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Travaux Dirigés

QCM1
Cocher la seule bonne réponse dans chaque question.
1/ On désigne par isobares :
□ Deux noyaux ayant le même nombre de neutrons
□ Deux noyaux ayant le même nombre de protons
□ Deux noyaux ayant le même nombre de masse
□ Deux noyaux ayant le même nombre d’électrons
2/ On désigne par isotones :
□ Deux noyaux ayant le même nombre de protons
□ Deux noyaux ayant le même nombre de neutrons
□ Deux noyaux ayant le même nombre de masse
□ Deux noyaux ayant le même nombre d’électrons
3/ Le noyau atomique a été découvert par :
□ Dalton
□ Bohr
□ Rutherford
□ Chadwick
4/ La diffusion coulombienne de Rutherford a fourni des réponses sur la :
□ Dimension des atomes
□ Dimension des noyaux
□ Dimension des protons
□ Dimension des neutrons
5/ La diffusion coulombienne de Rutherford a permis de soupçonner l’existence de :
□ La force gravitationnelle
□ La force électromagnétique
□ L’interaction faible
□ L’interaction forte
7/ Le rayon nucléaire s’écrit :
□ R =r0A -1/3
□ R =r0A 1/3
□ R =r0A 2/3
□ R =r0A3/2
8/ L’unité de masse atomique est définie comme la masse de l’atome de :
□ Carbone 12
□ Carbone 14
□ Carbone 13
□ D’azote 14
9/ Pour s’approcher le plus possible du noyau il faut envoyer des particules ayant des :
□ Énergies cinétiques croissantes
□ Énergies cinétiques décroissantes
□ Longueurs d’onde croissantes
□ Fréquences décroissantes
10/ Les angles de diffusion des particules dans l’expérience de Rutherford sont plus grands quand :
□ Le paramètre d’impact b est plus grand
□ La section efficace est plus grande
□ Le paramètre d’impact b est plus petit
□ Aucune réponse n’est juste
11/ La section efficace est la section pour laquelle :
□ Aucune collision ne peut avoir lieu
□ Des collisions sont possibles
□ Les répulsions entre atomes sont impossibles
□ Les attractions entre noyaux sont impossibles
12/ Les énergies de liaison nucléaires augmentent quand la taille des :
□ noyaux augmente
□ protons augmente
□ noyaux diminue
□ neutrons diminue
13/ Une grande valeur de l’énergie de liaison nucléaire indique que :
□ Les noyaux ne sont pas stables
□ Les noyaux sont très stables
□ Les atomes ne sont pas stables
□ L’interaction forte est très petite
14/ La vallée de stabilité montre que les noyaux naturels ont un:
□ Surplus de neutrons
□ Surplus de protons
□ Surplus d’électrons
□ Nombre de neutrons nul
15/ La courbe d’Aston montre que la stabilité est maximales pour les :
□ Noyaux moyens
□ Noyaux lourds
□ Noyaux légers
□ Atomes lourds
16/ La courbe d’Aston montre que pour récupérer de l’énergie nucléaire il y a :
□ Aucune possibilité
□ Deux possibilités
□ Une seule possibilité
□ Trois possibilités
17/ La force nucléaire est :
□ Toujours attractive
□ Toujours répulsive
□ Attractive et répulsive
□ Ni attractive ni répulsive
18/ La force nucléaire :
□ est à courte portée
□ est à longue portée
□ peut agir entre 2 noyaux
□ peut agir entre 2 atomes
19/ Les différents termes de la formule de Bethe et Weizsäcker ont été introduit :
□ De façon aléatoire
□ Pour reproduire au mieux l’expérience
□ Pour interpréter la dimension des noyaux
□ Pour interpréter la charge des noyaux
20/ Les trois termes prépondérants dans la formule de Bethe et Weizsäcker sont :
□ Asymétrie, volumique et surfacique
□ Volumique, appariement et coulombien
□ Volumique, coulombien et surfacique
□ Surfacique, volumique et asymétrie
21/ Les constituants du noyau atomique sont :
□ Des électrons
□ Des neutrons
□ Des neutrons et des protons
□ Des neutrons, des protons et des électrons
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22/ la somme des masses des constituants du noyau atomique est :
□ Supérieure à celle du noyau lié
□ Inférieure à celle du noyau lié
□ Egale à celle du noyau lié
□ Inversement proportionnelle à celle du noyau lié
23/ l’énergie moyenne nécessaire à lier ou séparer un nucléon du noyau est de :
□ 18 MeV
□ 28 MeV
□ 8 MeV
□ 0.8 MeV
24/ A propos des modèles concernant le noyau :
A. Le modèle de la goutte liquide permet de décrire la rotation des électrons autour du noyau.
B. Dans le modèle de la goutte liquide les nucléons sont fixes.
C. Ce modèle est compatible avec la théorie des états discrets d'énergie.
D. Le modèle en couche est compatible avec les états discrets d'énergie.
E. Le modèle en couche explique l’existence des numéros magiques.
25/ : A propos du modèle de la goutte liquide :
□ Le volume du noyau est proportionnel au nombre de nucléons.
□ Le rayon du noyau peut se calculer grâce à : r = r0A⅓ où r0 = 1 à 1,5 nm.
□ La force de cohésion est maximale quand le nombre de proton et de neutron sont égal.
□ Les termes entrant en jeu dans la formule de Bethe-Weizsäcker sont l'énergie de liaison en volume, l'énergie
superficielle, l'énergie électrostatique, l'énergie d'asymétrie et l'énergie d'appariement.
□ L'énergie superficielle tient compte du fait que les nucléons de la surface du noyau sont moins liés que les
autres.
26/ : A propos de la structure du noyau :
□ Le modèle de la goutte liquide permet d'expliquer la radioactivité Béta et la fission spontanée.
□ Dans le modèle de la goutte liquide, le liquide est compressible et hyper-dense.
□ La probabilité d'existence des protons est constante dans tous les points du noyau.
□ Dans le modèle en couche, le remplissage complet d'une couche permet d'être hyper-stable.
□ Ce nombre au carré correspond au numéro magique.

QCM2 Radioactivité
Cocher la seule bonne réponse dans chaque question.
1/ Dans une désintégration spontanée, le bilan énergétique Q est toujours :
□ Positif
□ Négatif
□ Nul
□ Supérieur à 2
2/ Dans une désintégration , la particule a traversé la barrière coulombienne :
□ De manière classique
□ Par effet tunnel
□ De manière classique et quantique à la fois
□ Aucune réponse n’est correcte
3/ Le bilan énergétique des désintégrations permet de déterminer :
□ Les masses
□ Les charges
□ Les énergies potentielles
□ Aucune réponse n’est correcte
4/ Le spectre des énergies cinétiques d’une désintégration alpha est :
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□ mono- énergétique
□ bi- énergétique
□ Continu
□ Aucune réponse n’est correcte
5/ Le spectre des énergies cinétiques d’une désintégration beta est :
□ Mono- énergétique
□ Bi- énergétique
□ Continu
□ Aucune réponse n’est correcte
6/ La radioactivité β+ est la transformation d’un :
□ Neutron en un proton
□ Électron en un proton
□ Électron en un neutron
□ Proton en un neutron
7/ La radioactivité β+ est une désintégration subie par :
□ Des noyaux naturels
□ Des noyaux artificiels
□ Des gaz rares
□ Tous les noyaux aussi bien naturels que artificiels.
9/ La capture électronique est :
□ L’émission d’un proton
□ La capture d’un positron
□ L’émission d’un électron
□ La capture d’un électron
10/ Le rayonnement alpha est :
□ à courte longueur d’onde
□ à faible énergie
□ dû aux transitions électroniques
□ lié uniquement aux radioactivités et .
11/ Une désintégration spontanée :
□ S’accompagne toujours de l’émission de
□ Peut se faire sans émission de
□ Aboutit toujours à un noyau fils instable
□ aboutit toujours à un noyau fils de plus basse énergie de liaison.
12/ La constante de désintégration radioactive représente la :
□ Probabilité de désintégration
□ La vitesse d’une désintégration
□ Probabilité de désintégration par unité de temps
□ Le nombre de noyaux non désintégrés
13/ la demi-vie radioactive est le temps nécessaire à la désintégration :
□ De la moitié des noyaux
□ Du quart des noyaux
□ De tous les noyaux
□ D’aucun noyau
14/ Une désintégration spontanée :
□ Suit toujours un seul mode de désintégration
□ Peut subir plusieurs modes de désintégration
□ Peut avoir au plus deux modes de désintégrations
□ Aucune réponse n’est exacte
15/ La probabilité de décroissance radioactive par unité de temps pour un noyau radioactif :
□ Change s’il existe plusieurs modes de désintégrations
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□ Reste la même pour tous les modes de désintégrations
□ Varie proportionnellement à la période
□ Est inversement proportionnelle au nombre de noyau présents à l’instant t.
16/Choisissez la réponse qui vous permet d’expliquer l’existence du Radon 220 de période 54.5 s :
□ Il est le produit de la désintégration d’un noyau de très longue période
□ Il n’est le produit de désintégration d’aucun noyau, il se renouvelle constamment par les
rayonnements cosmiques
□ Il existe parce qu’on le produit artificiellement
□ Aucune réponse n’est juste
18/ L’activité d’un échantillon radioactif se mesure en :
□ Barns
□ Joules
□ Bohr
□ Rutherford
22/ La datation au carbone 14 permet de déterminer :
□ Avec précision l’âge d’un échantillon
□ L’époque à laquelle a appartenu l’échantillon
□ Le volume de l’échantillon
□ L’énergie de l’échantillon
22/ Une réaction nucléaire provoquée se fait :
□ Toujours de façon directe
□ Toujours en passant par un noyau composé
□ Des fois de façon directe et des fois en passant par un noyau composé
□ Aucune réponse n’est juste
23/ Au cours d’un choc inélastique
□ la nature des particules ne change jamais mais leur état change
□ il n’y a aucun changement ni dans la nature des particules ni dans leur état
□ l’énergie cinétique se conserve mais pas la quantité de mouvement
□ la quantité de mouvement se conserve mais pas l’énergie cinétique

QCM3 Radioprotection
1. Quelles sont les propositions exactes ? Les rayons X résultent :
A. De l’interaction des électrons avec les noyaux des atomes de l’anode
B. De l’interaction des électrons avec les électrons des atomes de l’anode
C. De la désexcitation des noyaux des atomes de l’anode
D. De la décélération des protons
E. De l’interaction d’un photon avec l’anode
2. Quelle est la proposition exacte ? Dans le corps du patient, les rayons X interagissent principalement :
A. Par effet photoélectrique
B. Par diffusion Compton
C. Par production de paires
D. Par annihilation
E. Par rayonnement de freinage
3. Quelles sont les propositions exactes ? La dose absorbée :
A. A pour unité le Gray (Gy)
B. A pour unité le Sievert (Sv)
C. Est utilisée pour les niveaux de référence diagnostiques
D. Est accessible par la mesure
E. Permet d’estimer les effets stochastiques

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4. Quelles sont les propositions exactes ? La dose efficace :
A. A pour unité le Gray (Gy)
B. A pour unité le Sievert (Sv)
C. Est utilisée pour les niveaux de référence diagnostiques
D. Est accessible par la mesure
E. Permet d’estimer les effets stochastiques
5. Quelles sont les propositions exactes ? Augmenter les kilovolts (kV) :
A. Améliore le contraste naturel du corps humain
B. Permet de diminuer du même coup les mAs donc la dose
C. Est sans impact sur la qualité image
D. Doit entraîner une augmentation de la filtration
E. Améliore le contraste par injection d’iode
6. Quelles propositions vraies caractérisent les effets déterministes des rayonnements ionisants ?
A. Ce sont des effets dits « obligatoires »
B. Leur fréquence augmente avec la dose
C. Leurs effets apparaissent au-delà d’un seuil
D. Plus la cellule est différenciée, plus elle est radiosensible
E. Toutes les réponses sont exactes
7. Concernant les effets déterministes, quelles propositions sont vraies ?
A. On parle d’exposition car c’est l’effet biologique des rayonnements ionisants qui est recherché
B. Le compartiment souche est très radiosensible car il présente de nombreuses mitoses
C. Pendant la phase des symptômes, le compartiment souche a complètement disparu
D. Plus la dose reçue est importante, plus la phase de latence est courte
E. En phase de latence, il n’y a pas d’effet clinique observable
8. Parmi les propositions suivantes, laquelle caractérise l’effet déterministe des radiations ionisantes (une
réponse exacte) :
A. La fréquence d’apparition est indépendante de la dose
B. L’induction de mutations génétiques a été observée cliniquement chez les descendants des sujets irradiés par
la bombe atomique
C. La modification induite par cet effet est létale pour la cellule
D. Chez l’homme l’effet cancérigène à long terme constitue le risque principal
9. Concernant l’irradiation et l’exposition aiguë, quelles propositions sont vraies ?
A. La dose létale 50 correspond à une dose de 5 à 10 Gy
B. Au-delà de 10 Gy, c’est le syndrome neurologique qui prédomine
C. Pour une dose comprise entre 1 Gy et 6 Gy, le syndrome hématopoïétique prédomine avec disparition des
lymphocytes
D. Concernant l’exposition aiguë de la peau, on note un érythème pour une dose comprise entre 3 et 5 Gy
E. On n’observe pas de télangiectasie dans la radiodermite chronique
10. Parmi les propositions suivantes, une seule est FAUSSE, laquelle ?
A. Le problème d’une grossesse irradiée ne se pose que si le fœtus est dans le champ de rayonnement
B. La mise en place d’un tablier plombé sur le pelvis pour la réalisation d’un scanner cérébral chez une femme
enceinte diminue l’irradiation du fœtus
C. Un scanner thoracique correctement réalisé délivre moins de 1 mGy au fœtus
D. La collimation permet de réduire la dose au fœtus
E. En médecine nucléaire, la dose délivrée au fœtus varie selon l’âge de la grossesse
11. Concernant les personnels soignants présentant une grossesse, quelles propositions sont vraies ?
A. Il y a obligation de retrait de poste pour la radiologie interventionnelle
B. Il y a retrait de poste du scanner pendant la phase d’organogénèse
C. La limite de dose d’exposition pour le fœtus est de 1 mGy
D. La personne portera un dosimètre opérationnel
12. Concernant le débit de dose, quelles sont les propositions vraies ?
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A. L’effet cancérigène est diminué lorsque le débit de dose est bas, et que la dose est reçue sur une longue
période
B. Plus le débit de dose est élevé, moins les mécanismes de réparation sont efficaces
C. Les études n’ont pas montré d’effet du débit de dose sur le risque des effets stochastiques
D. Le fractionnement dans le temps de dose pourrait diminuer l’effet cancérigène d’un facteur 2 à 10
E. Des études ont montré qu’une pré-irradiation à faible dose d’une population cellulaire réduit les effets d’une
irradiation ultérieure
13. Concernant les effets stochastiques, quelles sont les propositions vraies ?
A. La probabilité d’occurrence de ces effets augmente proportionnellement à la dose selon une fonction linéaire
B. Ces effets sont liés à mortalité des cellules induite par les rayonnements ionisants
C. La relation linéaire sans seuil permet de calculer aisément le nombre de cancers en excès après exposition des
patients aux examens d’imagerie médicale
D. On n’a pas observé d’anomalies génétiques en excès chez les descendants des irradiés d’Hiroshima et de
Nagasaki même pour de très fortes doses
E. Des mutations génétiques transmises à la descendance ont été observées après exposition expérimentale de
drosophiles aux rayonnements ionisants
14. Une seule réponse est exacte. La fonction de transfert de modulation (FTM) :
A. Mesure la résolution en contraste à partir d’une mire
B. Correspond au rapport du signal sur bruit
C. Caractérise le pouvoir séparateur d’un détecteur
D. Est défini par la variance du bruit dans l’image
E. Caractérise la résolution en contraste et le bruit d’un système
15. Une seule réponse est exacte. La filtration du faisceau de rayons X en sortie de tube :
A. Est recommandée mais facultative
B. Est habituellement assuré par une couche de 2,3 mm de Pb
C. Permet d’éliminer les photons de haute énergie
D. Le Cu peut être utilisé pour réaliser une filtration additionnelle
E. N’influence pas le rapport signal sur bruit
16. Concernant le produit dose longueur (PDL), quelles sont les réponses vraies ?
A. Il double si l’on double la longueur de l’hélice
B. Il double si l’on double les mAs
C. Il double si l’on double les kV
D. Il double si l’on double le pitch
E. Il double si l’on répète une fois l’hélice
17. Parmi les principes suivants de la radioprotection, quel est celui qui n’est pas applicable aux patients ?
A. Justification
B. Optimisation
C. Limitation des doses
D. Responsabilité
E. Substitution
18. Les guides à destination des professionnels de l’imagerie visent à : (choix multiple)
A. Limiter la réalisation d’actes d’imagerie quels qu’ils soient
B. Justifier la réalisation d’actes exposant aux rayonnements ionisants
C. Optimiser les doses reçues par les patients
D. Limiter les doses reçues par les travailleurs
19. Toutes les applications médicales de la radioactivité :
A. Se limitent uniquement au diagnostic des maladies
B. Permettent le diagnostic et le traitement des maladies
C. Ne permettent ni le diagnostic ni le traitement des maladies
D. Aucune réponse n’est juste
20. Afin de diagnostiquer une anomalie chez un patient par scintigraphie doit on injecter :
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A. Le même traceur pour voir à la fois le disfonctionnement de la tyroïde et du cœur.
B. Deux traceurs différents pour voir le disfonctionnement du cœur.
C. Un traceur spécifique qui se fixe uniquement sur l’organe soupçonné.
D. Aucune réponse n’est juste
21. les traceurs utilisés en scintigraphie doivent nécessairement avoir une :
A. Très courte période
B. Très longue période
C. Très forte activité
D. Aucune activité
46. Le guide du bon usage des examens d’imagerie est : (choix multiple)
A. À destination du demandeur de l’examen
B. À destination du réalisateur de l’examen
C. Lié au principe de justification
D. Lié au principe d’optimisation
Série 1

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Exercice 3 : Énergie coulombienne d’une sphère de rayon R
1. Calculer l’énergie coulombienne EC d’une sphère de charge Ze chargée uniformément en volume.
2. En fait la sphère n’est pas uniformément chargée puisqu’elle est composée de protons et l’on cherche à
évaluer l’énergie d’interaction entre ces protons et pas l’énergie coulombienne de chaque proton. Pour
évaluer la correction à apporter par rapport à la question précédente, nous allons supposer que chaque
proton a une self-energy coulombienne que l’on évaluera en supposant sa charge diluée dans toute la
sphère (puisqu’il est délocalisé dans ce volume). Calculer cette self-energy et donner une expression plus
correcte de l’énergie coulombienne d’une sphère contenant Z protons.

Exercice 4

Exercice 5
La courbe d’Aston donne l’énergie moyenne de liaison par nucléon en fonction du nombre A de nucléonspour
tous les noyaux naturels, cette courbe est représentée ci-dessous.

1- Que représente l’énergie moyenne de liaison par nucléon ?

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2- Lier l’énergie moyenne de liaison par nucléon à la stabilité des noyaux. Reporter cette courbe sur votre feuille
en indiquant la zone délimitant les noyaux les plus stables.
3- Cette courbe indique-t-elle des processus possibles d’obtention de l’énergie nucléaire ? Nommer ces
processus et expliquer les brièvement en indiquant dans quelle région de la courbe d’Aston figure chacun d’eux.

Exercice 6

Exercice 7

Exercice 8

Exercice 9

Exercice 10
Soient les noyaux suivants : 12C , 70Ge et 209Bi
1. Sachant que le rayon nucléaire r0=1.2 fm, calculer le rayon pour chaque noyau.
2. En supposant que la densité de nucléons varie dans le noyau en fonction de la distance au centre comme
l'indique la figure ci-dessous, quelle est la fraction des nucléons situés dans la zone superficielle dans les noyaux
donnés. On donne 0 = 0.17 fm-3 ; c = 1.1A1/3 fm et a = 3.0 fm

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Exercices 11 Constituants du noyau-équivalence masse énergie

Serie2
Exercice1 : Stabilité des isotopes de cuivre

Exercice 2 Noyaux impair-impair


Il y a cinq noyaux impair-impair stables. Quels sont-ils ?

Exercice 3

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Exercice 4

Exercice 5

Exercice 6 : Équilibre de réactions

Exercice 7

Exercice 8 : Perte de masse du Soleil

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Exercice 11

Exercice 12

Exercice 13

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Série 3

Exercice 1
On forme des rayons X en envoyant un faisceau d'électrons de grande énergie E0 = 8 MeV, issu d'un
accélérateur, sur une cible constituée d'une fine plaque de platine.

1. Calculer la longueur d'onde minimale λ0 des photons X de freinage émis par la cible

2. Calculer la longueur d'onde λm des photons X les plus nombreux ainsi que leur énergie Em.

3. Sur le graphe ci-dessous sont placées E0 et Em ; Expliquer qualitativement le rôle et les qualités du filtre
nécessaire permettant de ne laisser passer que les rayons de longueur d'onde proche de λm.

4. calculer l'épaisseur x de plomb nécessaire à cette absorption

5. Les photons ont un coefficient massique d'atténuation global égal à 0,11 cm2 g-1 dans l'eau. La masse
volumique de l'eau est 1 g cm-3.

Calculer la valeur de la couche de demi-atténuation (CDA) pour ce rayonnement.

6. A partir d'une valeur de l'énergie arbitrairement choisie, construire la courbe d'atténuation de


l'énergie en fonction de 5 valeurs de CDA traversées.

A la sortie du cyclotron les particules sont émises avec un spectre énergétique extrêmement fin.
On rappelle que le TLE est le transfert linéique d'énergie.
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7. Calculer sa valeur en MeV cm-1 pour des particules de 50 MeV sachant que le parcours de ces
particules est de 3 cm dans les tissus biologiques

8. En déduire la densité linéique (DLI) ou nombre de paires d'ions formés par unité de longueur (ion/mm).

Quelques centres de traitement utilisent un faisceau de neutrons. Le flux de neutrons est obtenu par choc des
protons rapides sur une cible de béryllium.
9. Ecrire l'équation de la réaction nucléaire et identifier le noyau formé.

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