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Les institutions
maritimes
internationales
S1
2020/2021
Pr MERBOUH Kaoutar
IINSTITUTIONS MARITIMES INTERNATIONALES
Les
organisations privées (industry non-
governmental organizations (NGO)
Exemple : FIATA
Cependant, les travaux des associations privées
de droit maritime ne peuvent acquérir la force
obligatoire d’une convention internationale. Pour
cette raison, la création d’une institution
internationale s’imposa.
La première organisation internationale fût la
Société des Nations qui dès 1920 s’est engagée, à
travers le Bureau International de Travail à rédiger la
première convention sur le travail des marins.
« La Société des Nations puis les Nations Unies
après la deuxième guerre mondiale, s’attachèrent à la
rédaction des conventions internationales concernant
le droit de la mer ». (P. Bonassies et C. Scapel, droit maritime, 1 ère
Travail
OIT Douane Santé
OMS Commerce
OMD CNUCED
OMC
CNUDCI
Chapitre I – L’organisation maritime
internationale – OMI
Avant la mise en service de l’OMI en mars 1958, la
coopération internationale, en matière de
réglementation des transports maritimes, se réalisait
par l’intermédiaire de quatre institutions des Nations-
Unies (l’Organisation Météorologique Mondiale, l’Union
Postale Universelle, l’Union Internationale des
Télécommunications et l’Organisation Internationale de
l’Aviation Civile).
En 1948, la conférence maritime des Nations-Unies, qui
se déroula à Genève, aboutit à la signature de la
convention du 6 mars 1948, portant création de l’OMI.
En premier lieu, l’OMI est un organisme
centralisation. Avant 1958, les questions de droit
maritime concernant la sécurité étaient éparpillées entre
diverses organisations ou Etats. L’une des premières
tâches de l’OMI sera de regrouper au maximum tous les
problèmes.
En second lieu, l’OMI est un organisme
permanent. Avant sa création, les réunions
techniques entre experts intéressés par la sécurité
maritime, prenaient la forme de conférences
diplomatiques.
Enfin, l’OMI est un organisme à compétence
technique.
Ayant reçu de l’ONU délégation de traiter les
problèmes spécifiques à la navigation maritime, le
but de la création de l’OMI est bien résumé dans
l’article 1er de sa charte constitutive : …instituer un
système de collaboration entre les gouvernements
dans le domaine de la réglementation et des usages
gouvernementaux ayant trait aux questions
techniques de toutes sortes qui intéressent la
navigation commerciale internationale, et
encourage l’adoption générale de normes aussi
élevées que possible en ce qui concerne la sécurité
maritime et l’efficacité de la navigation.
La convention de Genève de 1948, énonce à
l’article 3 les principales missions de l’OMI en
matière de législation internationale. Celle-ci peut :
…examiner les questions (entrant dans ses
compétences)… et de faire des recommandations à
leur sujet ;
Elaborer des projets de conventions, d’accords et
d’autres instruments appropriés, les recommander
aux gouvernements et aux organisations
intergouvernementales et convoquer les
conférences qu’elle pourra juger nécessaires.
Instituer un système de consultations entre les
membres et d’échange de renseignements entre les
gouvernements.
On voit à la lecture de cette charte que, en droit
strict, l’OMI en tant que telle ne possède pas de
pouvoir normatif propre : les actes de l’organisation
sont en règle générale des « recommandations ».
L’efficacité normative de l’OMI est cependant plus
réelle en pratique que ne le laisserait supposer son
seul statut consultatif.
Principaux
acteurs
Commerce
international
Transporteurs , Assurances
armateur Intermédiaires de
Importateurs ( sur corps
compagnie transport
exportateurs Sur facultés
maritime Ex:
RC du TR
Transitaires
Courtier
Commissionnaire
Moyen de de transport
transport
Navire
La compétence des experts de l’OMI est à peu
près généralement admise sur le plan technique et, à
défaut d’autorité juridique autonome, les normes
qu’ils proposent sont revêtues d’une incontestable
autorité scientifique.
La création de l’Organisation Maritime
Internationale marque une importante évolution
dans l’élaboration de la réglementation
internationale de la sécurité en mer.
L’OMI est en charge de la sécurité et de la sûreté
de la navigation (protection de l’environnement,
sécurité des biens et sauvetage de la vie humaine).
En effet, l’OMI édicte des règles (conventions) sur
la construction des navires, la qualification des
marins, la navigation et le sauvetage de la vie en mer.
En dépit des divers obstacles, l’Organisation a
accompli une œuvre normative considérable,
principalement à travers l’élaboration des conventions
(section I) et la formulation des recommandations
(section II).
A la différence des recommandations élaborées par
l’OMI, les conventions techniques en matière de
sécurité maritime engagent les Etats.
Elles énoncent les normes que chaque Etat
signataire s’engage à introduire dans son ordre
juridique interne.
SECTION I –LES CONVENTIONS
Certes l’OMI ne possède pas le pouvoir d’adopter
elle-même des conventions internationales, il entre en
revanche dans ses prérogatives d’inciter les Etats à se
réunir dans une conférence diplomatique en vue
d’adopter une convention internationale dans le
domaine qui est le sien de la sécurité maritime.
A la différence des simples résolutions de l’OMI,
ces conventions tenues sous son égide sont de nature
à lier juridiquement les Etats qui les ratifient,
selon les règles habituelles du droit international
public.
La mise en œuvre de ces normes internationales de
sécurité maritime ne présente pas de particularité par
rapport aux autres instruments de droit internationaux
si ce n’est que l’entrée en vigueur de la convention
est conditionnée, non seulement par un certain
nombre de ratifications, mais aussi par le fait que les
Etats ainsi liés doivent représenter ensemble une part
significative du tonnage total de la flotte mondiale (en
général 50%).
On vérifie ainsi que les règles adoptées résultent
bien d’un consensus de la communauté maritime
internationale.
Entrée en vigueur
Convention
Internationale
Salle
machine Cale sert
(moteurs,
groupe
à stocker cale cale Cloison
D’aborda
électrogènes cargo ge
, pompes
compartiment quille
Soutes : Ballast sert à stocker
Carburent Stabilité soutes, eau douce,
(fuel, eau de mer
gasoil ..) et
huiles
Coque : c’est l’enveloppe
métallique du navire Car-carriers
Radiocommuni
Prévention et Moyens et cations
extinction de engins de
l’incendie sauvetage
Délivrance des
formation brevets veille
Tonnage
- Brevets Puissance machine
diplôme du navire
- certificats
- Pour les officiers :
Gens de mer:
Après la formation de base
Équipage armement (le plus
(diplôme1 ) : Elève officier pont et
important)
élève officier machine
- Officiers
Lieutenant (chef de quart) :
*pont ( capitaine ou commandant –
diplôme + certificats + 12 mois
Le quart: c’est une
Master (1), second capitaine (1) et période de conduite
de navigation = Brevet de
les lieutenants pont (2ou 3)) que ce soit à
lieutenant
*machine (chef mécanicien (1),
Pour occuper le poste de Second : passerelle ou à la
second mécanicien (1) et officier
brevet de lieutenant + certains salle machine (de 5h
mécanicien)
certificats + 36 mois de ou 4h ou 2H) : doit
- Les subalternes :
navigation = brevet de sd avoir le brevet de
*pont : maitre équipage (1) et les
capitaine ou sd mécanicien
matelots (min 3) *
Pour occuper le poste de
lieutenant
*machine : maitre graisseur (1), les Pour les subalternes :
Capitaine ou chef mécanicien :
graisseurs (min 3), les nettoyeurs le matelot de quart et
diplôme2 + brevet de lieutenant
*Hôtelier : cuisinier (1), maitre
+ certains autres certificats + 48 le graisseur de quart
d’hôtel (1)
mois de navigation = brevet de doivent des certificats
Équipage hôtelier pour les navires à Capitaine au long cours ou brevet de
passagers : car-ferry (transbordeur) chef mécanicien
d’aptitude de quart
and cruiser ship (navire de croisière) - Pour les subalternes et
destiné à servir les passagers équipage hôtelier :
La convention STCW adoptée le 7 juillet 1978
montre la prise en compte par l’OMI du facteur
humain et plus précisément de la qualification des
équipages, pour lutter contre l’insécurité maritime.
Elle représente, en ce sens, un premier pas dans la
démarche menée par l’OMI prenant en compte
l’élément humain.
Au vu des difficultés de faire appliquer la
convention STCW par les différents Etats parties,
l’idée d’une révision finit par aboutir avec la tenue
d’une conférence diplomatique à l’OMI du 26 juin au
7 juillet 1995. La nouvelle convention est entrée en
vigueur le 1er février 1997.
La convention révisée prévoit un mécanisme de
contrôle qui vise à renforcer les obligations de l’Etat
du pavillon. Ce dernier doit communiquer à l’OMI les
renseignements sur la manière dont il compte donner
effet sur le plan juridique aux dispositions de la
convention. Il doit donner une description générale
des cours, des différentes formations.
L’Etat du pavillon doit expliquer les mesures prises
pour prévenir la fatigue et assurer la communication à
bord.
L’Etat du pavillon doit s’assurer que toutes les
activités de formation, d’évaluation des compétences,
de délivrance des brevets font l’objet d’un contrôle
continu dans le cadre d’un système de normes de
qualité.
L’Etat du pavillon doit enfin prendre les sanctions
disciplinaires et pénales à l’égard des contrevenants :
compagnies, capitaine, navigants…
La dernière révision de la STCW date de juin
2010 dite l’amendement de Manille. Ces
modifications sont entrée en vigueur le 1 er janvier
2017 pour les marins qui ont commencé leur
formation ou leur service en mer avant 1 er juillet
2013.
Au-delà de cet aspect « procédural », la
convention s’est attachée à donner suffisamment de
précisions sur le fond. Douglas B. STEVENSON
montre que l’un des aspects les plus importants de
cette révision concerne la question de la veille.
Plusieurs délégations tenaient à ce que figurent non
seulement les heures de repos, mais également les
heures de travail. Il a finalement été décidé qu’il
était préférable pour prévenir la fatigue de ne
mentionner que les heures de repos minimum et non
les heures de travail maximum. Douglas BS « Tanker
crew fatigue : New solutions to an old problem- journal of martime law and
commerce- vol 27, n° 3, July 1996.
SECTION II –LES RECOMMANDATIONS
Le portique
(grue)
ship
Cale
Gate
Entrée Quai
/sortie Zone de stockage Quay
Yard short Le
chargement et
le
déchargement
des cargos
terminal
Se fait suivant
le plan de
chargement
Exemple de TABLEAU DE SEGREGATION DES MATIERES
DANGEREUSES selon les règles du code IMDG
2.2
Classe 1 2.1 3 4.1 4.2 4.3 5.1 5.2 6.1 7 8
2.3
1 6 6 6
2.1 6 3 6 3 6 6 3
2.2 6 6 3 6 3
2.3
3 6 6 6 6 6 6 6 3
4.1 3 6 3 3 3 6 6 3
4.2 6 3 6 3 3 6 6 6 3
4.3 3 6 3 3 6 6 6 3
Pas de prescriptions
5.1 6 6 3 6 6 6 3 3 6 Générales
7 6 6 3 6 6 6 6 3 6 6 3 Distance de sécurité =3 m
8 3 3 3 3 3 6 6 6 6 Distance de sécurité =6 m
MD
Classe 1 40 pied
MD EVP : équivalent
Classe 2.1 20 pied
3m
6m
MD
Classe 4.1
MD
Classe 2.2
3m
MD
Classe 5.1
recommandation de l’OMI : Réglementations
spécifiques à certaines installations portuaires
A - Recueil de règles pratiques pour la sécurité du
chargement et du déchargement des vraquiers
(Recueil BLU : bulk load unload)
L’objectif du recueil BLU est d’aider les
capitaines de vraquiers, les exploitants de terminaux
et les autres parties intéressées à exécuter les
opérations de manutention, de chargement et de
déchargement des cargaisons solides en vrac
dans des conditions de sécurité.
Les représentants des exploitants des terminaux
doivent vérifier:
La profondeur du quai et le tirant d’air;
Les moyens d’amarrage compte tenue des
(sécurité/sûreté/pollution);
Envoi des propriétés de la cargaison par le chargeur
vers le bord;
L’existence de plan de chargement/déchargement;
Évacuation d’urgence si besoin;
Opérations demandées (soutage ou autres);
Ligne de
Tirant d’air
château passerelle flottaison
Salle
machine Cale sert
(moteurs,
groupe
à stocker cale cale
électrogènes cargo
, pompes
Fond profondeur
quille Tirant
de la d’eau
mer
Échouement
Cale 4 Cale 3 Cale 2 Cale 1
port
Le portique
(grue)
ship
Gate Cale
Entrée Quai
/sortie Zone de stockage Quay
Yard short Le
chargement et
amarres le
déchargement
des cargos
terminal
Se fait suivant
le plan de
chargement
B- Le Guide international de la sécurité pour les
navires et des terminaux pétroliers
Le guide international pour la sécurité des
navires et des terminaux pétroliers, code ISGOTT,
instaure une gestion sécurisée des opérations de
chargement et de déchargement des navires
pétroliers.
Pour les Terminaux, il édicte des règles relatives :
Responsabilité du gouvernement
Ministère de
l’E.T.L.E.
chaque navire;
La certification : un certificat ad hoc livré à chaque
Activité import
Activité transit ou
transbordement
Le Port est une «Zone géographique définie par
l’Etat Membre ou l’autorité désignée, comprenant
les installations portuaires définies dans le Code
international pour la sûreté des navires et des
installations portuaires (ISPS), où se déroulent des
activités maritimes et autres.»
Port = ∑ IP : installations portuaires
La Convention de SOLAS définit l’installation
portuaire, au Chapitre XI-2 Article 1er , comme suit
« Installation portuaire désigne un emplacement,
tel que déterminé par le Gouvernement contractant
ou par l'autorité désignée, où a lieu l'interface
navire/port. Elle comprend les zones telles que les
zones de mouillage, les postes d'attente et leurs
abords à partir de la mer, selon le cas ».
Exemple : Port de Casablanca (av modification)
NS
NS
1
2
ship
port
9. des procédures de notification des incidents de
sûreté ;
10. l'identification de l'agent de sûreté de l'installation
portuaire (PFSO), y compris les coordonnées où il peut
être joint 24 heures sur 24 ;
11. des mesures visant à garantir la protection des
renseignements figurant dans le plan ;
12. des mesures destinées à garantir la protection
effective de la cargaison et du matériel de manutention
13. des procédures d'audit du plan de sûreté de l'installation
portuaire ;
14. des procédures pour donner suite à une alerte dans le cas
où le système d'alerte de sûreté d'un navire se trouvant dans
l'installation portuaire a été activé ; et
15. des procédures pour faciliter les congés à terre pour le
personnel du navire ou les changements de personnel, de
même que l'accès des visiteurs au navire, y compris les
représentants des services sociaux et des syndicats des gens
de mer.
Agent de sûreté de l'installation portuaire (règle 17
partie A )
Un agent de sûreté de l'installation portuaire
(PFSO) doit être désigné dans chaque installation
portuaire. Une personne peut être désignée comme
agent de sûreté d'une ou de plusieurs installations
portuaires.
TANGER MED 1 :
4 installation portuaire + port passager 1
installation portuaire
Au maximum, TMSA désignera 5 PFSO
AU minimum, TMSA désignera 1 PFSO
Les tâches et responsabilités de l'agent de sûreté de
l'installation portuaire comprennent, entre autres, ce qui
suit :
1. effectuer une étude de sûreté initiale complète de
l'installation portuaire en tenant compte de l'évaluation
pertinente de la sûreté de l'installation portuaire ;
2. veiller à l'élaboration et à la mise à jour du plan de sûreté
de l'installation portuaire ;
3. mettre en œuvre le plan de sûreté de l'installation portuaire
et procéder à des exercices à cet effet ;
4. procéder à des inspections de sûreté régulières de
l'installation portuaire pour s'assurer que les mesures de sûreté
restent appropriées ;
5. recommander et incorporer les modifications nécessaires au
plan de sûreté de l'installation portuaire pour en rectifier les
lacunes et mettre à jour le plan pour tenir compte des
changements pertinents affectant l'installation portuaire ;
6. Accroitre la prise de conscience de la sûreté et la vigilance
du personnel de l’installation portuaire;
7. veiller à ce que le personnel responsable de la sûreté de
l'installation portuaire ait reçu une formation adéquate ;
8. faire rapport aux autorités compétentes et tenir un registre
des événements qui menacent la sûreté de l'installation
portuaire ;
9. coordonner la mise en œuvre du plan de sûreté de
l'installation portuaire avec le ou les agent(s) de sûreté
compétent(s) de la compagnie (CSO) et du navire (SSO) ;
10. assurer la coordination avec les services de sûreté, s'il y
a lieu ; (services de sûreté publics ou privés)
11. s'assurer que les normes applicables au personnel
chargé de la sûreté de l'installation portuaire sont
respectées ;
12. s'assurer que le matériel de sûreté est correctement
utilisé, mis à l'essai, étalonné et entretenu, s'il y en a ; et
13. aider l'agent de sûreté du navire à confirmer, sur
demande, l'identité des personnes cherchant à monter à
bord du navire.
Au niveau de sûreté 1, l’agent de sûreté de
l’installation portuaire veille à l’application des
mesures appropriées en vue d'identifier et de
prendre des mesures de sauvegarde contre les
tentatives, par exemple, d’immigration illicite :
contrôler l'accès à l'installation portuaire ;
surveiller l'installation portuaire, y compris la ou
les zones de mouillage et d'amarrage ;
surveiller les zones d'accès restreint pour vérifier
que seules les personnes autorisées y ont accès ;
superviser la manutention de la cargaison ;
superviser la manutention des provisions de bord ;
et
veiller à ce que le système de communication de
sûreté soit rapidement disponible.
Exemple : Port Tanger Med
Le port Tanger Med est doté d’un Système de Sûreté
Portuaire Intégré.
Ce dispositif comporte:
Un poste de commande de sûreté dernière génération,
Pompiers + équipe de La
santé Les remorqueurs marine
royale
Pouvoir PSO
discr. Cdt
Les
intermédiaires
Exemples :
Exemples : Exemples : IICL
- BIMCO - FONASBA FIATA Voir exemple au
- INTERCARGO - BIMCO ICHCA lien
- INTERTANKO - WISTA WISTA du site de l’OMI
- ICS mentionnant les
- WISTA NGO
représentées au
statut consultatif
de l’OMI
Conclusion
Les institutions internationales maritimes œuvrent
de façon continue pour l’amélioration des
conditions tant de l’exploitation des navires et des
ports que de la protection de l’environnement marin
ou des intérêts chargeurs et transporteurs et plus
particulièrement pour l’amélioration des conditions
de vie des gens de mer. En effet, le facteur humain
est le maillon le plus important dans la prévention
des accidents maritimes et la protection de
l’environnement.