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Chapitre 2: les économistes classiques

La période classique est une période qui couvre un siècle de l’histoire de la pensée. Elle est
essentiellement britannique. On a trois ouvrages majeurs qui sont produits :
« De la richesse des nations » 1776, Adams SMITH
« Les principes de l’économie politique et de l’impôt » 1817, David Ricardo
« Les principes d’économie politiques » 1848, John Stewart Mills (fin de l’école classique meme si
il ne partageait pas tout les dogmes de ce courant)

Toutes l’économie de l’échange, de la production, répartitions, théorie de la valeur, des prix est
expliquer par les mécanismes du marché, e courant la va permettre la fondation de toutes la science
économique contemporaine (fondement de la théorie orthodoxe)
La politique économique : c’est les décisions publiques qui sont prises en charge, action publique
Économie politique : courant de pensé

Au départ Marx se positionnent comme un classique qui critique Ricardo et Smith


Robert thomas Malthus
Stuart mille
Jean baptiste Béghin-Say, grande famille qui produisent du sucre.
Karl Max, va partir de la valeur travail de Ricardo don considérer comme classique il a une statue
particulière dans la lignée des économistes en anglais.
Qui a été dénommé ainsi par Karl Max, qui parle de théories économiques classique
C’est une pensé qui est lié à l’avènement de la révolution industrielle, elle est à la fois concomitante
et née avec l’économie capitaliste industrielle.
KM il considère qu’il s’agit de gens brillant qui ont permis de comprendre les fondements de
l’économie politique il distingue donc les classiques des économies dites vulgaires, ces classiques
produisent des instruments d’analyse même si certains d’entre eux sont empêtré dans leurs meande
idéologique libéraux, pour KM williams Petty fut l’un des premiers à démontrer que le prix des
marchandises dépendait de la quantité de travail nécessaire à leurs productions

1. Adam Smith
Il a d’abord écrit un ouvrage qui se nomme « la théorie des sentiments moraux » il s’intéresse au
comportement, la nature humaine et se pose la question de l’individualisme et de l’altruisme, il se
pose la question de la satisfaction des besoins, la question de la satisfaction des besoins individuel
est une question essentielle, et il s’interroge sur l’économie politique sans même le savoir. Il fait
aussi La réflexion sur l’intérêt individuelle, selon lui la poursuite des intérêts privé conduisent à
réaliser l’intérêt générale.
Dans la richesse des nations c’est les sources de la valeur qui interpelle Adam Smith il est persuadé
que la création de richesse, est à rechercher dans le champ économique et il faut rechercher d’où
vient la valeur pour comprendre la richesse. Pour Smith contrairement au physiocrate nul
providence extérieur ne doit intervenir dans l’explication des phénomène économique, ils doivent
être expliquer par des mécanisme interne à l’économie, et le point de départ de cette explication
c’est la valeur, il va donc essayer d’établir des lois non pas naturel comme les physiocrates mais des
lois économique qui permettent la prospérité à travers la question de l’échange, dès le départ il y a 2
positionnement d’Adam Smith, d’abord il attaque les idée mercantiliste, il est contre toute
régulation gouvernementale qui pour lui favorise les privilège les monopole, et les pratiques
restrictives, il propose donc une philosophie alternative fondé sur la propension naturel des hommes
échanger, dans le cadre d’un marché libre et concurrentiels, sa philosophie est libérale toute entrave
à sa liberté est proscrite, il va développer une argumentation qui tend à démontrer que ce système de
marché libre et concurrentiel peut fonctionner de manière efficiente et équitable et qu’il est à la fois
compatible avec le développement du concept de démocratie politique et celui de liberté
individuelle.
Adam Smith fait une proposition philosophique tout en s’appuyant de manière empirique sur ce
qu’il voit dans l’Angleterre de son époque.

Le premier thème adopter par AS est la division du travail, elle nait de l’observation d’une
manufacture d’épingle, il constate que si chaque ouvrier se spécialise dans une des taches de la
production d’épingle, le volume produit est beaucoup plus important que si le même ouvrier assure
toutes les taches. La division du travail accroit la puissance productive, le volume produits est plus
important c’est le fondement de la l’augmentation de la productivité, AS a travers cette exemple,
sur le plan de l’économie politique démontre que la spécialisation permet d’augmenter la
productivité, sur le plan des organisation de l’entreprise il célèbre l’organisation du travail a la
chaine qui sera d’ailleurs reprise par un ingénieurs célèbre nommé Taylor qui été l’ingénieur en
chef des usines Ford, du point de vue de l’économie du travail, psychologie du travail et des
organisations, les thèse d’Adam Smith on conduit à une hyperspécialisation des taches dans le
système capitaliste, cette hyperspécialisation conduit à une grande efficacité de chaque individus
qui deviens un spécialiste dans sa tâche et qui est même en capacité d’inventer et de faire des
proposition sur sa tache en particulier, c’est ainsi que on a vue des ouvriers inventer des machines,
des outils. Il y a deux obstacles à la division du travail d’abord :
- L’abêtissement des travailleurs
- L’étroitesse du marché qui qui a la spécialisation et donc la division du travail.

La division du travail existe dans l’entreprise mais il existe surtout dans la société et dans
l’économie c’est pour ça que on a des métiers et activités différentes.

Si le marché est petit la division du travail est faible, plus le marché est grand plus la division du
travail est importante
Le marché est étroit lorsque on est dans une économie primitive, si le marché est large la division
va être large car l’individus qui va se spécialiser dans une production produire plus.
Il y a une relation duale entres la divisons du travail et l’étendue du marché.
Les pays avec des taux de croissance faible son des pays ou la division du travail est moindre.

Adam Smith : la théorie de la valeur

Pour Adam Smith, il considère qu’un bien revêt deux types de valeurs :

- Une valeur d’usage ® La valeur d’usage est liée à l’utilité que ressente les individus pour un biens
dans la consommation du bien donc elle est liée aussi au besoin
- Une valeur d’échange ® il y a donc ensuite une valeur d’échanges qui est pour AS assimilable au
prix « naturel » du bien, il essaye de fondé une théorie objective de la valeur et non subjective :

Une théorie objective signifie que l’on va chercher un critère, un étalon de mesure, pour quantifier
la valeur de manière objective.
Il propose comme étalons de valeur ; le travail, il met de coter la valeur d’usage par contre la valeur
d’échange, elle, pour la mesurer on va s’intéresser a la quantité de travail nécessaire pour produire
le bien, de sorte que chez AS les biens s’échange au regard de la quantité de travail qui ont servis a
les produire.
Ce qui règles l’échange est la quantité de travail ; un bien part la quantité de travail qu’il incorpore
commande la consommation d’autres biens. Pour AS le prix naturel d’un bien va finalement être la
somme de tout le travail qui a été nécessaire en amont pour l’emmener jusqu’au marché et c’est la
première fois qu’un penseur livre une explication de la valeur des choses des biens économiques de
cette manière-là.
AS considère que pour produire le bien il faut à la fois rémunérer le travail (les salaires),
Il faut aussi rémunérer celui qui a investis en capital (le profit), comme on est dans une société
primitive il faut rémunérer les propriétaire foncier (la rente foncière).
En réfléchissant a une théorie de la valeur il pose une question de la répartition des produits entres 3
classes, les salariés, les détenteurs de capitaux, les propriétaires fonciers

AS va néanmoins être confronter au paradoxe de l’eau et du diamant, il nous dit que certains biens
sont doté d’une forte valeur d’usage parce que leurs utilité est très grande (eau) mais ils ont une
faible valeur d’échange, par contre le diamants a une faible utilité, une faible valeur d’usage et une
forte valeur d’échange, c’est paradoxale l’eau a une faible valeurs d’échange car on en trouve de
partout, ce paradoxe est en partie résolue pour AS car l’eau mobilise peu de travail pour sa
production, tandis que le diamant exige une forte dose de travail, il est rare et donc sa valeur
d’échanges va être forte, dans la tête de Adam Smith le diamant incorpore une grande quantité de
travail, il va donc pouvoir « commander » contre une grande quantité d’autres biens. Tout ceci est
cohérents dans le penser d’AS puisqu’il resonne dans une société primitive faiblement développer,
et il part du principe de l’hypothèse que l’homme a une propension naturelle à échanger, en résumer
le prix d’échange des biens est un prix qui va être mesure en heure de travail.

Dans ce contexte-là de travail 2 remarques :


- On constate que chez AS pas référence à la monnaie, il considère que le bien se transforme en
monnaie pour permettre l’échanges et acheter d’autres biens,
- Cette théorie de la valeur travail est en lien aussi avec la théorie de la concurrence, au sein de la
société chaque individu va donc faire en sorte par son travail de produire du mieux possible
d’exceller dans son domaine car il pourra avec le fruit de son travail avec la théorie de l’échange
acquérir de nombreuses autres marchandises.

Ainsi il nous dit « chaque individu est conduit par une main invisible à remplir une fin qui n’est
nullement dans ses intentions, tout en ne cherchant son intérêt personnel » il travaille souvent d’une
manière bien plus efficace pour l’intérêt de la société que s’il avait réellement pour but d’y travailler
ainsi la recherche de l’intérêt individuel conduit à la prospérité générale, le principe de concurrence
permet le bien. Être et la prospérité d’une société, il est donc partisan du libéralisme qu’il appelle,
qu’il nomme le système de liberté naturel.
3 choses doivent être gérer par l’état sauf pour 3 domaines :
- Défense nationale c’est l’état qui va la gérer
- L’état doit s’occuper de la police et de la justice
- L’état a une fonction essentielle dans la production et là maintenant des infrastructure (les routes
etc…)

Autres points intéressant chez AS on trouve une théorie de la croissance puisqu’il considère que
l’accumulation du capital productifs et favorable à l’économie et il considère aussi que l’épargne est
une absence de consommation nécessaire pour pouvoir investir.
Donc chez AS on a une épargne qui permet d’acheter du capital productif. L’épargne est un
phénomène réel il est nécessaire pour acheter le capital productif.

2. RICARDO
1772-1823, née 4ans avant l’apparitions « richesses des nations » de AS, à Londres, 3e d’une
famille de 17ans, son père est financier, il travaille dans l’entreprises de son père dès l’Age de
14ans, il épouse une catholique, devient catholique et rompt avec sa famille, et a 25ans ils a fait des
opérations financières, de la spéculation qui lui on permit de devenir très riches,
Il se consacre à la réflexion en économie, a 27ans il découvre le livre de AS «la richesse des nations
» c’est un choque positifs pour lui et se consacre a l’analyse économique, Ricardo a vraiment le
soucis de la démonstration et la fermer volonté d’écrire des théories économiques, ce qu’il va faire
dans un premier temps il va écrire un articles en 1810 qui s’intitule « le prix élevé du lingot »
preuve de la dépréciation des billets de banques.
Il s’interroge fortement sur la conséquence du blocus entres les échanges France-Angleterre, que ce
soit sur le prend du court de la monnaie ou sur le prix du blé, mais aussi sur le volume des
échanges, cela l’inspirera fortement pour sa théorie du commerce international.
En 1819 il est élu a la chambre des communes il a été très actifs en proposant des lois, des textes,
des rapports, en économie ou d’en d’autres domaines, en économie il était pour la baisse des tarifs
douanier, et pour le libre échangisme, il est pour le paiement de l’import et notamment le
propriétaire foncier, et il considère que la monnaie est une affaire de gouvernement.

- Gros apport en Méthodologie scientifique


- Gros apport sur la problématique économique centrale de la répartition des richesses
- Contribution de la théorie de la valeur
- Contribution majeure à la théorie du commerce international
- Question de l’impôts, la monnaie et le système bancaire

Ricardo va poursuivre le travail de Smith sur la question de la valeur, il est d’accord avec Adam
Smith, c’est le travail incorporer dans la marchandise qui fixe sa valeur, il est d’accord pour dire
que 1H de travail pour produire un bien correspond à 1H de travail pour produire un autre bien,
mais la valeur d’échange du bien va se caler sur le salaire, or le salaire n’est pas le même ni pour les
individus d’une même branche ni pour les individus qui travaille dans des industrie mais le salaire
est variable, il dit donc qu’il faut continuer à améliorer cette théorie et il va s’y employer, et il
essaye de l’améliorer, la première chose qu’il va faire concernant la question du paradoxe de l’eau
et du diamant, c’est de dire qu’il y a des choses qui ne s’évalue pas à partir du travail incorporer
c’est le cas des biens rare exceptionnel qui n’existe donc que en petite quantité ce sont en générale
des biens désirer pour ce qui sont et non pour satisfaire des besoins.
Lui considère que en effet le travail est bien la mesure de la valeur, mais que la démonstration de
AS ne tiens pas compte de la variation des salaires des différence de qualité du travail, le travail de
AS ne tiens pas compte des projet technologique dans la production du biens interviennent aussi les
capitaux et l’amélioration des machines, la distinction entre le capital fixe et le capital variable et
nous disent que le K lui-même il existe d K incorporée, le travail des salarié, le travail qui a permis
de produire le capital, il va distinguer le capital x et le capital circulant . Il introduit donc une
amélioration de travail incorporée, qui a 2 dimensions :
- Le travail direct
- Le travail indirect ; nécessaire à la production des facteurs de productions
Leurs histoires de l’incorporé bute sur le caractère variable des salaires.
Son objectif est de démontrer que les prix du bien ne sont pas influencer par la variation unilatérale
des salaires.

1ère complication : il va essayer de tenir compte des différences de compétences, dextérité mais il
ne va pas réussi

2e complication ; est qu’il faut tenir compte


Il dit que le capital peut être substituer au travail mais pas forcément dans les mêmes proportions. Il
n’est plus évident que le montant de travail soit toujours le déterminant unique de la valeur d’un
bien.
3e complication ; de la prise en compte du temps de production des marchandises ; «1821, principe
de l’économie politique et de l’impôt » le capital varie à peu près dans la même proportion que le
travail utilisé et donc le prix ne dépend pas que du salaire, cette hypothèse tiens uniquement que le
progrès technique est nul, si on introduit

Quoi qu’il en soit la théorie de la valeur travail de Ricardo va confronter l’idée de la théorie
objective de la valeur et c’est pourquoi on raccroche souvent Karl Marx qui s’en est inspirer au
courant classique, au-delà de Marx de nombreux auteur on suivis la théorie ricardienne de la valeur,
pour mieux la démonter par la suite et ça va être le cas des premier marginaliste, ainsi on aura
Jevons, Walras, Menger, celui qui va rebondir très vite c’est Jevons en 1818 qui écrit un ouvrage
« l’économie politique » chapitre 11 l’échange, il dit que il n’y a pas que l’effort incorporer dans la
marchandise qui définit sa valeur d’échange mais il y a aussi l’utilité et la rareté, Jevons va réunir la
valeur utilité et la valeur d’échanges qu’avez séparer Smith et Ricardo, (le travail gouverne l’offre,
l’offre règles les besoins, et les besoin détermine la valeur) 1878 « économie politique ».
On s’approche avec ce résonnement d’une valeur d’échange et d’un prix qui se cale sur la
confrontation de l’offre et de la demande.
Pareto de la même manière en 1909 dans son manuel d’économie politique considère que le prix est
le résultat de la confrontation de l’offre et de la demande. Donc Jevons Pareto et les autres
démontrerons que la recherche d’une théorie de la valeur objective, n’a pas été concluante et que le
prix des biens dépend aussi des circonstances de la géographie de l’époque, des gouts, des envies, et
pas uniquement du travail incorporé, la valeur d’échange est corrélée a la valeur d’usage et la valeur
d’usage va dépendre de l’utilité marginale.
AS et Ricardo ne considérer que l’utilité globale pour la société, décorrélé de la valeur d’échange,
les marginalistes, considère que valeur d’usage et valeur d’échange sont les deux faces de la même
pièce et détermine le prix du bien et ils règleront donc le paradoxe de l’eau et du diamant.
La valeur travail permet la production du produit globale et ça se repartie entres plusieurs classes
sociales.

La rentes : théorie de la rentes foncière « ouvrage 1821 chapitre 2 »

Une des plus brillante contribution de Ricardo a l’analyse économique : théorie de la rentes
différentielle, Ricardo c’est intéresser a la valeur des choses fondé sur la valeurs travail, il considère
une autres forme de production qui est agricole, il dit que la nature fournit d’autres services au
agents économiques et fournit la terre, la terre a besoin d’être mise en valeur par les fermier mais
elle appartient au propriétaire foncier, il dit « la rente est cette portions du produit de la terre que
l’on paye au propriétaire pour avoir le droit d’exploiter les faculté productive et impérissable du
sol , cependant on confond trop souvent la rente avec l’intérêt et le profit du capital, dans le langage
vulgaire on donne dont de rente a tout ce que le fermier paye au propriétaire »
Chaque terre a des propriétés naturelles qui intéresse les fermiers et on paye pour ça mais aussi on
va payer d’autant plus que la terre est une ressource limiter, à la fois en quantité et en qualité, les
premières terres misent en culture sont les terres ayant les meilleurs rendements, lorsque les
rendements deviennent constant, on une baisse du taux de profit moyen dans l’agriculture donc les
fermiers vont demander d’autres terres, on va mettre de+ en + de terre en exploitation, et donc la
valeur de la rentes va augmenter parce que la demande augmente, et donc plus valeurs de terres
augmente la rentes augmentes et le profits des fermiers qui sont assimilé a des capitaliste pour
Ricardo diminue et finalement le montant de la rente optimal est la rentes différentielle, c’est la
différentielle entres la rentes de la première terres mise en valeurs et de la dernière, les propriétaire
terrien s’enrichisse a rien faire et les fermier gagnent moins d’argent , donc on moins de profit non
seulement parce que il paye la rentes différentielles mais aussi dans l’intervalle le prix du blé
augmente car il est basé sur la valeur travail et qu’il faut de + en + de travail pour produire le blé on
a donc un double mécanisme,
Conséquence de la théorie de la rente foncière : les fermier (investisseur, capitaliste) vont être
moins inciter à investir puisque le profit baisse, mais s’ils investissent moins il y aura moins de
production globale et Ricardo dit que on se dirige donc vers un état stationnaire, il fait donc le lien
très la théorie de la valeur travail, de la rente foncière, avec la dynamique économique c’est-à-dire
l’évolution de long terme de l’économie.

Pour retarder l’échéance de l’état stationnaire il donne 2 grandes idées :

La première idée : on peut améliorer le travail grâce au progrès technique et à l’avancé de


l’agronomie du coup le rendement de la terre augmente et les profits vont augmenter aussi pour le
fermier, le progrès technique devient par excellence les facteurs de l’économie
2e grandes idées : si la population augmente et qu’il faut plus de denrée et a que les terres
commencent à avoir des rendements constants, et si les propriétaires donc augmenter la rente il faut
donc faire de la rentrée du blé ailleurs et donc favoriser le commerce international, car il permet de
faire rentrer des denrées pour satisfaire les besoins de la population qui croit et diminue la pression
sur les terres et la rente différentielle

Les salaires : prix du travail

A l’époque le salaire est fondé sur un référentiel qui est le prix du pain et donc le prix du blé c’est
donc un salaire de subsistance, il introduit quand même que l’offre de travail et l’offre faites par les
personnes en âge de travailler et ces personnes la dépendent de la quantité de subsistance disponible
et la demande de travail et fonction de volume du capital investis c’est une idée nouvelle. Il dit aussi
qu’il existe un salaire naturel qui est donc le prix naturel du travail c’est celui qui fournit aux
ouvriers les moyens de subsisté.

Il y a aussi un salaire d’équilibre, qui est selon Ricardo le prix du travail qui résulte de la
confrontation de l’offre et de la demande du travail, pour lui un salaire naturel varie selon un lieu
des endroits, les époques et les circonstances, il dit que le salaire d’équilibre s’il est inférieur au
salaire naturel alors la population des travailleurs va souffrir et n’aura plus la capacité de se
reproduire, il y a donc une baisse de la quantité de travail.
Ricardo est plutôt favorable pour soutenir les classes laborieuses, mais sans être trop généreux avec
les pauvres pour qu’il continue à pouvoir travailler dans l’agriculture ou l’industrie, Il va être en
contradictions avec Malthus.

Les profits :

Part du produit qui ne va pas aux rentes et au salaires.


La variation du profit se trouve dans la variation du prix du blé, qui elle est liée à l’augmentation de
la population (demande de blé importante) il faut donc mettre + de terre en culture, le salaire naturel
réel augmente aussi, la rente augmente et les profits baisse. Il dit que les salaires réels sont haut car
le prix du blé est élevé donc nous avons chez Ricardo une théorie de la répartition.

3. JB say
Il fait partie du courant classique, née à Lyon en 1767, il a été journaliste, il a découvert en 1787
l’ouvrage de Smith « richesses des nations » il créé en 1806 une filature de cotons dans le Nords pas
de calais, en 1814 il crée les sucre Béghin-Say, il rencontre en 1815 James mile et David Ricardo, il
devient enseignant d’économie et en 1830 il occupe comme professeur la première chaire
d’économie politique au collège de France et en 1832 il meurt
Le traité politique de 1803 à 3 parties : Consommation, distribution, productions.
Pour lui l’économie est une science expérimentale il considère que on doit partir des faits pour
produire des vérités, il considère donc ensuite par induction (on part d’une hypothèse et on en
induits des conséquences), il dit que les principes scientifiques découlent naturellement de
l’observation.
Il découle de la valeurs travail il dit que ce ne sont pas les frais que on fais pour produire qui
détermine le prix que le consommateur conscient à y mettre c’est uniquement son utilité, il dit que
Ricardo a une fausse conception de l’origine sur la valeur, ce ne sont pas les frais de la production
qui détermine quelles sont les plus mauvaises terre et le niveau de la rente mais ce sont les besoins
de la société qui font naitre la demande de produits agricole qui en élève le prix assez haut pour que
les fermiers trouve du profit à payer au propriétaire le droit de cultiver sa terre « ce qui n’est bon à
rien les hommes ni mettent aucun prix » chez JB say il y a total adéquation entre utilité, valeur et
richesse

Il dit que la richesse n’est pas seulement fondée sur la richesse mais les talents, celui qui a accumulé
un talent jouit d’un capital accumulé, ce n’est pas parce que les gens ont du talent qu’ils peuvent
l’échanger contre de l’argent et de l’or.

Il considère qu’il faut distinguer la consommation productive et la consommation improductive, la


consommation dites productive (investissement) et la consommation improductive qui est la
consommation de biens finaux, pour lui le commerce est essentiel à la croissance économique, le
commerce est productif et donc il faut faciliter les voies de communication et les transports,
néanmoins malgré ses critiques. Lorsque on mérite Smith comme il mérite d’être lue il n’y avait pas
‘économie politique.

JB Say nous dit que les entrepreneurs de différentes industries leurs but n’est pas de produire mais
de vendre, l’offre crée la demande
« C’est la production qui ouvre des déboucher aux produits » il dit ça en 1803 dans le chapitre 15
« des débouchés » la production qui génère un revenu par le producteur lui permet de crée d’autres
biens et donc de crée des débouchés a d’autres productions ;
La loi des débouchés va être un pilier de l’économie de l’offre.
Cela va inspirer les théories de l’offre en particulier Arthur Laferre (trop d’import tue l’impôt) et
également Robert Mondeil.
Les gens qui sont des théoriciens de l’offre considèrent que la manière la plus efficace pour obtenir
de la croissance économique élevé sur moyen et long terme il faut aider les entreprises à produire
davantage de bien et de services, les incités à entrée sur de nouveaux marché (crée, innover…) et
supprimer au maximum les freins fiscaux et règlementaire, plus les producteurs sont nombreux plus
les productions sont multipliées et plus les débouchés sont facile carié et vaste.

Conclusion la loi de Say préconise que


- Une sur accumulation de capital est impossible
- La consommation productive est à la base de la croissance économique
- La consommation improductive va à l’encontre de la création de richesse
- L’insuffisance de la demande peut être la cause de perturbations économique
- Ces perturbations économiques peuvent provenir d’erreur d’adaptation temporaire entre la
production de l’offre et la demande
Attention il peut exister des crises de surproduction.

4. Robert thomas Malthus


Professeurs d’histoire moderne et politique et il a été en charge de l’aide aux pauvres dans sa
communes, entres 1794 et 1800 il y a eu une famine liée a de mauvaise récolte et une grande misère
dans les campagnes britannique, il a écrit un premier ouvrages qui s’appelle « la crise » et
bizarrement au début il est pour n système d’aide publique pour les pauvres, Godwin en 1793
propose plus de justice politique car la population augmente il faut donc supprimer la propriété
privé. En 1803 un débat passionné et thomas Malthus propose un « essaie sur le principe de
population ».
Malthus dit que la population croit selon un rythme géométrique, les biens de la subsistance suivent
une croissance arithmétique, en résumer le rythme démographique est beaucoup plus élevé, et il en
résulte un schéma :

Pour Malthus principe de population tiens en 3 points :


- Le niveau de population augmente mais il n’y aura pas assez de ressources pour tt le monde
- La population croit lorsque si on augmente les moyens de subsistances
- Et si on veut réguler les choses il faut mettre en place des contraintes autres que la famine ou la
mort pour diminuer le niveau de subsistance pour éviter un excès pause, il faut user de la contrainte
morale, de la limitation des aides (la contrainte morale étant représenté à l’époque par l’abstinence
le célibat pour éviter de fonder des familles nombres

« Un homme qui naît dans un monde déjà occupé, si sa famille n’a pas le moyen de le nourrir, ou si
la société n’a pas besoin de son travail, cet homme, dis-je, n’a pas le moindre droit à réclamer une
portion quelconque de nourriture : il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la
nature il n’y a point de couvert mis pour lui. »

La conception de Malthus est assez radicale de ce qu’est la société, la solidarité etc… en gros il dit
que si on ne travaille pas on a le droit à rien.

Malthus semble s’être tromper dans l’évolution graphique de long terme, la loi de croissement de la
population ne suit pas une fonction exponentielle mais une fonction logistique car la mortalité
baisse certes mais la natalité aussi avec les changements de comportement au sein de ménage qui
ont une meilleure qualité de vie.
- Le taux de croissance de population ralentie.
- Le stock de subsistance disponible depuis le 19e n’a cessé de croitre grâce au progrès de
l’agriculture eu progrès technique etc…globalement les populations vont mieux, la mortalité recule.
En 1950 on avait 2 habitants sur 3 en malnutrition aujourd’hui c’est 1 sur 10.

1820 il écrit « principe d’économie politique » il adopte une méthodologie très pratique, il s’oppose
à Ricardo mais aussi a Say « l’offre ne crée pas sa propre demande » et il va développer, c’est un
libérable pessimiste il considère qu’il y a de la croissance et de la création de richesse mais il est pas
très optimiste sur la capacité des marché a permettre une régulation des déséquilibre que l’on
observe entre population subsistance etc,

Il considère qu’une épargne excessive est mauvaise pour l’économie, il considère que l’épargne est
stérile, et qu’il y a un risque dans l’économie.
Il distingue aussi deux types de dépenses :
- Les dépenses de détenteurs de capital (capitalistes) la consommation des capitalistes est bonne si
elle orienté vers l’investissement
- Et les dépenses des salariés (l’essentiel va à la consommation pour survivre)
Il considère qu’il y a un risque à investir si l’incitation est trop faible, il faut une incitation pour le
capitaliste à investir, pour lui il y a 3 risques dans l’économie :
- La faiblesse dans l’investissement
- Une épargne excessive
- Et une insuffisance de la demande

John keyns : 1936- théorie de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie


Création de richesse
« Malthus dit que la richesse générale et la richesse individuelle naissent toujours de la demande
effective », et comme il y aura de la demande il y aura augmentation des prix.
Malthus a une représentation de la société a l’image de jean baptiste Say, représentation sociale en 3
classes :
- Les capitalistes
- Deux classes de travailleurs Les productifs (ouvriers)
Les improductifs
- Tous les petits employés, services etc

Par sa conception de la dynamique économique et du rôle de la demande il apporte beaucoup, il a


fait grand débat.

5. John Stuart Mill


1806-1873, Mill est le dernier des théoriciens classique et c’est lui qui va faire le lien de tout ce qui
arrive après avec les marginalistes, il a synthétisé la pensé classique et il a rajouter quelques idées
nouvelles. Comme son père était déjà philosophes très connus il avait décidé que son fils serait
aussi une intellectuelle, et il a une éducation très rigoureuse.
L’homme agit uniquement en cherchant son intérêt, ses plaisirs, ses satisfactions, son père pense
qu’il a une pensé révolutionnaire, il veut que son fils soit le porteur de cette philosophie et lui
enseigne une éducation drastique.

En 1848 il écrit « principe d’analyse politique » avec leur application a philosophie sociale
En 1859 il écrit « de la liberté »
1861 il écrit « l’utilitarisme »
En 1969 « de l’assujettissement des femmes »
En 1973 il écrit autobiographie « mes mémoires histoires de ma vie et de mes idées »

Il considère que parfois il vaut mieux consommer un bien en petites quantité mais de grande qualité
plutôt qu’une grande quantités de bien de faible qualités , il s’inscrit dans la perspective de Ricardo,
la notions de produit qui l’intéresse beaucoup, il va essayer de mieux l’appréhender, avec la théorie
de l’abstinence, l’épargne est une forme de sacrifice et celui qui épargne et investis après doit être
rémunérer par le capitaliste, de même que le salaire d’un ouvrier est la rémunération du travail, les
profit du capitaliste sont la rémunération de son abstinence.
Ricardo considérait les profit en termes d’objectifs subjective, fortement inspirer d’un intellectuel
classique Nasso William Sennior qui l’avait exposer en 1836, il a été critiquer pour sa théorie
notamment par Karl Marx, il critique
Mill et dit qu’il se contente de reproduire la théorie du profit de Ricardo, les économistes
« vulgaires » dit Marx sont : JB Say, Malthus et Stuarts Mill.
Mill ne prétend pas que l’abstinence provient de la source et permet de crée de l’épargne, et c’est le
compte en T d’un agent économique à consommer, l’épargne nous dit-il c’est l’espoir de retirer une
revenue de l’épargne qui n’empêche pas d’investir et plus est considérable le profit que on peut
faire par l’emploi du capital plus est puissant le motif que on a de l’accumuler.
Une portion de l’épargne va être investis et mérite la rémunération du capitaliste (le profit). Il est
d’accord avec Ricardo sur sa définition du profit en disant que le profit va être d’autant plus grand
que la production est importante mais il va dépendre aussi de la quantité de salaire distribuer
Mill s’intéresse à la question de la répartitions salaires et des profits et donc dépendent du coup du
travail, de la lui vient une théorie de la théorie du travail :
« Une année donnée une quantité de nourriture fixe est donnée pour multiplier le travail c’est le
fonds de salaire » et il y a une quantité N de travailleurs qui trouvent à se faire employer à un taux
de salaire flexible w.

1er apport : théorie du commerce international


Il considère que La théorie de Ricardo est incomplète car elle ne se focalise que sur l’offre, il a tenté
de compléter la théorie de Ricardo grâce à une théorie de la demande et a cette occasion il a utilisé
des courbes de demande.
(Antoine augustin corneau économiste avait fait aussi des représentations sous forme de courbe)
Mill se pose aussi la question des impôts, il considère que tout accroissement de revenue est
assimilé a des rendements décroissants, il est adepte de la décroissance de l’utilité marginale, il
considère que à partir d’un certains revenu vous réaliser que l’utilité diminue, puisqu’il y a des
croissance de l’utilité il milite pour une taxation plus grande des revenus et il est pour une forte
taxation des héritage pour diminuer les inégalités, du point de vue de la doctrine Stuart Mill est un
curieux mélange d’individualisme et de socialisme, il va lutter jusqu’à la fin de sa vie pour la
généralisation des coopérative, pour le droit syndical, la limitation de l’héritage et pour un impôt
foncier permettant la socialisation progressive du sol.
Au total Mill n’est pas un simple disciple de Ricardo comme la dit Karl Marx ,ce n’est pas non plus
un simple penseur de synthèse, Il a véritablement essayer de mieux formaliser des concept -elle que
l’utilité, la flexibilité des salaire, l’impôt, le commerce international et surtout il se distingue des
prédécesseur en cherchant à traduire concrètement les enseignements de l’économie politique, c’est
un réformiste, précurseur du sociale libéralisme, et qui croit à la supériorité de la politique sur
l’économie abstraite il pense que c’est pas la décision politique qu’il peut changer les choses.

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