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Les Mémoires de

l’Economie et de la
Finance

I. Un succès grandissant

II. Un jury d’excellence

III. Une cérémonie de


remise des prix prestigieuse

IV. 60 000 euros de prix

V. Des mémoires de haut


niveau venant de toute
l’Europe
L’édition 2007 en chiffres

 171 mémoires, soit 30% de plus que l’année précédente

 176 étudiants candidats

 57 formations participantes

 49 membres du jury

 41 établissements participants, dont 17 Ecoles et 24 Universités,


soit
 13 établissements parisiens
 20 établissements en région
 8 établissements étrangers

avec les contributeurs suivants :

Nombre %
Formation de
mémoires
London Business School 16 9.3
Université Paris Dauphine 15 8.7
HEC 12 7
CERAM Sophia Antipolis 11 6.4
ISFA université Claude Bernard Lyon 8 4.6
Université Paris 2 Panthéon Assas 8 4.6
Solvay Business School (Belgique) 8 4.6
Université Luigi BOCCONI (Milan) 7 4
HEC Montréal 6 3.5
CNAM 5 3
ENSAE 4 2.3
IAE de Paris 4 2.3
Liste des prix pour 2008
Grand Prix du Centre des Professions
Financières 2008
10 000 €

Les prix décernés par les associations


professionnelles

Prix AFG 2008 Le mémoire portera sur


la contribution des
5 000 €
dérivés de crédit à la Prix FBF 2008
liquidité des marchés, Le mémoire traitera de 5 000 €
ainsi que ses l’activité « banque de
conséquences en terme détail », aux niveaux
de stabilité financière français, européens et
internationaux

Le mémoire sera Prix AREIM 2008


Le mémoire
dédié à la 5 000 €
Prix SFAF 2008 traitera des
finance
5 000 € techniques de
immobilière
l’analyse financière
utilisées pour la
recherche et la
Prix ASF 2008 Le mémoire traitera des gestion financière
5 000 € activités et atouts des
établissements de crédit
Le mémoire analyse Prix Paris
spécialisés Europlace 2008
principalement les
modèles des 5 000 €
infrastructures de
Le mémoire portera Prix CNCC 2008 marchés
sur la doctrine 5 000 €
comptable et son
évolution Prix PRMIA-AFGAP 2008 Le mémoire
5 000 € traitera de la
gestion des
Prix FFSA 2008 risques
5 000 € financiers
Le mémoire sera consacré aux
problématiques de l’assurance

Et la liste des prix peut encore s’agrandir aujourd’hui : le dialogue est ouvert avec l’AFIC
(Association Française des Investisseurs en capital) et la DFCG (Association nationale des
directeurs financiers et controleurs de gestion) pour un partenariat pour les MEF 2008
Un jury d’excellence
Le jury est formé chaque année d’une cinquantaine d’éminentes
personnalités des professions financières mais aussi de l’enseignement
financier qui de par leur expérience et leur expertise dans différents
domaines peuvent assurer à tous les mémoires d’être évalués à leur juste
valeur.
Devant la notoriété grandissante du concours, le nombre de
mémoires reçus a quadruplé en entre 2004 et 2007. Nous attendons plus
de 200 mémoires cette année. Afin de faciliter la tâche du jury et d’assurer
que l’ensemble des mémoires seront lus avec l’attention qu’ils requièrent, le
comité de pilotage a décidé de réorganiser le jury. Ainsi, est créé un comité
de pré-lecture qui lira tous les mémoires collectés et en distinguera à peu
près 70 qui seront soumis au Grand jury.

Ci-joint la liste des membres du jury de l’édition 2007-2008


Compagnie Nationale des Commissaires
Vincent BAILLOT Président
aux Comptes (CNCC)
Membre du Steering Committee Professional Risk Managers’
Joël BESSIS
France International Association (PRMIA)
Jean-Hubert BLANCHET Directeur Ingénierie Financière La Banque Postale
CFM, Commissariat de l’Energie Atomique
Jean-Philippe BOUCHAUD Chairman
(CEA)
Association des Gestionnaires d’Actif-
Jean-François BOULIER Président
Passif (AFGAP)
Alain CAZALÉ Directeur des études Crédit Agricole SA
Franck CEDDAHA Associé Gérant ODDO Pinatton Corporate
Bernard COUPEZ Directeur BNP Paribas Asset Management
Colette COVA Direction de la communication Fédération Bancaire Française (FBF)
Directeur, Communication et
Carole d’ARMAILLÉ Paris EUROPLACE
groupes projets
Arnaud de BRESSON Délégué Général Paris EUROPLACE
Fédération Française des Sociétés
Gérard de la MARTINIERE Président
d'Assurances (FFSA)
Président de la commission de Association Française des Sociétés
Arnaud de MARCELLUS
sections cautions Financières (ASF)
Gaël de PONTBRIAND Associé PricewaterhouseCoopers
Directeur du pôle Conseil et de
Françoise de VILE D'AVRAY Neuflize Vie
la Communication
Jean-Guy de WAËL Vice-président exécutif Centre des Professions Financières (CPF)

Daniel DEGUEN Président d’Honneur Centre des Professions Financières (CPF)


Arnaud DEPPEN Vice-président Club des Jeunes Financiers
Denis DUBOIS Professeur des Universités CNAM
Fondation pour la recherche de la Banque
Denise FLOUZAT Administrateur
de France
Association des Gestionnaires d’Actif-
Alain FONTENEAU Président
Passif (AFGAP)
Thierry FOUCAULT Doyen associé Groupe HEC
Daniel GABRIELLI Professeur des Universités CNAM
Gérard HAUTEFEUILLE Associé PricewaterhouseCoopers
Jean-Marie HENNES Vice-président Mars & Co
Antoine HYAFIL Doyen du corps professoral Groupe HEC
Professional Risk Managers’
Christian JIMENEZ Président du Groupe France
International Association (PRMIA)
Compagnie Nationale des Commissaires
Didier KLING Président d’Honneur aux Comptes
(CNCC)
Association Française des Sociétés
Alain LASSERON Délégué Général Adjoint
Financières (ASF)
Institut de Science Financière et
Jean-Paul LAURENT Professeur des Universités
d'Assurances(ISFA)
Association Française de la Gestion
Alain LECLAIR Président
Financière(AFG)
Société Française des Analystes Financier
Patrick LEGUIL Président
(SFAF)
Association Française des Sociétés
François LEMASSON Président
Financières (ASF)
Société Française des Analystes Financier
Ariane LIEURE Directrice
(SFAF)
Catherine LUBOCHINSKY Professeur Université Panthéon-Assas Paris II
Association de Recherche et d’Etude en
Mahdi MOKRANE Président
Immobilier (AREIM)
Association Française des Sociétés
Jean-Claude NASSE Délégué Général
Financières (ASF)
Ariane OBOLENSKY Directrice Générale Fédération Bancaire Française (FBF)
Directeur des Études Association Française de la Gestion
Carlos PARDO
Économiques Financière (AFG)
Lionel PEREZ Directeur Banque et Assurance Groupe Demos
Jean-Jacques PERQUEL Vice-Président Société de Bourse GPK
Président du Conseil
Gérard PFAUWADEL Unigestion Asset Management France
d’Administration
Michel PIERMAY Président FIXAGE
Joan PIERSON Directeur Général Neuflize Vie
Patrice RACT-MADOUX Président CADES
Pierre ROMELAER Professeur des Universités Université Paris Dauphine
Membre du conseil de la
Michèle SAINT MARC Banque de France
politique monétaire
Inspecteur Général des Ministère de l’Economie, des Finances et
Philippe SOURLAS
Finances de l’Industrie
Philippe TARDY-JOUBERT Vice-président et Déontologue Turenne Capital Partenaires

Philippe TRAINAR Chief Economist Officer SCOR

Céline VIALA Directeur Centre des Professions Financières(CPF)


Inspecteur Général des Ministère de l’Economie, des Finances et
Thierry WALRAFEN
Finances de l’Industrie
Jean WEMAERE Président Directeur Général Groupe DEMOS

Patrick WERNER Président du directoire La Banque Postale


Directeur de la trésorerie et des
Jacques WERREN Caisse d’Epargne Ile de France Ouest
placements
Une cérémonie
prestigieuse
La remise des prix aux lauréats est l’objet d’une réunion d’environ
300 personnes dans un des lieux de prestige de la Capitale : en février
2005 à la Galerie Dorée de la Banque de France avec la présence effective
du Gouverneur, en février 2006 à la CCIP avec M. Pierre Simon, en février
2007 au Grand Auditorium du Crédit Agricole avec M. René Carron.
Cette cérémonie permet aux professeurs et aux étudiants (dont
certains trouvent à cette occasion un stage, sinon un emploi auprès des
grandes organisations financières présentes) de rencontrer des
professionnels du monde de la finance que ce soit dans la banque,
l’assurance, l’audit, l’investissement...

A cette occasion d’éminentes personnalités interviennent pour des


tables rondes ou des allocutions sur des sujets d’actualité. Ainsi, lors de la
23e édition, M. René Carron a abordé le sujet de la « Mutation d'entreprise
et permanence des valeurs »à travers « l'exemple du Crédit Agricole SA ».
Messieurs Maurice Lévy, Président de Publicis et Jean Pierre Jouyet, Chef
de Service de l'Inspection Générale des Finances sont intervenus sur le
thème de l’ « Economie de l'immatériel : la croissance de demain ».
Des mémoires de haut
niveau
Depuis sa création, le concours des Mémoires de l’Economie et de la
Finance a su collecter des mémoires de très haut niveau qui abordent des
sujets variés et originaux. Mais surtout des mémoires qui contribuent à
l’avancée de la réflexion dans leurs domaines. Le concours permet,
notamment grâce à la participation de nombreuses associations
professionnelles, de couvrir des domaines très variés. Cette année par
exemple, avec la création du prix AREIM, le concours s’étend à la finance
immobilière.

Etant donnée la variété des sujets que l’on peut aborder, certains
impératifs sont à respecter pour pouvoir participer au concours :
- Depuis l’année dernière, les mémoires sont acceptés en français et en
anglais. Cependant, pour les étudiants français, la synthèse doit être
écrite en français.
- Les formulations mathématiques doivent être compréhensibles
- Les références doivent être mises en rapport dans le corps du texte
- Pas d’analyse financière pure
- Pas de cas trop particulier (exemple : rapport de stage)
- Il faut un intérêt général
De plus est demandé un abstract d’une page exprimant l’intention, la
problématique, développant le raisonnement mené jusqu’à la conclusion et
ouvrant sur un développement ultérieur envisagé.

Propositions de sujets par les professionnels

Les associations professionnelles partenaires fournissent chaque


année une liste des sujets afin de donner une idée des thèmes d’actualités
qui les intéressent. Cette liste n’est évidemment pas exhaustive.

Association • Produits dérivés et gestion de portefeuilles


diversifiés (OPCVM…) – à quoi servent les dérivés
Française de la ?
Gestion Financière • Marchés financiers, innovation, concurrence et
coûts de la régulation.
• Les produits dérivés
• Analyse coût / bénéfice de la réglementation des
représentent-ils vraiment une source de risque(s)
activités financières (état de l’art).
supplémentaire(s) ?
• Etude empirique de la réconciliation du couple
• En quoi les produits dérivés contribuent-ils au
risque/rendement.
bon fonctionnement des marchés ?
• Etude empirique sur la financiarisation de • Gouvernement d’entreprise et gestion d’OPCVM
l’économie et comportements patrimoniaux des – peut-on modéliser les comportements ?
agents. • Analyse sociologique et épistémologique des
• Les hedge funds, en quoi contribuent-ils à benchmark. Pourquoi faut-il des benchmark ? De la
l’approfondissement et à la liquidité des marchés convention actuelle en matière de benchmark à la
? proposition de solutions : limites des outils actuels
• Enseignement de l’économie et praxis de la et proposition de nouveaux outils.
gestion. • Peut-on et faut-il s’affranchir des benchmarks,
• Knowledge, management et gestion de plus particulièrement dans les gestions
portefeuille – état de l’art. à long terme ? Faut-il se comparer à tout prix ?
• Gestion actif/passif et allocation d’actifs chez les • Quelle est la valeur ajoutée de la construction
investisseurs institutionnels. d’un benchmark ? Comment mieux construire des
• Existe-il un niveau optimum à la diversification benchmark dans une classe d’actifs bien déterminée
des risques des OPCVM ? ?
• Y a-t-il des économies d’échelle ou de gamme • Concurrence et benchmark. Benchmark, recherche
dans la gestion pour compte de tiers ? et mesure de l’alfa. Le benchmark sert-il vraiment à
• Innovation financière et économie d’échelle évaluer les gérants. Qu’est-ce qu’un bon gérant ?
dans la gestion pour compte de tiers. • Benchmark et gestion indicielle.
• Pourquoi les sociétés de gestion ont-elles besoin • Quel impact macro-économique pour le
de capitaux propres ? Approche économique. benchmarks ?
• La structure institutionnelle des marchés • Retraite : passage de la prestation définie à la
influence-t-elle la prédominance de certains cotisation définie (Etat de l’art) –
styles de gestion (gestion indiciel vs active / value Avantages et inconvénients ? Quelle gouvernance ?
vs growth…) • Conséquences macro- et micro-économiques du
• Quel est le coût économique des dépositaires en changement de paradigme : de la prestation définie
tant que porteurs du risque ? à la cotisation définie.
• Gestion pour compte de tiers : quelle rentabilité • Investissement à long terme (dont la retraite),
économique pour un métier sans risque ? gestion des risques et allocation d’actifs.
• Quelle est la valeur ajoutée de la gestion active • Prise de risque et produits garantis – quel coûts
des capitaux ? pour quelle protection ?
• Impact de la gestion de fonds sur la liquidité du • Modèles dynamiques d’allocation d’actifs (état de
système de financement de l’économie. l’art)
• Rôle des anticipations - rationnelles - dans • Lien entre allocation d’actifs et normes IAS
l’allocation d’actifs. (impact sur les taux longs)
• Titrisation et transferts de risques - • Transfert des risques, innovations et stabilité
financiarisation de l’économie. financières :
• Mesure des risques et horizon de placement : • Mesures de risque – quelle signification pour les
Peut-on, et comment utiliser les modèles de cycle différents indicateurs ?
de vie ? • Rôle des gestions dans la maîtrise de ces risques ?
• Innovation financière et nouvelles classes
d’actifs (immobilier, matières premières, droits à
polluer…)
• Capital risque : quelles sont les particularités
institutionnelles de ce marché aux USA?
Permettent-elles en partie d’expliquer la réussite
du modèle américain ?
• Exercice des droits de vote par les gérants – quel
impact sur les entreprises ?
Association des • Les options réelles en immobilier / Real options in
real estate.
Gestionnaires • La titrisation de créances immobilières /
d’Actif-Passif Securitisation.
• Expertises et valorisations / Valuation &
• Comptabilité d'acquisition et ALM ; en
appraisal.
particulier, mise à la juste valeur, valorisation des
"core deposits intangibles", valorisation des
options comportementales.
• La full fair value et l'ALM sont-ils conciliables ? Association
• Mesure du capital économique au titre du risque Française des
de taux du banking book.
• Allocation du capital, mesure de performance et Sociétés Financières
création de valeur pour les banques : analyse • Partenariats public-privé et crédit-bail.
comparée des différents choix. Ces différences • Microcrédit et établissements de crédit spécialisés.
reflètent-elles des différences organisationnelles ? • L'impact des modalités actuelles de calcul du taux
• Gestion des risques optionnels en équivalent de l'usure sur les difficultés d'accès au crédit
delta dans l'ALM : avantages et inconvénients ? immobilier pour les personnes présentant un profil
de risques atypiques, mais néanmoins solvables.
• La gestion sous mandat en France.
• Le financement locatif à l'épreuve des évolutions
Association de réglementaires: contraintes et opportunités de
développement.
Recherche et • Le marché de la location courte par les
d’Etude en Immobilier constructeurs et les distributeurs: volumes,
méthodes commerciales, gestion, financement...
• Finance et immobilier d’exploitation / Corporate
• Evolutions de la comptabilité publique des
real estate and finance.
collectivités locales et de leurs établissements
• Immobilier international / International real
publics.
estate.
• Evolutions de la réglementation des marchés
• Les véhicules d’investissement en immobilier /
publics : incidences sur les modes de financement
Real estate investment vehicles.
des investissements publics.
• Investissement immobilier et fiscalité / Real
• Financement locatif : contraintes et arguments liés
estate investment and taxation.
au marché des collectivités et établissements
• Immobilier et allocation de portefeuille / Real
publics.
estate and portfolio allocation.
• Impact des normes IAS sur le marché du leasing.
• La prime de risque en immobilier / The real
• Impact des règles de Bâle II sur le marché du
estate risk premium.
leasing.
• Analyse des marchés et prévisions / Market
• Evolution des modalités de financement des
analysis & forecasting.
équipements des PME en Europe.
• Marchés hypothécaire / Mortgage markets.
• La montée des contraintes légales et
• Indices, performance et mesures de risques /
réglementaires en crédit à la consommation.
Indices, performance & risk
• A la lumière des expériences étrangères, quelles
measurement.
opportunités l’introduction de la fiducie en France
• Gestion de portefeuilles immobiliers / Real
par la loi du 19 février 2007 peut-elle apporter aux
estate portfolio management.
établissements de crédit ?
• Les dérivés immobiliers / Real estate
derivatives.
• La finance des projets de développements / Real
estate development finance.
Fédération Bancaire Paris
Française EUROPLACE
• La banque a-t-elle un devoir de • Les modèles de marché
conseil en matière de distribution et MIFID.
de produits financiers? • L'investissement Socialement Responsable : Offre
• Le financement des PME et Demande
• Le développement de la Banque à distance, • Gouvernance d’entreprises et droit de vote :
quelles conséquences pour les agences ? comment favoriser l'investissement long terme ?
• Renforcer l’accès au crédit tout en prévenant le • Le développement des obligations foncières en
surendettement (Cf Rapport Babeau au CCSF). France et en Europe
• Le risque opérationnel dans l'activité bancaire • Rôle des banques d'investissement en Europe
(nouveau ratio de solvabilité). • SEPA : vers un système unique de paiement en
• Faut-il réguler les hedge funds ? Europe
• Les facteurs de consolidation des bourses. • Intelligence économique et marchés financiers
• Les modèles de distribution des OPCVM en • Le Financement de l'Innovation
Europe. • LBO et croissance de l'Economie
• Renforcer la sécurité des activités bancaires sur • La fiducie en France
Internet en maintenant une bonne ergonomie. • Les privatisations en Europe
• Dans quelle mesure le SEPA (Europe des • les nouveaux produits de couverture climatiques
moyens de paiement) va-t-il provoquer la • Marketing et Développement Durable
croissance des paiements intra européens ?
• SEPA : quelles opportunités pour les entreprises
françaises ? The Professional
• Les évolutions de la réglementation de la lutte
contre le blanchiment. Risk Managers’
• Le CESU: comment faire simple? International
• Les moyens de paiement dans la sphère sociale.
• Le cobranding des cartes: quelles Association
transformations en attendre ? • Les spreads de crédit peuvent ils être utilises pour
• Les commissions interbancaires multilatérales mesurer des probabilités de défaut et des taux de
peuvent-elles être remplacées par des procédures récupération?
de marché organisé ? • Les « probabilites defaut » et les taux de
• L'influence de l'endettement des ménages sur la récupération
croissance. • Le pricing des dérives crédit et les corrélations de
• La situation du capital investissement en France crédit
: historique et tendances actuelles ; quelles • La gestion de portefeuilles de crédit par les
évolutions sont nécessaires pour approcher la banques: Organisation, techniques, modèles
situation chez nos principaux concurrents, • Les CDOS cash et synthétiques
notamment les anglo-saxons. • Les CDOS: Existe-t-il une "bulle" du risque de
• Les banques face aux minorités et communautés crédit sur les marches?
réelles ou supposées : quel défi, quelle offre, • La titrisation et la gestion du capital des banques
quelle spécialisation ? • La couverture des risques peut elle être efficace
• Les services bancaires et financiers pour les sous IFRS (au sens IFRS)?
"pauvres" et "ménages fragiles" : existe-t-il un • Le risque opérationnel: Dans quelle mesure les
modèle européen ? Quels enseignements tirer d'un méthodes des banques peuvent-elles s'appliquer aux
comparatif européen des stratégies bancaires, des autres entreprises financières et non financières?
partenariats public privé et des réglementations ? • Le pilier 2 de Bale 2 et la valeur économique du
bilan des banques
Société Française de LBO, impact du développement des hedge
funds. Influences sur le tissu industriel.
des Analystes • Liaison entre les spreads sur les produits de dettes
Financiers et les primes de risque actions.
• Influence des IFRS sur le comportement des
• Evaluation des entreprises cotées ou non :
entreprises dans le domaine des retraites, des
o L’impact des normes IFRS sur les méthodes
prestations santé, et des autres avantages au
d’évaluation (p.e. incidence des méthodes de
personnel, des rémunérations basées sur les actions
comptabilisation des frais de recherche, traitement
(stock-options, actions gratuites, augmentation de
des actifs incorporels, règles de provisionnement,
capital, plan d’épargne) : évolution, modes de
incidence de l’évaluation d’éléments du bilan en
comptabilisation…
valeur du marché, distinction des éléments
• IFRS et comptabilisation des frais de recherche et
cash/non cash, prise en compte des activités à
développement : critères d’activation, convergence
céder ou à arrêter…)
ou non des pratiques, incidence sur le
o Evaluation des entreprises à comportement «
comportement des entreprises.
atypique » (pour les entreprises cotées, faible
• IFRS et ratios de l’analyse financière
corrélation avec les marchés ; entreprises
• Analyse financière et économie de l’immatériel
cycliques ; entreprises peu liées aux paramètres
(comptabilisation des actifs immatériels et
macro-économiques traditionnels : laboratoires
retraitements par les analystes, valorisation, critères
pharmaceutiques, start-up…
d’analyse…)
• Analyse financière et développement durable :
• Evolution du rôle des analystes financiers face à
transcription en terme d’analyse financière «
l’évolution des processus d’investissement (edge
classique » de l’analyse extra-financière
funds, private equity, gestion alternative, recherche
(quantification des risques, chiffrage
de l’alpha…)
d’opportunité, valorisation de la gouvernance
• Conséquences des directives récentes (Mifid,
d’entreprise…)
Transparence, OPA…) et de nouveaux modes de
• Liaison entre l’abondance ou la rareté des
facturation de la recherche (partage des
liquidités sur les marchés et le niveau de
commissions) sur l’analyse financière.
valorisation des entreprises. Rôle des opérations

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