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De tels ouvrages sont qualifiés « d’art » parce que leur conception et leur
réalisation font intervenir des connaissances où l’expérience joue un rôle aussi
important que la théorie. Cet ensemble de connaissances constitue d’ailleurs ce
que l’on appelle l’art de l’ingénieur.
les ponts et viaducs(pont haut et long), qui sont des ouvrages aériens qui
permettent de franchir une rivière, un bras de mer, une vallée, une autre
voie de communication ou tout autre obstacle ;
les tunnels, qui sont des ouvrages souterrains permettant le franchissement
de tous les obstacles similaires à ceux franchis par les ponts ;
les structures en élévation comme les auvents de péage ou les grands murs
anti-bruit, les grands mâts et portiques1 ;
les écluses(cloture en forme de bassin, faite de terre, de bois sur une
rivière ou un canal avec des portes ayant la capacité de retenir ou de
laisser passer l’eau) et les ascenseurs à bateaux sont des ouvrages d'art liés
à des voies navigables.
les murs de soutènement, qui sont des ouvrages assurant la stabilité des
terres
les gabions,
les digues.
les perrés
Les ouvrages d'art destinés à la retenue des eaux
Sont considérés comme ouvrages non courants, d'une part, les ouvrages
répondant aux caractéristiques suivantes :
Sont également considérés non courants tous les ouvrages ne dépassant pas les
seuils précédents, mais dont la conception présente des difficultés particulières,
par exemple :
celles provenant du terrain (fondations difficiles, remblais ou tranchées de
grande hauteur, risques de glissement…) ;
celles sortant des conditions d'emploi classiques (grandes buses
métalliques d'ouverture supérieure à 8 mètres, voûtes en béton d'ouverture
intérieure supérieure à 9 mètres ou dont la couverture de remblai est
inférieure à ⅛ de l'ouverture intérieure, utilisation d'un dispositif ayant
pour but de limiter la charge sur l'ouvrage) ;
celles liées à des modifications de solutions types résultant de la
géométrie du tracé ou de recherches architecturales (ponts très biais ou à
courbure prononcée…) ;
celles dues à l'emploi de techniques non codifiées et n'ayant pas fait l'objet
d'un avis technique du SETRA (procédés de soutènement spéciaux…) ;
celles dues au caractère innovant de la technique ou du procédé.
• Buses et Dalots
• Tunnels
• Ponts; …
Intercommunale à Tunis
Dalot triple
Remblais important
rotule
Encastrement
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Type de Tunnel selon la destination
• Tunnel ferroviaire;
• Tunnel Routier;
• Tunnel hydraulique.
29
Tunnels
• Coût de construction+ Coût d’exploitation
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Ventilation des tunnels routiers
Air vicié
Air frais
Tunnel cadre
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Tunnel ferroviaire à Béjà
33
Tunnel Hydraulique
du Barrage de Barbara à Fernana
(Nord-Ouest de la Tunisie).
35
Aperçu général du chantier
Vers le
Tunnel
Tunnel Hydraulique de Barbara (Fernana)
38
Six voussoirs pour la couverture intérieure du tunnel
Clé de
voûte
Couverture intérieure:
voussoirs assemblés
Sortie d’eau
Wagon Couverture
intérieure
Tunnel Hydraulique de
Barbara (Fernana)
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Limite entre tunnelier et
couverture par voussoirs
voussoir
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Tu
47
Éléments du tunnelier
Bras pour l’avancement du tunnelier
Coque du Sol
tunnelier (schiste)
Coque du Sol
tunnelier (schiste)
Bras pour
l’avancement
du tunnelier
Tablier
Appareil d’appui
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Pile
Fondation
Tablier
Culée
Pile
Chevêtre
Culée
Pile
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En
Bossage fretté
Appareil d’appui
en caoutchouc fretté
Evacuation
des eaux
Joint de chaussée
Hourdis
Tablier
Poutre
Entretoise
Appareil d’appui
Chevêtre
Pile
Colonne
Dalle
Appareil d’appui
Voile
L'homme est sensible à la beauté. A la laideur aussi. C'est instinctif, pas raisonné
L'art n'est pas la manifestation de la richesse d'un peuple. C'est un
besoin inné et irrépressible pour l'homme de manifester son existence et sa
singularité. Dans tout le monde, les peuplades, des plus pauvres aux plus
riches, ont éprouvé le besoin de se parer de colliers, de bijoux qui les diffé-
rencient de l'animal.
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Petra. L'art, par ses monuments, reste généralement le seul témoin des civilisations disparues
Comment se manifeste la qualité architecturale
Harmonie donc, que Larousse définit par: « accord bien réglé entre
les diverses parties d'un ensemble », c'est-à-dire:
Le Petit Trianon à Versaille, caractéristique par sa mesure et par l'harmonie des proportions
Rien de mieux que de citer J.-R. Robinson (sur l'esthétique des ponts.
Dunod 1958) pour recentrer le propos :
« C'est par un abus du langage que l'on dit que l'on calcule un pont;
jamais un pont n'est sorti d'un système d'équations, telle Pallas casquée du
cerveau de Zeus. On ne calcule jamais que ce que l'on a projeté aupara-
vant. Le calcul indique si ce que l'on a conçu tient ou ne tient pas, si la
matière est bien utilisée ou si elle est gaspillée. On n'a d'ailleurs vraiment
projeté que ce que l'on a dessiné et c'est par le dessin que l'on juge et des
dispositions constructives et des qualités esthétiques. L'élaboration d'un
projet comporte en réalité l'élaboration d'une série de projets successifs,
soit d'ensemble, soit de détail, de plus en plus poussés, que l'on juge, cor-
rige et améliore à chaque stade à tous les points, économie, art de la
construction et style ».
L'arc d'Antrenas. Autoroute A75 (M. Virlogeux, ingénieur).
Un franchissement élégant où la structure est judicieusement exprimée
L'intervention de l'architecte
A des ingénieurs en panne de conception architecturale, des décideurs
ont proposé, ou imposé, la collaboration d'architectes. Cela n'a pas tou-
jours été efficace. Paul Séjourné assurait, il y a un siècle, ne pas connaître
de résultat heureux de la collaboration d'un architecte et d'un ingénieur à
l'érection d'un pont. Il précisait: « Le choix d'un architecte est fort diffi-
cile, car très rares sont les architectes qui sont véritablement préparés à
l'étude d'un pont et conçoivent ce que doit être le style d'un ouvrage
moderne. Il en a été d'ailleurs toujours de même: les architectes qui ont
décoré des ponts ont quelquefois oublié qu'un pont n'est pas une maison,
ni un théâtre, qu'on regarde de tout près, et les ont chargés de petites
choses qu'on ne voit pas de loin ». (Grandes voûtes. 1914, p. 102). Il avait
parfaitement raison car certains architectes ajoutant un décor par trop rap-
porté - comme de la crème fouettée sur un gâteau - ont parfois aggravé
l'aspect de certains ouvrages, déjà mal partis.
Le surcoût architectural
La rampe de Sarreguemines (J-L. Jolin, architecte). Elle s'enroule en spirale autour d'une
structure affirmée, en acier autopatinable.
J'ai dessiné un grand nombre d'ouvrages courants sur routes et auto-
routes. La marge de manœuvre, pour l'architecte, est alors particulièrement
réduite : contraintes techniques, coût minimum, parfois coups déjà partis.
Je me suis cependant attaché à en simplifier l'aspect - de tels ouvrages
sont en général très petits dans un paysage - à leur donner des proportions
équilibrées et à en rendre la perception animée grâce au modelé des piles
que je conçois comme des sculptures entre lesquelles on passe. Le béton,
qui se prête à toutes les formes et des coffrages suffisamment répétitifs
permettent encore bien des solutions.
Avec Scetauroute pour les ouvrages des autoroutes A26 puis A16, j ' a i
mis au point une gamme d'ouvrages épurés, avec des piles simples mais
sculptées, des culées animées et un groupe corniche-garde-corps métal-
liques dont la coloration évolue tout au long du tracé. Pour la liaison
Sarreguemines - Bitche, l'ample courbe de la corniche répond à celles des
piles dont le volume exprime la fonction.
La technique détermine les formes et, pour des cas particuliers, j ' a i
proposé des architectures adaptées comme les piles à chevêtre de
Gondreville ou Koenigsmacker. Sur l'autoroute A l , il a fallu remplacer des
ouvrages sur les voies en circulation et je me suis attaché à exprimer au
mieux le système constructif du bureau d'études JMI. A Albi, Europe-
Etudes a proposé une travée unique dissymétrique ancrée dans un long
soutènement où j ' a i fait alterner galets et briques locaux. De l'autre côté,
vers la ville, j ' a i proposé deux pylônes cylindriques revêtus de la même
brique qu'à la cathédrale.
Pont sur l'autoroute A l (J-L Jolin, architecte). Il s'agissait de remplacer un pont sans
interrompre la circulation. L'architecture met en valeur le système constructif JMI.
J'ai œuvré dans le même esprit pour les grands viaducs où j ' a i fait en
sorte que l'ensemble soit bien à sa place dans le site et que les piles alors
très visibles de loin comme de près, toujours sculptées, aient une juste pro-
portion quelles que soient leurs hauteurs. A Chatelle (RN 59) les piles en
losange, donc vues de façon plus animée, s'ouvrent avec des chapiteaux à
la volumétrie assez simple. Le nombre de réemplois m'a permis de perfec-
tionner la forme des chapiteaux en passant des dièdres aux surfaces
courbes ou gauches, pour les viaducs de la Schwalb, de Meaux ou de
Jaulny (ces deux derniers étant des concours ratés) ou le petit viaduc du
TGV près du couvent de Benoite-Vaux (dans la Meuse) dont les piles dis-
symétriques se font face comme deux mains jointes.
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L'élargissement du pont de Thionville à Metz (J-L Jolin, architecte). Sans masquer les
deux premiers états de l'ouvrage, le dernier stade exprime l'époque actuelle.
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L’autoroute possède ainsi des ouvrages utilitaires construits tout d’abord dans
un souci d’efficacité et de rapidité ; les ingénieurs ont choisi une solution leur
paraissant satisfaisante sans trop se préoccuper de valeurs artistiques qui
auraient entraîné des études complémentaires et des délais supplémentaires peu
compatibles avec des plannings draconiens ; il fallait rattraper le retard pris par
la France dans la construction des voies rapides adaptées à une nouvelle cir-
culation. Puis, petit à petit, on a admis qu’avec un peu plus de temps de réflexion
il était possible de réaliser dans la même enveloppe budgétaire des ouvrages
mieux conçus, s’adaptant au cadre naturel ; les écologistes, en menant des
campagnes souvent tapageuses, ont fait prendre conscience que nous devions
rechercher les solutions les plus agréables à partir d’études plus poussées, que
nous n’avions pas à enlaidir le paysage mais bien à le protéger. L’ingénieur doit
toujours faire un choix dans la conception de son ouvrage : charpente métallique
ou bois, béton... Il faut en déterminer le type qui doit s’intégrer dans un site
particulier ; l’ouvrage qui franchit un fleuve large et plat ne peut avoir la même
structure qu’un pont établi dans une vallée encaissée. Il faut tenir compte non
seulement de la topographie du lieu, mais également de la nature du sol et des
différentes contraintes locales. On peut ainsi faire varier les dimensions des
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travées, même l’épaisseur d’un tablier ; il faut aussi déterminer si l’on crée un
pont en arc, par encorbellements, un pont à béquilles, un pont à poutre continue
de hauteur variable ou constante, un pont suspendu, un pont à haubans ; on
peut envisager un ouvrage symétrique ou dissymétrique : autant de possibilités
parmi lesquelles le choix d’une solution n’appartient pas totalement à l’ingénieur,
mais bien à un parti auquel il faut se soumettre. Comme le fait remarquer Michel
Virlogeux, Chef de la Division des Grands Ouvrages du SETRA (Service d’Études
Techniques des Routes et Autoroutes), on doit associer architecte et ingénieur
dès le début des opérations ; cet Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées
reconnaît que bien des erreurs de conception auraient été écartées si un homme
ayant le sens des proportions, des volumes, était intervenu lors de l’élaboration
du projet (figures E, F et G).
Le rôle de l’architecte ne se borne pas à esquisser les formes générales, en
leur donnant des proportions agréables à l’œil, mais il doit aussi étudier les
détails en les humanisant ; la hauteur d’un parapet, la moulure d’une rampe,
peuvent apporter une note agréable et rendre vivant un ouvrage ; il faut porter
un jugement critique sur tout ce qui pouvait paraître insignifiant et qui, tout à
coup, marque l’ouvrage en lui donnant son rythme intérieur. Freyssinet aimait
dire que tout est détail, que nous devons tout contrôler pour parvenir à l’unité
d’un ensemble créé par l’homme pour les besoins des hommes.
D’ailleurs, grâce à Freyssinet et à sa merveilleuse théorie de la précontrainte,
le béton est devenu un matériau noble ; au-delà de sa résistance, ses qualités
esthétiques surprennent : il sait se plier à toutes nos exigences. Sans doute sa
couleur peut subir des variations, tout comme la pierre d’ailleurs ; mais n’est-ce
pas là signe de vie ? L’architecte sait jouer avec les vibrations de la lumière.
Un de nos professeurs de ponts commençait ses cours en déclarant qu’un pont
requiert la participation de l’ingénieur, de l’architecte et d’un statuaire. Si la
facture de nos ouvrages d’art a été volontairement dépouillée, l’ornementation
paraît revenir à la mode. Le sculpteur est aussi un excellent conseiller qui s’intègre
dans une équipe formée dès l’origine du projet ; il doit y avoir osmose entre
ces divers courants qui concourent à réaliser dans une pensée commune un
ouvrage sans doute utilitaire, mais possédant aussi sa valeur plastique.
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Figure C – Pont de l’île de Ré Architecte : Charles Lavigne. Études : SETRA (Doc. Bouygues)
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Des sculptures ornent des autoroutes ; il faut créer des œuvres d’art qui peuvent
captiver ; elles ont un langage international et peuvent être comprises par la
sensibilité de tous ; il faut encourager des réalisations insolites à l’image de la
pyramide du Perthus, conçue à partir des déblais du chantier ; il est nécessaire
que l’imaginaire créateur suscite une expression artistique de qualité ; des
artistes et des critiques d’art devraient présider au choix de ces œuvres en déter-
minant leur emplacement. Plus spécialement nous aimerions que l’autoroute
A 40, Mâcon-Genève, soit réellement une liaison internationale puisqu’elle doit
desservir, en 1992, les Jeux Olympiques d’hiver. Il faut que la France affirme sa
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Sur cet axe routier, nous pensons voir surgir l’exposition mondiale des arts,
en rendant hommage à des Andréou, Calder, Cardot, César, Albert Féraud,
Leygues, Étienne Martin, Miro, Oudot, Nicolas Schöffer, Soulages, Vasarely et
tant d’autres artistes que nous aimons et fréquentons. Un souhait qui sans
doute se réalisera car il est dans la lignée de notre passé créateur.
Ainsi l’autoroute unit fraternellement les humains, les mondes : elle est le
cheminement harmonieux qui conduit la pensée, et ses ouvrages d’art resteront
la marque de notre époque, de notre civilisation qui a ses beautés et sa grandeur
(figure H).
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Ouvrages d’art
Aspect architectural et environnement
par Anne BERNARD-GÉLY
Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées
Professeur à l’École nationale des ponts et chaussées
Adjoint au directeur de la Sécurité et de la circulation routières
et Jean-Armand CALGARO
Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées
Professeur à l’École nationale des ponts et chaussées
et au Centre des hautes études de la construction
Chef de la mission Recherche et réglementation du SETRA
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Figure 6 – Mauvaises proportions : le tirant d’air est trop grand Figure 7 – Viaduc de Garabit et emplacement du nouvel ouvrage
pour l’ouverture (doc. SETRA) (doc. DDE du Cantal)
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Figure 15 – L’ornement et les équipements ne sont pas à l’échelle Figure 16 – Enchevêtrement de poteaux (doc. SETRA)
de l’ouvrage (PS sur l’autoroute A61) (doc. SETRA)
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