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Fusion
Consolidation Fusion
Plan
1-Présentation générale de l’opération de fusion
La fusion peut être définie comme l’opération par laquelle deux ou plusieurs entreprises se réunissent pour n’en
former qu’une seule. La fusion peut résulter de :
- deux ou plusieurs sociétés préexistantes disparaissent pour créer une entité nouvelle: il s’agit de la fusion
réunion ;
- une ou plusieurs sociétés préexistantes disparaissent pour venir s’annexer à une autre société préexistante: il
s’agit de la fusion absorption ;
Définition de la scission
- une société préexistante se scinde en deux ou en plusieurs parties pour en faire apports à une ou à plusieurs
sociétés préexistantes: il s’agit de la scission.
1-Présentation générale de l’opération de fusion
L’article 411 du CSC précise que «la fusion peut résulter soit de l’absorption par une ou plusieurs
sociétés des autres sociétés, soit de la création d'une société nouvelle à partir de celles-ci»
Le législateur a mis un cadre juridique aux opérations de fusions et de scissions de sociétés. Il a été précis quant à
l’objectif auquel devait répondre une opération de fusion ou de scission.
1-Pésentation générale de l’opération de fusion
L’article 409 du CSC énonce dans ce cadre que : « La fusion, la scission, la transformation ou le groupement de
sociétés doivent permettre la réalisation de l’un des objectifs suivants :
• Conditions de base :
Deux conditions de base constituent le fondement sur lequel repose la réglementation de la fusion :
- Elle ne doit pas obliger un ancien associé à quitter sa société ;
Il faut d’abord que l’opposition soit juridiquement fondée pour qu’elle soit recevable. Le créancier doit
présenter les arguments et les preuves nécessaires pour justifier son souci de voir la situation patrimoniale
de son créancier se dégrader par le fait de la fusion.
A défaut de paiement des créanciers, leurs créances sont transférées avec les sûretés à la société nouvelle
ou absorbante. Les créanciers bénéficient d'une préférence vis-à-vis des créanciers dont la créance est née
postérieurement à la fusion que cette créance soit chirographaire ou privilégiée.
Lorsque la créance est garantie par une sûreté, celle-ci est transférée avec la créance principale tant qu’elle
n'est pas remboursée.
Conséquences de la fusion
• Un certificat d'investissement est une valeur mobilière représentant une fraction du capital social
d'une société. Ce titre de propriété s'apparente à une action avec une restriction au niveau des droits
qui lui sont rattachés. Les certificats d’investissement résultent du démembrement d’une action en
deux éléments : le certificat d’investissement qui donne droit au dividende et le certificat de droit
de vote qui présente les autres droits d’une action. (pas de droit de vote)
• Les porteurs de certificats d'investissement ou de titres participatifs ainsi que les obligataires
doivent se réunir en assemblée spéciale pour décider d’approuver ou non, la fusion.
Projet de fusion
Le CSC, dans son article 413, oblige à faire précéder la fusion par un projet de fusion qui arrête et précise
toutes les conditions et les conséquences de l’opération.
la dénomination, la forme, la nationalité, l'activité et le siège social de chaque société concernée par
la fusion;
l’état de l’actif et du passif dont la transmission universelle est prévue;
l’évaluation financière de l’actif et du passif selon les états financiers et une évaluation économique de
l’entreprise faite par un expert comptable ou un expert spécialisé.
Projet de fusion
L’évaluation financière et économique doit être établie à la même date pour toutes les sociétés;
la date de la dissolution et celle de la fusion ainsi que la date à partir de laquelle les actions ou les parts
sociales nouvelles donneront le droit de participer aux bénéfices sociaux;
la détermination de la parité d'échange des droits sociaux, qu'il s'agisse d'actions ou de parts sociales, le
montant de la soulte et le cas échéant, la prime de fusion et le dividende avant la fusion;
• L’opération de fusion entre sociétés entraîne pour les unes une dissolution et pour les autres une
augmentation de capital ou une création. Ces décisions ne peuvent être prises que par des assemblées
générales extraordinaires ( AGE).
• Les règles régissant les AGE : en matière de convocation, de quorum et de majorité sont applicables
lors de la fusion.
Publicité des fusions
L'acte de fusion, les procès verbaux des AGE et tous autres documents les accompagnant doive être enregistrés à
la recette des finances et être déposé au greffe du tribunal.
Selon l'article (16) du CSC, sont soumis aux formalités de dépôt et de publicité toute les actes et les délibérations
ayant pour objet :
La modification de statuts;
La nomination des dirigeants des sociétés, le renouvellement ou la cessation de leur fonction
La dissolution de la société;
La fusion, la scission, l'apport partiel ou total d'actif;
La liquidation;
L'avis de clôture des comptes après dissolution ou liquidation ou fusion ou scission ou la réalisation d'apport
partiel ou total d'actif. La publicité doit être effectuée dans un délai d'un mois à compter de l'inscription de
l'acte ou du procès verbale de la délibération, au registre de commerce .
•
Date d’effet de la fusion
En cas d'absorption, elle prend effet à compter de la date de la dernière assemblée générale extraordinaire
En cas de fusion absorption, la date d’effet une date autre que celle de la dernière assemblée générale
extraordinaire ayant décidé l’opération de fusion. Ce cas, pour qu’il soit valable, doit être décidé par les
• La nullité de la fusion ne peut être prononcée que pour les causes suivantes :
Nullité de la délibération de l’assemblée qui a décidé l'opération de fusion ;
Défaut de publicité ;
Non respect des dispositions du CSC et des dispositions législatives ou réglementaires spéciales ;
3-Aspects fiscaux des opérations de fusion
Chez l’absorbée Chez l’absorbante
1- Exonération des plus value de fusion 1- Réintégration des plus values exonérées chez
2- Dispense de de réintégration des provisions l’absorbée ( autres que celles dont l’exonération
constituées et déduites qui continuent à est prévue en cas de cession ) dans la limite de
préserver leur objet. 50% de leur montant et par tranches de 1/5.
3- Dépôt de la déclaration de cessation dans les 2-Inscription des provisions de l’absorbée au
3 mois qui suivent l’AGE approuvant la fusion. bilan et leur réintégration lorsqu’ils
deviendraient lorsqu’ils deviendraient sans
objet.
3-1- Régime de la société absorbée
Dépôt d'une déclaration La fusion constitue pour la société absorbée un cas de cession et de cessation totale
de cessation totale de l'activité qui entraîne le dépôt de la déclaration d'I.S dans le 3 mois qui suivent la
d'activité date de tenue de l'AGE décidant de la fusion.
A. Cas général
La déclaration susvisée doit comprendre le résultat fiscal réalisé depuis la date du
début de l'exercice jusqu'à la date de cessation d'activité ainsi que les bénéfices en
sursis d'imposition et dont le régime de faveur serait remis en cause par suite de
l'opération de fusion.
Toutefois, lorsque les sociétés concernées par la fusion (absorbée, absorbante ou
nouvelle) sont soumises à l'audit légal par un commissaire aux comptes, il n'est pas
Détermination du
tenu compte pour les besoins de la détermination du résultat fiscal de l'absorbée:
résultat fiscal
- Des provisions pour dépréciation des comptes clients, des provisions pour
dépréciation des stocks destinés à la vente et des provisions pour dépréciation des
actions et des parts sociales, constituées par l'absorbée en franchise d'I.S et n'ayant
pas encore perdu leur objet à la date de la fusion.
-Des plus-values de fusion réalisées (après résorption des éventuels reports
déficitaires) sur les éléments d'actif, autres que les biens , droits et valeurs faisant
l'objet de l'exploitation.
b. Cas particulier de la rétroactivité des opérations de fusion
Détermination du Lorsque la fusion rétroagit au 1° Janvier de l'année de la fusion, le résultat réalisé par
résultat fiscal la société absorbée durant la période intérimaire est considéré comme réalisé sous la
gestion de la société absorbante et fait partie intégrante du résultat de cette dernière
a. Cas des fusions impliquant des sociétés non soumises à l'audit d'un CAC:
Lorsque la déclaration de cessation d'activité fait ressortir des pertes fiscales y
compris des amortissements différés, ces dernières ne peuvent pas faire l'objet
d'apport et d'imputation au niveau de l'absorbante ou la société nouvellement
créée du fait que l'apport rémunéré de l'absorbée est limité à sa situation nette.
Report déficitaire
b. Cas des fusions impliquant des sociétés soumises à l'audit d'un CAC
Dans ce cas, les pertes fiscales y compris des amortissements différés, peuvent
faire l'objet d'imputation au niveau de l'absorbante ou la société nouvellement créée.
Le report des pertes fiscales étant limité à la période restante de 5 ans.
L'imputation des amortissements différés et des pertes d'exploitation a lieu de
manière extra comptable dans le cadre du tableau de détermination du résultat fiscal
(TDRF). Le bénéfice de cet avantage est subordonné à la satisfaction des conditions
suivantes:
*La présentation , par la société absorbée, au bureau de contrôle territorialement
Report déficitaire compétent, dans le même délai que celui prévu pour le dépôt des document
constatant la fusion, d'un état des déficits et des amortissements différé susceptibles
de report au niveau de la société absorbante ou nouvelle ave mention de leur exercice
d'origine; *L'inscription, par la société absorbante ou nouvelle, des amortissements
différé et des pertes susceptibles de déduction, sur le TDRF, avec mention de leur
exercice d'origine, et dans les notes aux états financiers
Les excédents d'IS provenant des avances, des retenues à la source et de acomptes
provisionnels constatés au niveau de la société absorbée peuvent faire l'objet d'apport
Crédit d’IS
et d'imputation au niveau de la société absorbante ou nouvelle (Prise de position de
l'administration fiscale
Le crédit de TVA dégagé sur la déclaration de la société absorbée est reportable chez
Crédit de TVA
la société absorbante ou nouvelle ( article 9-4°du code de la Tva)
3-2-Régime de la société absorbante
C’est la valeur corrigée des entreprises fusionnées qui doit être prise en compte. L'emploi de plusieurs
critères d'évaluation est recommandé. Les méthodes d'évaluation retenues doivent être justifiées dans les
rapports.
La parité d'échange est fixée à partir du rapprochement des valeurs unitaires de la société absorbante et de la
société absorbée: s'il est établi que la valeur de l'action de la société A est de 200 et celle de la société B de 100, la
parité d'échange est alors de 1 pour 2, c'est à dire qu'une action de A sera échangée contre deux actions de B.
Lorsque la valeur réelle est inférieure à la valeur nominale, la société absorbante doit assainir sa situation
financière, le plus souvent en réduisant son capital préalablement à la fusion.
Dans la pratique plusieurs cas peuvent se présenter :
• Exemple :
• Absorption par une société A au capital de 4200 000 DT divisé en 16 800 actions de VN
égale à 250 DT chacune, d’une société B au capital de 1400 000DT divisé en 14 000
actions de 100DT.
Absorbante Absorbée
L’absorbante se limitera à émettre les titres nécessaires à rémunérer les associés de l’absorbée autres
qu’elle-même.
Exemple :
Soit une société A au capital de 2400 000DT divisé en 24 000 actions de 100 DT de nominal et dont
la valeur unitaire est estimée à 180 DT.
Dans le portefeuille de A figurent 3 000 actions d’une société B achetées pour 330 000 DT ( soit 110
DT par actions)
La société B a un capital de 1200 000 DT, divisé en 12 000 actions de 100 DT ayant, par hypothèse
une valeur estimée à 120 DT.
Absorbante = A = 180 = 3
Absorbée B 120 2
• Ce procédé, n’est pourtant pas suivi en pratique, en raison de son cout fiscal.
4-3- Cas où l’absorbée détient des titres dans l’absorbante
• L’absorbante va trouver dans ce cas, ses propres titres dans le patrimoine qui lui
est transmis par l’absorbée.
Absorbante = A = 160 = 1
Absorbée B 320 2
• La société A va donc créer 20 000 actions nouvelles ( 10 000*2) qui seront attribuées aux
actionnaires de B.
• Dans ces conditions, il y aurait juxtaposition des procédés précités c’est- à dire le
plus souvent.
✓ Fusion- renonciation
• En désignant par (a) la valeur unitaire des actions A et par (b) la valeur unitaires
des actions B nous aurons :
• Société A : 5 320 000 +1000 b = 40 000a
• Société B : 130 000+500 a = 15 000 b
• La société A va renoncer à ses droits et n’émettra que 28 000 actions puis elle
réduira son capital à concurrence de ses 500 propres actions apportées dans le
patrimoine de B.
Selon cette méthode, l’acquéreur achète des actifs nets et comptabilise les actifs identifiables
acquis et les passifs repris y compris ceux qui n’étaient pas comptabilisés auparavant par
l’acquise (entreprise vendue) car ils ne remplissent pas les règles de reconnaissance d’un actif
ou d’un passif (goodwill, actif d’impôt différé, dépenses de recherche et de développement,
provisions pour indemnisation du personnel licencié à la charge de l’acquéreur…).
5- Aspects comptables des opérations de fusion
• Cadre de Référence
➢Référentiel national : NCT 38 Norme comptable relative aux
Regroupements d'entreprises
De ce fait la norme dicte les règles et les conditions régissant la manière dont l’acquéreur :
- Comptabilise et évalue dans ses états financiers les actifs identifiables acquis, les passifs
pris en charge et toute participation ne donnant pas le contrôle dans l’entreprise acquise.
- Comptabilise et évalue le Goodwill acquis dans le regroupement d’entreprise ou le profit
résultat d’une acquisition à des conditions avantageuses.
- Déterminer les informations nécessaires à fournir pour que les utilisateurs des états
financiers puissent évaluer la nature et les effets financiers du regroupement d’entreprise.
Notion de contrôle commun
- Selon l’IFRS3 : un regroupement d’entreprises impliquant des entités ou des entreprises sous contrôle
commun est un regroupement d’entreprises dans lequel la totalité des entités entreprises se regroupant
sont contrôlées in fine par la même partie ou les mêmes parties, tant avant qu’après le regroupement
d’entreprises, et ce contrôle n’est pas temporaire : en d’autres termes, une des sociétés participant à
l’opération, contrôle préalablement l’autre, ou bien les deux sociétés sont préalablement sous contrôle d’une
même société mère
- Les entités sous contrôle commun sont celles qui, en pratique, préalablement à l’opération de regroupement,
sont incluses dans le même périmètre de consolidation et consolidées par intégration globale (contrôle
exclusif) l’ensemble des actifs et passifs de la société contrôlée figurent dans les comptes consolidés de
la mère.
- Les entités sous contrôle commun correspondent donc à la société mère et/ou aux sociétés intégrées
globalement.
Cadre de référence
Fusion à l’endroit /Fusion à l’envers
- Si l’actionnaire principal de la société absorbante conserve son contrôle sur celle-ci après
la fusion : l’opération sera à l’endroit l’acquéreur économique est lui même
l’acquéreur juridique.
(l’initiatrice).
Les étapes de l’opération de fusion
Identification de l’acquéreur
Etape 1
Il faut donc définir la notion de contrôle pour identifier l’acquéreur qui est une tache qui peut ne pas être
évidente. La norme IFRS3 renvoie à la norme IFRS10 « consolidation » pour comprendre la notion de
contrôle.
Le contrôle est alors obtenu lorsque l’une des entreprises participantes au regroupement obtient :
- Le pouvoir de diriger les politiques financières et opérationnelles d’une entité ou activité en détenant
plus que 50% des droits de vote.
- Le pouvoir de diriger les politiques financières et opérationnelles d’une entité ou activité en vertu d’un
accord ou tout autre texte règlementaire, sans détenir plus que 50% des droits de vote.
- L 'IFRS 3.7 définit l’acquéreur comme l’entité qui obtient le contrôle de l’entreprise acquise.
1- Identification de l’acquéreur
Comment déterminer le GW ?
3-Evaluation du cout du regroupement de l’entreprise
.1. Principe d’évaluation
Selon NCT 38 : «Une acquisition doit être comptabilisée à son coût, à savoir le montant
de liquidités ou d'équivalents de liquidités versé ou la juste valeur, à la date d'échange, des
autres éléments du prix d'acquisition consentis par l'acquéreur en échange du contrôle de
l'actif net de l'autre entreprise, plus tous autres coûts directement attribuables à
l'acquisition. »
3-Evaluation du coût de regroupement d’entreprise
Contrepartie transférée NC 38.16 (Actifs monétaires Contrepartie transférée (Actifs monétaires remis en
remis en paiement + JV des titres remis en paiement). paiement + JV des titres remis en paiement).
Contrepartie conditionnelle
Incluse dans le cout du regroupement à la date d’acquisition si l’ajustement :
- Est probable, et
- Peut être mesuré de façon fiable.
- Lorsque le contrat d'acquisition prévoit un ajustement du prix d'acquisition dépendant d'un ou de plusieurs
événements futurs, le montant de l'ajustement doit être inclus dans le coût d'acquisition à la date d'acquisition si
cet ajustement est probable et si son montant peut être évalué de façon fiable.
.2. Modification ultérieure du coût d’acquisition
NCT 38 IFRS 3
Critères de comptabilisation des actifs acquis et des passifs et passifs éventuels assumés
Selon l’IFRS 03
Seuls les éléments qui satisfont à la définition d’un actif ou d’un passif établie dans le cadre de la préparation et de présentation des états
financiers à la date d’acquisition sont comptabilisés distinctement des écarts d’acquisition.
Selon NCT 38
Les actifs et passifs identifiables acquis comptabilisés selon le paragraphe 14 doivent être les actifs et passifs de l'entreprise acquise qui existaient à la
date d'acquisition ainsi que tout passif comptabilisé selon le paragraphe 26. Ils doivent être comptabilisés de façon séparée à la date d'acquisition si, et
seulement si :
• (a) il est probable que tous les avantages économiques futurs s'y rapportant iront à l'acquéreur ou que des ressources représentatives d'avantages
économiques futurs sortiront de chez l'acquéreur; et
• (b) l'on dispose d'une évaluation fiable de leur coût ou de leur juste valeur
4-Allocation du coût du regroupement d’entreprises aux éléments
identifiables
NCT 38. 55. L'existence d'un goodwill négatif peut indiquer que des actifs identifiables ont
été surévalués et que des passifs identifiables ont été omis ou sous-évalués. Avant de
comptabiliser un goodwill négatif, il est important de s'assurer que tel n'est pas le cas.
• Comptabilisation de l’écart d’acquisition
NCT 38.56. Dans la mesure où le goodwill négatif correspond à des pertes et des
dépenses futures attendues identifiées dans le plan d'acquisition de l'acquéreur, qui
peuvent être évaluées de manière fiable, mais qui ne représentent pas à la date
d'acquisition des passifs identifiables , cette fraction du goodwill négatif doit être
comptabilisée en produits dans l'état de résultat lorsque les pertes et les dépenses futures
sont comptabilisées. (Rattachement des charges au produits)
5- Aspects comptables des opérations de fusion
• Cas d’examen de RC de juin 2006
• Cas d’examen de RC de l’ examen juin 2005
• Cas d’examen de RC de septembre 2009