Mathis

Sekou

TP : LE CONTRAT

Mission 1 :

1) Arnold souhaite ouvrir une salle de sport, il a donc signé un contrat de franchise avec
Gymna. Après la signature Arnold s’est rendu compte que sur la zone existait déjà 2 salles de
sport, donc il souhaite rompre son engagement.
Selon la jurisprudence de l’annexe 1 Arnold devra prouver que le contrat est constituer d’un
dol, d’une réticence dolosive ou d’une erreur.

2) Arnold peut obtenir en réparation une indemnisation de son préjudice économique direct.

Mission 2 :

3) Arnold ne pourra pas consacrer une pièce à la vente d’articles de sport car dans
l’article 5 de l’extrait du bail il est dit que : « les locaux loués sont destinés à l’usage
exclusif de salle de sport » et « l’exercice s’effectuera à l’exclusion de toute autre
profession et autre usage » et selon la jurisprudence de l’annexe 3 qui reprend une
situation similaire, Mme Marie X constitue des autres activités que celle mentionnée
dans son contrat, elle a donc été sanctionner par la résiliation du bail.

4) La répartition des charges se détermine entre bailleur et preneur, elle est définie
dans le règlement intérieur joint au présent contrat. Elles ne sont pas compris dans le
prix du loyer. La clause ne parait pas abusive car dans l’annexe 3 la Cour d’appel n’a
pas relevé d’abus concernant une clause de répartition des charges pour une
situation similaire.

Mission 3 :

Mise en demeure du débiteur par le créancier

5)
Pas de réponse

Action en justice du créancier

Le juge
peut
Mettre fin au contrat
Obliger le débiteur à Condamner le débiteur à
éxecuter son obligation une exécution par
en nature équivalent.
6) Arnold pourra invoquer en priorité la juridiction adéquate pour la résolution des
contrats synallagmatique qui est la résolution judiciaire.