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Firano Zakaria
3. Acquérir les compétences théoriques et empiriques en lien avec les risques financiers
Sous l’effet de la crise et l’interconnexion entre les différents types de risque, les régulateurs ont mis en
couvrir le risque.
En conséquence, un des grands problèmes actuels est de comprendre comment les différentes
catégories de risque sont définies, et quelles sont les approches employées pour les décrire. Ceci nous
permet de comprendre les différentes natures de différents types de risque. Et dans le sens où le risque
doit être mesuré, des outils de mesure et des méthodologies doivent également être examinées.
Sociétés financières non
Sociétés bancaires Sociétés non financières
bancaire
Identification: risque de Identification: risque de
Identification : exposition
marché, de crédit, de change et dépendamment
élevé au risque de marché
liquidité et le risque de la présence des actifs
et de liquidité
opérationnel etc. financiers dans les états
Estimation: modèles
Estimation: des analyses
probabilistes/statistiques ,
statistiques, mesures de Estimation: approche
modèle de sensibilité et
performance, méthodes statistique
du pricing, les modèles de
économétriques
sommation des risques
Contrôle/ gestion:
Contrôle/ gestion: Contrôle/ gestion:
utilisation des produits
couverture, gestion dépendamment de
dérivés et des stratégies
indicielle l’activité
de couverture
• Définition
L’entreprise a limité le risque individuel et a influencé la production, la distribution, et les ressources en capital. La
forme la plus reconnue est la société par action, apparue à la fin du dix-septième siècle.
La Révolution Industrielle a créé de nouvelles sources des risques. La création des nouveaux moyens de transport
à bouleverser le monde et des risques relatifs à la sécurité ont disparu. Avec l'apparition de la technologie de
l'information, les risques inhérents comprennent des problèmes de système économique et la fraude qui peuvent
interrompre le fonctionnement des activités.
Ce n’est que depuis le début du siècle dernier que l’intérêt s’est accrue en faveur de l’analyse des risques financiers
en raison du développement croissant de l’approche managériale et aussi à cause de la distinction entre les
actionnaires et la gestion.
La fin du régime de taux de change fixe « Bretton Woods » (1971), menant ainsi aux taux de change fluctuants et volatils.
Les chocs pétroliers de1973 ont été accompagnés d'inflation élevée et d'oscillations extrêmes des taux d'intérêt.
Aux États-Unis le lundi noir du 19 octobre 1987, les actifs se sont effondrés de 23%, éliminant ainsi $1 trillions dans la
capitalisation.
En 1994, la Reserve Fédérale (FED), ayant maintenu des taux d'intérêt bas pendant trois années, a commencé une série de
six hausses consécutives de taux d'intérêt qui ont effacé $1.5 trillions dans les capitaux mondiaux.
La bulle japonaise des cours des actions s’est finalement dégonflée à la fin de 1989, laissant l'index du Nikkei baissé de
39.000 à 17.000 en trois ans. Un total de $2.7 trillions dans la capitalisation a été perdu, menant à une crise financière sans
précédent au Japon (la trappe à liquidité et le début des politiques non conventionnelle).
Et …
La crise asiatique de 1997 a éliminé environ trois-quarts de la capitalisation du dollar des actions ordinaires en Indonésie, en
Corée, en Malaisie, et en Thaïlande.
La crise russe en août 1998 a suscité une crise financière mondiale qui a abouti au défaut proche d'un grand fonds de
couverture, longue gestion du capital de Terni.
Le 11 septembre 2001, une attaque terroriste a détruit World Trade Center à New York City, gelant les marchés financiers
pendant six jours. En plus du coût humain affreux, le marché boursier des États-Unis a perdu $1.7 trillions en valeur.
La crise internationale de 2008 qui a conduit à une chute des principales places financières mondiales et qui s’est transmise
rapidement à l’économie pour déclencher une longue récession économique et une refonte de la régulation financière
mondiale.
La gestion des risques financiers assure une protection partielle contre de telles sources de risque.
En effet, avant l’avènement de ces crises financières tous les gestionnaires de risque étaient convaincus
de la normalité de la situation financière et de l’aire de gloire de la finance et de l’économie, toutefois, le
risque était toujours là et il était presque impossible de prévoir sa matérialisation et sa source de
survenance. Dans cette perspective, tous les gestionnaire des risques et surtout ceux traitant du risque de
marché, doivent tenir compte de cette réalité et éviter la certitude en faveur de la vigilance.
Le risque du marché est le risque de pertes dû aux mouvements dans le niveau ou la volatilité des prix
du marché. Le risque du marché peut prendre deux formes : le risque absolu, mesuré en termes de
monnaie locale ou étrangère, et le risque relatif, mesuré relativement à un indice de base.
Le risque du marché peut être classifié soit en risques directs ou indirects. Les risques directs
comportent des expositions au sens des mouvements dans des variables financières, telles que des
cours des actions, des taux d'intérêt, des taux de change, et des cours de matières premières. Les risques
indirects, par ailleurs, impliquent les risques latents, qui se composent des expositions non linéaires et
des expositions aux positions de couverture.
La liquidité de refinancement est relative à la capacité des banques à honorer leurs engagements au
moment de leurs exigibilités. Le FMI dans le G.F.S.R. (2008) considère que la liquidité de financement
est la capacité d’une institution d’effectuer les paiements convenus d’avance et en temps utile.
La liquidité du marché, quant à elle, est appréhendée dans la plupart des études et des travaux
comme étant la capacité de traiter ou d’échanger des actifs dans un bref délai, sans enregistrer de
Sources du risque
• Pour avoir une perte, nous devons avoir une certaine exposition et un
mouvement défavorable dans le facteur de risque.
• Les facteurs de risque sont: taux d’intérêt, taux de change, prix des actifs,
prix des matière premières, les produits dérivés (option).
• En générale le risque est lié à la probabilité de matérialisation d’une perte:
Sources du risque
Sources du risque
• Le risque des titres à revenu fixe résulte des mouvements potentiels dans
le niveau et la volatilité des rendements des obligations (courbe des taux).
Les mouvements de la courbe des taux des obligations sont en lien avec :
Sources du risque
• Le risque de matières premières surgit lorsque les prix des matières premières
varient d’une manière assez importante à savoir les prix des produits agricoles,
des métaux et des produits d'énergie
• Les techniques d’évaluation du risque de marché se sont développés durant ce dernier siècle allant de
celles plus simples à celles complexes nécessitant une connaissance profonde des techniques
quantitatives.
2000 ‐
1998 Gestion
1997 Intégrati des
on de risques
1993 CreditMe au
Valeur à crédit et
1988 trics de risque niveau
1986 lettres risque de
grecques du
1983 les marché l'entrepri
RAROC modèles se
1973
modèle de seaux
1966 de durée
modèle de B &
1963 Sch
modèle APT
1952
modèle CAPM
1938 La Sharpe
duration d’espéran
ce-
variance
Principes de base
Exemple d’illustration
Définition
• Par conséquent, le risque du taux d'intérêt au sens large peut être défini
comme le risque d’impact d’un changement des taux sur soit la valeur
économique d’une banque ou sa rentabilité.
• Noter que ce risque n’a pas uniquement des effets direct, mais un effet
indirect peut également se produire, en lien avec l'impact que les
changements de taux peuvent avoir sur des volumes négociés par une
banque.
• Est une mesure concise du risque d'intérêt qui lie des changements des
taux d'intérêt du marché aux changements de MNI.
• Le risque du taux d'intérêt est identifié par les changements inattendus et
possibles de ce facteur. Le gap (G) sur une période donnée « t » est
définie comme différence entre la quantité d'actifs (SA) et les passifs (SL)
sensible au taux d’intérêt :
𝒏 𝒏
• Ainsi, par exemple, pour calculer le GAP de six mois, on doit tenir compte
de tous les actif et passif de taux fixe (ou variable) dont la maturité est de
6 mois. Le GAP est donc une quantité exprimée en valeur nominale
∆𝐫 𝐚 ∆𝐫 𝐥 ∆𝐫
• Ainsi, la variation de la marge nette d’intérêt dépend des GAP entre les
actifs et les passifs et l’évolution du taux d’intérêt.
GAP G>0 G<0
filet positif filet positif
∆r réinvestissement refinancement
• En terme de gestion, la banque est contrainte d’ajuster les actifs et les passifs pour
réduire le GAP. La situation idéal est d’être en présence d’un GAP 0. aussi, plusierus
indicateurs utilisés en ALM peuvent etre dérivés du GAP à savoir:
• La technique de GAP est fondée sur l'hypothèse simple que tous les
changements des taux du marché se traduisent en changements des actifs
et passifs d’une manière instantanée. Sous cette hypothèse les changements des MNI
est relative aux changements des gap et des taux.
• Ceci n’est pas vrai dans la réalité en raison de l’hétérogéinité des actifs et
des passifs en particulier en termes de maturité. D’où le recours à la
GAP avec maturité ajustée.
• Sous l’hypothèse que les taux débiteurs et créditeurs ont le même niveau
de changement, alors:
• En réalité il n’existe par une fixation exacte de la date de révision des taux
d’intérêt liés aux actifs et aux passifs.
• Ainsi et afin de tenir compte du profil réel de la maturité de l'actif et du
passif au cours de la période de gap, une alternative à la méthode GAP
ajustée est celle basée sur des gaps marginaux et cumulatifs.
∆𝑟 𝑠𝑎 . 𝛽 𝑠𝑙 . ∝ ∆𝑟. 𝐺𝐴𝑃
Duration
• Un des problèmes avec le modèle GAP examiné dans le point précédent, et
également le plus significatif d'un point de vue de l’analyse des risques, est qu'il
ne tient pas compte des effets qui change dans des taux du marché ont sur la
valeur des actifs et passifs bancaires.
• Ce problème est abordé et surmonté par le modèle de gap de duration ou duration.
Ce modèle emploie les capitaux propres de la banque comme la variable cible
pour mesurer l'impact des changements des taux du marché et, par conséquent,
pour établir des politiques de gestion des risques.
• Par opposition au modèle de gap, qui utilise une variable profitabilité (NII,
produits d'intérêt net), le modèle de gap de duration adopte une variable cible de
patrimoine.
Duration
Duration
• Cette duration de Macauley, dérivée du nom de son créateur, puisse être énoncé analytiquement comme
suit:
𝐶𝐹
1 𝑟
𝐷 𝑡.
𝑃
• D = duration
• t = maturité de différents flux de liquidités de financement exprimés en années
• CF= flux de liquidités
• r = rendement effectif à la maturité demandée par le marché pour la maturité T
• P = prix ou cours en bourse de l'instrument concerné
• T = maturité
Duration
-Voir démonstration-
Duration
est la duration modifiée
Duration
• Le calcul de la duration est basé sur la moyenne pondérée des maturités et est donc
exprimé, généralement, en années.
• En outre, plus la duration d'un instrument de taux fixe est plus grande :
i. plus la vie résiduelle de l'instrument concerné est longue;
ii. plus les coupons sont faibles. En effet, les obligations avec une plus grande duration sont ceux
avec une plus longue vie résiduelle et un coupon modéré.
iii. Et dans le cas le cas d'une obligation à coupon unique la durée est exactement la même que la
vie résiduelle de l'obligation.
• Une autre caractéristique principale doit être considérée pour la duration d’un
portefeuille. On pourrait facilement prouver que la duration d'un portefeuille n'est rien
d’autre que la moyenne des duration des différentes obligations qui composent ce
portefeuille.
GAP Duration
• La duration d'un instrument est un indicateur qui synthétise la sensibilité des
cours des actifs financiers aux changements des taux d'intérêt.
• Elle nous permet donc d'estimer les cours des actifs et des passifs bancaires
quand les taux d'intérêt changent.
• La variation des prix ou de la valeur des actifs par rapport à la variation des taux
s’écrit donc:
∆𝑀𝑉𝐴 𝑀𝑉𝐴 𝐷𝑀 ∆𝑟
Si la variation des taux d’intérêt des actifs et des passifs est identique alors la
variation de la valeur de la banque est de:
∆𝑀𝑉𝐵 𝑀𝑉𝐴 𝐷𝑀𝑎 𝑀𝑉𝐴 𝐷𝑀𝑙 ∆𝑟
GAP Duration
GAP Duration
Convexité
Convexité
MC
Convexité
• D'un point de vue théorique, si la duration indique la pente du rapport des prix/taux, la convexité
indique par ailleurs, le changement affectant cette pente. D'une façon générale, la courbe (relation prix
et taux) est convexe pour et plus la convexité est forte, plus l’utilisation de la duration uniquement est
sujet à biais.
• En effet, quand les taux du marché baissent, une convexité élevée produit une hausse forte du prix des
Convexité-GAP
• En utilisant la convexité, nous pouvons améliorer notre évaluation de la sensibilité d‘une valeur d’une banque aux
• D’une manière similaire à la duration la variation de la valeur de la banque peut s’écrire de la forme suivante:
𝐶𝐺
∆𝑀𝑉𝐵 𝐷𝐺. 𝑀𝑉𝑎 ∗ ∆𝑟 . 𝑀𝑉𝑎. ∆𝑟
2
• Le risque des prix des actifs est liée aux titres de propriété qui ne
dépendent pas des mouvements des taux d’intérêt. Généralement, on a
tendance à évoquer les risques des actions et autres titres financiers
similaires ou dérivés.
• Autrement, selon M. Hill « le risque des titres de propriété se produit
quand une institution investit dans ces titres, comme les valeurs
mobilières, ou d'autres valeurs mobilières juniors. Ces valeurs mobilières
comprennent des instruments tels que les actions ordinaires, les actions de
préférence, et les instruments dérivés.
• Risque spécifique. Ces risques qui sont liés à l'émetteur des actions ordinaires et ne
peuvent pas être expliqués par des fluctuations générales du marché.
• Risque général. Des risques sous forme de fluctuations du marché des actions national
ou du marché des actions d'une seule zone monétaire.
• Le risque de marché général est relatif à un mouvement global du marché dans son ensemble.
• Le risque du marché général s'élève à 8% de la position nette pour un marché domestique ou une zone
monétaire unique.
• Pour l’approche IRB avancé on a souvent recours à la Valeur à risque pour la quantification des risques
spécifique et général.
• La VaR est calibrée sur une perte instantanée correspondant à une période de détention de dix
jours. L’ intervalle de confiance du quantile de la distribution retenu est de 99 % signifiant une
tolérance de 1 % de dépassement des pertes réellement constatées par rapport aux estimations
des pertes faites à travers la VaR.
• Le risque des titres de propriété est généralement capter à travers la volatilité des
actions dans ce sens plusieurs approches empiriques ont été développées pour
permettre une appréciation adéquate de ce risque.
• Dans cette partie, nous allons voir:
L’approche Markowitz;
L’approche CAPM et ATP;
Modèle Moyenne mobile;
Modèle EWMA
Modèle d’hétéroscédasticité
• Avant d’examiner les modèles de risque des actions, il est nécessaire d’introduire des notions financières
indispensables.
• Définissant 𝑟 𝑃1 𝑃0 /𝑃0 comme taux de rendement des prix, il est souvent admis que le taux
de rendement suit une loi normale:
𝑟~𝑁 𝑢, 𝜎
• Cependant, la distribution normale ne peut pas même être théoriquement correcte. En raison que les
cours des actions d'actions ne peuvent pas aller en-dessous de zéro. C'est pourquoi une autre
distribution populaire est la distribution log-normale, qui est telle que:
𝑃1
𝑟 ln
𝑃0
• En prenant le logarithme, le prix est donné par 𝑃1 𝑃0 𝑒 , qui exclut des prix négatifs car la
fonction exponentiel est toujours positive.
Pr. Firano Zakaria (Séminaire: Risk management) FSJES AGDAL 82
Risque de marché
• Risque des prix des actifs
Quantification du risque des actions
𝑅𝑝 𝑥𝐴𝑟𝑎 𝑥𝐵rb
• Exemple:
• Nous avons deux actifs A et B dont les informations financières sont:
coefficient de
Actif Rentabilité Variance Covariance
correlation
A 5% 2%
90% 0,0007
B 10% 4%
Courbe d'efficience
0,12
0,1
0,08
0,06
0,04
0,02
0
0 0,005 0,01 0,015 0,02 0,025 0,03 0,035 0,04 0,045
𝐸 𝑟 𝛼
𝛽 𝐸 𝑟 𝑟
𝐸 𝑟 𝛼
𝛽
𝐸 𝑟 𝑟
𝑐𝑜𝑣 𝑟𝑖, 𝑟𝑚
𝛽
𝑉 𝑟
𝑉 𝑟 𝛽 𝑉 𝑟 𝑉 𝜀
𝛽 𝑉 𝑟 est le risque général;
𝑉 𝜀 est le risque spécifique.
• Une moyenne mobile est calculée sur un échantillon selon une approche de
« rouling regression ».
• En d'autres termes, nous utilisons une fenêtre de données qui a une dimension
fixe, chaque jour en ajoutant le nouveau rendement et en enlevant celui le plus
ancien.
• Dans le passé, plusieurs grands institutions financiers ont perdu beaucoup d'argent
parce qu'ils ont utilisé le modèle moyen mobile d’une manière non convenable.
• Le problème n'est pas le modèle lui-même - après tous, c'est une formule
statistique parfaitement respectable pour un estimateur. Les problèmes résultent de
son application inadéquate dans un contexte de série chronologique.
Variance
Covariance
Les modèles de moyenne mobile décrits sont fondés sur l'hypothèse que
les rendements sont indépendants et identiquement distribués (i.i.d.).
Mais nous savons que la prétention d'i.i.d est très peu réaliste.
Les modèles hétéroscédastiques conditionnels auto-régressifs généralisés
(GARCH) de la volatilité qui ont été introduits par Engle (1982) et
Bollerslev (1986) sont spécifiquement conçus pour retenir le
groupement (clustering) des volatilité.
.06
.04
.02
.00
-.02
-.04
-.06
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
LMASI Residuals
Modèles linéaires:
Modèles non linéaires:
Ici on test la lineairalité
de la série, on trouve
TGARCH et EGARCH
ARCH et GARCH et ARCH-M
et PARCH
• L’effet ARCH est remarqué dans la variance du résidu, qui peut être
exprimé de la sorte:
V ( t ) 0 1 V ( t 1 )
On remarque donc que la variance est dépendante de la variance précédente, ce qui peut conduire
à une variance volatile durant le processus.
Toutefois un développement de ladite relation nous procure une variance fixe à l’infini:
Variance non V ( )
1
t
conditionnelle 1
Les paramètres du modèle GARCH ont une interprétation naturelle des paramètres :
L'alpha du GARCH mesure la réaction de la volatilité conditionnelle à des chocs
sur le marché. Quand l'alpha est relativement grand plus la volatilité est très
sensible aux événements du marché.
Le paramètre β de retard du GARCH mesure la persistance dans la volatilité
conditionnelle indépendamment du marché.
La somme de alpha+β détermine le taux de convergence de la volatilité
conditionnelle au niveau moyen à long terme. (prévision plate)
Le paramètre constant du GARCH et les autres paramètres, déterminent le
niveau de la volatilité moyenne à long terme, c.-à-d. la volatilité non
conditionnelles.
Pr. Firano Zakaria (Séminaire: Risk management) FSJES AGDAL 115