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CHAPITRE IV
IV.1. LA LUTE CONTRE LA CORROSION :
Le problème de lutte contre la corrosion est complexe par suite de nombreux facteurs
qu’il fait intervenir. Ces facteurs qu’on peut classer en trois catégories :
A/ Produits métallurgiques :
Composition chimique (et en particulier impuretés) constitution et structure, facteurs
qui dépendent du procédé d’élaboration et des traitements thermique, mécanique ou chimique
que l’alliage a subis et qui peuvent entrainer des hétérogénéités de diverses nature.
B/ Milieu d’attaque :
Nature chimique, concentration (produits principal et impuretés) teneur en oxygène
dissous, présence de micro-organisme, PH, température, pression, viscosité.
C/ Condition d’emploi :
Forme de la pièce, état de surface, profil géométrique de la surface, revêtement
physico-chimique plus aux mois complexe, présence de graisse pas exemple graissage
éventuel du métal superficiel, procédé d’assemblage.
Les revêtements protecteurs permettent de combattre la corrosion parce que par leur
application sur un métal ils suppriment le contact avec l’électrolyte et ainsi réduisent la
corrosion.
Une anode, une cathode, un électrolyte et une différence de potentiel ou débit de courant.
L’emploi de revêtements protecteurs supprime l’électrolyte, par conséquent, la corrosion ne
peut pas exister avec la seule présence d’anodes et de cathodes.
Pour assurer correctement son rôle un revêtement doit posséder les qualités suivantes :
A/ L’isolement électrique :
Avec revêtement présentant une bonne isolation, l’intensité moyenne de protection
est 0.01 mA/m² , alors qu’un revêtements médiocre nécessite une intensité pouvant atteindre
10mA/m² et plus. Donc les revêtements doivent présenter une résistance électrique élevée.
C/ Résistance chimique :
Le revêtement doit représenter une inertie totale en présence des substances pouvant
exister dans le sol.
D/ résistance biologique :
Les micro-organismes présents dans le sol peuvent provoquer la dégradation de divers
matériaux. Les revêtements mis à leur contact doivent donc présenter une bonne résistance à
l’action des micro-organismes.
E/ RESISTANCE MECANIQUE :
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La dureté et la cohésion
Résistance aux chocs
Insensibilité aux variations de température
Adhérence
Les brais de houille et le bitumes de pétrole, ainsi appliqués, présentent des épaisseurs
d’environ 3 Mm.
B/ revêtement thermoplastiques :
revêtement de polyéthylènes extrudés, avec primaire d’accrochage a base de
caoutchouc butyle d’épaisseur 3 Mm environ.
IV.5.INHIBITEURS TE LA BACTERICIDES :
Comme la corrosion a pour origine l’eau produite rendue agressive soit par des gaz
dissous, soit par des bactéries on va donc chercher a éliminer les causes de l’agressivité en
agissant sur le milieu par l’introduction des substances qui vont supprimer les inconvénients
sans pour autant modifier ce milieu.
Ceci peut être obtenu en utilisant des produits qui s’adsorbant a la surface du métal
supprime le contact métal/eau, dans ce cas il s’agit d’inhibiteurs de corrosion, ou d’autre
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produits dans le rôle est de tuer le bactérie ou limiter leur métabolisme, se sont le
bactéricides.
Les inhibiteurs de corrosion sont des substances chimiques qui, lorsqu’elles sont
additionnées en petite quantité à un milieu, diminuent efficacement la vitesse de corrosion.
D’une manière générale, l’inhibiteur va filmer les surfaces métalliques supprimant ainsi le
contact métal/eau.
Toute fois, le filmage dépend du caractère ionique des produits utilisé. Deux types
d’inhibiteurs sont disponibles sur le marché.
Il est impératif que l’ensemble de l’anode soit totalement colmaté, sinon, les phénomènes de
corrosion étant sous contrôle cathodique, on aura simplement réduit la surface d’attaque sans
diminuer l’intensité de corrosion, cela veut dire qu’on attaquera une surface moindre mais
beaucoup plus vite.
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O
C-R
Fe++ Fe++ –
O
e- e-
Inhibiteur anodique
[H3 N – R]
+ +
+ + +
Fe+ + Fe+ +
e- e- e- e-
e-
Inhibiteur cathodique
la solubilité des produits, on aura touts une gamme de possibilités allant de l’entière
C/ Propriétés :
Le film formé par l’inhibiteur doit être stable, et ne doit pas subir de
modification au cours de l’exploitation.
L’espèce a absorber doit exister en concentration suffisante pour colmater
toute la surface du métal, et de se régénérer spontanément en cas de rupture du
film.
Les molécules absorbées doivent pouvoir repousser les molécules d’eau ou de
solvant (elles doivent être hydrophobes).
Les absorbants ne doivent pas subir de transformation chimique lors de
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l’exploitation.
Dans la plupart des cas, un problème de corrosion donné est un problème bien
individualisé qui met en jeu un certain nombre de paramètres spécifiques par lesquels :
La nature du métal.
La nature du milieu corrosif.
L’environnement du métal.
Les conditions de service.
Les conditions économiques.
Le mécanisme de l’inhibition d’un métal met en jeu les forces de liaisons entre les
surfaces du métal et l’inhibiteur; et procède parfois à la formation de composés définis avec
certains ions métalliques, il parait donc évident qu’une inhibiteur va dépendre de la nature du
métal.
Les métaux ferreux et d’autre tels que le cuivre et l’aluminium sont les seuls a
avoir été étudiés convenablement, les autre métaux en général ne posent pas de problème que
lorsqu’ils sont couplés, cependant il faut s’assurer que l’addition d’inhibiteurs ne leur soit pas
préjudiciable.
Avant l’utilisation d’un inhibiteur, il est donc indispensable de procéder à des essais.
A/ Influence du PH :
Le PH du milieu corrosif peut influencer de deux manières le comportement du métal :
Les chromosomes ne sont pas inhibiteurs de corrosion des aciers non alliées que si le
PH est supérieur à 3.
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Si la couche d’oxyde existe à ces PH (cas du titane ou des aciers inoxydables) alors
les chromates sot efficaces ; mais on doit pas correspondre au potentiel de
l’oxydoréduction de l’inhibiteurs ne doit pas correspondre au potentiel actif du métal.
Les bactéricides sont des produits chargés de tuer les bactéries. En règle général,
de bloquer elle-même ses échanges avec l’extérieur en attendant qu’il y ait plus de produits. Il
y a donc blocage du métabolisme mais la bactérie n’est pas tuée, le produits st alors
simplement bactériostatique.
A/ Acier :
Pour les aciers, la solution consiste généralement à incorporer des proportions
suffisantes de chrome qui entre en solution avec le fer et forme une couche superficielle
d’oxyde compacte et adhérente, suffisamment imperméable pour rendre la métal pratiquement
inattaquable, il est alors dit inoxydables.
Parfois, ces aciers contiennent des doses importantes de métal et une plus
grande faible quantité d’autre éléments (Mo, Ti, Cu, Nb) dans le rôle est augmenter
B/ Acier au chrome :
Les aciers à 13% Cr sont utilisés comme lames de couteaux, arbres de turbines, arbre
de pompes…
Acier ferritiques (C < 0.1 ; 17% Cr) sont utilisé dans les industries alimentaire,
Les aciers austénite ferritiques dont la composition moyenne est 20 Cr-8 Ni-
corrosifs ou bien dans ces applications ou les exigences de pureté excluent toute trace de
corrosion (industries alimentaire, pharmaceutiques ou de fibres synthétique).
Exemple :
A/ Cupro-aluminium (6 à 12 % Al) :
Utilisé en construction mécanique en raison de ces bonnes propriétés mécaniques
et aussi pour sa bonne résistance aux agents chimiques utilisés pour les hélices, pièces des
torpilles, tubes de condenseur, oranges de pompes, pièce de monnaie.
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D’autres métaux sont naturellement inoxydable : platine, tungstène, mais leur emploi
reste limité vu leur prix élevé et des difficultés d’usinage.
Les métaux extra-purs ne peuvent être employés que si les pièces supportent
desEfforts notables vus leur faible limite élastique par rapport aux produits Courants.
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