Analyse économique

cour du 13/10

Marx va commence par s’interroger sur la valeur, mesure de la valeur. Il va donc suivre le principe
qu’il c’est donner passer, il va allez au-delà de l’apparence pour voir les phénomène. Il veut
comprendre ce que cache la valeur apparente.
Il va dabors partir de la question de la valeur pour comprendre l’essence de création de valeur dans
le système capitalisme et il va voir comment fonction le capitalisme.
Il va montré que rien ne permet de dépasser le blocage de la croissance et donc le capitalisme est
voué a l’échec, il devra être remplacer par un autre système.

La théorie de la valeur chez Marx:

Il considère la marchandise comme «une illusion produite par des économiste par le fétichisme
inhérent au monde marchand» l’apparence de l’échange cache une réalité plus complexe qu’il faut
mettre en lumière.
La marchandise a deux types de valeur, la valeur d’usage et la valeur de rapport (le rapport que les
marchandises s’échangent les unes contre les autres).
Il dit «en tant que valeur d’usage, la marchandise n’a rien de mystérieux le caractère mystique de l
marchandise ne provient pas de la valeur d’usage» donc les marchandises on une utilité et
s’échange ente elles. La valeur d’échange chez Marx c’est la valeur quantitative dans lequel des
valeurs d’usages s’échangent.
Pour Marx dans l’échange se qui fonde la valeur des marchandises ces leurs qualités d’être des
produits du travail, c’est leur valeur commune, qui va permettre détalonner leur valeur.
La quantité de valeur n’est pas analyser de la mêle façon chez tous les classiques chez Smith elle se
dévoile au moment de l’échange. Chez Ricardo au moment de la production. Marx il va considérait
que la valeur d’échange de la marchandise ce mesure par la quantité de travail socialement
nécessaire, c’est à dire la quantité de travail moyen dans une société donnée à un moment donnée
pour produire la marchandise. Marx parle de quantité de travail, il appelle cela la substance
créatrice de valeurs, comme unité de mesure il prend en compte le travail général abstrait des unités
de travail homogène indifférenciée, dont on ne distingue pas la classification. Il ramène le travail à
une même unité de mesure. Il fait la proportion entre le travail complexe et le travail simple.
Assez proche de Ricardo car quantité de travail au moment de la production mais avec une
moyenne?

La question de la valeur en prix, Comment mettre un prix sur une valeur?

Marx dit que pour traduire la valeur d’un prix on ajoute 3 éléments, le capitale constant qui à servie
à fabriquer la marchandise plus le capital variable qui à servie a fabriquer cette marchandise plus ce
qu’il appelle la plus valu. C’est l’addition de ces trois composantes?
Le capitale constant (correspond au bien de production, correspond au facteur capital) et le capital
variable (se sont les salaires verser par les capitalistes). Marx considère que le capitaliste fait des
avances qui se répartissent entres ces deux éléments, le capital avancé qui est transformer en moyen
de production et qui ne fait que transmettre sa valeur au produit. Les moyens de production ne créée
pas de valeur en plus ils transfère leurs valeurs.
Le capital variable (les salaires) c’est la partie du capitale avancé qui ce transforme en force de
travail et qui va apporter une valeur en plus c’est le travail qui est la source de création de richesse.
Consentant au sens ou il n’y a pas de création de richesse et variable au sens ou il se passe une
variation qui crée de la valeur en plus.
3 élément la plus valus qui est l’équivalent du profit chez Ricardo et Smith. Marx utilise un autre
termes car le terme plus valu est plus explicite à ses yeux pour dire qu’il a une valeur créée en plus
par le seule facteur de travail et donc Marx utiliser se terme pour se distinguer de Smith et Ricardo
qui ils vont définir le profit comme le revenu légitime du capitalisme et se profit rémunéré la
capacité du capitalisme à faire des avances et à faire des investissements, car ils on étaient capable
d’épargner et d’avancer.
Marx utilise le terme de plus valu c’est qui montre qu’il y a une valeur en plus créé que le
capitalisme créé comme revenu n’est pas créée comme l’ensemble du capitalisme comme le
considère Smith et Ricardo mais seulement à partir du capital variable. Pour bien distingue cela et
mettre en lumière que Smith et Ricardo n’ont pas cherché à connaître l’essence du profit.

Il va commencé à réfléchir pour comprendre au-delà des valeurs d’échange se qui se joue dans
l’apparition de ces valeurs d’échanges.
Il va situer la valeur d’échange dans la circulation du capitalisme il distingue deux types de
circulation économiques.
Les circulations M A M c’est la circulation, une marchandise va s’échanger contre de l’argent qui
va permettre de s’échanger contre une autre marchandise. Dans cette circulation se sont les
marchandises qui s’échange et l’argent n’est que l’intermédiaire, il est la uniquement pour faciliter
l’échange des marchandises contre une autre dans le carde de la réciprocité des besoins. C’est une
circulation de types trocs mais améliorer. Caractérise dans les économie prêt capitaliste par ce que
on échange une valeur d’usage égale une autre valeur d’usage. Même si il y a monétisation,
l’argent n’a pas d’impacts sur la circulation juste la par facilité.

Le schémas A M A’ la circulation qui est devenu dominante avec le capitalisme.

A une quantité d’argent qui est avancer pour produire une marchandise.
M marchandises qui va être vendu contre une quantité d’argent supérieur A’ supérieur à A.
C’est le circuit spécifique de capitalisme. C’est une circulation dans laquelle il y a un gain,
l’apparition de ce gain et l’apparition du profit, quant on investit de l’argent on va récupérer une
quantité d’argent supérieur. Cette circulation devient dominante. Le but de l’échange va se détache
de la réciprocité des besoins, va se détacher de l’utilité et le gain va devenir le but de l’échange, ce
n’est plus une opération qualitative mais quantitative.
Cette circulation émerge comme un rapport social spécifique au fonctionnement du capitalisme
avec un changement de la nature de l’échange avec un échange qualitative à quantitative avec un
gain.

Marx poursuit son résonnent avec l’hypothèse dans la circulation A M A’ si on a A’ supérieur a A la

quantité initial avance c’est par ce que on a entre les deux une valeur d’échange qui à la propriété
particulière de gagner plus de valeurs que ce qu’elle n’en a au départ.
C’est la marchandise en tant que valeur d’échange qui opère entre A et A’ , propriété d’épargner plus
de valeurs qu’une n’en a elle même de valeur d’échange.
Question de Marx dans cette circulation, Quelles est la marchandise spécifique qui a pour propriété
de généré plus de valeurs d’échange quelle n’en a elle même en temps que marchandise?
C’est une marchandise qui a la propriété de générer une plus valu et donc d’être à l’origine de la
composante de la valeur.
Marx s’interroge sur la plus valu.
Cette marchandise va être elle même source de valeur d’échange pour généré une valeur d’échange
supérieur et il n’y a qu’une valeur source de marchandise c’est le travail.
Cette marchandise source de valeur d’échange, Marx l’appelle la force de travail, c’est le travail qui
réduit à la marchandise, le travail utiliser comme marchandise, la force de travail est une force de
marchandise et elle deux valeur, une valeurs d’usage et une valeurs d’échange.
Marx définit la force du travail: c’est l’ensemble des facultés physique et intellectuel qui existe ans
le corps d’un homme et dans sa personnalité vivante qu’il doit mettre en mouvement pour produire
des choses utiles.
Marx fait la différence entre la force de travail et le travail la force de travail c’est la marchandise
et le travail c’est la valeur d’usage, l’usage qu’on fait de cette marchandise.
Dans le capitalisme le salarier vend l’usage de sa force de travail au capitaliste.
Comment ce mesure la valeur d’échange de la force du travail?
Quelle est la valeur d’échange de la valeur du travail?
Marx met en lumière l’origine de la plus valu de la force de travail permet de généré plus de valeur
qu’elle n’en a elle même en valeur d’échange, l’apparition du profit qui devient le but de l’échange
capitalisme.
Marx est conceptuel. Il considère que la valeur d’échange comme la quantité de travail nécessaire,
la valeur d’échange permet la subsistance de la force de travail, de la mise en état de la force du
travail, il s’agit de se qui permet de produire la valeur du travail.
Marx fait le constat que la valeur d’échange de toute autre marchandise comme la quantité moyenne
qui permet ce production, et juste sa production avec la reproduction et donc o ai au niveau de la
a un salaire de subsistance. Marx fait le constat que la marchandise force de travail s’acère par le
capitalisme en contrepartie d’un salaire de subsidence et par l’usage qui est fait de cette
marchandise le travail dont le capitaliste a la propriété. Il y a création de valeur qui est supercherie a
ce que représente ce salaire de subsistance. Pour Marx ce trouve l’origine de la plus valu dans la
circulation du capitalisme la plus valu c’est A’-A et l’oigne de cette plus valu tiens a la différence
entre la valeur produite par la force de travail dans l’usage du travail et la valeur d’échange de cette
marchandise elle même qui se déterminer comme un niveau de subsistance.
Marx considère que cette origine a pour nature une exploitation. Derrière l’apparence de la valeur
d’échange on été produit par une marchandise, cette marchandise est la propriété priver du
capitalisme, et quant il fait usage de ce travail il permet de générer plus de valeur. Pour Marx le
capitalisme exploite cette force de travail, c’est par ce que le travail se réduit à la marchandise
par ce qu’il y a domination d’une classe sur l’autre l’une ayant la propriété des moyens de
production mais l’un relève de l’humain qui appartient a l’autre classe social.
Ce cache la réalité d’exploitation, il prolonge son raisonnement, Smith et Ricardo calculent le profit
comme un revenu légitime et qui rémunère le capitaliste pour sa capacité d’avancé de l’argent.
Marx nous dit que cette manière d’analyser le profit chez Smith et Ricardo défende les intérêts dans
leur analyse et Marx pense que ce taux de plus valu peut être directement interpréter comme
exploitation opéré par le capitaliste.
Pour Marx le faite que le capitaliste qui prélever sur le fruit du travail est illégitime.