Vous êtes sur la page 1sur 2

CHAPITRE 6: La Formation et l’exécution du Contrat

I/La formation du contrat


A)Les conditions de formation du contrat

L’article 1128 du Code Civil pose 3 conditions de fond à la validité du contrat :


• Le consentement des parties : un contrat est conclus lorqu’une offre ferme et précise est
accepté de manière explicite et sans réserve, le consentement doit être réel et non vicié il ne
doit pas avoir été donné par erreur, extorqué par violence(violence physique ou morale) ou
obtenus par dol c’est à dire en induisant une personne en erreur.
• La capacité des parties: un contrat ne peut être conclus que par des personnes qui ont la
capacité juridique, c’est à dire par des majeurs capable(les mineurs peuvent néanmoins
contractés pour les actes de la vie courante)
• Il faut qu’il y est un contenu licite et certains: le contrat n’est valable que si les parties
savent expressément ce à quoi elles se sont engagés, la prestations doit être possible(on ne
peut pas vendre la chose d’autrui), la prestation doit être determinée ou determinable.
L’objet du contrat doit être dans le commerce (ex : le corps humains ne peuvent pas faire
objet d’une vente ou d’une location mais d’une donation) les raisons ou les motifs pour
lesquelles les cocontractant se sont engagés peuvent être conforme à l’ordre public.

Pour conclure : Aucune conditions de forme n’est en principe nécessaire à la validité des contrat
car le consensualisme est la règle. Néanmoins certains contrat sont par excpetion soit
solanelle(ex:contrat de mariage) soit réel(ex:contrat de dépôt vente)soit nécessitant un écrit
même saint.

B)La sanction des conditions de formation du contrat

-Un contrat qui n’est pas valablement formé peut être frapper de nullité, cette nullité peut-être
relative ou absolue, la nullité est relative lorque la règle transgresser(pas respecter) protège un
intérêt particulier(ex : c’est le cas lorsqu’il y a un vice du consentement).
La nullité est absolue lorsque la régle violée protége l’intêret général(ex : l’objet ou le contenu
illicite ou illégal)

Les 2 nullité réléve des régimes différent :


-la nullité realtive ne peut être invoquer que par la parties qui devrait être protéger par la régle
violée ou par son représentant, en cas de nullité relative le contrat peut également être confirmé.
-La nullité absolue peut être invoquer par toute intéresser et bien évidemment il ne pourras jamais
être confirmé.
Les 2 sortent de nullité doivent être invoquer dans un délai de 5ans(c’est le délai de prescription)
• La prescription peut :
-éteindre un droit
-faire naître un droit

-que la nullité soit relative ou absolue les effet sur le contrat serons les mêmes, le contrat est sensé
n’avoir jamais éxister, chaque parties doit restituer ce qu’elle a reçu. En cas d’impossibilité de
restitution(ex : le contrat,le contrat de travail) le contrat ne seras annulé que pour l’avenir.
II/L’execution du contrat
A)Les effets du contrat

-Le contrat à une force obligatoire « Les contrats légalement formé tiennent mieux lieu de loi à ceux
qui les ont faites »Article 1103 du Code Civil
Cela signifie quia signé les contrats doit l’éxécuter de bonne foi c’est à dire dans un esprit de
loyauté (Article 1104 du Code Civil), on ne doit pas nuire à son cocontractant ni cherhcé a tirer
profit de son erreur.
Aussi un contrat ne peut en principe être modifié ou rompu quand cas d’accord des parties(Article
1193 du CC) sauf lorsque la loi en dispose autrement (ex : les loi sur le contrat de travail)

-Le contrat n’a en principe qu’un effet relative article 1199 du CC, le contrat ne cr ée d’obligation
qu’entre les parties signataires ou entre les parties qui sont du contrat.
Le contrat ne profite ni ne nuie au personne étrangéres au contrat appelé tiers, un tiers peut toute
fois subir ou profité d’un contrat qui vient d’être signé(ex : la vente d’un fond de commerce
emporte la reprise de tout les contrats de travail existant)

B)Les recours du créancer en cas d’une inéxécution du contrat

vendeur= créancier du prix


Acquéreur= créancier du bien et services vendu

-Le cocontractant envers lesquel l’engagement n’a pas été éxécuter peut lui aussi refuser d’éxécuter
ou susprendre l’éxécution de sa propre obligation.
la 1ére inéxécution doit pour cela être suffisament grave.
-Le cocontractant peut, en cas d’inéxécution partiel peut demander également une réduction
proportionnel du prix
-Le cocontractant lésé peut demander l’éxécution forcer du contrat
-Le créancier peut choisir d’engager la responsabilité civil contractuel du débiteur.Cette solution est
toujours envisageable mais elle seras obloigatoirement retenu lorsque l’exectution en nature est
devenu impossible.Le créancier obtient alors réparation de son préjudice par équivalent cest à dire
par le versement de dommage intérêts.
-en cas d’inéxectuion d’un contrat synallagmatique le cocontractant peut demander en justice la
résolution du contrat c’est à dire son anéantissement retroactive. Pour les contrats
successifs(bail,location) on va plutôt parler de résilation c’est à dire qu’on va mettre fin au contrat
pour l’avenir.

Pour mettre fin au contrat :


-on a l’annulation du contrat, comme l’annulation d’un contrat de mariage, contrat de bail.
-résolution du contrat, quasiment comme l’annulation du contrat,(constructeur de maison, il a prit
l’argent et ne vient plus construire la maison : il n’exécute pas ses obligations, on constate qu’il ne
vient pas, on demande au tribunal la résolution du contrat.)
-résiliation : c’est un contrat,je dis j’annule le contrat, je l’arrête.(ex : résilier un abonnement
téléphonique)

Vous aimerez peut-être aussi