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Doc 1 :
Interprétation de la clause ?
Clause est ambiguë
1/ Grief de la dénaturation : dénaturation : lorsqu’on interprète une clause claire et
imprécise(ce n’est pas une interprétation mais une dénaturation)
La cc estime que la clause n’est pas clair et donc la clause nécessite une interprétation
(on peut interpréter la clause que si elle est ambiguë) elle n’a pas retenue le grief de
dénaturation

2/ débiteur en général est la partie la plus faible dans le contrat,


Parce qu’elle a considéré qu’il fallait interpréter en faveur du débiteur car c la partie la plus
faible.

3/Art. 1190. - Dans le doute, le contrat de gré à gré s'interprète contre le créancier et en faveur du
débiteur, et le contrat d'adhésion contre celui qui l'a proposé.

(Art. 1191. - Lorsqu'une clause est susceptible de deux sens, celui qui lui confère un effet
l'emporte sur celui qui ne lui en fait produire aucun. (si le juge n’arrive pas à comprendre))

Doc 2 :

L’article énumère des indices d’indexation : est interdite toute clause prévoyant des indexations
fondées sur le salaire minimum de croissance, sur le niveau général des prix ou des salaires ou
sur les prix des biens, produits ou services n'ayant pas de relation directe avec l'objet du statut ou
de la convention ou avec l'activité de l'une des parties

+en relation directe …. Le cout de la construction

Il y’a un bail commercial : location pour 10ans donc forcément le loyer augmente, donc il y’a
une clause d’indexation => du coup le loyer augmente de façon automatique

Mais dans ce contrat, loyer serait indexé sur les variations de l'indice trimestriel de la
construction établi par l’INSEE= indice inapproprié= pas de relation directe avec l’objet du
contrat (bail != construction)

 Le juge a modifié l’indice d’indexation


 Il est reproché à la cour d’appel que le juge ne peut pas modifier l’indice

Mais si l’indice n’est pas adéquat, le juge peut intervenir

Il y a une clause il a voulu varier le prix => il faut faire une correction car il y’a un
indice erroné(l’indice n’a pas une relation directe avec l’objet)

Doc 4 :
C un fondement délictuel
1/ l’effet relatif des contrats, en vertu de ce principe, Mr Bèsse est un Tiers par rapport au
contrat conclu entre Mr protois et Mr aladdin ; c’est ce qui justifie l’application des règles de la
responsabilité délictuelle.
2/ Le sous traitant n’est pas ici directement lié au contrat, il. N’est donc pas une partie
contractante.
D’autre part, il existe une exception ; lorsqu’elle est basée sur un contrat d’entreprise car la
responsabilité est délictuelle et non pas contractuelle.

Doc 5
2/ 1-elle doit prouver le manquement, la faute du centre qui est contractuelle et qui devient
délictuelle à l’égard de la fille. +
2-elle doit prouver un dommage : préjudice moral et matériel.
3-Elle doit prouver la relation de causalité entre la faute et le préjudice.
 3 conditions pour obtenir réparation
3/ c’est le principe de l’opposabilité du contrat par un tiers aux parties contractantes

Article---> l’expliquer application

Cas 1 :
Quelle action peut le père de Jean engager contre Mr Dauphinois ?
Non car le principe de l’effet obligatoire est limité à la partie contractante ; le père de Jean n’a
pas conclu le contrat avec Mr Dauphinois
(Exceptions légales maybe ??? contrat de bail)

Cas 2 :

Mr Dauphinois peut assigner la société Saniplus en Justice grâce aux exceptions


jurisprudentielle en exigeant une Action contractuelle directe de non-conformité de la chose
livrée ; la Chaine hétérogène de contrats translatifs de propriété́.

(Une chaine de contrat est une succession de contrat portant sur un même bien et dans ce cas,
il s’agit de la maison de Mr dauphinois.)

Cas 3 : (l’inverse du cas 2)

Elle pourra en effet engager la responsabilité contractuelle du constructeur et intenter

Une action en garantie des vices cachés contre lui.

La clause excluant la garantie des vices cachés insérée dans le contrat entre le concessionnaire
et le fabricant est valable et opposable à Mme dauphinois qui ne peut pas vraiment agir.
L’AYC a titre particulier ne peut pas avoir + de droit que son auteur donc ce dernier se verra
opposé toutes les exceptions que son auteur pourrait se voir opposé face à son contractant.

En l’espèce, s’agissant de chaine translative de propriété, l’ayc pourra agir mais il se verra
opposer la clause excluant la garantie des vices cachés.

Cas 4 :

La société Dauphinois peut elle invoquer la clause de non concurrence ?

le contrat est opposable aux tiers qui doivent respecter la situation née du contrat (art. 1200 CC).

Article 1240 l’opposabilité par les parties contractantes aux tiers : ils peuvent opposer le
contrat à un tiers qui n’a pas respecté le contrat(le tiers yodkhel ki soussa entre les parties
contractantes)

En l’espèce, la société grand froid est la concurrente directe

Donc La société Dauphinois dispose d’une action délictuelle contre la société Grand Froid ; elle
pourra engager la responsabilité DELICTUELLE de la société grandfroid A condition de prouver
qu’elle s’est rendu complice de la violation du contrat

Cas 5 :

Est-ce que la société Sonia peut imposer la renégociation du contrat ?

Article 1195 + sol proposé dans le cas

2 sols : -échec négociation mais les parties s’entendent sur la résolution ou de porter l’affaire
vers le juge.

-à défaut d’accord, le juge peut réviser le contrat ou y mettre fin

Il doit y avoir un changement des circonstances économique et financières== créant un grave


déséquilibre entre les prestations contractuelle qui s’est produit après la conclusion du contrat.

Il y’a une envolée des prix des terres rares et la forte demande en cartes graphiques dans le
monde

Donc Si ces conditions sont réunies, il va y avoir la possibilité de demander la renégociation


du contrat.
Il accepte la renégociation== la meilleure des figures
Il accepte de renégocier mais y’a pas eu accord (il est réticent) => les partie peuvent mettre fin
au contrat ou avoir recours au juge(qui soit modifiera, soit mettra fin)
Mais elle pourra éviter tout cela en imposant une clause d’indexation ou une clause de
Hardship ?=== non zeyed khater ce n’est pas demandé

Cas 1 :

Art. 1199. - Le contrat ne crée d'obligations qu'entre les parties.


« Les tiers ne peuvent ni demander l'exécution du contrat ni se voir contraints de l'exécuter, sous
réserve des dispositions de la présente section et de celles du chapitre III du titre IV.

Le père de Jean est un tiers, seules les parties contractantes deviennent créancière ou
débitrices.
En espèce, le contrat a été conclu entre le fils et Mr dauphinois.
Alors le père de Jean est considéré comme tiers, il ne peut pas devenir débiteur
En vertu des dispo de l’article, le contrat de bail n’oblige pas le père de Jean. Mr dauphinois ne
peut pas revenir contre lui pour obtenir des dommages.

L’article prévoit que les tiers ne peuvent pas demander l’exécution d’un contrat auquel ils ne
font pas partie.
En l’espèce, le père ne fait pas partie du contrat, donc il est considéré comme tiers absolu, il ne
peut pas réclamer.
(s’il y avait un préjudice du fait de la non-exécution—on peut mentionner le principe
d’opposabilité)

Cas 2 :

De quelle nature est cette action ?

Saniplus peut-il opposer selon le principe d’opposabilité ?

C’est une chaine de contrat non translative de propriété. Donc on ne peut pas appliquer les
exceptions jurisprudentielles

S’il veut obtenir réparation il doit prouver 3 :

1-la faute :mauvaise execution

2-le préjudice matériel :fuite

3- la relation de causalité entre la faute et le préjudice.

7/////// Doc 4 :
Résumé des faits : M. Ducotey a vendu une maison à Mme Giroud en échange d'une rente
viagère. Il a ensuite assigné l'acheteur en résolution de la vente et paiement d'arrérages de
rente échus. La cour d'appel a prononcé la résolution de la vente pour les manquements de
Mme Giroud à son obligation de payer des arrérages de la rente viagère et l'a condamnée à
payer les arrérages échus de cette rente.

Les sanctions mises en œuvre par la cour d'appel : la cour d'appel a prononcé la résolution de la
vente et payment = execution forcée pour les manquements de Mme Giroud à son obligation
de payer des arrérages de la rente viagère.
Les effets de la résolution sont rétroactifs et les parties doivent restituer tout ce qu'elles ont
reçu. En outre, la cour d'appel a condamné Mme Giroud à payer les arrérages échus de cette
rente. Il s'agit d'une condamnation au paiement de sommes dues et échues à la date du
jugement.
Ces sanctions ne peuvent pas se cumuler, car la résolution implique la restitution des sommes
perçues, tandis que la condamnation au paiement des arrérages implique le versement de
sommes dues.
Il faut qu’il y ait une compatibilité ; il faut que le contrat à être executer
3/ resiliation et Dommages &I

Selon la Cour de cassation, M. Ducotey aurait pu demander une indemnisation pour le


préjudice subi en raison de la non-exécution de l'obligation, mais il ne pouvait pas obtenir
l'exécution forcée de l'obligation.

Doc 5
Résumé des faits : La société Europe expertise a résilié de manière unilatérale un contrat de
trois ans avec M. Fanara, expert en automobiles, pour la réalisation d'expertises préalables à la
reprise par le constructeur de tous véhicules sur lesquels avait été consentie une vente avec
faculté de rachat à un loueur professionnel. M. Fanara a demandé une indemnisation des
conséquences de la rupture unilatérale du contrat par la société, mais sa demande a été
rejetée.

1°- Le principe de la force obligatoire selon lequel les contrats à durée déterminée ne peuvent
être résiliés de manière unilatérale est une exception à la règle générale selon laquelle les
contrats ne peuvent être résiliés que d'un accord commun

2° - Pour que cette exception soit admise, il est nécessaire que le comportement de la partie à
l'origine de la résiliation unilatérale soit suffisamment grave pour justifier cette rupture.

3° - La solution pourrait être différente aujourd'hui car l'arrêt date de 2001 et la jurisprudence
peut évoluer au fil du temps. Cependant, le principe selon lequel la gravité du comportement
d'une partie peut justifier la résiliation unilatérale d'un contrat à durée déterminée demeure
toujours valable
Aujourdhui on a l’article 1226 mais l’article l’autorise à certaines conditions, de mettre en
demeure et de s’assurer qu’il ya une grave qui justifie la résiliation unilatérale du contrat.
En 2001 , la cc exigait la gravité pour la resolution et aujourd’hui 1226 consacre cette condition

Cas pratiques :
1 /Les faits : La société DFF a vendu une tonne de farine de blé T 65 stockée par sacs dans son
entrepôt ainsi qu'une tonne de farine de froment stockée dans une cuve à la société
Boulangerie. Cependant, une inondation imprévue a détruit l'ensemble du stock de farine de la
société DFF.

La question de savoir si la société Boulangerie doit payer le prix de la farine dépendra des
termes du contrat de vente conclu entre les deux sociétés.
En l'absence de clause spécifique, la règle générale est que le risque de perte ou de destruction
de la chose vendue pèse sur l'acheteur à partir du moment de la livraison, conformément à
l'article 1196 du Code civil. Ainsi, si la farine a été livrée avant l'inondation, la société
Boulangerie devra payer le prix de la farine.

Cependant, si la destruction de la farine est due à un cas de force majeure ou à un événement


imprévisible, la société Boulangerie pourrait invoquer l'article 1218 du Code civil pour éviter de
payer le prix. En effet, cet article stipule que si l'exécution du contrat est rendue impossible par
un cas de force majeure, la partie qui en est empêchée peut demander la résolution du contrat.

Les deux parties pourraient alors négocier une solution pour limiter les conséquences de
l'inondation sur leur relation contractuelle
Correction : Pq cette distinction entre les deux types de farine est déterminante ?
Pour les choses de genre(choses qui excitent en qté : blé, petrole…), le transfert de
propriété/risques n’a lieu que après individualisation de la chose.(sac et cuve)
L’évènement est imprévisible et extérieur du débiteur puisque le débiteur n’a aucun lien avec
les inondations.
S’agissant de la farine stockée, c une chose de genre mais en l’espèce elle a été individualisée
car elle a été individualisée ; en vertu de l’article 1196, le transfert des risques a eu lieu lors de
l’individualisation ; le propriétaire/créancier doit supporter le prix de la marchandise.
S’agissant de la farine stockée dans la cave, la chose de genre n’étant pas individualisée, le
transfert de la propriété en faveur de boulangerie n’a eu lieu, elle ne supportera pas le risque et
ne sera pas tenue de payer.
Conseil : prévoir une clause qui diffère le transfert de la propriété de la chose au jour de la
livraison : transfert des risques aussi lors de la livraison

2/ Résumé des faits : La société Gratin a commandé un navire à la société Dauphinois qui l'a
construit conformément aux plans donnés par la société Gratin. Lors de la livraison du navire en
janvier 2023, celui-ci fait naufrage lors d'une violente tempête. La société Gratin n'avait pas
encore payé le prix de la commande. La société Dauphinois a assigné la société Gratin en
paiement.

la société Gratin avait commandé un navire à la société Dauphinois et avait accepté le prix
proposé. Par conséquent, il y a eu formation d'un contrat de vente entre les parties.

En vertu de l'article 1195 du Code civil, les contrats obligent non seulement à ce qui y est
exprimé, mais aussi à continuer à exécuter ses obligations durant la renégociation
. Cela signifie que les parties sont tenues d'exécuter leurs obligations contractuelles, même si
certaines circonstances imprévues surviennent.

Cependant, l'article 1218 du Code civil prévoit que si l'exécution du contrat devient impossible
en raison d'un cas de force majeure, les obligations de chaque partie sont suspendues et le
contrat peut être résolu de plein droit à la demande de l'une ou l'autre partie
. Dans ce cas, la société Gratin pourrait considérer que le naufrage du navire constitue un cas de
force majeure qui rend l'exécution du contrat impossible. La société Dauphinois ne pourrait
alors pas exiger le paiement du prix de la commande.
Correction : c un contrat d’entreprise != de vente ; la jurisprudence applique la régle : les
risques pèse sur les débiteurs. Et le créancier sera libèrer de son obligation.
En l’espèce, Dauphinois n’a pas pu executer l’obligation de délivrance, en application de la règle
resperit debitorit, c la société dauphinois qui doit payer le prix, gratin de sera pas tenue de
payer le prix .
 il ne s’agissait pas d’un contrat de vente (car c un navire sur mesure== ctrat d’entreprise)
La théorie de risque(ce n’est pas un contrat translative de propriété) ; ça

3/ Résumé des faits : La société Dauphinois et la société Structures ingénierie construction (SIC)
ont conclu un contrat de partenariat accordant pour une durée de trois ans à SIC l'exclusivité
des études des fondations des maisons à construire. Le contrat impose de préconiser les
fondations les plus économiques, mais SIC n'a pas proposé la solution la plus économique
dans deux chantiers.

 Mettre fin au contrat en se basant sur la clause du non-respect des délais de fourniture de
plans ou du non-paiement des honoraires de la part du constructeur.
Mais elle doit prouver que le comportement de SIC justifie la résiliation unilatérale du contrat.
Elle doit notamment prouver que le non-respect de l'obligation de préconiser les fondations les
plus économiques est suffisamment grave pour justifier la résiliation.
Correction :
(1196 ; le juge doit voir si elle grave pour résilier le contrat, 1226 : il consacre la possibilité de
resilier uni mais à certaine conditions :1- le créancier doit être victime d’une grave et il est
admis à ses risques et perils
Et on sait aussi que l’article 1226 exige du créancier qu’il mette en demeure et il doit lui notifier
les motifs de la résiliation et qu’il peut vérifier que l’inexecution est assez grave.
Il faut savoir si l’inexecution est grave pour justifier la résolution unilatérale du contrat.
Le contrat impose=met à la charge de la société SIC de préconiser la sol donc elle a été mise à la
charge de SIC et que SIC n’a pas respecté dans deux chantiers faute contractuelle qui justifie
la résiliation : ca sera au juge de voir si elle est suffisamment grave pour justifier la résiliation
unilatérale du contrat.
Ou on pourrait aussi penser à la résolution judiciaire : demande au juge qu’il prononce la
resiliationd u contrat (1227) ; le juge peut prononcer la resiliation, accorder une autre chance
au debiteur ou de condamner de verser des dommages et interets.

4/Selon les faits, les époux Dauphinois ont demandé à la société Gratin de construire une
piscine avec un escalier comportant 5 marches pour faciliter l'accès de M. Dauphinois et de
Mme Dauphinois en fauteuil roulant. Cependant, l'escalier ne compte que 4 marches à la
livraison de la piscine. Les époux Dauphinois souhaitent donc que la société Gratin reconstruise
l'escalier sans payer le prix de construction.
F
la société Gratin n'a pas respecté le contrat en ne construisant pas l'escalier comportant 5
marches, tel que demandé par les époux Dauphinois. Cette inexécution suffisamment grave
permet aux époux Dauphinois d'agir en résolution de contrat pour obtenir la reconstruction de
l'escalier conformément à leur demande.

De plus, l'article 1231-1 (la preuve de la faute contractuelle) dispose que « Le débiteur est
condamné, s'il y a lieu, au paiement de dommages et intérêts, soit à raison de l'inexécution de
l'obligation, soit à raison du retard dans l'exécution, s'il ne justifie pas que l'exécution a été
empêchée par la force majeure.
Ainsi, les époux Dauphinois pourraient également demander des dommages et intérêts pour le
préjudice subi du fait de l'inexécution de la société Gratin.

En conclusion, il est conseillé aux époux Dauphinois d'agir en résolution de contrat pour obtenir
la reconstruction de l'escalier conformément à leur demande et de demander également des
dommages et intérêts pour le préjudice subi
Correction : 1221 : execution forcée d’un contrat mal exécuté.
Le debiteur veut profiter de la piscine ; avec 4 marches il ne pourra pas profiter de la piscine.
Le fait qu’on oblige la société à détruire les 4 marches ; etant donnée mr dauph est agé.

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