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Rapport TP n°2 : Etude de la machine

frigorifique à absorption

Réalisé par : Section : 3


• AALIL Fadwa Groupe : 32
• EDDADISSI Aymen
• ESSOHAIB Anar
• HAKKOU Tariq
• KHERBACHE Mohammed Taha
• MOTIK Zineb

Encadré par :
• M.BAKKAS
I. Introduction

Bien que la machine frigorifique à absorption semble assez différente de la machine


classique (à compresseur), sauf que le principe de fonctionnement reste le même :

1- Circulation d’un liquide réfrigérant, dans notre cas c’est le (H2O-NH3- H2)

2- Evaporation du fluide (Production du Froid en absorbant la chaleur QF du milieu à


refroidir)

3- Compression du fluide (Demande un apport d’énergie, un travail W pour assurer la


haute pression HP)

4- Condensation du fluide (Où la chaleur reçue par le compresseur et l’évaporateur Qc se


trouve dispersé dans la canalisation qui est dans notre cas ailettée pour augmenter la surface
d’échange thermique et faire retourner la solution frigo a son état liquide).
II. Principe de fonctionnement

En analogie avec la machine frigorifique traditionnelle on va découvrir ou réside la différence entre


celle-ci et celle à absorption :

Energie électrique Moteur

Travail mécanique W

• Moyen de compression du fluide est


mécanique.
• Type d’Energie nécessaire à cette
compression est électrique.

∆𝑄 𝑜𝑢 𝑊

Qc • Moyen de compression du fluide est


QF
thermochimique.
• Type d’Energie nécessaire à cette
compression est calorifique ce qui peut être
traduit par un large domaine d’application.

• On peut donc dire que le coefficient de performance COP ou EF sera :

• COP=EF= QF/∆𝑄 tel que Qc = QF + ∆𝑄 en configuration idéal

• Il traduit le rapport entre la puissance frigorifique produite et la puissance fournie au compresseur.


III. Les réponses aux questions :

Partie théorique :
Le générateur d’un réfrigérateur à absorption fonctionnant à H2O NH3 H2 est alimenté avec une
puissance de 100W. La température ambiante est de 17°C, les températures au point 6, 5, 3,4 sont
respectivement –24°C, 25°C, 30°C et 26°C.

1) la pression d’évaporation et celle de condensation de l’ammoniaque dans les points 5 et 6 sur de


diagramme logP-1/T.
La pression d’évaporation de l’ammoniac est 1,7 bar et sa pression de condensation est 10 bar.
P5 = Pev = 1,7 bar ; P6 = Pc = 10 bar ; T5 = 25 °C ; T6 = -24 °C.

2) La concentration de NH3 de la solution pauvre et la solution riche :

P3 = Pev = 1,7 bar ; P4 = Pc = 1,7 bar ; T3 = 30 °C ; T4 = 26 °C.

D’après le diagramme précédant en point 3 la solution pauvre X = 37,7% NH3, et en point 4 la solution
riche X = 41% NH3.
Le système est composé de Qm(H2O) débit massique de fluide absorbeur et Qm(NH3) le débit massique
de fluide frigorigène. Ainsi le débit massique total du mélange binaire sera :

Qmtotale = Qm(H2O) + Qm(NH3).

D’une façon générale, pour faire les bilans de masses dans une installation thermique fonctionnant avec
un couple binaire, on part d’un principe fondamental appliqué dans les différents éléments : le bouilleur
et l’absorbeur :
Qmtotale = Qmpauvre + Qmriche.

3) la valeur de température des points 1 et 2, et leurs positions sur le diagramme P-1/T.

P2 = Pev = 10 bar ; P1 = Pc = 1,7 bar ; T1 = 26 °C ; T2 = 101 °C.

En point 2 la solution à X = 38% NH3.


4) le cycle du fluide frigorifique :

Le diagramme enthalpique pratique et théorique :


Le diagramme enthalpique théorique :

Le diagramme P-1/T :
5) les caractéristiques de la vapeur saturante qui sort du générateur.

En point 7 :
P7 = Pev = 1,7 bar ; T7 = 101 °C ; h7 = 632,20 Kj/Kg ; s7 = 1,8418 Kj/Kg.K

6) la masse de la solution riche et la masse de la solution pauvre qu’il faut réchauffer pour obtenir 1Kg
de vapeur de NH3.

mp = (Xv-Xp)/ (Xr-Xp) => AN: mp = (101-38)/ (41-38) = 21 Kg.


mr = (Xv-Xr)/ (Xr-Xp) => AN : m4 = (101-41)/(41-38) =20 Kg.

7) les différentes transformations subies par le fluide frigorigène :


Principe :
Nous refroidissons de l’air (ou de l’eau) dans l’échangeur évaporateur (Ev). L’air chaud traverse
l’échangeur propulsé par un ventilateur (ou pompe) et le fluide frigorigène lui prend de la chaleur (Q) afin
de s’évaporer (passage de l’état LIQUIDE à l’état de VAPEUR) à une certaine température (To) et une
certaine pression (Po). L’air ressort donc plus froid (ceci étant possible de par les caractéristiques physiques
des fluides utilisés qui entrent en ébullition à des températures bien plus froides que l’eau). La puissance
échangée est Φo. Une partie de l’évaporateur en vapeur surchauffée permet de garantir l’absence de fluide
liquide dans le compresseur (sans cela, ce dernier subirait des dégâts importants).
Le fluide vapeur chargé de la chaleur récupérée à l’air sort donc de l’évaporateur (ligne d’aspiration) et est
aspiré par le compresseur (Cp) et comprimé. Il ressort donc en Haute Pression (HP) et chaud du
compresseur. Le compresseur apporte également, lors du fonctionnement, de l’énergie au fluide. À ce
stade le fluide est donc « chargé» D’énergie récupéré à l’évaporateur et au compresseur. Pour son
fonctionnement, le compresseur absorbe de la puissance électrique (Pelec).
Il se dirige ensuite (ligne de refoulement) vers le condenseur (Cd). Là, il échange la chaleur prise à
l’évaporateur et un peu celle prise au compresseur avec l’air (ou l’eau) et se condense (passage de l’état
VAPEUR à l’état de LIQUIDE) à une certaine température (Tk) et une certaine pression (Pk) au fil de son
passage afin de ressortir en phase liquide haute pression « déchargé » de la chaleur (Q) qu’il contenait. Il y
a une zone réservée exclusivement à la phase liquide et appelée sous refroidissement, afin d’être sûr
d’obtenir du liquide au détendeur et ainsi un fonctionnement correct. La puissance échangée est Φk.
Le liquide passe ensuite dans le filtre déshydrateur et le voyant liquide, qui indique effectivement si le fluide
sortant du condenseur est bien en phase liquide.
Le fluide entre dans le détendeur (Dt), et à travers un orifice calibré, la pression va chuter de la Haute
Pression (HP) à la Basse Pression (BP). Cette chute de pression entraine une chute de température pour
alimenter l’évaporateur.
Et le cycle recommence.
Le cycle frigorifique fait passer un fluide frigorigène par plusieurs états gazeux/liquide en fonction des
changements de pressions dus à la compression et au détendeur. Ces changements de pressions donnent lieu
à des changements de températures que l'on retrouve dans le condenseur (évacuation de la chaleur) et dans
l'évaporateur (absorption de la chaleur).
Ce cycle thermodynamique ou de réfrigération simple "compression / condensation / détente /
évaporation" est appelé cycle frigorifique. Il est présent dans toute machine frigorifique tel le climatiseur,
le groupe de production d'eau glacée, les unités de climatisation à détente directe, la pompe à chaleur, .
8) Le bilan énergétique :

Bilan énergétique dans le bouilleur :

𝑄b = 𝑚̇ ℎ7 + 𝑚̇ 𝑃ℎ2 − 𝑚̇ 𝑟ℎ1 = 1*632,20 + 21*460 - 20*420 = 1892,2 KW.

Bilan énergétique dans le condenseur :

𝑄𝑐𝑜𝑛𝑑 = 𝑚̇ (ℎ5 − ℎ7) =1(242-632,20) = -390,2 KW.

Bilan énergétique dans le l’évaporateur :

𝑄𝑒𝑣𝑎𝑝 = 𝑚̇ (ℎ5 − ℎ6) =1(-180+242) = 63 KW.

Bilan énergétique dans l’absorbeur :

𝑄𝑎𝑏𝑠 = − 𝑚̇ ℎ6 − 𝑚̇𝑃ℎ3 + 𝑚̇ 𝑟ℎ4 = -1*180-21*430+20*(425) = -710 KW.

Le bilan thermique de l’échangeur de chaleur mélange pauvre - mélange riche :

Bilan de l’échangeur de solution riche :

𝑄𝑠𝑜𝑙 = 𝑚̇ (ℎ1 − ℎ4) =20(450-425) = 500 KW.

Bilan de l’échangeur de solution pauvre :

𝑄𝑠𝑜𝑙 = 𝑚̇ (ℎ2 − ℎ3) = 21(460-430) = 630 KW.

Performances des machines Thermiques :

Pour réaliser une machine thermique, il est nécessaire d’avoir deux sources de chaleur à des
températures déférentes.
Pour une machine frigorifique et pompe à chaleur, les signes de QC, QF et W s’inversent.

Rendement thermique d’une machine :

COPexp = ṁ (h5 − h6) / (ṁ h7 + ṁ Ph2 − ṁ rh1)


= 1(242 − 180) / (1 ∗ 632,20 + 21 ∗ 460 − 20 ∗ 450)
COPexp= 0,33 = 33%.

Le rendement théorique du cycle pompe de chaleur :

Le rendement de Carnot représente la limite supérieure de tous les rendements des machines
thermiques opérant dans les mêmes conditions. Il dépend uniquement des températures des sources
chaude et froide. Le rendement de Carnot caractérise une machine idéale.
COP théorique = 1 - 11/ 25 = 0,56 = 56%.

Conclusion théorique :
COPth de la machine frigo à absorption est de 0.56 faible par rapport à COP des machines classique
généralement de l’ordre de 3.

Partie expérimentale :

L’expérience débute par une alimentation du bouilleur avec une résistance électrique d’une
puissance de 100 watts. Après une période de préchauffage, le cycle frigorifique s’amorce puis se stabilise.

1) Les températures des points 6, 5,3 ,4 :

Les températures obtenues au point 1, 2, 3, 4, 5 et 6 sont :

T1= 70°C
T2= 27°C
T3= 26.4°C
T4= 24.3°C
T5= 22.5 °C
T6= - 2.5°C
2) Le cycle de fluide frigorigène :

3) Les différentes transformations subies par le fluide frigorigène :

Les températures dans les composants (bouilleur, condenseur, évaporateur et absorbeur) sont
supposées uniformes surtout le volume considéré ;
➢ La pression au niveau de l’évaporateur est égale à celle de l’absorbeur.
➢ La pression au niveau du bouilleur est égale à celle du condenseur (perte de charge
négligeable).
➢ La température au niveau du condenseur est égale à celle de l’absorbeur.
➢ Les pressions haute et basse sont celles d’équilibre au bouilleur et à l’évaporateur
respectivement.
➢ Les détentes sont isenthalpiques.
➢ La solution riche en fluide frigorigène à la sortie de l’absorbeur est un liquide saturé la
température et laconcentration de l’absorbeur.
➢ De même, la solution pauvre en fluide frigorigène quittant le bouilleur est à une concentration
liée par unerelation d’équilibre à la pression et la température du bouilleur.
➢ Le frigorigène émis par l’évaporateur est à l’état de vapeur saturée à la température et la
pression del’évaporateur.

➢ Le système est en régime permanent.

Point (1) : 𝑇 = 70𝑐°, 𝑃 = 1,70 𝑏𝑎𝑟, 𝑋 = 0.37 Début vaporisation liquide riche.
Point (2) : 𝑇 = 27𝑐°, 𝑃 = 10 𝑏𝑎𝑟, 𝑋 = 0.28 Liquide pauvre sortie bouilleur contre-courant.
Point (3) : T = 26.4c°, P = 10 bar, Z= 0,28 liquide pauvre en sortie échangeur de solution.
Point (4) : T = 24.3c°, P = 10 bar, Z= 0,37 liquide riche en sortie absorbeur.
Point (5) : T = 22.5c°, P = 10 bar, Z= 0,37 liquide riche en sortie absorbeur.
Point (6) : T = – 2.5 c°, P = 1,7 bar, z = 0,995.
Point (7) : 𝑇 = 104 𝑐°, 𝑃 = 1,7 𝑏𝑎𝑟, 𝑌 = 0.93 Vapeur issue du liquide riche.
Appelant 𝑚̇ : le débit de réfrigérant.
𝑚̇𝑃 : Le débit de la solution pauvre.
𝑚 (Débit masse total et débit-masse du réfrigérant) du bouilleur

𝑚̇𝑟 = 𝑚+̇ 𝑚̇p 𝑚̇𝑟


𝑋𝑟 = 𝑚̇+ 𝑚̇𝑃𝑋p

Ce système d’équation permet d’exprimer 𝑚̇𝑟 et 𝑚̇𝑃 en fonction de 𝑚̇, Xp et Xr :

𝑚̇=1, 𝑚̇𝑃=8, 𝑚̇𝑟=7.

4) Le bilan énergétique au niveau de chaque organe :

Bilan du Condenseur :

𝑄𝑐𝑜𝑛𝑑 = 𝑚̇ (ℎ5 − ℎ7) =1(232-1575) =-1343 KW.

Bilan d’Evaporateur :

𝑄𝑒𝑣𝑎𝑝 = 𝑚̇ (ℎ6 − ℎ5) =1(1375-232) =1143 KW.

Bilan de BOUILLEUR :

𝑄𝑑𝑒𝑠 = 𝑚̇ ℎ7 + 𝑚̇𝑃ℎ2 − 𝑚̇ 𝑟ℎ1=1*1575+8*450-7*325 = 2900 KW.

Bilan d’Absorbeur :

𝑄𝑎𝑏𝑠 = −𝑚̇ ℎ6 − 𝑚̇𝑃ℎ3 + 𝑚̇ 𝑟ℎ4=-1*1375-8*50+7*(-65) = -2230 KW.


Bilan de l’échangeur de solution riche :
𝑄𝑠𝑜𝑙 = 𝑚 (ℎ1 − ℎ4) =7(325-(-65) = 2730 KW.

Bilan de l’échangeur de solution pauvre :


𝑄𝑠𝑜𝑙 = 𝑚 (ℎ2 − ℎ3) =8(450-50) = 3200 KW.

Le Rendement du cycle frigorifique :


Le COP est défini comme le rapport de la puissance utile 𝑄𝑒𝑣𝑎𝑝 à la puissance payante
(𝑄𝑑𝑒𝑠 + 𝑊). Cette manière de faire comporte l’hypothèse implicite que l’échangeur de
solution est équilibré.
COP = ṁ (h6 − h5) / (ṁ h7 + ṁ Ph2 − ṁ rh1)
COP= 1(1375 − 232) / (1 ∗ 1575 + 8 ∗ 450 − 7 ∗ 325)
COP= 0,394 = 40%

Le Rendement théorique du cycle pompe de chaleur :

εthéorique = T2 / (T2 – T1) [T étant exprimé en Kelvin]


Où :
T2 = température de condensation [K].
T1 = température d’évaporation [K]

ε théorique = 47 / (47 – (-15)) =0 ,65 = 65%.

Conclusion expérimentale :
L’étude de la machine frigorifique à absorption-diffusion NH3-H2O-H2, nécessite la
connaissance d’un nombre important de paramètres, ayant une influence directe sur son
fonctionnement. Tous ces paramètres jouent un rôle important dans l’optimisation de la
machine.

Les résultats obtenus mettent en évidence l’influence des différents paramètres sur la
performance de l’installation. Il apparaît clairement que le coefficient de performance
réel estencore faible par rapport à celui théorique.

Sauf que ce n’est pas un critère suffisant à lui seul pour le choix optimal de la machine,
mais il existe d’autres paramètres essentiels ayant une grande influence sur la
performance de la machine,tels que :
• La température à la sortie du réservoir de stockage thermique T1
• Solution pour optimisation : L’échangeur entre le bouilleur et l’absorbeur est donc
essayer d’augmenter au maximum la température de la solution entrante T2
(préchauffage) et donc atteindre T1 plus rapidement et économiser plus d’énergie.

• La température de la fin de condensation T5.


• Solution pour optimisation : Bonne dispersion de la chaleur en utilisation une canalisation
en U et des ailettes pour augmenter la surface d’échange et ramener le maximum de la
solution réfrigérante à son état liquide.
• La température de l’absorbeur T4.
• Solution pour optimisation : Une circulation d’eau froide dans l’absorbeur. Le phénomène
d’absorption génère de la chaleur. La circulation d’eau froide dans le fluide absorbant évite
sa montée en température, ce qui diminuerait son efficacité.
• La température de l’évaporateur T6.
• Solution pour optimisation : Bonne étanchéité de l’espace pour minimiser le transfert
thermique par convection avec un milieu qu’on ne cherche pas à refroidir.

IV. Conclusion :
Quel est alors l’intérêt d’une telle machine ?
Aspect positif non conditionné

• Absence de compresseur mécanique :


• Reduction des vibrations et des bruits.
• Moins d’opérations de maintenance.
• Longue durée de vie.
• Valorisation des pertes calorifique et thermique surtout dans l’industrie.
• Climatisation gratuite.
• Augmente l’efficacité énergétique global de l’entreprise.

Aspect Positif conditionné

• Dans le secteur des bâtiments


+ Si le W nécessaire à la compression est fourni par le rayonnement solaire
• Froid gratuit et écologique

Aspect négative conditionné


COP faible
+ Solution pour l’industrie nécessite une « étude du coût de retour après

investissement
• Dans les grandes industries la chaleur générée par l’activité du service de
production est très importante qu’elle peut combler la faiblesse du coefficient de
performance et donc laPuissance frigorifique utile sera d’une valeur considérable.
Mais qui demandera une conception détaillée pour une solution spécifique aux
objectifs, aux normes, et l’architecture de l’atelier…
+ Solution pour le bâtiment nécessite une étude « Météorologique » et qui
sera relatif au mode d’utilisation « climatisation ou refroidissement d’un
produit spécifique »

• L’hybridation du système : lorsque l’ensoleillement n’est pas suffisant pour


fournir del’eau à température adéquate, une autre source de chaleur doit
permettre le fonctionnement du système. Cette chaleur doit être produite
par du gaz ou du fuel dansles périodes d’hiver.

• Si le froid est dédié spécialement pour la climatisation l’hybridation devient


moins nécessaire surtout dans les endroits et les périodes ou l’ensoleillement
est important.

• La machine frigo à absorption nécessite une température d’eau minimale qui


se situe entre70 et 95°C en fonction du (solvant-réfrigérant).
+ Solution demandant une « étude du coût de retour après investissement »
• Pour atteindre cette température, l’emploi de capteurs et d’échangeurs
performants (sousvide, à faible concentration)

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