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Réalisé par :
HAKKOU Tariq Section : 3
EDDADISSI Aymen Groupe : 32
KHERBACHE Mohammed Taha
EL OUATAOUI Othmane
Encadré par :
Pr. Mr. ZAKI Ismail
TP 3 : Analyse modale
expérimentale Marteau de choc
1
I. Introduction :
Notre style de vie actuel serait inconcevable sans la multitude d’appareils
électriques et de machines qui nous entourent. Le bruit que ces systèmes
mécaniques émettent est souvent perçu comme gênant, de telle manière que les
fabricants tentent par tous les moyens de le limiter, voire de l’éliminer.
Fréquemment, des vibrations résonantes sont la cause principale ou contribuent
fortement au problème du bruit et des vibrations perçues. Afin de résoudre
efficacement ces problèmes, il est primordial de comprendre le comportement
dynamique du système. Ainsi l’ingénieur-concepteur pourra déterminer la cause
profonde du problème et préconiser une solution appropriée. L’analyse modale
constitue un outil efficace pour identifier la résonance structurelle et aider ainsi à
résoudre les problèmes de bruits et vibrations excessifs.
II. Objectifs de ce TP :
Effectuer une analyse modale expérimentale par marteau de choc afin de :
𝑢(𝑥, 𝑡) = 𝑈(𝑥)𝑇(𝑡)
1 𝑑2𝑈 1 1 𝑑2 𝑇
( 2 ) = 2 ( 2 ) = 𝐶𝑠𝑡𝑒
𝑈 𝑑𝑥 𝑐 𝑇 𝑑𝑡
𝜕𝑢 𝐸
Avec : 𝜀 = 𝜕𝑥 et 𝐶2 = 𝜌
2
Les deux fonctions de variables indépendantes sont égales. Et donc égales à une
constante qui est choisie négative pour assurer la stabilité de la solution en temps :
1 𝑑2 𝑈 1 1 𝑑2𝑇 −𝜔2
( 2) = 2 ( 2) = 2
𝑈 𝑑𝑥 𝑐 𝑇 𝑑𝑡 𝑐
𝑑2 𝑈 𝜔2
On obtient alors : ( 𝑑𝑥 2 ) + ( 𝑐 2 ) 𝑈 = 0
𝜔𝑥 𝜔𝑥
Ce qui donne comme solution : 𝑈(𝑥) = 𝐴 𝑠𝑖𝑛 ( ) + 𝐵 𝑐𝑜𝑠 ( )
𝑐 𝑐
𝜕𝑢 𝜕𝑢
Les conditions aux limites : = 0 et =0
𝜕𝑥(0,𝑡) 𝜕𝑥(𝐿,𝑡)
𝜔
Ce qui donne : 𝐴 ( 𝑐 ) (𝐶 𝑠𝑖𝑛(𝜔𝑡) + 𝐷 𝑐𝑜𝑠(𝜔𝑡)) = 0
𝜔 𝜔𝐿 𝜔𝐿
( ) (𝐴 𝑠𝑖𝑛 ( ) + 𝐵 𝑐𝑜𝑠 ( )) (𝐶 𝑠𝑖𝑛(𝜔𝑡) + 𝐷 𝑐𝑜𝑠(𝜔𝑡)) = 0
𝑐 𝑐 𝑐
𝐴=0
Dont la solution est : {𝑠𝑖𝑛 (𝜔𝐿)
𝑐
𝑖𝜋𝑐 𝑖𝜋 √𝐸
Alors les pulsations propres : 𝜔𝑖 = =𝑖 (𝜌)
𝐿 𝐿
𝑖𝜋𝑥
Et les modes propres associés sont : 𝑈𝑖 = 𝑐𝑜𝑠 ( )
𝐿
𝑖𝜋𝑥
D’où la solution générale est : 𝑢(𝑥, 𝑡) = ∑∞
𝑖=0 𝑐𝑜𝑠 ( ) (𝐶𝑖 𝑠𝑖𝑛(𝜔𝑖𝑡) + 𝐷𝑖 𝑐𝑜𝑠(𝜔𝑖𝑡))
𝐿
𝜕𝑢
Les conditions aux limites : 𝑢(0, 𝑡) = 0 et =0
𝜕𝑥(𝐿,𝑡)
3
𝜔𝐿
Ce qui donne : 𝑐𝑜𝑠 ( 𝑐 ) = 0
𝜋 √𝐸
Alors les pulsations propres : 𝜔𝑖 = (2𝑖 − 1) 2𝐿 ( 𝜌 )
𝜋𝑥
Et les modes propres sont : 𝑈𝑖 = 𝑠𝑖𝑛 ((2𝑖 − 1) 2𝐿 )
𝑖𝜋 √𝐸
Alors les pulsations propres : 𝜔𝑖 = (𝜌)
𝐿
Avec :
𝜕𝑣
La rotation de la section : 𝜃(𝑥, 𝑡) =
𝜕𝑥
𝐸𝐼 𝜕4 𝑉 −1 𝜕2 𝑇
L’effort tranchant T : (𝜌𝑆𝑉 ) ( 4 )= ( )
𝑇 𝜕2 𝑡
= 𝐶𝑠𝑡
𝜕 𝑥
4
Les deux fonctions de variables indépendantes sont égales. Et donc égales à une
constante qui est choisie négative pour assurer la stabilité de la solution en temps :
4 2
𝐸𝐼 𝜕 𝑉 −1 𝜕 𝑇
( )( 4 ) = ( ) = 𝜔2
𝜌𝑆𝑉 𝜕 𝑥 𝑇 𝜕2 𝑡
𝜕4 𝑉
Alors : ( 𝜕 4 𝑥 ) − 𝛽2 𝑉 = 0
𝜕2𝑇
+ 𝜔2 𝑇 = 0
𝜕2𝑡
D’où :
IV. Conclusion :
Grace à ce TP on a pu comprendre les bases de l‘Analyse Modale Expérimentale,
identifier les paramètres modaux ainsi que prévoir les démarches pratiques à mettre
en œuvre pour les applications industrielles. Pour conclure, l’analyse modale
expérimentale nécessite très peu de matériel et est principalement utilisée pour des
dépannages rapides. Néanmoins, elle fournit des informations précieuses que l’on
n’obtient pas toujours lors des mesures effectuées au simple niveau opérationnel.
Les résultats de l’analyse modale expérimentale permettent d’améliorer de façon
notable la précision des modèles de simulation et ainsi d’améliorer la précision de
la réponse des conditions opératoires.
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TP 6 : Analyse modale sous CATIA V5
I. Introduction :
Notre style de vie actuel serait inconcevable sans la multitude d’appareils
électriques et de machines qui nous entourent. Le bruit que ces systèmes
mécaniques émettent est souvent perçu comme gênant, de telle manière que les
fabricants tentent par tous les moyens de le limiter, voire de l’éliminer.
Fréquemment, des vibrations résonantes sont la cause principale ou contribuent
fortement au problème du bruit et des vibrations perçues. Afin de résoudre
efficacement ces problèmes, il est primordial de comprendre le comportement
dynamique du système. Ainsi l’ingénieur-concepteur pourra déterminer la cause
profonde du problème et préconiser une solution appropriée. L’analyse modale
constitue un outil efficace pour identifier la résonance structurelle et aider ainsi à
résoudre les problèmes de bruits et vibrations excessifs.
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II. But de ce TP :
On va s’intéresser dans ce TP à réaliser une simulation des contraintes sur CATIA
VR5.
L = 36.5 cm et l = 5.1 cm et e = 2 cm
Puis on suivre toutes les étapes sur notre fascicule pour obtenir les résultats de la
simulation.
1. Pièce EL :
7
On démarre les calculs sur notre logiciel.
8
Occurrence 5 - Fréquence 2361,18Hz Occurrence 6 - Fréquence 2517,24Hz
9
a. Résultats EL :
10
2. Pièce LL :
11
Occurrence 3 - Fréquence 741,654Hz Occurrence 4 - Fréquence 1064,57Hz
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a. Résultats LL :
On construire la table suivante qui montre les résultats de simulation selon la x du
point :
Points MaFi MaFi
1 75 4,590.10−4
150 3,400. 10−4
300 3,235. 10−4
200 2,570. 10−4
850 2,479. 10−4
2 25 1,240. 10−4
125 4,947. 10−4
275 2,791. 10−4
975 2,633. 10−4
1750 2,426. 10−4
3 125 5,043. 10−4
75 4,644. 10−4
25 4,450. 10−4
1725 2,706. 10−4
5000 2,547. 10−4
4 25 4,380. 10−4
375 1,271. 10−4
800 1,147. 10−4
175 1,109. 10−4
4975 1,098. 10−4
5 25 8,487. 10−4
100 3,727. 10−4
4975 2,671. 10−4
4900 2,402. 10−4
2000 1,908. 10−4
6 25 1,142. 10−4
125 3,464. 10−4
600 3,318. 10−4
800 2,943. 10−4
4975 2,870. 10−4
7 25 2,013. 10−3
125 6,842. 10−4
250 2,948. 10−4
1000 2,555. 10−4
500 2,185. 10−4
8 25 2,590. 10−3
125 5,931. 10−4
325 3,449. 10−4
375 3,120. 10−4
275 2,954. 10−4
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IV. Interprétation et conclusion :
On a bien appliqué dans ce TP, notre connaissance et on a suivi les étapes sur le
fascicule pour atteindre l’objectif de réaliser une simulation sur CATIA VR.
La simulation était bien parfaite et on a déterminer et calculer les vibrations et les
moments au niveau de notre barre dans les deux cas : encastre et libre, les résultats
sont précis et admissibles pour une simulation numérique avant de passer vers les
prototypes.
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TP7 : Simulation des vibrations avec
SIMULINK
I. Introduction :
Tous les systèmes n’ont pas de solution analytique, c’est en particulier le cas
quand l’excitation est complexe ou quand les systèmes sont non linéaires. Il est alors
nécessaire d’utiliser des techniques de calcul numérique pour obtenir une solution
approchée.
Le but de cette partie est de présenter une approche particulièrement
conviviale de la résolution numérique, celle de la boite à outils SIMULINK dans
l’environnement MATLAB. Cette technique requiert une mise en forme des
équations particulières et la construction d’un schéma bloc, représentant les
équations, qui sera utilisé par le logiciel pour résoudre numériquement lorsque les
paramètres appropriés seront entrés.
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II. Les objectifs de ce TP :
Comprendre les bases de la simulation des vibrations par Simulink.
• Ecriture des équations adaptées au calcul numérique
• Construction de schémas-blocs.
• Étudier le comportement dynamique d’un système à 1DDL.
• Etudier le comportement dynamique d’un système à 2DDL.
• Simulation numérique d’une fonction échelon.
• Simulation numérique d’une fonction créneau.
• Simulation numérique d’une fonction Rampe.
• Prévoir les démarches pratiques à mettre en œuvre pour les applications industrielles.
• Identifier les méthodes, normes et procédures nécessaires.
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• Pour un facteur d’amortissement 𝜻 = 𝟏
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 Et 𝐶 = 2.5 𝑚
Donc : 𝑘 = 1.5625 Et pour 𝑣0 = 1𝑚/𝑠 et 𝑥0 = 30𝑚
Interprétation :
Le mouvement est apériodique amorti limite ou régime critique du au système, le
retour se fait rapidement à la position très proche de la position d’équilibre
K=15
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K=100
Interprétation :
Dans ce cas le mouvement pris par la masse m est un mouvement oscillatoire mais
amorti ce mouvement est pseudopériodique.
Interprétation :
Dans ce cas le mouvement est dit apériodique amorti, le retour à la position
d’équilibre se fait au bout d’un temps très infini.
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TP2 : Schéma Bloc de la réponse libre d’un système à 2DDL :
L’équation du mouvement s’écrit sous la forme :
𝑑2 𝑥1 1 𝑑𝑥2 𝑑𝑥2
2
= (𝑐1 + 𝑘1 𝑥2 + 𝑐2 − 𝑘1 𝑥1 )
𝑑𝑡 𝑚1 𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑2𝑥 1 𝑑𝑥1
2
= (−𝑐1 − 𝑘2 𝑥2 )
𝑑𝑡 𝑚2 𝑑𝑡
𝑁𝑠
𝑚1 = 𝑚2 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝑐1 = 𝑐2 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘1 = 𝑘2 = 0.5625
𝑚
𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚1 𝑒𝑡 𝑚2 𝑣0 = 1𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
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𝑁𝑠
𝑚1 = 𝑚2 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝑐1 = 𝑐2 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘1 = 𝑘2 = 0.2
𝑚
𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑚1 𝑒𝑡 𝑚2 𝑣0 = 100𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
Le cas est celui d’un cas non amorti (donnée par le professeur M. ZAKI)
20
Le résultat des courbes est :
Vert : x2
Bleu : x1
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𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 0.1625 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚
𝑚
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚
𝑚
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𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 10𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0.001𝑚 F=10N
𝑚
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𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 20 𝑒𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚 et F=0.5N
𝑚
𝑁𝑠
𝑚 = 1𝐾𝑔 𝑒𝑡 𝐶 = 2.5 𝑑𝑜𝑛𝑐 𝑘 = 1.5625 e𝑡 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑣0 = 0𝑚/𝑠 𝑒𝑡 𝑥0 = 0𝑚 et F=0.5N
𝑚
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TP4 : Analyse modale
expérimentale MINISHAKER
I. Introduction :
Les méthodes d’analyse modale sont des méthodes d’investigation relativement
récentes, qui ont été mises en œuvre pour établir et (ou) améliorer la connaissance
du modèle dynamique des structures réelles. En effet, les paramètres significatifs
permettant de représenter le comportement dynamique d’une structure linéaire
quelle que soit sa complexité sont « concentrés » dans un nombre de paramètres
modaux réduits : fréquences propres, amortissements et formes propres associés. Le
comportement dynamique de la structure sous des conditions d’excitation
particulières en l’absence de toute modélisation ne requiert que la seule
connaissance de ces paramètres. Les premiers instigateurs de cette technique ont été
les avionneurs qui étaient confrontés au problème crucial de « flottement » des avions.
Ce phénomène dû au couplage aéroélastique entre l’air et la structure de l’avion
provoque à certaines vitesses un phénomène de vibrations autoexcitées pouvant
causer la destruction de l’appareil.
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II. Objectifs de ce TP :
L’objectif de ce travaux pratique est :
• Comprendre les bases de la AME,
• L‘Analyse Modale Expérimentale,
• Étudier le comportement dynamique d’une structure par le biais de ses modes
propres et fréquences propres.
• Identifier les paramètres modaux (fréquences propres, amortissements et formes
des modes
• Prévoir les démarches pratiques à mettre en œuvre pour les applications
industrielles,
• Identifier les méthodes, normes et procédures nécessaires
• Utiliser un appareillage spécifique et réaliser l’AME.
Les vibrations libres (charge extérieure F (x, y, t) est nulle) transversales d’une
plaque rectangulaire se modélisent par l’équation aux dérivées partielles
suivante :
𝜕 2 𝑊(𝑥, 𝑦, 𝑡)
𝐷∆2 𝑊(𝑥, 𝑦, 𝑡) + 𝜌ℎ =0
𝜕𝑡 2
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Et D : représente la raideur en flexion de la plaque :
𝐸ℎ3 𝜕4 𝜕4 𝜕4
𝐷+ Et ∆2 = 4
+2 +
12(1−𝑣) 𝜕𝑥 𝜕𝑥 2 𝜕𝑦 2 𝜕𝑦 4
On obtient donc :
𝑤(0, 𝑦) = 𝑤(𝑎, 𝑦) = 0
2
{𝜕 𝑤 𝜕 2𝑤
(0, 𝑦) = (𝑎, 𝑦) = 0
𝜕𝑥 2 𝜕𝑥 2
Une solution admissible vérifiant ces conditions aux bords est :
𝜋. 𝑥
𝑊(𝑥, 𝑦) = 𝑌(𝑦) sin (𝑚 )
{ 𝑎
𝑚∈𝑁
𝑑4 𝑌 𝑚 𝜋 2 𝑑2 𝑌 𝑚 𝜋 4 𝜌ℎ 2
− 2 ( ) + [( ) − 𝜔 ]𝑌 = 0
𝑑𝑦 4 𝑎 𝑑𝑦 2 𝑎 𝐷
𝑌(𝑦) = ∑ 𝐶𝑗 𝑒 (𝜆𝑗𝑦⁄𝑏)
𝑗=1
Où 𝜆𝑗 vérifient :
27
𝑚𝜋 𝜔
𝜆𝑗 = ±𝑏
𝑎
√1 ± 𝐾 avec 𝐾 = 𝑚𝜋 2 𝐷
( ) √
𝑎 𝜌ℎ
C1, C2, C3 et C4 sont des constantes à déterminer en utilisant les conditions aux
bords en y. Dans ce cas on pose :
𝑏
𝜆1 = 𝛼1 𝛼1 = 𝑎 𝑚𝜋√𝐾 + 𝑎
𝜆2 = −𝛼1 Avec
𝑏
𝜆3 = 𝑖𝛼2 𝛼2 = 𝑎 𝑚𝜋√𝐾 − 𝑎
𝜆4 = −𝑖𝛼2
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦
𝑌(𝑦) = 𝐴 𝑐ℎ (𝛼1 ) + 𝐵 𝑠ℎ (𝛼1 ) + 𝐶 𝑐𝑜𝑠 (𝛼2 ) + 𝐷 𝑠𝑖𝑛 (𝛼2 )
𝑏 𝑏 𝑏 𝑏
𝜕𝑊
=0
𝜕𝑥(0,𝑡)
𝑑𝑊
=0
𝑑𝑥(𝐿, 𝑡)
𝑑𝑊
=0
𝑑𝑦(0, 𝑡)
𝑑𝑊
=0
𝑑𝑥(𝐿, 𝑡)
Avec :
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦
𝑌(𝑦) = 𝐴 𝑐ℎ (𝛼1 ) + 𝐵 𝑠ℎ (𝛼1 ) + 𝐶 𝑐𝑜𝑠 (𝛼2 ) + 𝐷 𝑠𝑖𝑛 (𝛼2 )
𝑏 𝑏 𝑏 𝑏
𝑏 𝑏
Et : 𝛼1 = 𝑎 𝑚𝜋√𝐾 + 𝑎 𝛼2 = 𝑎 𝑚𝜋√𝐾 − 𝑎
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3. Détermination des fréquences propres :
D’après l’équation du mouvement on a :
𝑦 𝑦 𝑦 𝑦
𝑌(𝑦) = 𝐴 𝑐ℎ (𝛼1 ) + 𝐵 𝑠ℎ (𝛼1 ) + 𝐶 𝑐𝑜𝑠 (𝛼2 ) + 𝐷 𝑠𝑖𝑛 (𝛼2 )
𝑏 𝑏 𝑏 𝑏
Et on pose les conditions aux bords par rapport à y :
𝜕 2𝑌
=0
𝜕𝑦 2 (0, 𝑡)
𝜕 2𝑌
=0
𝜕𝑦 2 (𝑏, 𝑡)
𝑑𝑌
=0
𝑑𝑦(0, 𝑡)
𝑑𝑌
=0
𝑑𝑦(𝑏, 𝑡)
𝐴𝛼1 2 − 𝐶𝛼2 2 = 0
𝐴𝛼1 2 𝑐ℎ(𝛼1 ) + 𝐵𝛼1 2 𝑠ℎ(𝛼1 ) − 𝐶𝛼2 2 𝑐𝑜𝑠(𝛼2 ) − 𝐷𝛼2 2 𝑠𝑖𝑛(𝛼2 ) = 0
𝐵𝛼1 + 𝐷 𝛼2 = 0
𝐴𝛼1 𝑠ℎ(𝛼1 ) + 𝐵𝛼1 𝑐ℎ(𝛼1 ) − 𝐶 𝛼2 𝑠𝑖𝑛(𝛼2 ) + 𝐷𝛼2 𝑐𝑜𝑠(𝛼2 ) = 0
29
1. Résultats de l’étude :
• Pour une fréquence de 40 HZ :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Valeurs des 100HZ 120HZ 200HZ 240HZ 280HZ 300HZ 355HZ 400HZ 435HZ 500HZ
piques
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Valeurs des 90HZ 130HZ 147HZ 195HZ 229HZ 270HZ 300HZ 332HZ 400HZ 450HZ
piques
30
• Pour une fréquence de 140 HZ :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Valeurs des 100HZ 140HZ 187HZ 230HZ 300HZ 330HZ 390HZ 420HZ 508HZ 610HZ
piques
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Valeurs des 100HZ 150HZ 190HZ 240HZ 300HZ 330HZ 380HZ 430HZ 480HZ 570HZ
piques
31
• Pour une fréquence de 290 HZ :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
Valeurs des 100HZ 150HZ 190HZ 223HZ 290HZ 531HZ 632HZ 873HZ 950HZ 1000HZ
piques
L = 20 cm et l = 20 cm et e = 20 mm
32
Puis on suit toutes les étapes sur notre fascicule pour obtenir les résultats de la
simulation.
1. Plaque L-L :
33
Occurrence 3 - Fréquence 149,562Hz Occurrence 4 - Fréquence 154,115Hz
34
Occurrence 9 - Fréquence 374,985Hz Occurrence 10 - Fréquence 431,325Hz
2. Plaque E-E :
35
Les solutions modales obtenues :
36
Occurrence 7 - Fréquence 729,981Hz Occurrence 8 - Fréquence 761,255Hz
3. Plaque A-A :
37
On démarre les calculs sur notre logiciel.
38
Occurrence 5 - Fréquence 315,228Hz Occurrence 6 - Fréquence 341,529Hz
39
VI. Conclusion :
Une démarche globale permettant l’obtention de modèles réduits
vibroacoustiques a été développée. Elle se base dans un premier temps sur
l’utilisation d’un algorithme de placement de capteurs et excitateurs dédié, afin de
concevoir au mieux le plan d’essais, qui servira de base au modèle réduit que l’on
va identifier. Dans un second temps, les mesures sont exploitées et une procédure
inverse permet l’identification paramétrique du modèle.
40