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Sociothérapie Les
douze sens de
l’homme
Roduit Salomé – ED221
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1) Contexte institutionnel
Je travaille dans une école publique qui accueille des enfants et des adolescents en situation de
handicap mental moyen ou grave. Elle a pour mission principale de dispenser aux élèves un
enseignement spécialisé et adapté à chacun.
Son but est d’amener le jeune en situation de handicap à une certaine autonomie, à favoriser sa
socialisation et à développer son potentiel intellectuel pour qu’à la fin de sa scolarité il s’intègre au
mieux dans le monde socio-économique ou en ateliers protégés ou d’occupation.
Le centre scolaire peut accueillir une trentaine d’élèves en situation de handicap mental réparti dans
cinq classes. Dans ce même établissement, il existe également des élèves qui suivent un enseignement
ordinaire.
Dans chacune des classes spécialisées opèrent un/une enseignant/e spécialisé/e ainsi qu’un/une
stagiaire et une aide à la vie scolaire. Il existe également une équipe éducative qui met en place des
projets socio-éducatifs pour chaque élève. L’école dispose aussi de mesures pédago-thérapeutiques.
En effet, il y a une logopédiste qui travaille la communication, les troubles du langage oral et écrit, du
débit de la parole, de la voix et de la déglutition.
Une psychomotricienne qui traite l’interaction entre les domaines de développement de la perception,
des sentiments, de la pensée, du mouvement et du comportement, ainsi qu’à leur expression sur le plan
corporel.
Un ergothérapeute qui œuvre dans l’apprentissage et le maintien des actes de la vie quotidienne tels
que l’habillage, le déshabillage, l’utilisation des services lors des repas, le brossage des dents, etc.
Une physiothérapeute qui utilise la force et le mouvement mécanique, la thérapie manuelle, la thérapie
par l'exercice pour tenter de résoudre les carences et améliorer la mobilité et la fonction physique des
élèves.
Une musicothérapeute qui utilise la musique comme moyen de soigner ou de répondre à une
problématique donnée. Ainsi qu’un soutien psychologique.
Grâce à ces thérapies, les jeunes bénéficient d’une aide plus adéquate et personnalisée.
À midi, tous les enfants mangent sur place. Ils sont accompagnés par l’équipe éducative ainsi que les
aides à la vie scolaire et les stagiaires. Après le dîner, les enfants ont un moment pour jouer au parc ou
aller se promener avant de retourner en classe l’après-midi. À la fin de la journée, les élèves rentrent
chez eux. Le transport du matin comme du soir est organisé par l’école et se fait en bus taxi.
Je suis actuellement attitrée à la classe des grands (15 – 20 ans). Je travaille en collaborant avec
l’enseignante spécialisée au sein de la classe, mais je participe également aux projets socio-éducatifs
ainsi qu’aux repas du midi.
2) Présentation du bénéficiaire
Candice1 est une élève âgée d’une quinzaine d’années atteinte de trisomie 21 ainsi qu’une déficience
intellectuelle. Elle a été opérée d’une communication interventriculaire (CIV) à 6 mois.
Elle est scolarisée à plein temps. Elle bénéficie d’une prise en charge hebdomadaire en
musicothérapie, logopédie, psychomotricité.
1
Prénom d’emprunt
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Elle fréquente plusieurs lieux de vie. Notamment une institution où elle y passe une nuit par semaine
ainsi qu’une autre institution qui la prend en charge de manière ponctuelle le week-end. Elle fréquente
aussi une association qui organise des camps durant lesquels elle participe à des activités et des loisirs
pendant les vacances scolaires voire même durant certains week-ends. Elle dort également une fois par
semaine chez une personne externe. Et le temps restant elle le passe chez ses parents.
Son attitude lors du travail se révèle généralement bonne, mais demeure fluctuante. Si elle est parfois
en mesure de travailler de manière adéquate pour des périodes de 15 à 20 minutes, elle peut à d’autres
moments parvenir difficilement à maintenir son attention sur la tâche, réagissant exagérément au
moindre bruit de ses pairs ou recourant à des comportements inadéquats (répétitions au niveau gestuel
ou vocal, se lever sans permission avec divers prétextes).
C’est une adolescente qui demande beaucoup d’attention de la part des adultes. En effet lorsqu’elle
bénéficie d’un accompagnement individuel, ses compétences attentionnelles augmentent. La présence
de ce dernier demeure indispensable pour qu’elle puisse évoluer dans le respect des règles. Candice
manifeste de l’empathie à l’égard de ses pairs, mais a toujours besoin d’un cadre bien défini pour
éviter d’être trop envahissante. La réalisation de nombreuses tâches de la vie quotidienne nécessite un
soutien verbal et/ou physique de l’adulte (toilette, habillage).
Lors des repas elle mange vite et ne ressent pas le sentiment de satiété. Candice présente également un
trouble d’articulation et de parole qui rend ses productions parfois difficilement compréhensibles. Elle
peut structurer une phrase à trois éléments (sujet-verbe-complément) avec quelques petits éléments de
morphosyntaxe. Mais généralement, elle s’exprime par mots-phrases ou en style télégraphique (par
exemple : « Je p-p-p-p-p-p-eux aller f-f-f-faire vaisselle s’il ……. T-t-t-t-t-te plaît ? »).
Elle dispose d’un iPad sur lequel elle peut s’appuyer pour mieux se faire comprendre. Quand on la fait
répéter plusieurs fois quelque chose que nous n’avons pas compris, cela peut la fâcher.
Sa compréhension est changeante et dépendante du contexte. Dans un cadre d’apprentissage avec des
repères visuels, elle démontre de meilleures aptitudes, mais de manière générale Candice comprend
difficilement nos consignes ou questions, ne traitant qu’une partie du message.
Elle tend à rechercher la relation exclusive avec les camarades qu’elle apprécie particulièrement. Elle
peut se montrer déstabilisée par les événements inhérents à la vie de groupe comme les remarques
d’un pair à son égard ou le refus de jouer. Et mettre en avant un comportement inadéquat (bouder,
crier, pleurer).
Elle peut se déplacer seule dans le bâtiment scolaire. Nous devons toutefois rester vigilants et lui
rappeler préalablement les consignes (se déplacer calmement et silencieusement). Actuellement, son
médecin est en phase de recherche pour une nouvelle médication par conséquent je remarque que
Candice est très influencée par la prise de cette dernière et semble être énormément envahie par ses
amis imaginaires.
3) Introduction
Tout d’abord, je vais effectuer une restitution synthétique des huit expériences sensorielles selon
l’approche anthroposophique de Rudolf Steiner.
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Puis je vais vous présenter mes observations concernant Candice et faire des liens avec cette approche.
Ces dernières seront basées en premier lieu sur les sens inférieurs, corporels et volitifs qui sont
constitués du sens du toucher, de la vie, du mouvement et de l’équilibre.
En deuxième lieu, les sens supérieurs, cognitifs et sociaux qui sont constitués du sens de l’ouïe, du
langage d’autrui, de la pensée d’autrui et du Moi d’autrui.
Il existe également les sens médians qui sont à la foi tournés vers l’intérieur et l’extérieur de notre être.
Ils sont en lien avec le système rythmique et plus particulièrement le système circulatoire et englobent
l’activité des sentiments et de ce fait la conscience de rêve (Tripartition de la nature humaine). Ils sont
constitués du sens de la chaleur, de l’odorat, de la vue et du goût. Je ne vais pas en dire plus dans mon
travail concernant les sens médians même s’ils ont tout de même leur importance.
Je vais ensuite tenter de démontrer quelle place l’adolescente s’est créée dans le monde à partir de
cette double relation à partir de ses vulnérabilités et de ses ressources.
Puis je vais mettre en évidence ce que je peux mettre en œuvre pour aider la vulnérabilité de Candice
au quotidien. Quelles sont les pistes socio-éducatives que je peux mettre en place dans le but de la
recentrer dans son identité et de l’aider dans certaines difficultés relatives à ses perceptions
sensorielles ?
Pour conclure, je vais décrire ce que j’ai appris sur cette élève, quelles modifications je peux apporter
lors de son accompagnement et dans notre relation, ce que j’ai appris sur moi et si cette approche me
semble pertinente dans ma vie professionnelle.
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Perception interne de notre organisme
3
Perception de la douleur
4
Perception des dérangements dans les organes internes
5
Position du corps dans l’environnement
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4.1.1 Le sens du toucher
L’organe sensoriel est la peau. Elle constitue la frontière qui sépare notre corps du monde environnant.
Si nous n’avons pas la possibilité de nous sentir séparés du monde, nous ferions qu’un avec lui et
serions incapable de nous ressentir en tant que soi.
Il nous est difficile de se priver du sens du toucher. En effet, nous sommes sans arrêt en train de
toucher depuis notre naissance, et ce jusqu’à notre décès.
L’expérience intra-utérine au monde extérieur amène à un toucher global dès les premiers temps de la
vie. Pour la maman, elle fait l’expérience du toucher aimant quand elle porte son enfant dans les bras
et va lui apporter de l’affection. Concernant le nouveau-né, c’est une expérience fondamentale par
voie basse qu’il va faire dans sa vie. Le sens tactile permet de contribuer à reconnaître une
structuration de soi et l’ouverture vers l’autre. C’est un sens qui aide à rassurer et qui favorise la
relaxation.
À trois ans, l’enfant commence à s’identifier comme étant une identité qui se différencie du reste du
monde (le Moi — le Je). Il fait l’expérience de la limite. Le Moi se découvre lui-même dans son corps
physique. Il se démarque de son environnement et comprend qu’il est une unité (J’ai un corps, je vis
mon corps, je suis mon corps).
Puis entre sept et quatorze ans, l’enfant se métamorphose. C’est à ce moment que l’intériorisation et
l’éveil de la conscience se passent. Il fait le lien entre ce qu’il est et ce qu’il reçoit. Lorsqu’il fait
l’expérience de la sensation qu’il ressent, on appelle cela la résonnance. Et lorsqu’il expérimente la
perception de l’existence, on appelle cela la cohérence.
Dès 21 ans, l’expérience du toucher s’intériorise encore plus. Il devient plus subtil et plus psychique.
L’attitude du respect, qui permet d’éviter d’entrer dans une sphère dans laquelle je ne suis pas invité se
réveille. Il laisse place à de l’humilité lors d’une rencontre.
Le sens du toucher est étroitement lié avec le sens du Moi d’autrui, car il constitue une base qui permet
de percevoir autrui d’une façon globale et profonde, de discerner qui est l’autre réellement.
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Il existe une cohérence corporelle puis psychique. Quelque chose me dit que j’ai mal quelque part.
Cela permet l’éveil de la douleur et de la souffrance. L’expérience de la souffrance est fondamentale
pour l’expérience de la vie. C’est parce que j’ai mal que je m’éveille à moi-même. Le sens de vitalité
favorise l’expérience de l’identité qui permet de ressentir une cohérence et une paix intérieure.
Le sens de la vie est étroitement lié avec le sens de la pensée d’autrui, car il constitue une base pour
permettre de comprendre les mots, de percevoir la vérité ou la fausseté chez l’autre (Sens de jugement
ou discernement).
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Le sens de l’équilibre expérimente l’abnégation. Il est étroitement lié avec le sens de l’ouïe qui permet
d’entendre les sons d’un être ou d’une chose.
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présence d’autrui va mettre en mouvement mon propre organisme de pensée et cela va amener une
résonance par rapport à mon propre contenu de pensée.
Le but de ce sens est de comprendre l’idée qui est derrière les mots utilisés. Pour cela, il est important
de taire sa propre pensée pour faire sienne celle d’autrui.
Notre activité pensante peut être altérée par la maladie, l'alcool, les émotions. C'est pourquoi la
syntaxe et la sémantique sont importantes, car elles permettent de comprendre et construire la pensée
de l'autre. Le corps vital est également le corps pensant donc il est important d'en prendre soin.
5) Observations du bénéficiaire
Je travaille dans la classe de Candice depuis mi-août. La restitution de cette observation se fera sur les
sens inférieurs et supérieurs de l’adolescente. À savoir le sens du toucher, le sens de la vie, le sens du
mouvement, le sens de l’équilibre dans un premier temps. Dans un deuxième temps, le sens de l’ouïe,
le sens du langage d’autrui, le sens de la pensée d’autrui et le sens du Moi d’autrui. Le tout en se
basant sur ses vulnérabilités. Il faut savoir que durant la période d’observation, Candice était sous une
nouvelle médication qui ne semblait pas lui convenir. Par conséquent, je fais l’hypothèse que ses
comportements étaient influencés par cette dernière et que mes observations restent basées sur cette
période. Mais également sur ce que j’ai pu observer auparavant.
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En revanche, l’adolescente paraît à l’aise au contact des autres personnes. Elle est demandeuse de
câlins et accepte volontiers qu’on lui en fasse si on le lui demande au préalable. Elle a l’air toute
relaxée et apaisée suite à ces moments d’affection.
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Je constate également qu’elle peine sur le plan sagittal qui concerne la différenciation et l’équilibre de
la gauche et de la droite. En effet, elle a tendance à souvent se tromper de côté quand elle met ses
chaussures et à les mettre à l’envers.
Par ailleurs, Candice présente un bon équilibre sur les plans horizontal et frontal. Lorsqu’il s’agit de se
baisser pour ramasser quelque chose, elle le fait avec un bon équilibre et souplesse. Elle marche et
court en avant avec facilité en revanche en arrière cela est un peu plus difficile. En termes de notion
spatiale, l’élève sait différencier le haut du bas ainsi que l’avant de l’arrière.
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avec des repères visuels, elle démontre de meilleures aptitudes, mais de manière générale elle
comprend difficilement mes consignes ou mes questions, ne traitant qu’une partie du message.
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Je remarque des difficultés dans l’acquisition des équilibres globaux et posturaux en fonction du
contexte dans lequel elle se trouve. Ainsi que sur le plan sagittal. Par conséquent, je constate que son
encre n’est pas totalement conservée dans chaque situation.
Mais de manière générale, j’ai pu observer que Candice semblait se sentir en confiance et en sécurité.
De ce fait, je fais l’hypothèse qu’elle est centrée sur elle en fonction du contexte et possède une
certaine maîtrise psychospirituelle de son propre corps.
7) Pistes socio-éducatives
Pour améliorer ses lacunes au niveau du sens du toucher ainsi que du sens du Moi d’autrui, je
mettrai en place des activités de groupe en faisant un jeu de société qui consiste à reconnaître des
objets cachés dans un sac dans le but de travailler la mémoire de son sens du toucher, mais également
de la confronter à des situations de frustrations pour l’exercer à les gérer au mieux.
Je planifierai également des jeux de lutte pour favoriser la maitrise des frustrations chez Candice, mais
également pour lui permettre de se rendre compte que certains coups reçus peuvent blesser et la rendre
attentive à cela en lien avec sa sensibilité intéroceptive.
Pour améliorer ses lacunes au niveau du sens vital ainsi que du sens de la pensée d’autrui, je mettrai
en place une activité peinture avec de l’aquarelle en individuel afin d’encourager le retour à soi et dans
le but d’apaiser sa distraction due aux amis imaginaires. Mais également pour retrouver un équilibre et
une harmonie intérieure ainsi que pour l’aider à représenter et conceptualiser tout ce qui est formulé à
partir du langage.
Je proposerai également une marche dans la nature de manière individuelle pour qu’elle puisse se
ressourcer et retrouver un état de bien-être autant dans le sens vital que celui de la pensée.
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Ces activités seraient hebdomadaires afin d’avoir un rythme régulier et de favoriser l’harmonie de ces
deux sens.
Pour améliorer ses lacunes au niveau du sens du mouvement ainsi que du sens du langage d’autrui,
je mettrai en place un jeu de société grandeur nature. Je déposerai des cartons au sol de manière à
former un trajet. J’indiquerai un point de départ et une fin et les jeunes utiliseraient leur corps en guise
de pion. Un adolescent lance le dé et avance (en sautant sur un pied, en rampant, en sautant à cloche-
pied …) sur le nombre de cases indiqué par le dé. Une fois arrêté sur une case, il nomme ou lit ce qu’il
voit sur le carton. Le premier arrivé à la fin du trajet gagne. Ce jeu renforcerait la maîtrise du corps de
Candice et travaillerait son langage.
Je suggérerai également un jeu de langage qui consiste à dire un mot, chacun son tour, en relation avec
un thème choisi au préalable et celui qui ne le trouve pas ou qui dépasse le temps défini a un gage en
lien avec le mouvement (faire une culbute, tenir trente secondes sur un pied, faire un pas de danse, …).
Ce jeu favoriserait le sens du mouvement, mais également la rapidité à dire des mots.
Pour améliorer ses lacunes au niveau du sens de l’équilibre ainsi que du sens de l’ouïe, je proposerai
le jeu de la marelle accompagné de musique harmonieuse. Ce dernier fait travailler l’agilité,
l’équilibre, le sens du rythme et la maîtrise du corps.
Je proposerai également de faire une promenade à vélo en écoutant les bruits de la nature. Cela
permettrait de travailler l’équilibre de Candice et de prendre du plaisir.
8) Conclusion
Pour conclure, je remarque que tous les sens sont nécessaires pour se faire une représentation complète
de l’environnement. Je constate également qu’il est important de faire le lien entre les différentes
perceptions de chacun afin de mettre du sens sur ce qui l’entoure.
Grâce à ce dossier, j’ai pu accroître ma relation avec Candice et je peux ainsi ajuster mon
accompagnement par rapport à elle. Je trouve que cette approche est plutôt pertinente dans ma réalité
professionnelle.
Le fait de pouvoir approfondir ce que l’on a vu en cours et le mettre en pratique m’a permis de mieux
assimiler l’approche des douze sens. Mais j’avoue avoir eu des lacunes concernant les sens supérieurs.
J’ai eu de la peine à les comprendre et les décrire dans mes observations. Je suis restée longuement sur
cette partie et je commençais à ne plus savoir ce qu’il fallait rédiger… ce que l’élève perçoit ou ce que
moi je perçois l’élève ? À l’heure actuelle je me demande fortement si je ne suis pas hors sujet sur
l’entièreté de mon dossier.
J’ai eu malgré tout du plaisir à rédiger ce travail et à apprendre une nouvelle approche très
enrichissante.
Merci !
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