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Idée 

: Rupture des pourparlers

Les Faits :

Les parties : La société HUBO , M X , CASA

Rapport juridiques entre société Hubo et CASA : pourparlers

Chronologie des faits :

- La Sté huba faire connaitre à la CASA le cahier de charges des travaux à exécuter
- Accord de location conclu entre MX et CASA
- Sté HIBA et MX ont mis fin à l’accord de location

La procédure :

- CASA assigne la société HUBO & MX en justice en paiement des dommages et intérêts
suite à la résolution de la convention de location entre elle et MX.
- MX demande condamnation de la société HUBO au paiement des dommages et intérêts
pour rupture unilatérale par la société HUBO du contrat de franchise.

Les moyens :

- L’existence d’une condition mixte (la conclusion d’un contrat de franchise entre la société
HUBO et MX) à laquelle était suspendue la conclusion du contrat de bail entre CASA et MX.
- La société HUBO a fait savoir tardivement à la CASA de l’impossibilité pour elle d’ouvrir le
point de vente en raison d’une etude de marché négative, alors que les pourparlers étaient
en stade avancé.
- La casa avait engagé des frais pour respecter le planning
- Absence de mauvaise foi de la part de la société HUBO dans la conduite des pourparlers
- Pas de base légale.
- CASA n’a pas justifié la perte de loyers, ni la durée pendant la quelle n’aurait pas pu p
procéder à la location de son immeuble.
- Les travaux d’aménagement effectuée par la CASA lui demeurant acquis, et elle ne puvait pas
en solliciter leur remboursement.

La rupture de pourparlers du seul fait de la défaillance de la condition mixte à laquelle était


suspendue la conclusion du contrat ne suffit pas à engager la responsabilité du tiers de la volonté
duquel dépendait cette condition.

La faute : rupture brutale des pourparlers

Préjudice : frais d’aménagements payés par la CASA

Conclusion : La rupture brutale des pourparlers constitue un faute donnant lieu à réparation de
préjudice par paiement des indemnités de la CASA

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