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1. Notions énergétiques
1.1. Travail :
1.1.1. Définition :
Le travail W correspond à une accumulation de puissance pendant un temps déterminé :
𝑑𝑊 = 𝑃𝑑𝑡
On obtient donc le travail W1!2 effectué entre les instants t1 et t2 par intégration de la
𝐴
Appelons 𝑃(𝑡) la puissance générée par la force 𝐹⃗ dans le mouvement de ,
𝑅
𝑃(𝑡) = 𝐹⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐴 (𝑡)
Le travail de 𝐹⃗ entre les instants 𝑡1 et 𝑡2 est :
𝑡 𝑡
𝑊1→2 = ∫𝑡 2 𝑃. 𝑑𝑡 = ∫𝑡 2 𝐹⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐴 (𝑡). 𝑑𝑡
1 1
𝑡
Or 𝐹⃗ étant constante 𝑊1→2 = 𝐹⃗ ∫𝑡 2 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐴 (𝑡). 𝑑𝑡 et si 𝑂 un point fixe dans le repère 𝑅.
1
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑑𝑂𝐴 𝑡2 𝑡
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐴 (𝑡) = et 𝑊1→2 = 𝐹⃗ ∫𝑡 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⌋ 2 et si
𝑉𝐴 (𝑡). 𝑑𝑡 = 𝐹⃗ ⌊𝑂𝐴 𝑡
𝐴1 et 𝐴2 sont les positions de 𝐴 aux
𝑑𝑡 1 1
𝑊1→2 = 𝐹⃗ 𝛿⃗12
Soit un ressort [𝑂𝐴] de raideur 𝐾 , dont l’extrémité 𝑂 est fixe. On applique en 𝐴 un effort
La puissance générée par la force 𝐹⃗ dans le mouvement du point 𝐴 par rapport au repère
𝑑𝑋 𝑑𝑋
𝑃(𝐹⃗ ,𝐴) = 𝐹 𝑑𝑡 = 𝐾 𝑋
𝑅
𝑑𝑡
On peut écrire :
𝑡 𝑡 𝑡 𝑑𝑋
𝑊1→2 = ∫𝑡 2 𝑃. 𝑑𝑡 = ∫𝑡 2 𝐹⃗ . ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑉𝐴 (𝑡). 𝑑𝑡 = ∫𝑡 2 𝐾 𝑋 𝑑𝑡 . 𝑑𝑡
1 1 1
𝑡2
1
Soit 𝑊1→2 = ⌊
2
𝐾 𝑋 2 ⌋ = ½ 𝐾 (𝑋 2 2 − 𝑋 1 2 )
𝑡1
1.2. Énergie :
1.2.1. Concept d’énergie :
Une énergie est une grandeur homogène à des Joules. Une énergie peut être électrique,
On distingue pour un système isolé, les énergies possédées par le système (énergies propres) et
• Énergies externes :
Elles sont liées à la position du système comme :
1
- L’énergie cinétique : 𝐸𝑐 = ∫Ω 𝜌 𝜗 2 𝑑𝜗
2
- Ou l’énergie potentielle : 𝐸𝑝 = ∫Ω 𝜌 𝑔 𝑧 𝑑𝜗
• Énergie interne :
L’énergie interne U est liée aux mouvements et interactions entre les particules
constitutives du système.
• La chaleur Q.
pour un système fermé limité par une surface au travers de laquelle peuvent s’effectuer des
échanges énergétiques. Il s’écrit sous forme de bilan où, dans un repère galiléen, la variation
d’énergie totale du système entre deux états 𝐸1 et 𝐸2 est égale à la somme des travaux et chaleurs
reçus par le système pendant son évolution entre ces deux états : ∆𝐸 = 𝑊 + 𝑄
supposera que les transformations se font sans échange de chaleur et que l’énergie interne U
Soit une poutre Ω de ligne moyenne Γ ientée par une abscisse 𝑠 et de section ∑(𝑠)
On notera
1 𝑡2
Or 𝑊1→2 = ⌊2 𝐾 𝑋 2 ⌋ = ½ 𝐾 (𝑋2 2 − 𝑋1 2 )
𝑡1
1 1 𝐸𝑆 𝑙 𝑁 2 𝑁2
𝑊01 = 𝐾 ∆𝑙 2 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑊01 = ( ) = 𝑙
2 2 𝑙 𝐸𝑆 2𝐸𝑆
En appliquant le premier principe de la thermodynamique 𝐸2 − 𝐸1 = 𝑊1→2 + 𝑄1→2
𝐸1 − 𝐸0 = 𝑊𝑒1 − 𝑊𝑒0 = 𝑊01
On obtient donc l’énergie élastique de la barre à l’instant 𝑡1 :
𝑁2
𝑊𝑒1 = 𝐸𝑑𝑒𝑓 = 2 𝐸 𝑆 𝑙
Si on suppose que l’état de la matière est constant sur l’ensemble de la barre, on a 𝑊𝑒1 = 𝑙𝓌𝑒1 et
𝑊𝑒1 = 𝑆 𝑙 𝜓𝑒1 soit :
𝑁2
L’énergie linéique dans la barre est : 𝓌𝑒1 = 2 𝐸 𝑆
𝑁2
L’énergie volumique dans la barre est ; 𝜓𝑒1 = 2 𝐸 𝑆2
𝑁
Sachant que la contrainte normale portée par l’axe 𝑥⃗ est 𝜎𝑥𝑥 = ; on obtient :
𝑆
𝜎𝑥𝑥 2
𝜓𝑒1 =
2𝐸
𝑁2 ℳ𝑓𝑧 2 𝑇𝑦 2
𝓌𝑒 (𝑠0 ) = + +
2 𝐸 𝑆 2𝐸𝐼𝐺𝑧 2𝐺𝑆𝑦′
Avec :
• Sollicitations :
- 𝑁 : effort normal
- ℳ𝑓𝑧 : moment fléchissant suivant l’axe 𝑧⃗
- 𝑇𝑦 : effort tranchant.
• Caractéristiques matérielles :
- 𝑆 : aire de la section
- 𝐼𝐺𝑧 : moment d’inertie de section autour de l’axe 𝐺𝑧⃗
- 𝑆𝑦′ : section réduite.
Le terme en cisaillement est presque toujours négligé.
Le terme en moment est souvent prépondérant devant les autres. Dans ce cas, on dit que la
2 2
1 𝑁 2 ℳ𝑓𝑧 𝑇𝑦
𝑊𝑒 = ∫ ( + + ′ ) 𝑑𝑠
2 𝐸 𝑆 𝐸𝐼𝐺𝑧 𝐺𝑆𝑦
Γ
Si on néglige les énergies dues à l’effort tranchant et à l’effort normal, on dit que le problème
1 ℳ𝑓𝑧 2
𝑊𝑒 = ∫ 𝑑𝑠
2 𝐸𝐼𝐺𝑧
Γ
1.4.4. Cas général :
Dans le cas général, nous avons :
1 𝑁 2 𝑇𝑦 2 𝑇𝑧 2 ℳ𝑡 2 ℳ𝑓𝑦 2 ℳ𝑓𝑧 2
𝑊𝑒 = ∫ ( + + + + + ) 𝑑𝑠
2 𝐸 𝑆 𝐺𝑆𝑦′ 𝐺𝑆𝑧′ 𝐺𝐼𝑜 𝐸𝐼𝐺𝑦 𝐸𝐼𝐺𝑧
Γ
égale au travail du second système de charges sur les déplacements du premier système de charges. »
𝑷𝟏 𝜟𝟏𝟐 = 𝑷𝟐 𝜟𝟐𝟏
𝑷𝟏 𝑷𝟐
L’énergie de déformation élastique emmagasinée dans la poutre de l’État1 due aux charges 𝑷𝟏 est :
1
𝑊1 =
2
𝑃1 ∆11
Supposons que nous appliquons 𝑷𝟐 sur le 1er état de chargement, 𝑾𝟏 deviendra :
1 1
𝑊1 =
2
𝑃1 ∆11 + 𝑃1 ∆12 + 2 𝑃2 ∆22
𝑃1 ∆12 : Le travail mécanique de la force 𝑃1 sur le déplacement crée par 𝑃2 dans la direction de 𝑃1 ;
1
2
𝑃2 ∆22: Le travail de 𝑃2 sur son propre déplacement dans sa direction.
Raisonnons de la même manière pour l’État2, nous obtenons l’expression de l’énergie de déformation
suivante :
1 1
𝑊1 =
2
𝑃2 ∆22 + 𝑃2 ∆21 + 2 𝑃1 ∆11
𝑷𝟏 𝑷𝟐
Dans les deux cas on obtient la même déformée, d’où l’égalité des expressions des énergies de
déformation :
Théorèmes énergétiques :
{𝐴1 ; 𝐴2 ; 𝐴3 ; … … ; 𝐴𝑖 ; … … ; 𝐴𝑗 ; … … ; 𝐴𝑛 } points de Γ.
Le travail 𝑊𝑖𝑗 effectué par les charges 𝐹⃗𝑖 et 𝐹⃗𝑗 lors de leur application, est donné par la relation
1 1
𝑊𝑖𝑗 = 𝐹𝑖 𝑦𝑖 + 𝐹𝑗 𝑦𝑗
2 2
Ou
𝑛
1
𝑊𝑒𝑥𝑡 = ∑ 𝐹𝑖 𝑦𝑖
2
𝑖=1
𝑦𝑖 = ∑𝑛𝑖=1 𝜆𝑖𝑗 𝐹𝑗 :
1
Soit 𝑊𝑒𝑥𝑡 = 2 ∑𝑛𝑖=1(𝐹𝑖 ∑𝑛𝑖=1 𝜆𝑖𝑗 𝐹𝑗 )
𝑛 𝑑 (𝐹 ∑𝑛 𝜆 𝐹 ) 𝑛 𝑛 𝑛
𝑑𝑊𝑒𝑥𝑡 1 𝑖 𝑖=1 𝑖𝑗 𝑗 1 𝑑𝐹𝑖 𝑑𝐹𝑗
= ∑ = ∑[ ∑ 𝜆𝑖𝑗 𝐹 + 𝐹𝑖 ∑ 𝜆𝑖𝑗 ]
𝑑𝐹𝑘 2 𝑑𝐹𝑘 2 𝑑𝐹𝑘 𝑗 𝑑𝐹𝑘
𝑖=1 𝑖=1 𝑖=1 𝑖=1
𝑛 𝑛 𝑛 𝑛
𝑑𝑊𝑒𝑥𝑡 1 𝑑𝐹𝑖 1 𝑑𝐹𝑗
= ∑( ∑ 𝜆𝑖𝑗 𝐹 ) + ∑ (𝐹𝑖 ∑ 𝜆𝑖𝑗 )
𝑑𝐹𝑘 2 𝑑𝐹𝑘 𝑗 2 𝑑𝐹𝑘
𝑖=1 𝑗=1 𝑖=1 𝑗=1
𝑑𝐹𝑖
𝑠𝑖 𝑖 = 𝑘 ===> =1
𝑑𝐹𝑘
𝑎𝑣𝑒𝑐
𝑑𝐹𝑖
𝑠𝑖 𝑖 ≠ 𝑘 ===> =0
{ 𝑑𝐹𝑘
𝑛 𝑛 𝑛
𝑑𝑊𝑒𝑥𝑡 1 1
𝐴𝑙𝑜𝑟𝑠 = ∑ 𝜆𝑘𝑗 𝐹 + ∑ 𝜆𝑖𝑘 𝐹𝑖 = ∑ 𝜆𝑘𝑗 𝐹𝑗 = 𝑦𝑘
𝑑𝐹𝑘 2 𝑗 2
𝑗=1 𝑖=1 𝑗=1
Finalement
𝒅𝑾𝒆𝒙𝒕
= 𝒚𝒌
𝒅𝑭𝒌
appliques, soit :
𝑑𝑊𝑒𝑥𝑡 𝑑𝑊𝑒
∆𝑊𝑒 = 𝑊𝑒𝑥𝑡 et donc =
𝑑𝐹𝑘 𝑑𝐹𝑘
La dérivée de l’énergie élastique 𝑊𝑒 par rapport à l’intensité de l’effort 𝐹⃗𝑘 est égale à la projection
𝑦𝑘 déplacement du point d’application de 𝐹⃗𝑘 sur sa droite d’action.
𝒅𝑾𝒆
= 𝒚𝒌
𝒅𝑭𝒌
On a de même pour un couple : La dérivée de l’énergie élastique 𝑊𝑒 par rapport à l’intensité du
couple ⃗⃗⃗⃗𝑘 est égale à la projection 𝜃𝑘 la rotation du point d’application de ℳ
ℳ ⃗⃗⃗⃗𝑘 sur son axe.
𝒅𝑾𝒆
= 𝜽𝒌
𝒅𝓜𝒌
Il faut donc :
2- Calculer les réactions d’appui. (On peut se passer de les calculer dans le cas d’une structure
3- Calculer le torseur des efforts intérieurs en tout point, et tracer les diagrammes des
l’expression du moment (et éventuellement des autres sollicitations) est différente pour
Il conviendra d’utiliser la relation de Chasles pour calculer l’intégrale sur toute la poutre.
3.1.2. Exemple :
Une poutre sur 2 appuis de longueur 𝐿, représentée sur la figure , est sollicitée par un effort 𝐹⃗ au point
𝐴 d’abscisse 𝑎.
1- On néglige l’énergie de déformation due au cisaillement et dans la mesure où l’effort normal est
nul, nous avons :
1 ℳ𝑓𝑧 2
𝑊𝑒 = ∫ 𝑑𝑥
2 𝐸𝐼𝐺𝑧
Γ
2- L’application de principe fondamentale de la statique nous permet de calculer les réactions aux
appuis suivants :
𝑎
𝑌𝐵 = − 𝐹
𝐿
𝑋𝑂 = 0
(𝐿 − 𝑎)
{𝑌𝑂 = − 𝐿
𝐹
Comme la charge répartie est nulle, l’effort tranchant est constant par morceaux et le moment
𝐹2 2
1 3 𝑎 2
1 3
𝑙
𝑊𝑒 = [(𝐿 − 𝑎) [ 𝑥 ] − 𝑎 [ (𝐿 − 𝑥) ] ]
2𝐸𝐼𝐺𝑧 𝐿2 3 0 3 𝑎
𝐹2 1 3 2
1 2 3
𝑎2 (𝐿 − 𝑎)2 𝐹 2
𝑊𝑒 = [ 𝑎 (𝐿 − 𝑎) + 𝑎 (𝐿 − 𝑎) ] = [𝑎 + (𝐿 − 𝑎)]
2𝐸𝐼𝐺𝑧 𝐿2 3 3 6𝐸𝐼𝐺𝑧 𝐿2
𝒂𝟐 (𝑳 − 𝒂)𝟐 𝑭𝟐
𝑾𝒆 =
𝟔𝑬𝑰𝑮𝒛 𝑳
𝒅𝑾𝒆
5- D’après le théorème de Castigliano =𝒚
𝒅𝑭
𝑎2 (𝐿 − 𝑎)2 𝐹 2
𝒅𝑾𝒆 𝑑 ( 6𝐸𝐼 𝐿 ) 𝑎2 (𝐿 − 𝑎)2
𝐺𝑧
𝒚= = = 𝐹
𝒅𝑭 𝑑𝐹 3𝐸𝐼𝐺𝑧 𝐿
Méthode.
Pour calculer 𝑦𝐴 , la projection du déplacement du point 𝐴 dans la direction 𝑢
⃗⃗ , on applique sur la
On calcule l’énergie élastique 𝑊𝑒 due aux charges réelles et à la charge fictive dans la structure.
On en déduit
𝒅𝑾𝒆
𝒚𝑨 =
𝒅𝑷 /𝑷=𝟎
Dans le cas d’une structure à énergie de flexion dominante, on peut écrire :
1 ℳ𝑓𝑧 2
𝑊𝑒 = ∫ 𝑑𝑥
2 𝐸𝐼𝐺𝑧
Γ
vecteur 𝑢
⃗⃗.
Or ℳ𝑓𝑧 /𝑃=0 = ℳ𝑂
On en déduit
𝑑𝑊𝑒 1
𝑦𝐴 = = ∫ ℳ𝑂 ̅̅̅̅̅
ℳ𝑃 𝑑𝑥
𝑑𝑃 /𝑃=0 𝐸𝐼𝐺𝑧
Γ
On utilise la même méthode pour calculer la rotation 𝜽𝑨 du point A en projection sur l’axe 𝑧⃗ . On applique
au point A un moment fictif 𝜇⃗𝐴 = 𝜇𝐴 𝑧⃗ et :
𝑑𝑊𝑒 1
𝜃𝐴 = = ̅̅̅̅̅
∫ ℳ𝑂 ℳ 𝜇𝐴 𝑑𝑥
𝑑 𝜇𝐴 /𝜇 𝐸𝐼𝐺𝑧
𝐴 =0 Γ
Méthode de superposition
La méthode de superposition est une technique pratique et couramment utilisée pour obtenir les flèches
La méthode de superposition pour calculer les déplacements dans une poutre est un concept plus général
connu en mécanique sous le nom de principe de superposition. Ce principe est valable chaque fois que la
quantité à déterminer est une fonction linéaire des charges appliquées. C'est le cas où la grandeur
cherchée peut être déterminée pour chaque charge agissant séparément, puis ces résultats peuvent être
superposés pour obtenir la quantité souhaitée lorsque les charges agissant simultanément. Dans les
structures ordinaires, le principe est généralement valable pour les contraintes, les déformations, les
Dans le cas particulier des déplacements dans une poutre, le principe de superposition est valable dans
3. La présence des déplacements ne modifie pas les actions des charges appliquées.
dans lesquelles le principe de superposition est utilisé pour calculer les flèches et
Les équations différentielles de la déformée sont des équations linéaires c'est-à-dire tous les termes
de y, y' et y'' sont du premier ordre. Les déformations dues à plusieurs cas de charges peuvent être
donc superposées ou cumulées. Cette méthode est surtout utilisée quand le chargement est composé de
plusieurs cas de charge élémentaire ou les déformations sont données dans les aides mémoires de la
RDM.
(𝒍 − 𝒙) 𝑭𝟐
𝝈(𝒙) = 𝑭𝟏 +
𝑰 𝑮𝒛 𝑺
𝒚
• Déplacements équivalents
La linéarité des équations et notamment des lois de comportement (lois de Hooke), nous conduit à
Cette méthode permet d'obtenir la déformé d'un problème y(x) comme somme de problèmes simples :
Exemple2 :
𝑓𝑚𝑎𝑥 = 𝑓𝑞 + 𝑓𝑝
𝑞 𝑎3 (4𝑙 − 𝑎)
𝐴𝑣𝑒𝑐 ∶ 𝑓𝑞 =
24 𝐸 𝐼
𝑃 𝑙3
𝑓𝑝 =
3𝐸𝐼
𝑞 𝑎3 (4𝑙 − 𝑎) 𝑃 𝑙 3
𝑓𝑚𝑎𝑥 = 𝑓𝑞 + 𝑓𝑝 = +
24 𝐸 𝐼 3𝐸𝐼
• Problèmes hyperstatiques
Les problèmes hyperstatiques sont résolus en rendant les problèmes isostatiques puis en écrivant les
conditions hyperstatiques. Les conditions hyperstatiques sont généralement des conditions géométriques
Le théorème de superposition concernant les déplacements est alors utile pour résoudre le problème par