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Fiche responsabilité du fait des choses

A1242a1 : « On est responsable non seulement du dommage que l’on cause par son propre fait, mais encore de celui
qui est causé par le fait des personnes dont on doit répondre, ou des choses que l’on a sous sa garde ».

Ancien A1384a1 = responsabilité des choses inanimée, seulement une transition entre responsabilité du fait personnel et
régimes spéciaux des animaux et immeubles. Pas de valeur normative.
1804, révolution industrielle = création de nvx dommages, ajout des machines et véhicules au domaine A1242. Situations
variées car il arrive qu’on ne puisse pas identifier de faute/difficile de reconnait cause, et alors il n’y avait pas
d’indemnisation possible (prisme de la faute). De plus, la notion d’obligation de sécurité n’était pas encore en marche, il était
inefficace d’invoquer la RC. Mais multiplication accidents dû machines = nécessité réparation.
Les rédacteurs avaient fait le choix d’une formule g pour que le juge puisse faire évoluer afin de répondre aux nouveaux
besoins d’indemnisation.
R. Saleilles, « les accidents du travail et la RC », 1897 estimait qu’il fallait donner une portée générale à cet ancien A1384a1.
Proposent concept de R objective, fondée sur la propriété de la chose sans considération de la faute.

CCass, Civile, 16 juin 1896, Teffaine : départ de l’évolution qui conforte les théories des auteurs. Admet respo du
propriétaire du navire sur un accident d’une chaudière à bord sur le fondement de la respo A1384 al.1. = CCass n’exige pas
la preuve de la faute du propriétaire responsable (car il n’y a pas de faute qui puisse être qualifiée). Passe pas par la faute
pour établir RC = absence de faute n’est plus une cause d’exonération.
2 changements majeurs avec l’arrêt Teffaine  :
- Transforme portée A1384 : article devient une règle de RC, on reconnait sa valeur normative. Le fait des choses que
l’on a sous sa garde devient un fait générateur au-delà des exceptions des animaux et des bâtiments.
- Consacre une responsabilité sans faute, objective. L’absence de faute n’est plus une possibilité d’exonération.
Loi du 9 avril 1898 soumet les accidents du travail à un régime spécial de RC, mais l’arrêt Teffaine reste en place car marque
le fondement de ce changement.

Arrêts ultérieurs viennent affirmer deux choses : le demandeur n’a pas à rapporter la preuve d’une faute du
responsable, et le responsable ne peut pas s’exonérer par la preuve de son absence de faute.
Ch réunies, 13 février 1930, Jand’heur : réaffirme portée règle RC. CA refuse d’appliquer A1384 al.1 car aucune faute du
conducteur, ne veut pas indemniser. CCass censure au visa de l’ancien A1384 al.1 et énonce que « la présomption de
responsabilité établie par cet article à l’encontre de celui qui a sous sa garde la chose inanimée qui a causé un dommage à
autrui ne peut être détruite que par la preuve d’un cas fortuit ou de force majeure ou d’une cause étrangère qui ne lui soit
pas imputable ; qu’il ne suffit pas de prouver qu’il n’a commis aucune faute ou que la cause du fait dommageable est
demeurée inconnue ». RC sans faute, objective, de plein droit, présomption. Seule exonération possible = cause
étrangère, l’absence de faute est hors sujet.
Franck, 2 décembre 1941, Cass, ch réunies : accident de la circulation. Responsabilité du conducteur retenue car il se
comporte comme gardien de la chose, même sans faute : il exerce les pouvoirs de direction et de surveillance.
Desmares, 21 juillet 1982, Cass, 2ème civ : la faute commise par la victime d’un accident de la route n’est pas une exonération
du gardien seule la force majeure peut exonérer ce dernier.
Intervention du législateur : cherche à intervenir d’une manière encore plus impérieuse, en édictant loi, 5 juillet 1985,
Badinter : indemniser les victimes d’un accident de la circulation dans lequel est impliqué un véhicule terrestre à moteur
(sauf chemins de fer et tram). Aujourd’hui, la victime d’un accident causé par une chose inanimée bénéfice à nouveau d’une
présomption.
I. Le fait de la chose
Conditions d’application de l’article 1242a1 : dommage ; causé par fait actif d’une chose, sous la garde d’une personne.
Comme en responsabilité du fait personnel, dommage doit faire subir à la victime un préjudice réel, direct, personnel et
certain. Il doit être contestable et évaluable. Indemnisation pour la réparation des dommages : coprorels, matériels, moral et
la perte de chance (disparition d’une éventualité favorable), et le préjudice par ricochet.
A. La notion de chose
1. Les choses faisant objet d’une règle spéciale
A1242= règles générales. Exceptions : les animaux et bâtiments, puis rajout de règle spéciale au long du 20 e :
- Accidents du travail : salarié bénéficie de plein droit d’une législation qui déroge du Dco = Cdu travail/sécu sociale.
- Animaux A1243 : quasi identique au Dcommun
- Bâtiments A1244.
- Fait des incendies, A1242a2, loi du 7 dec 1922 : RC pour faute car sinon coute très cher aux assureurs. Texte
débattu, y compris par la CCass.
- Aéronefs : code de l’aviation civile.
- Véhicules terrestres à moteur : loi 5 juillet 1985.
- Produits défectueux : loi du 19 mai 1988 : régime issu de la transposition d’une directive du DUE.
Régimes viennent réduire le champ d’application du 1242 = auteurs proposent de se débarrasser de ce principe général = JS
Borghetti. Mais le camps opposé dit que les règles spéciales ne peuvent pas tout prévoir = nécessité d’un principe général.
2. Toutes les choses
Certains militent pour restriction champs d’application A1242 :
- Seulement applicable aux choses atteintes d’un vice (dans Teffaine, la CCass relève l’existence d’un vice).
- D’autre ont suggéré de distinguer selon que la chose était ou non actionnée par la main de l’homme (seulement celles
qui ne le sont pas) = refus d’appliquer 1242 aux accidents de la circulation dcp.
- Seulement aux choses dangereuses. Cette théorie a été considérée comme inapplicable.
Mais toutes rejetée : A1242a1 pourra être appliqué à toutes les choses. (ex : CCass a récemment déduit que le plancher
d’un appart pouvait être une chose à l’origine d’un dommage = CCass, 22 févr. 2007).
Jan d’heur met fin aux tentatives de restriction : « Mais attendu que la loi (…) ne distingue pas suivant que la chose qui a
causé le dommage était ou non actionnée par la main de l’homme ; qu’il n’est pas nécessaire qu’elle ait un vice inhérent à
sa nature… l’article 1384 rattachant la responsabilité à la garde de la chose et non à la chose elle-même ».
A1242 ne s’applique pas au corps humain, sauf si peut être vu comme prolongement chose : accidents de skieurs, on peut
appliquer 1242. (+ choses communes, sans maitre, ou les régies par un régime spécial ne font pas partie du domaine 1242).
= Conception très large de la chose.
B. L’exigence d’un fait actif de la chose
1. Une exigence de causalité adéquate
Fait actif de la chose = générateur de RC mais aussi du lien de causalité.
2 théories possible pour l’exigence de causalité : l’équivalence des conditions (extensive 1242) et la causalité adéquate
(conception restrictive). Jsp favorise causalité adéquate = manière de compenser l’aspect objectif de la R du fait des choses.
En effet, l’exigence du fait actif de la chose est la condition essentielle de la responsabilité du gardien. La jsp exige une
causalité entre ce fait actif et le dommage.
Équivalence des conditions : retenir comme cause du dommage tous les antécédents nécessaires autrement dit tous ceux
sans lesquels la victime n'aurait pas subi le dommage.
Causalité adéquate : parmi tous les facteurs possibles d'un dommage, seuls ceux qui en constituent la cause déterminante
doivent être considérés comme des faits générateurs du dommage.
2. La preuve du fait actif
Pas difficile de prouver le fait actif = jsp pose présomption, présumé à deux conditions : en mouvement au moment du fait
dommageable, et est entré en contact avec le siège du dommage. Civ2, 28 novembre 1984. C’est une présomption
irréfragable (évolution). La seule porte de sortie du défendeur est la cause étrangère.
S’il n’y a pas eu de contact, présomption n’a pas lieu : prouver le fait actif par la défectuosité, anormalité.
Si la chose ne bouge pas, c’est encore + difficile (bon sens) : nécessité de prouver le fait actif par une position anormale ou
mauvais état. Civ2, 11 janvier 1995 : « une chose inerte ne peut être l’instrument d’un dommage si la preuve qu’elle
occupait une position anormale ou qu’elle était en mauvais état n’était pas rapportée »

Nuance : Liebrand, 15 juin 2000 : baie vitrée. Seule intervention de la paroi en verre était vue comme nécessaire. On aurait
pu admettre que le rôle actif résultait de la nature particulière de ces choses et du fait que même en bon état, pouvaient se
briser. Mais distinction entre chose inerte et chose en mouvement ne semblait plus être faite au regard des décisions, qui
n’étaient pas rendues seulement sur baies vitrées. D’autres jsp vont dans le même sens : Cass, 18 sep 2003.
CCass revenue sur conception classique : 19 février 2004, CCass ; Liebrand 2 : CCass prend en compte une faute
d’inattention de la victime. Ouvre la voie à deux arrêts de principes :
Civ2 24 fév 2005 : lève toute ambiguïté de la jsp antérieure, caractère anormal de la chose est constatée. Lorsqu’une
personne heurte une paroi vitrée, celle-ci ne devrait pas se casser. Sinon elle sera considérée comme défectueuse. Donc pas
de position anormale ou de caractère défectueux si l’objet est immobile = pas de fait actif.
II. Le gardien responsable
A. La notion de garde
Pas définie par les textes, mais par la jsp et la doctrine. 2 conceptions :
- Matérielle : pouvoir effectif au moment du dommage = pouvoir de fait. Exerce pouvoir de surveillance réel ,
concret.
- Juridique : celui qui détient un titre sur la chose, c’est le propriétaire.

La jsp = conception matérielle de la garde : Ch Réunies, 2 décembre 1941, Franck. 3 critères :


- Pouvoir d’usage : fait d’avoir la chose en sa possession
- Pouvoir de direction : pouvoir diriger la chose
- Pouvoir de contrôle : pouvoir de contrôler la chose (mise en mouvement).

Plusieurs remarques :
 Transfert à un tiers de la chose emporte transfert de la garde. Mais le transfert de la garde doit être prouvé = difficile.
De manière générale, le transfert de la chose à un tiers ne fait pas perdre sa qualité de gardien à son propriétaire dès
lors que ce dernier conserve la possibilité d’en contrôler l’utilisation.
 L’exercice de ces pouvoirs peut être fugace : coup de pied dans une balle.
 Qualité de gardien ne varie pas selon le discernement (enfant ou dément peuvent ê qualifié de gardiens).
Civ 2, 8 decembre 1974, Trichard : majeurs protégés
Ass plein, 9 mai 198, Gabillet : respo de l’enfant du fait de sa chose.
= appréciation in abstracto des éléments de la garde.
 Il ne peut y avoir qu’un seul gardien de la chose même si les juges admettent une garde collective si les gardiens
exercent des pouvoirs identiques et qu’il n’existe aucune hiérarchie entre eux.
 Gardien est incompatible avec la qualité de préposé.

Il arrive que la jsp retienne une conception dualiste de la garde : Qui du transporteur ou du fabriquant devait être considéré
comme gardien dans le cadre de transport de bouteille d’oxygène ? Distinguer entre garde de la structure et garde du
comportement. (1975, Cass). Matérielle = transporteur. Dans les espèces visées, dommage est causé par l’explosion des
bouilles d’oxygène donc on se demande s’il ne faut pas affiner l’analyse. Si accident dû à un mauvais placement de la chose
= transporteur. Auteurs ont proposé de distinguer entre la garde de la structure (= fabricant) et la garde du comportement (=
transporteur). CCass a appelé cela un « dynamisme propre » = choses susceptibles d’explosion, par nature dangereuses. Jsp
en la matière est chaotique, accusée d’être source d’incertitude. Complexifie la notion de garde. Enfin, incertitude
problématique car victime et défendeur ne peuvent pas prévoir qui sera responsable et le gardien potentiel aura du mal à
savoir s’il doit s’assurer ou non = complexification de l’indemnisation. Solution amenée à disparaitre avec l’expansion de la
responsabilité du fait des produits défectueux.

B. La preuve de la qualité de gardien


1. La présomption de garde pesant sur le propriétaire de la chose
Principe d’une présomption de garde à l’égard du propriétaire de la chose : Req 12 janvier 1927. Avantages :
- La présomption de garde qui pèse sur le propriétaire vient compenser les difficultés auxquelles le demandeur peut
faire face ds la démonstration de la garde matérielle.
- Le propriétaire de la chose est mieux placé pour s’assurer contre le risque de responsabilité. On l’incite à prendre les
mesures nécessaires à prévenir la réalisation des dommages. On offre au demandeur un responsable solvable.

Présomption simple = propriétaire présumé gardien peut prouver qu’au moment de la réalisation du dommage, il a cessé
d’être gardien = autre personne exerçait les pouvoirs d’usage, de contrôle et de direction = démonstration transfert de garde.
Plusieurs manières d’envisager ce transfert :
• involontaire : vol de la chose
• volontaire : le propriétaire à transférer de son plein gré la garde la chose a autrui.
- Transfert résulte d’un contrat : pas nécessairement transfert de garde. Il faut que celui qui se voit confier la chose
puisse exercer sur cette chose un réel pouvoir de maitrise.
- Extracontractuelles : au moment de la réalisation du dommage, il n’était plus l’utilisateur, détenteur de la chose.
CCass particulièrement exigeante. Civ2, 28 février 1996 : « dans un magasin où la clientèle peut se servir elle-
même, il ne suffit pas qu’un client manipule un objet offert à la vente pour qu’il y ait transfert de garde »

2. La garde en commun
La garde = collective = plusieurs personnes vont pouvoir être considérées comme Co-gardien. Lorsque plusieurs personnes
disposent d’un même titre juridique. On distingue 2 situations :
- La chose est soumise à l’action de plusieurs personnes, et ceux sans qu’on puisse considérer, identifier qui en était le
gardien lors de la réalisation du dommage. (Ex : enfant qui houe ensemble avec une chose)
- Celles pour plusieurs choses soumis à la garde de personnes différentes ont causé un dommage, sans qu’on puisse
identifier laquelle de ces choses a été l’instrument du dommage

Pendant un temps, les tribunaux rejetaient systématiquement les demande en responsabilité dans ces hypothèses, faute pour
la victime d’établir le lien causal entre le dommage et le fait de la chose ou entre le dommage et la chose de tel ou tel
gardien. Au milieu 20e, CCass reviennent sur position : résonne par le bais de la garde en commun au profit des victimes
d’accident de chasse, de jeux d’enfant ou encore de sports collectifs = on va considérer que les différents membres du groupe
de chasse avaient la garde en commun des fusils : Civ2, 15 décembre 1980

2 Intérêt de la notion de garde en commun : lever l’obstacle d’établir un lien de causalité, engager la responsabilité in
solidum des co-gardiens. Soit le demandeur peut obtenir la condamnation de tous les co-gardiens à la réparation de son
dommage, soit il peut obtenir la condamnation d’un seul à réparer l’entier dommage, à charge pour le solvens de se retourner
contre les autres co-gardiens pour obtenir un partage de la dette de réparation.
Si la victime fait partie du groupe de co-gardien, puisqu’elle-même co-gardienne, elle ne peut plus bénéficier à l’encontre des
autres co-gardiens de l’A1242 al.1 Code civil.

III. Les moyens de défense du gardien


Il peut s’agir pour le défendeur de contester les arguments soulevés par le demandeur pour les conditions de meo de la
responsabilité. A1242a1 = défendeur peut contester l’existence d’un rôle actif de la chose/sa qualité de gardien.
Se prévaloir d’une cause d’exonération : permet d’écarter la responsabilité lorsqu’elle est établie.

A. Feu l’acceptation des risques


L’acceptation des risques ne doit pas être entendue comme une cause d’exonération = moyen de défense qui se place en
amont et qui permet de contester la meo de la responsabilité. Hypothèses demandeur qui a participé à l’activité au cours de
laquelle le dommage a été causé en a, par sa participation, accepté les risques normalement prévisibles.
= ne peut plus bénéficier de la RC fondée sur A1242a1. Il faut que le risque ait été normalement présumé, victime ne peut
se prévaloir que d’une responsabilité pour faute sur le fondement de l’A1240.

A1242a1 se trouve limitée aux préjudices subis par ceux qui n’ont pas consentis aux risques. CCass a limité
considérablement jeu de l’acceptation des risques sur le terrain de l’A1242a1 = applique que dans le domaine des activités
sportives, au cours des compétitions. Sinon, plus un moyen de défense pour le défendeur  : Civ2, 28 mars 2002. L’acception
des risques ne pouvait couvrir que les risques normaux de l’activité sportive en question. Anormal, acception des risques
était écartée. Risque de mort est toujours anormal (9 mai 1990)

Acceptation des risques critiquée = revirement de jsp (Civ2, 4 novembre 2010 : dommage causé à l’occasion d’un
entrainement de course de motos sur circuit fermé = or compétition sportive. CA = acceptation des risques = aurait pu être
censurée, or de compétition sportive. Mais motif beaucoup plus général CCass a censurée CA  : visa de l’ancien 1384a1,
expose que « la victime d’un dommage causé par une chose peut invoquer la responsabilité résultant de l’a1384a1 à
l’encontre du gardien de la chose, instrument du dommage, sans que puisse lui être opposée son acceptation des risques ».
Application ferme et générale de l’application des risques sur le terrain de l’a1242a1. Le législateur a introduit dans le code
du sport une disposition spécifique (aL 321-3-1: limite l’exclusion de l’acceptation des risques aux dommages matériels).

B. Les causes d’exonération


A1242a1 = responsabilité objective, sans faute. Inutile pour le gardien d’espérer s’exonérer en prouvant l’absence de faute.
Seule la cause étrangère ou la faute de la victime pourra réduire ou exclure la respo du gardien. Exonération totale, si la
cause étrangère = force majeure. Sinon partielle, (Civ2, 21 juin 1982, Desmare)

La force majeure : évènement exceptionnel qui a conduit irrémédiablement la chose à causer le dommage. Imprévisible,
irrésistible et extérieur.
Faute de la victime : auteur de dommage peut être exonéré partiellement. Le comportement de la victime est apprécié par
les juges sans prendre en compte le discernement (Lemaire).

La condition d’extériorité en matière de RC du fait des choses à une importance : est appréciée par rapport à la chose, et par
rapport au gardien, à son activité ou à son entreprise. Tendance de la jsp à la rigueur dans l’appréciation de la force majeure,
en particulier lorsque c’est la faute de la victime qui est en cause, en particulier sur des litiges qui concernent la SNCF et la
RATP. (Doc 29 et 30 S6)

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