrage
de la colle. (e) Refroidissement et découpage en tranches minces. (f) Séchage des
plaques sur treillis.
Figure II-2.06 Image en mode «Electrons Secondaires» d’une goutte de colle de peau de gants. 116
Les particules blanches disséminées correspondent à de l’Alumine qui subsiste dans
la substance organique. Grossissement x200 / Barre d’échelle 100µm.
Figure II-2.07 Spectre EDS d’un échantillon de peau de gants tannée à l’alun et d’un échantillon 117
de parchemin (sans alun).
Figure II-2.08 Spectre dans l’Infrarouge de la colle de peau de gants (Spectra-Tech IRµS - Colle 117
sèche broyée avec KBr – 128 balayages– 4000-600 cm-1 – résolution= 4 cm-1).
Figure II-3.01 Apprêts baroques de la dorure brunie de la structure portante du retable (échantillon 118
R-O 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 6a) de l’enduit double ;
b) diffractogramme de la seconde passe (cam 6b) de cet enduit.
Figure II-3.02 Apprêts baroques de la couleur bleue dans l’espace de la Vierge, à l’extrémité du 119
rayonnement (échantillon R-B1). a) diffractogramme de l’enduit simple (cam 5).
Figure II-3.03 Apprêts baroques des camations de saint Paul (échantillon 9-1). a) diffractogramme 120
de la premiére passe (cam 1a) de l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde
passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.04 Apprêts baroques du Socle de saint Côme (échantillon 7-2). a) diffractogramme de 121
la premiére passe (cam 1a) de l’enduit simple ou double( ?) ; b) diffractogramme de
la seconde passe (cam 1b) de cet enduit.
Figure II-3.05 Apprêts baroques des Carnations du soldat de dextre assis au sol dans le groupe de 122
la Résurrection (éch. 4-Sb 1). a) diffractogramme de la premiére passe (cam 5a) de
l’enduit double ; b) diffractogramme de la seconde passe (cam 5b) de cet enduit.
Figure II-4.1a Macrophotographie d’une lacune dans la dorure de la structure portante du retable, 123
qui permet de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.1b Photographie d’une lacune dans la dorure du manteau de saint Matthieu, qui permet 124
de voir la couleur orangée du bol.
Figure II-4.02 Etude du bol orangé (assiette) au MEB-EDS sur les cheveux de saint Côme / groupe 125
7 du troisième registre (échantillon 7-3) – Spectre de la composition élémentaire et
analyse semi-quantitative.
Figure II-4.03 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 126
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.04 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur la tunique de st. Pierre / 127
groupe 8 du troisième registre (échantillon 8-4 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.05 Etude de la passe inférieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 128
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1a) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
xii
Figure II-4.06 Etude de la passe supérieure du bol au MEB-EDS sur le socle de st. Paul / groupe 9 129
du troisième registre (échantillon 9-5 bol 1b) – Spectre de la composition
élémentaire et analyse semi-quantitative.
Figure II-4.07 Etude du bol au MEB-EDS sur le manteau du Christ / groupe 4 de la prédelle 130
(échantillon 4-C3) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.08 Etude du bol au MEB-EDS sur le tombeau du Christ / groupe 4 de la prédelle 131
(échantillon 4-C6) – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-4.09 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations du soldat assis à dextre / groupe 4 de 132
la prédelle (échantillon 4-Sb1/B) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.10 Etude du bol au MEB-EDS sur les carnations de saint Matthieu / groupe 1 de la 133
prédelle (échantillon 1-M1) – Spectre de la composition élémentaire et analyse
semi-quantitative.
Figure II-4.11 Étude par DRX du bol sous les cheveux de saint Matthieu (échant. 1-M2). 134
Figure II-4.12 Étude par DRX du bol sous les carnations de saint Paul (échantillon 9-1). 135
Figure II-4.13 Étude par DRX du bol sous la tunique de saint Pierre (échantillon 8-6). 136
Figure II-4.14 Étude par DRX du bol et des particules foncées de l’échantillon précédent. 137
Figure II-4.15 Étude par DRX de grains noirs dans le bol appliqué sur saint Pierre (8-6). 138
Figure II-4.16 Étude par DRX du bol sous le manteau du Christ Ressuscité (échant. 4-C3). 139
Figure II-5.01 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 140
portante du retable (échantillon R-O1). Analyses ponctuelles et qualitatives, dont
les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient des
traces infimes de cuivre.
Figure II-5.02 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur la structure 141
portante du retable (échantillon R-O1). Réalisation de plusieurs analyses
ponctuelles dont l’approche semi-quantitative tendrait à indiquer que l’alliage d’or
est pur ou qu’il contient des traces infimes de cuivre.
Figure II-5.03 Étude au MEB-EDS de la dorure baroque appliquée, en 1685, sur une étoile du 142
Premier Corps du retable (échantillon R-E1). Analyses ponctuelles et qualitatives,
dont les spectres tendraient à indiquer que l’alliage d’or contient des traces
d’argent, voire des traces de cuivre.
Figure II-5.04 Étude au MEB-EDS de la dorure de l’étoile du Premier Corps (éch. R-E1). 143
Approche semi-quantitative qui indique que l’alliage d’or contient des traces
d’argent et/ou de cuivre.
Figure II-5.05 Étude au MEB-EDS de la feuille d’or appliquée, en 1685, sur le socle de la statue 144
de saint Côme (échantillon 7-2). Analyses semi-quantitatives qui tendraient à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.06 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 145
saint Côme (échantillon 7-4). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou qu’il
contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.07 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 146
saint Côme (échantillon 7-5). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.08 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 147
de saint Côme (échantillon 7-7). L’analyse semi-quantitative tendrait à indiquer que
l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.09 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur la tunique de la statue de 148
saint Pierre (éch. 8-6). L’alliage d’or est pur ou contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.10 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le socle de la statue de 149
saint Paul (échantillon 9-5). Les deux analyses indiquent que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.11 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur le manteau de la statue de 150
saint Pierre. (échantillon 8-10a). Approche semi-quantitative qui tendrait à indiquer
que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.12 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 151
de saint Pierre (échantillon 8-10b). Les analyses semi-quantitatives indiquent que
l’alliage d’or contient un peu de cuivre.
Figure II-5.13 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statue de 152
saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
xiii
Figure II-5.14 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur un ornement de la statue 153
de saint Paul (échantillon 9-4). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur ou qu’il contient quelques traces de cuivre et/ou d’argent.
Figure II-5.15 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le socle de la statuette de 154
saint Matthieu (échantillon 1-M6). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.16 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la tunique de la statuette 155
de saint Luc – (échantillon 2-L2). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur ou
qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.17 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 156
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur.
Figure II-5.18 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur un ornement de la statuette 157
de saint Luc (échantillon 2-L3). L’analyse tendrait à indiquer que l’alliage d’or est
pur.
Figure II-5.19 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée en 1685 sur le manteau de la statuette 158
du Christ Ressuscité (échantillon 4-C3). L’analyse indique que l’alliage d’or est pur
ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.20 Étude au MEB-EDS de la dorure appliquée, en 1685, sur la statue moyenne d’un 159
Apôtre (manteau du quatrième Apôtre - échantillon 11-A4.2). L’analyse tendrait à
indiquer que l’alliage d’or est pur ou qu’il contient d’infimes traces de cuivre.
Figure II-5.21 Diffractogramme de l’Argenture de l’armure d’un des soldats de la Résurrection 160
(4-Sh.1). Cette méthode d’analyse par DRX identifie bien la feuille d’argent.
Figure II-6.01 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 162
(échantillon B-R4). Observation aux MO et MEB de la couche de smalt appliquées
en 1685. Le registre en couleur au MO montre que, même à un faible
agrandissement (x65), les particules de verre coloré, grossièrement broyées, sont
aisément identifiables à leur taille (> 30 µm) et à leur couleur, même si elle ne
présentent pas toutes la même teinte, ni la même forme.
Figure II-6.02 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, entre les rayons lumineux 163
(échantillon B-R4). Agrandissement de la couche de smalt observée dans les deux
registres précédents (Cf. Fig. II.6.01). Au MEB, il est plus facile d’observer les
fractures conchoïdales de certaines particules de smalt en mode électrons
secondaires (SE), cette technique d’examen accentuant l’aspect morphologique des
pigments et leur relief propre.
Figure II-6.03 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB- 164
EDS des différentes couches, en particulier du smalt appliqué en 1685 et des deux
couches colorées sous-jacentes au smalt, d’un rose pâle (couche 7) et d’un bleu clair
(couche 8).
Figure II-6.04 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Etude au MEB-EDS de la 165
sous-couche rose du smalt – Spectre de la composition élémentaire et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.05 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 166
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (1) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.06 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 167
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (2) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.07 Fond bleu de la niche de saint Paul (échantillon 9-Br2). Examens aux MO et MEB 168
de la couche de bleu de smalt – Etude MEB-EDS d’un grain de smalt (3) et analyse
semi-quantitative.
Figure II-6.08 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 169
(échantillon R-Bl). Examens aux MO et MEB-EDS des différentes couches, en
particulier du smalt appliqué en 1685 et de la couche sous-jacente rose (couche 6).
Figure II-6.09 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption, à la périphérie du rayonnement 170
(échantillon R-Bl). Etude au MEB-EDS de la sous-couche rose du smalt. Spectre et
analyse semi-quantitative qui suggèrent la présence de matières colorantes à
dominante rouge, essentiellement des composés du plomb ou du fer.
Figure II-6.10 Fond bleu de la niche de la Vierge de l’Assomption (échantillon R-Bl). Etude de la 171
couche de bleu de smalt au MEB-EDS – Spectres de particules, qui accusent des
compositions différentes, où les valeurs en % de poids de K, Mg, Al, Fe et Co
varient.
xiv
Figure II-6.11 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 172
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Examens aux MO et MEB-EDS des
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.12 Fond bleu d’une niche des quatre prophètes, au registre de la Vierge de 173
l’Assomption (échantillon R-Bleu1). Etude au MEB-EDS de la couche de bleu de
smalt – Spectre de la composition élémentaire d’un grain (1) et analyse semi-
quantitative.
Figure II-6.13 Fond bleu d’un fenestrage (échantillon R-B3). Examens aux MO et MEB-EDS des 174
différentes couches, en particulier du bleu de smalt (couche 5) appliqué en 1685 et
de la couche sous-jacente de bolus (couche 4) correspondant à l’assiette dans la
dorure du retable.
Figure II-6.14 Retable majeur de l’église du monastère bénédictin São-Romão-do-Neiva. Ce 175
retable occupait à l’origine l’abside de l’église du monastère Saint-Martin, à Tibães,
pour laquelle il avait été créé en 1664-1665. Translaté en 1755, il a fait l’objet de
travaux et été recouvert d’une nouvelle polychromie. Toute la structure portante du
mobilier présente un caractère dichrome, bleu clair et or, qui n’est pas à confondre
avec le revêtement original du XVIIe siècle, celui-là disparu.
Figure II-7.01 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de saint Matthieu 176
Figure II-7.02 Détail du groupe sculpté 1 de la prédelle. Carnations de l’Ange 176
Figure II-7.03 Détail du groupe sculpté 4 de la prédelle - Carnations du Christ ressuscité et des 176
soldats
Figure II-7.04 Détail du groupe sculpté 2 de la prédelle Carnations du broyeur de pigments 176
Figure II-7.05 Détail de la frise - Carnations d’une figure 176
Figure II-7.06 Détail de la statue de saint Côme (7). Carnations du visage 177
Figure II-7.07 Détail de la statue de saint Damien (10). Carnations du visage (Foto J. Pessoa 177
/1975)
Figure II-7.08 Détail de la statue de saint Pierre (8). Carnations du visage 177
Figure II-7.09 Détail de la statue de saint Paul (9). Carnations du visage 177
Figure II-7.10 Détail de la Vierge de l’Assomption (12). Carnations du visage 178
Figure II-7.11 Détail de l’Apôtre saint Jacques (11-A5). Carnations du visage et des mains 178
Figure II-7.12 Détail d’un Apôtre (11-A12). Carnations du visage 178
Figure II-7.13 Détail du groupe du Calvaire situé au sixième registre du retable – Carnations de la 179
Vierge Marie et de saint Jean qu’il est possible de comparer entre elles, et de
confronter par ailleurs avec les carnations du Christ crucifié. Le doute subsiste
quant à une intervention postérieure ou non sur ce dernier, étant donnée la tonalité
générale assez ocrée des chairs qui paraît plutôt due au jaunissement d’un vernis
qu’à la coloration voulue d’un corps moribond.
Figure II-7.14 Echantillon 1-A1 correspondant aux carnations de l’Ange du Groupe de saint 180
Matthieu (prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB), avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation
double et du polissage, intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant
vraisemblablement le rendu de chairs brillantes.
Figure II-7.15 Echantillon 4-C1 correspondant aux carnations du Christ ressuscité (Groupe 4 de la 181
prédelle) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) ou en mode
électrons secondaires (SE). Mise en évidence de la carnation double et du polissage,
intermédiaire et superficiel, des deux couches, visant vraisemblablement le rendu de
chairs brillantes.
Figure II-7.16 Echantillon 4-Sb1 correspondant aux carnations du soldat endormi à dextre (Groupe 182
4 de la prédelle) Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE). C’est le seul échantillon sur lequel il est possible de visualiser une très fine
couche de finition sur les chairs pour leur donner un ton plus rougeâtre. A l’endroit
de cette couche, la carnation sous-jacente est lisse et apparemment polie.
Figure II-7.17 Echantillon 9-1 correspondant aux carnations de saint Paul (Groupe 9 au troisième 183
registre) - Registres au microscope optique (MO), au microscope électronique à
balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés (BSE) et en mode
électrons secondaires (SE), et tests de coloration spécifique. Le polissage est moins
xv
probant sur ces carnations doubles. Mais il faut compter avec la qualité du
prélèvement (en arrière de la main et donc moins accessible), le broyage assez
grossier ici des composés du plomb, et enfin une éventuelle altération de surface.
Figure II-7.18 Carnations d’un personnage de la frise (montant gauche) - Macrophotographie et 184
traitement d’image qui rend manifeste la présence d’une couche superficielle
grossièrement étendue à la brosse et contenant des petits agrégats de matière solide.
Figure II-7.19 Echantillon R-C1 correspondant aux carnations d’un personnage de la frise 185
(montant gauche) - Registres au microscope optique (MO) et au microscope
électronique à balayage (MEB) avec imagerie en mode électrons rétrodiffusés
(BSE) ou en mode électrons secondaires (SE), et test de coloration spécifique au
Vert Malachite. Présence d’une couche superficielle très fine de nature distincte,
contenant une gomme et des agrégats de blanc de plomb. Les marques grossières de
coups de pinceau que porte cette couche laisse supposer qu’il s’agit plutôt d’une
intervention postérieure.
Figure II-7.20 Spectre FTIR de la couche des carnations du personnage de la frise (échantillon 186
R-C1, cam. 3). Huile et blanc de plomb.
Figure II-7.21 Diffractogramme des Carnations du Christ Réssucité (4-C1) et d’un personnage de 187
la frise (R-C1).Mélange de blanc de plomb et vermillon en proportions variables.
Figure II-7.21 Statue de saint Amaro, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège 188
Saint-Benoit de Coimbra, sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.22 Statue de saint Grégoire Le Grand (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 188
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs.
Figure II-7.23 Statue de saint Anselme (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite), 189
sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira (1692).
Dans le contrat de polychromie qui nous est parvenu, les carnations de saint
Anselme ont été exigées « au pinceau sur poli ».
Figure II-7.24 Statue de saint Benoît (église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui détruite). 189
Sculpteur et polychromeur anonymes (XVIIe s.). Les carnations mates de saint
Benoît sont dues à une repolychromie partielle du XIXe/XXe s. Cette figure de
dévotion continue d’être présentée au culte dans l’église Notre-Dame des Carmes, à
Coimbra.
Figure II-7.25 Statue de saint Ildefonse (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 189
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Manuel Ferreira
(1692). Etat des carnations avant leur nettoyage, en 2003. L’accumulation de suie et
de cire n’empêche pas d’avoir une lecture de l’aspect satiné.
Figure II-7.26 Statue de sainte Françoise la Romaine (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, 190
aujourd’hui détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par
Pascoal de Sousa (1692). Deux éclairages différents permettent de juger de l’aspect
plus ou moins lustré des chairs et de l’impact de ce même éclairage sur la lecture
des physionomies
Figure II-7.27 Statue de sainte Gertrude (de l’église Saint-Benoît de Coimbra, aujourd’hui 190
détruite), sculptée par Cipriano da Cruz (1685) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692). L’aspect des chairs est identique à celui de la statue de sainte
Françoise la Romaine (Fig. II-7.20), avec laquelle celle-ci forme une paire.
Figure II-7.28 Statue de l’Ange Gabriel (de l’église Saint-Benoit de Coimbra, aujourd’hui 191
détruite). Sculptée par Cipriano da Cruz (1684) et polychromée par Pascoal de
Sousa (1692).Traitement assez rare du visage où les yeux sont verts et où l’intérieur
des paupières est plus rosé. L’aspect actuellement altéré des carnations ne laisse pas
deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.29 Statue d’une Pietà, provenant de l’église (aujourd’hui détruite) du Collège Saint- 191
Benoit de Coimbra. Sculptée par Cipriano da Cruz (1684). Polychromie attribuée à
Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac). Nous remarquerons la coloration rouge plus
intense autours des yeux qui traduit ici la douleur. L’aspect actuellement altéré des
carnations ne laisse pas deviner le degré de brillance qu’elles avaient à l’origine.
Figure II-7.30 Sculpture de Sainte Combe, provenant de la Sé Velha de Coimbra et aujourd’hui 192
exposée dans la Sé Nova. Les carnations ont été rafraîchies, soit par un surpeint,
soit par l’application de vernis ou d’huile siccative.
xvi
Figure II-7.31 Vierge à l’Enfant, conservée au Musée d’Aveiro. Statuette malinoise (XVIe s.) / 193
Polychromie XVIIe s. attribuée à Manuel da Costa Pereira (A. Le Gac).
Figure II-7.32 Sculpture de Notre-Dame du Rosaire, de l’ex-église des dominicaines d’Aveiro 193
(actuellement, Musée d’Aveiro). Sculpture et Polychromie anonymes du XVIIe
siècle.
Figure II-8.01 Diffractogramme de la Couleur bleue du manteau d’un Apôtre (11-A4.3). Azurite 194
conjuguée à du noir de carbone amorphe pour modifier la nuance.
Figure II-8.02 Diffractogrammes de Couleurs vertes issues des tuniques de saint Pierre (8-4) et de 195
saint Côme (7-4), respectivement. L’azurite et le vert-de-gris les distinguent.
Figure II-8.03 Diffractogrammes de la couleur rouge employée sur le manteau du Christ Ressucité 196
(4-C3) et la marbure du tombeau du Christ (4-C6). Emploi de vermillon.
Figure II-8.04 Diffractogramme de la Couleur orange du manteau de saint Mattieu (1-M3). 197
Minium et un peu de vermillion mélangé.
Figure II-8.05 Diffractogramme de la Couleur rouge orangé du manteau de saint Côme (7-5). 198
Mélange de vermillon et de craie, voire de blanc de plomb.
Figure II-8.06 Diffractogramme de la Couleur brune des cheveux de saint Côme (7-3). Présence 199
de pigments ocres et noirs (non détectés), associés peut-être à de la craie.
Figure II-8.07 Diffractogrammes d’adhésifs de couleur blanchâtre (9-4) et orange (2-L3) ayant 200
servi a fixé des motifs en relief de brocard d’application. Composés de blanc de
plomb et de minium.
Figure II-8.08 Diffractogramme de la Couleur rose du brocard peint sur les niches de saint Paul (9- 201
Br2). Majorité de blanc de plomb et contenant du vermillon.
Figure II-8.09 Polychromie de la Vierge – manteau bleu avec motif « bouclé par la trame » de 202
l’artichaut.
Figure II-8.10 Polychromie de la Vierge – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 203
« broderies d’application » avec fleurons quadrilobés.
Figure II-8.11 Polychromie de la Vierge – Laque rouge sur le revers du manteau et sertissage de 204
pierreries sur les orfrois.
Figure II-8.12 Polychromie de saint Pierre – Motifs « bouclé par la trame » de pomme de pin et 205
« broderies d’application ».
Figure II-8.13 Polychromie de saint Pierre – Tunique bleu-vert avec motifs « bouclé par la trame » 206
- Revers du manteau avec laque rouge.
Figure II-8.14 Détail de la polychromie sur la tunique de saint Pierre. 207
Figure II-8.15 Polychromie de saint Paul – Motifs « bouclé par la trame » de l’artichaut et 208
« broderies d’application » sur le manteau.
Figure II-8.16 Polychromie de saint Paul – « Broderies d’application » sur le manteau et la 209
tunique.
Figure II-8.17 Polychromie de saint Côme – Cheveux bruns. Motif « bouclé par la trame » de 210
l’artichaut sur le manteau.
Figure II-8.18 Polychromie de saint Côme – Détail du manteau orange et de l’estoffage. 211
Figure II-8.19 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 212
manteau.
Figure II-8.20 Polychromie de saint Côme – Détail des motifs « bouclés par la trame » sur le 213
manteau.
Figure II-8.21 Polychromie de saint Damien – Détail des « broderies d’application » sur le 214
manteau.
Figure II-8.22 Quelques Apôtres et polychromie bleue du quatrième : motif « bouclé par la 215
trame » et « broderies d’application » avec fleurons lancéolés.
Figure II-8.23 Polychromie du Christ et du tombeau – Manteau rouge du Christ avec motifs 216
« bouclé par la trame » et « broderies d’application ».
Figure II-8.24 Polychromie de l’Évangéliste saint Jean – Manteau rouge et tunique verte avec 217
motifs « bouclé par la trame ».
Figure II-8.25 Polychromie de l’Évangéliste saint Matthieu – Manteau orange et tunique vert 218
foncé. Détails de l’estoffage et du sertissage de pierreries (perdues).
Figure II-8.26 Polychromie de l’Évangéliste saint Luc – Manteau rouge et tunique verte avec 219
motif « bouclé par la trame ».
Figure II-9.01 Réceptaire de Bernardo Montón dont l’édition originale date de 1734. Édition de 220
1761 (Biblioteca Nacional de Lisboa / S.A. 12.197 P).
xvii
Figure II-9.02 Première et dernière éditions portugaises connues du réceptaire de B. de Monton: a) 201
Édition de 1744 (BNL / S.A. 17.359 P) ; b) Édition de 1856 (BNL / S.A. 12.208 P).
Figure II-9.03 Recettes du réceptaire de B. de Monton correspondantes aux Nos 199 201
(« Composição para imitar bordados… ») et 200 (« Uzo desta composição ») de
l’édition portugaise de 1744, reproduites aux Nos 54 et 55 dans l’édition de 1818
(BNL / S.A. 19.961 P).
Figure II-9.04 Cours de Chymie de Pierre Thibaut dont l’édition originale date de 1667. 202
a) Édition de 1674 (BNL / S.A. 5424) ; b) Fourneaux (bain de sable et bain-marie)
et vaisseaux figurant sur la Gravure Nº 3 de cet ouvrage.
Figure II-9.05 Histoire générale des Drogues simples & composées de Pierre Pomet dont l’édition 203
originale date de 1695. Édition de 1735 (BNL / S.A. 2796).
Figure II-9.06 Représentations de genévriers au XVIIe s., extraites de l’Histoire générale des 204
Drogues simples & composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Grand
Genevre" ou genévrier commun (Juniperus communis L. de la famille des
Cupressaceae) - Gravure Nº 95 ;
b) "Petit Genevre" ou genévrier cade, également appelé oxycèdre (Juniperus
oxycedrus L.) - Gravure Nº 96.
Figure II-9.07 Substances gommeuses et résineuses exsudées de différents végétaux après 205
incision, et leurs représentations au XVIIe s., extraites de l’Histoire Générale des
Drogues simples et composées de Pomet (édition de 1735 - BNL) : a) "Lintisque",
ou Lentisque (Pistacia Lentiscus L., de la famille des Anarcadiaceae) dont on tire le
mastic - Gravure Nº 89 ; b) "Gomme Elemi" (de la famille des Burséraceae) -
Gravure Nº 14 ; c) "Assa Fœtida" (arbrisseau du genre des Férulaceae : Laserpitium
ou bien Ferula assafœtida L. par exemple, de la famille des Apiaceae) dont on tire
la gomme du même nom - Gravure Nº 9 ; d) "Sagapenum" (Ferula persica L., aussi
de la famille des Apiaceae) dont on tire la gomme sagapin - Gravure Nº 14.
Figure II-9.08 Représentation des abeilles et produits de la ruche au XVIIe s. : "Mouches à miel". 206
Gravure Nº 46 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de
Pomet (édition de 1735 - BNL).
Figure II-9.09 Représentation de conifères au XVIIe s. : "Terebenthe, Sapin & Pin". Gravure Nº 206
26 extraite de l’Histoire générale des Drogues simples & composées de Pomet
(1735 - BNL).
Figure II-9.10 Premier Corps du retable majeur de la Sé Velha de Coimbra. Nous pouvons voir, de 207
gauche à droite, et de bas en haut : 1/ groupe de saint Mathieu et l'ange - 2/ groupe
de saint Luc, avec broyeur de pigments et bœuf - 3/ Nativité - 4/ groupe de la
Résurrection - 5/ groupe de saint Jean et l'aigle - 6/ groupe de saint Marc avec le
lion - 7/ saint Côme - 8/ saint Pierre - 9/ saint Paul – 10/ saint Damien - 11/ groupe
des apôtres - 12/ groupe de la vierge de l'Assomption. Photo José Pessoa / IPCR
Figure II-9.11 Numérotation des Douze Apôtres assistant à l’Assomption de la Vierge. Pour ce 208
groupe compact étagé sur trois niveaux, la façon de les compter respecte la lecture
occidentale de gauche à droite, et ascensionnelle, de bas en haut.
Figure II-9.12 Fleurons aux formes pointues 208
Figure II-9.13 Fleurons aux formes arrondies 208
Figure II-9.14 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc)). Prédominance de la cire.
Figure II-9.15 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance de la cire.
Figure II-9.16 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 209
infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité). Prédominance de la cire.
Figure II-9.17 Pâte translucide d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 210
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.1a – Tunique de St. Pierre).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.18 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.19 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 210
infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St. Pierre). Prédominance de la cire.
Figure II-9.20 Pâte claire d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.21 Pâte claire d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
Figure II-9.22 Pâte orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 211
infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Prédominance de la cire.
xviii
Figure II-9.23 Pâte brun clair d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.24 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 10-6 – Manteau de St. Damien). Prédominance de la cire.
Figure II-9.25 Pâte translucide d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et spectroscopie 212
infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance de la cire.
Figure II-9.26 Pâte brun clair d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et spectroscopie 213
infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance de la cire.
Figure II-9.27 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, en chromatographie 214
hautes températures après triméthylsilylation. L’échantillon (4-C4 - Manteau du
Christ) constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un galon de l’orfroi, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (4-C4 - Manteau du Christ). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.28 a) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, en chromatographie hautes 215
températures après triméthylsilylation (12-V1- Manteau de la Vierge).
L’échantillon constitué essentiellement de cire donne lieu à un signal important. La
présence de triglycérides n’est pas mise en évidence.
b) Chromatogramme de la pâte claire d’un fleuron, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (12-V1 - Manteau de la Vierge). Les marqueurs des corps gras
autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.29 Couche supérieure orangée d’un décor de pomme de pin, en microscopie optique et 216
spectroscopie IR (échant. 8-8 cam.1b – Tunique de St. Pierre). Cire et huile.
Figure II-9.30 Couche d’«or de couleur» d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et en 217
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance de
l’huile.
Figure II-9.31 Couche d’«or de couleur» d’un galon orange de l’orfroi, en microcopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-4 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.32 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 217
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Huile et cire.
Figure II-9.33 Echant. 8-10 – (Manteau de St. Pierre) Couche d’«or de couleur» d’un galon orange 218
de l’orfroi, en microcopie optique et spectroscopie infrarouge. Huile et cire.
Figure II-9.34 Couche d’«or de couleur» d’un décor de pomme de pin, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 8-8 cam.2 – Tunique de St. Pierre). Huile et cire.
Figure II-9.35 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 218
spectroscopie infrarouge (échant. 10-5 – Manteau de St. Damien). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.36 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron quadrilobé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 12-V1 – Manteau de la Vierge). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.37 Couche d’«or de couleur» d’un fleuron lancéolé, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4). Prédominance
de la cire.
Figure II-9.38 Couche d’«or de couleur» d’un galon de l’orfroi, en microcopie optique et 219
spectroscopie infrarouge (échant. 4-C4 – Manteau du Christ ressuscité).
Prédominance de la cire.
Figure II-9.39 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 8-9 – Manteau de St. Pierre). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.40 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-3 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.41 Adhésif de couleur blanchâtre d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 220
spectroscopie infrarouge (échant. 9-2 – Manteau de St. Paul). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.42 Adhésif de couleur blanchâtre d’un fleuron lancéolé, en microscopie optique et 221
spectroscopie infrarouge (échant. 11-A4.5 – Manteau de l’Apôtre 4).
Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.43 Adhésif de couleur blanchâtre d’un galon de l’orfroi, sur registre 221
microphotographique et en spectroscopie infrarouge (échant. 8-10 – Manteau de St.
xix
Pierre). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.44 Adhésif de couleur orangée d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 7-7 – Manteau de St. Côme). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.45 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.46 Adhésif de couleur orangée d’un décor d’artichaut, en microscopie optique et 222
spectroscopie infrarouge (échant. 2-L3 – Tunique de St. Luc). Prédominance du
liant huileux.
Figure II-9.47 Adhésif de couleur orange d’un galon de l’orfroi, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-5 – Manteau de St. Damien). Liant huileux,
contaminé par de la cire
Figure II-9.48 Adhésif de couleur orange d’un fleuron quadrilobé, en microscopie optique et 223
spectroscopie infrarouge (éch. 10-6 – Manteau de St. Damien). Liant huileux
contaminé par de la cire.
Figure II-9.49 Adhésif rose d’un cabochon de l’orfroi, en microscopie optique et spectroscopie 223
infrarouge (échant. 4-C5 – Manteau du Christ). Prédominance du liant huileux.
Figure II-9.50 a) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, en chromatographie hautes 224
températures après triméthylsilylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc).
L’échantillon donne un signal très faible. Il contient presque exclusivement une
huile moyennement oxydée. On observe bien les quantité importantes d’acides
palmitique (E16:0) et stéarique (E18:0) sous forme d’esters de triméthylsilyle.
b) Chromatogramme de l’adhésif d’un décor d’artichaut, après méthanolyse et
triméthylsiliylation (échant. 2-L4 – Tunique de St. Luc). Les marqueurs des corps
gras autres que ceux de la cire (dont l’acide palmitique E16:0) sont le glycérol et les
diacides (en particulier l’acide azélaïque D9).
Figure II-9.51 Pyrogramme de l’échantillon 2-L4 – Huile siccative non identifiée et cire. 225
Figure II-9.52 Chromatogrammes des échantillons SFX-J2-2B et SXF-J1-A1 (deux figures 247
jésuites), obtenus en HTGC (A et B), et après méthanolyse acide et
triméthylsilylation (C et D).
Figure II-9.53 Brocatelle annelée d’or et d’argent - XVIe s. – Espagne / Motif de la pomme de pin 248
(BASTOS, 1954, Est. XXXVI).
Figure II-9.54 Velours coupé, bouclé par la trame de filé or - c.1550 / Motif de la pomme de 248
grenade - Espagne / Italie ? (Fondation Abbeg-Stiftung).
Figure II-9.55 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (Museu Nacional de Machado de 249
Castro, de Coimbra / Nº Inventaire 525 T).
Figure II-9.56 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 250
végétaux bouclés par la trame de filé or.
Figure II-9.57 Pluvial de la Sé Velha de Coimbra - XVIe siècle (MNMC 525 T). Détail des motifs 251
végétaux bouclés par la trame de filé or. Brocart à trois hauteurs.
Figure II-9.58 Devant d’autel – XVIIe siècle (Museu Nacional de Machado de Castro, de 252
Coimbra). Détails des bandes médianes et brodées.
Figure II-9.59 Bandes médianes et brodées du devant d’autel du Couvent de la Mère de Dieu, à 253
Lisbonne (Museu Nacional de Arte Antiga – Nº Inv. 539 Tec.).
Figure II-9.60 Retable Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie 254
Manoel da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Vues générales.
Figure II-9.61 Nossa Senhora do Pranto (sculpture João Afonso - XVe s. / polychromie Manoel 255
da Costa Pereira - 1686 [recouverte]) – Reliefs sous-jacents.
Figure II-9.62 Sainte Comba (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 256
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.63 Sainte Comba (polychromeur anonyme - Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le 257
Gac) – Détails des orfrois du manteau.
Figure II-9.64 Manteau de sainte Comba (a) et robe de la Piétà (b), qui portent le même motif, 258
adapté au volume des sculptures et coloré suivant leur iconographie.
Figure II-9.65 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira - ca. 1690) – Vue 259
partielle des vêtements (Cf. la robe rouge à la Figure précédente).
Figure II-9.66 Pietà (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie anonyme – Attrib. Manoel 260
da Costa Pereira par Le Gac – ca. 1690) – Vue générale et détails.
Figure II-9.67 Pietà (polychromie anonyme – Attrib. Manoel da Costa Pereira par Le Gac – ca. 261
1690) – Détails des deux motifs d’«artichaut» du manteau.
Figure II-9.68 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 262
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Vues générales.
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Figure II-9.69 Vierge de l’Immaculée Conception (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / 263
polychromie Manuel Ferreira - 1691) – Détails des décors en relief.
Figure II-9.70 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 264
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.71 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 265
1691) – Vue générale et détail d’un motif d’artichaut du pluvial.
Figure II-9.72 Saint Anselme (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 266
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.73 Saint Ildefonse (sculpture Cipriano da Cruz - 1685 / polychromie Manuel Ferreira - 267
1691) – Vue générale et détail des ornements du pluvial.
Figure II-9.74 Saint Anselme (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 268
– Détail des «bouclé par la trame» et «broderies d’application».
Figure II-9.75 Saint Ildefonse (sculpt. Cipriano da Cruz - 1685 / polychr. Manuel Ferreira - 1691) 269
– Détails des «broderies d’application» et «bouclé par la trame».
Figure II-9.76 Saint Louis de Gonzague (sculpteur anonyme - XVIIe s. / polychromeur anonyme - 270
1688) – Vue générale et détail de l’orfroi de la capeline.
Figure II-9.77 Beatus Louis de Gonzague (polychromeur anonyme - 1688) – Orfrois en relief 271
appliqués sur la capeline et la soutanelle.
Figure II-9.78 Beatus Stanislas Kotska (sculpt. anonyme - XVIIe s. / polychr. anonyme - 1688) – 272
Vue générale et détail du «bouclé par la trame» de la soutanelle.
Figure II-9.79 Beatus Stanislas Kotska (polychromeur anonyme - 1688) – Détails des «broderies 273
d’applications» et pierreries sur les orfrois de la capeline.
Figure II-9.80 Archange saint Michel (sculpture Jean de Rouen - 1538 / polychromie anonyme - 274
Attrib. Manuel Ferreira par Le Gac) – Vue Générale et détails
Figure II-9.81 Archange saint Michel (sculpt. Jean de Rouen - 1538 / polychr. anonyme - Attrib. 275
Manuel Ferreira par Le Gac) – Détails des décors de la cape.
Figure II-9.82 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 276
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue Générale et détail du rochet.
Figure II-9.83 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 277
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.84 Saint Antoine (sculpteur anonyme - XVIe s. / polychromeur anonyme - Attrib. 278
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails (photos de 1947 et 2003)
Figure II-9.85 Saint Antoine (polychromeur anonyme - Attrib. M. da Costa Pereira par Le Gac) – 279
Détails des décors du camail : motif de la «pomme de pin» et orfroi.
Figure II-9.86 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 280
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.87 Nossa Senhora da Luz (sculpteur anonyme - XVe s. / polychromeur anonyme - ca. 281
1690) – Détails d’un «artichaut» et de l’orfroi du manteau.
Figure II-9.88 Retable majeur de Sertã (sculp. António Gomes et Domingos Nunes - 1686 / 282
polychr. Francisco da Rocha - 1691) – Vue générale et détail.
Figure II-9.89 Retable majeur de Sertã (polychromie Francisco da Rocha - 1691) – Détails du 283
tissu de brocart imité sur d’anciens fonds de niche.
Figure II-9.90 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 284
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Vue générale et détail.
Figure II-9.91 Vierge à l’enfant (atelier malinois - XVIe s. / polychromie anonyme – Attrib. 285
Manoel da Costa Pereira par Le Gac) – Détails de l’orfroi avec pierreries.
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FIGURES
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