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Au 20eme siècle...........................................................................................................4
Recueil de poème d’Apollinaire (zone)..................................................................................4
Dadaïsme...............................................................................................................................5
COURT METRAGE....................................................................................................................................5
1924 – Surréaliste..................................................................................................................6
COURS MÉTRAGE – UN CHIEN ANDALOU (1929)...................................................................................7
Fin du cours de français 2 fini sur les romans naturalistes (représentation véridique de la
réalité, expérience scientifique) et les poèmes symbolistes. -1880
Théâtres
Développement du théâtre symboliste : Maurice Maeterlinck créer une pièce avec des
aveugle et qui représente la perte des repères absolues (plus avengardiste, plus
mystérieux, pas réaliste)
La poésie
Le Roman
Le roman ne fait pas que représenter la réalité mais apporte aussi sur la réflexion des
écrivains sur leur travail entre autres.
Ex : A. Gide Paludes (1895) et les faut monnayeur (1925)
– Mise en abyme : emboitement d’une œuvre en elle-même
o Paludes : processus créateur intéresse l’auteur (pression, regard des autres, etc.)
o Les faut monnayeur : homosexualité, découverte du désire, etc. mets en scène
un écrivain qui fait ce qu’il fait.
Rapport du lecteur au livre
o M. Proust à la recherche du temps perdu portrait d’une bonne société,
trajectoire de son double littéraire et qui vas devenir écrivain.
« Ce qu’il veut écrire c’est ce que vous avez lus »
o Ulysse de J. Joyce grande place au monologue intérieur, dans la tête de qqun,
perte de repère traditionnel du roman qui s’accentue durant le 20/21emme S.
Exploration romanesque nombreuse
o Un roman qui s’écarte du traditionnel, laisse place à une parole continue. (Une
phrase = un paragraphe) le langage devient souple mais surtout sans cadre de
syntaxe
Ex : Ulysse de Joyce, des passages dans la tête d’un perso et donc tous les détours et les
parenthèse (représentation du flow de panse et a ses détoure)
Dadaïsme
COURT METRAGE
1916 – Soirée dada Zurich (publique insulté), elle marque la naissance du mouvement
dada
2016 – art moderne de Zurich présente œuvres dada (inconcevable puisque a la base
anti-art)
Principe dada est de révolution mais base de l’art moderne. Dada à briser l’art, origine
précurseur. Aussi dans culture pop – collage dada
Dada n’est pas homogène mais plutôt heteroclique, elle soulève toujours des questions
Elle impose nouvelle conception de l’art
L’origine, d’où vient-elle : depuis fin du 18eme vision du monde change, transformation
en cours mais pas encore dans l’art.
Mais l’art recherche um nouveau sens, et dada arrive durant premier guerre mondiale –
radicalité brutale aussi insensé, choc morale engendre dada.
Urinoir de duchant refuser à l’œuvre des artistes indépendant. Et qu’elle est vraiment
l’art? l’acte créatif n’est pas juste pas la création mais aussi par la conception d’une idée
nouvelle
Grande question toujours présente aujourd’hui : qu’est-ce que l’art? à quoi sert-elle?
Dada n’est pas linéaire, dada cherche partout.
1924 – Surréaliste
Noyau de dada paris devient surréaliste
Artiste :
o A. Breton
o P. Éluard
o L. Aragon
o PH. Soupault
o R. Desnos
Breton publie manifeste du surréalisme
Texte qui remet en cause état de la situation et des pratiques, renoncer,
critique, ton polémique et engager avec désire de contester.
Remise en cause de l’art de certain auteur, de la réalité.
Puis proposition précurseur et auteur déjà novateur (Ribaut, beaudlaire, etc.)
et rejet de certain. Approche technique proposé.
Ils veulent explorer ce qui est tabou, refouler pour faire sortir quelque chose de profond
pour retrouver une unité entre les être humain.
Lapsus : révéler quelque chose d’imprévue (acte refouler ressorte et révèle notre
inconscient).
Intérait pour les rêves, aussi important que l’éveils, pour la découverte et des
révélation intérieures.
La folie est une opportunité d’accès à la qqchose de nouveau.
Technique du manifeste : Écriture automatique – écrire le plus rapidement
possible (essayer d’être aussi rapide que la pensé mais sans la censurer) en
décrochant de la rationalité.
Un côté ludique dans la création (jeu ex : cadavre exquis) permet la nouveauté, et le
rejet de la raison et crée un étonnement.
Poésie surréalisme permet la création d’images et elles en sont le cœur (rapprocher des
réalités a priori non rationnelles et nouvelle relation entre chose lointaine et nouvelle
vérité psychique et sur le monde)
Forme d’irrationnalité
Tous les personnages jouer par même acteur
Juxtaposition, suite entre les plans
Ex : petite boite, main couper, fourmis (manifeste idée d’angoisse lier au corp)
Abolition spacieux-temporel (ouvre un port vers la même pièce)
Confusion de l’espace temporel
Ex : pas de chronologie, pas de logique dans le temps
Intertitre absurde (8 ans plus tard et 16 ans plutôt)
Poids de la religion
Ex : clergé présent dans la scène de piano
Présence de la mort, corp a la merci de dégradation
Œil trancher, homme alité, femme frappée par auto, couple fini mort sur la plage
Représentation de l’ordre du fantasme
Pulsion et agression présente. Ex : homme prend les sains de la femme. Deux
scènes donc une dans la tête de l’homme qui montre le désire présent et qui est
lier a qqchose de violent et donc une agression
Vient de la femme écraser qui créer un désire chez l’homme
La clé des songes (œuvre) : nouvelle association des mots au images qui remet en
question perception de réalité
Il ne révèle pas tout de suite ses crimes pour qu’on s’y attache, pour qu’il y a possibilité
de rapprochement, plaisir du mystère et de la découverte progressive pour le lecteur,
stratégie de bien parâtre et de conserver une image positive avant de montrer une
positive. Il y a aussi une part de difficulté dans l’aveu qui amène son report.
Symbole qui montre que la chute est une énigme est entre autres la présence de
l’obscurité, les chapitre finisse sur un « plus tard », une promesse garder des révélations
pour plus tard. Fini sur un mouvement dramatique (mort de la femme sans
confirmation, rire, etc.) le découpage favorise la curiosité et le maintien du mystère.
On ne connait pas son vrai nom – Jean batiste (cousin de Jésus, l’a baptisé, prêche dans
le désert et annonce la venue du christ).
Clamence dit être un prophète : d’où vient le faut nom de Jean Batiste et la référence.
- Fin du livre est en liens avec exécution de jean batiste.
Énigme qui entoure l’interlocuteur – on le connais à peu près (sont Age, son nom, son
métier, sa culture, son attention au langage) il est inconstant, est-il vraiment là?
Quelque allusion sommaire à travers les réactions de Clamence.
Thème :
Question d’amour (triangle amoureux, rapport de force, infidélité, désire, maternité)
o Dans un contexte futuriste – renforce et accroit la diamantions du traumatisme
de tachko.
o La nostalgie est mieux exprimée, comparaison entre maison et réalité plus
flagrant.
o Le miracle de la vie qui donne une excuse à l’infidélité.
o L’infidélité est excusée parce qu’elle pense à son partenaire et non au patron, ce
qui pour elle rend l’enfant légitime.
o Présence de la maternité, il y a un sacrifice de mort a 99% lors de
l’accouchement, forme de passation par les cassettes préenregistrer par la mère
pour l’enfant.
o Angelo, symbolique du miracle.
o Fin de la pièce a l’accouchement, fin des enregistrements aussi. Mais est-ce
qu’elle meurt? Incertitude maintenue.
o Transfert de la mort a la vie est double : mère et père (affectif)
o Mort de tachko : abdication de son rôle de père, sentiment de perte de la mère,
évincer de cette famille, peur du touché face au bebe et bagona. Sentiment que
poche est mieux placer pour s’en occuper.
o Détruit projet de poche en mm temps que suicide pour vengeance. Frustration et
haine contre la vie. Yeux fermer est rejet du principe de regarder les tapisseries.
o Poche a un certain contrôle sur tachko (est-ce son agresseur?) rapport de
dépendance (drogue, job, appartement, etc.)
o Scène où tachko tombe dans les bras de poche, leur relation est ambiguë.
o Tatouage comme marque, relation substitue. Tachko fait des tapisseries sur
tissue en peau-tatouage
Comparaison
o Pas d’intro ni de comparaison
o Théorique formuler une idée
o Faire des lier en les thèmes
Les idées doivent tout le temps tenir compte des deux œuvres (idée primaire et
secondaire)
Trouver un aspect/angle de comparaison semblable pour les deux œuvres – base
commune et nuance (plus ou moins fortes)
Comparer un angle semblable aux deux œuvres avec des nuances
La chemise au mur
Première histoire d’amour
Un des récits où à travers la fièvre, dépassement de la mort (symbolique)
Russification du narrateur (référence a jésus : mort qui ne suis pas résurrection)
Le contact de la femme apport affranchissement symbolique de la mort
Ce moment dure 1 heure mais il parle d’un moment d’éternité.
Une diamantait sacrée de la relation et recherche se caractère dans relation futur
Vers la fin : sentiment de plénitude plus que de manque, puisque connaitre et mieux
que d’avoir perdu
Structure : alternance (fille/révolutions) engagement amour et engagement politique -
élément relier dans bcp de récits, Vaincre la solitude en étant membre d’un couple ou
membre d’un groupe
Il n’y a pas d’opposition contrairement au récit du vin qui crée une séparation entre les
deux thèmes, sois la femme sois le groupe révolutionnaire.
Érotisme est concentrer dans un geste (ici bouche) – ça revient dans Le Vin –
Récit de fuite (mais pas amoureuse) politique qui crée une rupture avec l’object
symbolique de la chemise (pas un oubli mais détachement)
Le vin
Femme et révolutions
Similarité : rupture
Différence : on voit l’effet dans l’immédiat de la séparation (colère, etc.) et il va boire
(ivresse- métaphore de fermentation- de la révolutions)
Femme et révolutions sont en disjonction puis conjonction
Le vin (qui est manifestation) est un substitue de la fille puis le vin (réel) permet la
relation avec la fille
Il dit que tout le monde a sa chance et que les femmes sont généreuses
Il y a une forme d’enthousiasme qui permet une relation facile mais sa rupture aussi.
Ébat sexuel au poste de police : provocation
Possibilité d’une démonstration amoureuse publique est relier au narrateur revient dans
aide (le bruit isole- intimité renforcer dans la foule)
Récit de retour impossible dans la vie (vrai dans addition) retourner à Naples mais reste
étranger chez lui.
Addition
Époque ouvrière du narrateur après période révolutionnaire, moment du détachement
de l’engagement.
Il rencontre un fille et relation au départ à distance (ville et fille)
Le récit sur la trahison : par ça ville (il ne pourra jamais revenir) – il souhaite être un
touriste puisqu’il se sent étranger
Aucune femme ne l’attent sur le quai – au début Naples n’est pas associer aux femmes
puis se récit casse cette première idée.
Elle est extravertie mais lui plutôt solitaire. Il y a bcp de différence (horaire, métier,
relation sociale) et circonstance sont peu favorable à eu.
Écriture de lettre- L’écriture comme substituée relation amoureuse en personne comme
dans aide
Addition qui suppose le mensonge (souper en tête à tête – cachoterie de la part de la
femme)
Narrateur a un désire de l’absolue, cause une intransigeante (comme dans chemise au
mur) et donc adition suffit à une rupture. Il n’avait le recul pour comprendre qu’en
réalité ce n’était pas tout à fait une trahison, le narrateur na pas une grande confiance
en lui et Il n’attend pas la conversation mais il quitte ce qui rend la rupture irrémédiable.
Au travaille, il est aussi à l’écart et se mets à l’écart lui-même. Sa colère se traduit en
énergie (il pelte fort) et il n’a pas le même rythme et une remarque est poser.
L’Afrique
Trois récits lier, deux en lien avec la fièvre (le bouillon de poule, fièvre de février)
La corp prend bcp de place : sueur, odeur, faiblesse, maigreur, etc.
Dans FIÈVRE DE FÉVRIER il y bcp d’élément a la vie antérieur, souvenir, ce que la maladie
fait vivre a sont esprit (un univers mental lier a des odeur, image et relation, vie
militante et ouvrier)
La guérison passe par la parole et le verbe « amour », sa aurait dû lui donner élan vers la
mort, mais c’est le contraire et la corp se remet graduellement à fonctionner, il retrouve
la vie, mais c’est celle d’un autre, à travers transformation, cette lente résurrection, de
l’épreuve de la mort.
Sœur Mélanie est une femme forte et engager (dans son désir de soigné le narrateur)
Qque Image de l’affrique : parole, langage appris pour entrer en relation avec les autres,
échange culturel et dynamique d’échange, évocation d’animaux et de la maladie.
Orgueil et innocence qui le rendent vulnérable et qui le mets à l’écart (une moustiquaire
autour de son lit de malade, inconfort face à la température).
IN NOMMINE : avant départ de l’affrique et on découvre que le narrateur est non
croyant et donc rejet du rituel de la confession (Retour a camus/clamence) et il dit que
personne ne peut le débarrasser des douleurs de ses fautes et lui-même ne pardonne –
pas un bon esprit de confession- récit qui montre le poids que porte le narrateur de
certain actes commis (on ne sait pas quoi). Il perd du poids, mais pas la lourdeur
intérieure. Le prêtre fait quand mm un pardon et le narrateur prend se pardon comme
un poids supplémentaire (pardon forcer est une pression supplémentaire) -clamence qui
ne peut supporter un regard admiratif des autres.
La maladie serait un signe que le pardon n’est pas accepté.
Récit de montagne
Pilier de rose, aide, méchante histoire
Élément de description a l’assantion, une certaine exigence (moins dans m.h.)
Les deux suggèrent une expertise (aide- conseil donner et connaissance, m.h-
comparaison entre narrateur et les autres qui serait des novices) une certaine
marginalisation
Rapport à vie/mort et la violence devient expérience d’un désire de mort (vers soi ou vers
autrui) lutte pour la survie
Rencontre éphémère entre personnage (incertitude- laisse le couteau « j’ai fait », remise
en cause)
MH : histoire raconter au chasseur, Un regret possible
AIDE : solidarité intense, métaphore des insectes, potentielle amoure ne deviendra pas
« papillon ». Possibilité mais incertitude amène à une fuite du narrateur
L’adora et le touché
Souvenir d’enfance, lier aux vacances, lier au sens, lier avec le monde des adultes et sa
violence et perte de liberté et la mort, intuition de ce côté plus sombre et conscience
même si une certaine incompréhension.
Expérience transformatrice de l’enfant ou de la perception des adultes sur l’enfant.
Solidarité qui passe pas sensation de l’odorat.
Elle écrit un premier récit sur l’Indochine (mère, barrage, concession). Elle revient
périodiquement à cette histoire (pièce de théâtre, l’amant et adaptation
cinématographique, mais en est exclus donc réécrit le livre et nouveaux filme créer)
Elle retravaille c’est récit, l’univers de ses œuvres est relié par le retour de certain
personnage ou lieu ou évènement, il y a les des liens, des correspondances entre ses
œuvres.
Pour elle les genres ne sont pas hermétique, certains romans peuvent finir en pièces, un
roman peut être décrit comme un poème, etc.
Elle est aussi scénariste, elle fera donc des films certains plus expérimentaux et
déroutant.
Il y a chose qui veut s’affranchirai des attentes, sur le plan littéraire elle s’approche de ce
qu’on appelle le Nouveau roman (année 50) qui cherche à remettre en cause le roman
traditionnel.
o Illusion que l’organisation linéaire
o Éclatement de la chronologie
o Refus d’ordonner les éléments
o Refus d’une intrigue (pas de grosse péripéties)
o Désorganisation des souvenirs
o Ne croit pas à la psychologie des personnages, le personnage refuse
l’interprétation et information qu’on croit leur attribué, les être ne sont pas
transparent, étrange, incompréhensible, etc.
o Beaucoup d’élément de doute, et pas de réponse nette, claire et précise.
o Les réponses se font par les allusions, et phrase énigmatique
o Perte des repères du narrateur, des lieux et des personnages
Personnages
Narratrice
Prise de conscience qu’elle attire le regard, capacité à diriger le regard sur elle, attirance
particulière des hommes (regard de l’amant) contribue à une affirmation de soi et
affranchissement.
Elle n’a pas une perception d’elle-même qu’elle trouve attirante, elle ne se
trouve pas belle comme les autres lui disent (qualité non plastique)
Vs. Hélène L. sa beauté est par son corp (plus plastique) attirance face à la
beauté de la corp et moral
Becky : beauté, raffinement, etc.
Elle se compare ou s’associe à ses femmes pour une certaine liberté, elle décrit
par une comparaison avec quelque chose de similaire qui est quand même
différence. Jeux de comparaison, par des différences parfois contradictoire,
transgression des code, rébellion des usage, marginalisation = chercher à
s’affirmer.
Désire vient du regard, le désir doit partir de sois avant d’être à l’autre.
Contradiction entre ne pas se trouver belle mais prise de conscience de savoir
que le désire vient d’ailleurs.
Ambiguïté, elle aime sortir des normes là qu’elle s’accepte. Son visage, vieilli
prématurément, est plus riche que celui de sa jeunesse.
Relations
Avec la mère (famille et frère)
Contradiction entre ses sentiments (haine/amour) et aussi ses action
(solidarité/violence).
Mélange de compassion (pitié, aimer) et haine (tuer)
Haine : mère préfère le fils ainé, vient de la rivalité fraternelle) amour privilégier
face au fils mène à une carence et haine contre la mère
Avec amant
Évolution de la relation?
Elle ne l’aine pas, seul une attirance physique qui se transforme en questionnement à la
suite de l’échec de la relation.
Perception du désire change de l’apparence physique
Position de force sur lui :
Il l’aime plus qu’elle l’aime lui
Elle profite de sa force économique
Cette force est balancer par le groupe
Les frères ne parlent jamais directement à l’amant, pouvoir sur lui. Ils le voient
comme un faible et la narratrice contribue à cet écrasement en étant passive
Rapport de force sur le plan ethnique (lier à la situation sociale de l’époque), elle
est blanche et lui chinois, ce qui créer une peur chez lui
Son rapport de force est mental et psychologique, mais il a un savoir-faire (sur le
plan érotique) et elle est plus vulnérable au début, mais le rapport s’inverse
lorsqu’il dit qu’il l’aime et qu’elle le déshabille.
C’est elle qui oriente la relation (plan érotique et économique mais jamais
émotionnelle) et elle choisit la nature donc à un certain pouvoir.
Elle trouve légitime les injures qu’elle reçoit, un certain dénigrement,
autodépréciation, acceptation d’une violence contre elle. (Comportement
familiaux rende acceptable certain comportement de la relation)
Figure de désires
Homosexualité (narratrice/Hélène), inceste (petit frère/narratrice et mère/grand frère)
Sur le plan symbolique, le désire d’une fusion
Rencontre de sois dans un double
o Hélène lui ressemble, mais amélioration
o Elle imagine « donner » Hélène au chinois
o Permet de se regarder à distance (perversion, curiosité)
Le petit frère, cercle clos de la famille, endroit privilégier de son existence
(difficulté à s’en séparer)
o Imaginer le frère en étant avec le chinois
o L’inceste renvoi a l’image de l’enferment dans la famille
Et un dédoublement
Figure paternelle de l’amant incarne plusieurs positions face à la narratrice
Comble la place du père de la narratrice qui est mort quand elle était jeune
Recréer l’espace de la famille, comble carence.
Substitution et dédoublement de l’amant qui laisse le lecteur perplexe
Univers clos (famille), par la contradiction désire de le recréer et de si affranchir.
o Séparation en entrant dans l’auto
o Séparation a la mort du frère
Elle se retrouve seul face à l’union entre mère et grand frère
o Séparation lorsqu’elle quitte l’Indochine
Une prise de conscience et le début de la séparation de la famille
Érotisme
Exhibitionniste, perte de sois, etc.
Paradoxe
Elle se sent séparer de la rue (sentiment de cocons et d’isolement face au reste
du monde)
Forme d’alternance entre description tangible et description flou
o Métaphore de la mer pour décrire l’acte (orgasme),
Forme de dépossédions, détachement, (faire, vivre, et voir)
Éros et Thanatos (normalement opposer) mais ici se rejoigne
Le plaisir « c’est à en mourir »
Désir de désobéissance, face à la société, sa famille, le pensionnat, etc.
Une liberté vient de là.
On privilégie le sens du touché. Elle ne le regard pas toujours : parce que ça coupe le
coter émotionnel (regarder = reconnaitre existence)
Élément sensoriel sépare deux dimensions
Intimité = touché
Publique = odeur, vue
Violence/mort
Agression contre sois même ou les autres
Fils ainée et mère à tuer
Violence represser par le souhait du meurtre non réalisée
Battu par la mère (verbale et physique) par la manipulation du frère.
Desire de destruction, mort
Menace extrême pour la vie (petit frère crain)
Conflit entre frère : tellement que les deux doivent être séparer
Narratrice reproche à la mère l’acte en retard
Autodénigrassions, violence à elle-même
Une fois l’amant contre la narratrice
Le récit nommé L’amant, mais traverserez par vague de cette violence des
personnages face aux autres et eux (violence des humains).
Silence face à l’amant, confidence mutuelle, un peu plus de discussion mais retombe
lorsque départ est imminant, début de distanciation. Même si elle ne l’aime pas,
qualités de conversation qui n’apparaissent pas dans la famille. Communication aussi
non verbale.
Récits
Problème : récits succession de texte (normalement indépendant) ici unifier par le
premier chapitre et détruit la séparation des textes et renforcé par le dernier chapitre.
Forme un récit cadre qui donne une cohérence et forme romanesque au livre
Les témoignages donnent un sentiment d’être vivant chez les otages, la littérature serait
une salvation, le langage a se rôle dans le livre.
o Essentiel dans la matérialité, diamantions sonore, dimension visuelle. Pas
important dans sa rationalité, mais dans la rythmique et la sensorialité (voix, son
et pas ce qui est dit) afin de se sentir proche des autres.
o Parle à la sensibilité et rejoint les émotions et interpel les autres. Puissance du
langage dépasse l’entendement.
o Le langage passe aussi par le regard, la gestuelle
Biscuit Yakimono
Importance des biscuite briser, reconstitution avec des fragment brisé.
Liens avec la marginalisation, les biscuits lui ressemble dans la mesure où elles sont aussi
rejetées par la société.
Révéler par le langage et le rituelle ainsi que par les biscuits.
Biscuit son un lien du déplacement de l’éloignement, symbolique d’une transformation
positive grâce au langage, ici matériel dans la relation.
Translitération (utilisation d’un autre alphabet) : intérêt par l’aspect évocateur et non
leur compréhension.
1. Dans les deux récits, l’enfance est caractérisée par une fascination pour la
destruction.
- P1 : acier = destruction de la matière mais aussi du monde // = ne suscite
pas de peur.
- P2 : enfant regarde la vielle grand-mère, est fasciner par la
transformation qu’elle subit, sa mort.
o Cette fascination passe par un regard soutenue/espionnage
- P1 : fillette espionne aciérie
- P2 : le garçon guette la vielle à travers la haie
o Fascination mitigée des virtuoses vs. peur – ce qui n’apparait pas dans la canne
Dans les deux récit l’enfance est caractérisé par une fascination pour la
destruction, cette fascination mène à l’idée de l’impression d’être le détenteur
d’un secret et cette relation privilégier va jusqu’à un renversement des forces
par rapport au monde adulte qui créer une ambiguïté de l’enfance.
Tableau comparatif :
Camus De Luca Duras Ogawa
Langage X X X X
Rencontre X X X X
Enfermement X X X X
Enfance X X
Mort X X X X
Rébellion X X X X
Vrai/faux X X
Auto bio X (X) X (X)
Sensualité X X X
Famille (X) X X
Souvenir X X X X
Voyage/exil X X X X
Double X X X