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Expression écrite

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Sujet 1 : What role can men play in promoting gender equality ?
- Introduction
L’inégalité entre homme et femme ou bien l’inégalité des genres sont des
ensembles de disparités sociales et juridiques qui défavorisent un sexe par
rapport à un autre. Mon point de vue sur l’inégalité des genres est un sujet
particulièrement délicat car se sont les femmes les principales concernées. Au
fil des années, ce thème est de plus abordé du à l’évolution des mentalités. On
peut pensé au mouvement politique tel que le féministe ou bien d’autre moyen
mis en place dans diverse domaine afin de lutter contre ses différences dites
l’inégalités. Les hommes jouent une place primordiale plus pour la lutte contre
l’inégalité donc on peut se demander quel rôle peuvent jouer les hommes dans
l’égalités des genres ?
Premièrement, les hommes peuvent jouer un rôle d’éducation et de
sensibilisation dans le domaine scolaire et professionnel et secondement ils
peuvent jouer un rôle d’action et de soutien dans la vie quotidienne pour aider
les femmes.
Premièrement, on peut penser à l’environnement principal dans lequel évolue
les individus et qui influencera majoritairement leurs opinions et leurs
mentalités sur le long terme. On va parler du domaine familial, un endroit où
les hommes jouent le rôle de figure d’autorité mais aussi d’éducateur. C’est
pour cela que la manière dont ils éduquent leurs enfants et traitent leurs
compagnes joueras un rôle important sur la vision des femmes au sain de la
famille.
D’une part, l’éducation des enfants est un point important concernant les
mentalités des individus dans le futur. En effet, en éduquant les enfants selon
les stéréotypes de genres cela peut participer à une vision négative sur l’égalité
des genres tel que le développement de sexisme. Exemple : Par rapport aux
couleurs, métiers, traits personnalités, jouets, loisirs, dessins animés… On
peut penser a la couleur bleue qui est assimilé aux garçons et le rose qui est
assimilé aux filles. Les stéréotypes sont toujours d’actualités même si ils sont
petit-a-petit déconstruits comme on l’a vu en cours avec la vidéo sur les
stéréotypes de genres où des enfants expliquaient que les choses n’ont pas de
genres. Exemple : une femme peut devenir docteur et un homme peut devenir
danseur. Le rôle du père ici serait donc de laisser ses enfants s’exprimer
librement et évoluer dans un environnement sain.
D’autre part on peut penser à la place des femmes au sain du foyer et des
responsabilités auxquelles elles doivent faire faces. En effet, les femmes mariés
ont toujours eux de nombreuses responsabilités à la maison. Elles jouent le rôle
de nounou, femme de ménage, jardinière et j’en passe car c’était se qui était
demandé d’elle. Comme on peut le constater sur le texte « I Want a Wife »
écrit par Judy Syfer datant de 26 août 1970, qui illustre la condition de la
femme et surtout de la femme mariée aux yeux de l’homme à l’époque.
L’homme décrit ses attentes concernant sur sa future femme et ce qu’elle
devrait faire au quotidien pour lui faire plaisir et être considérée comme « une
bonne femme » Exemple : I want a wife who will : « take care of my physical
needs (l9), keep my house clean (l10), pick up after me (l10), cooks the meals
(l13) and plan the menus, do the necessary grocery shopping, prepare the
meals, serve them and do the cleaning up (l15) sans compter « a wife who
listened to me wihout bothering him with complains » (l16) . Sans quoi
l’homme la remplacera avec une autre femme plus compétente en la laissant
s’occuper de son enfant et du foyer qui délaisse. « I will expect a fresh, new
life ; my wife will take the children and be solely responsible for them so that
I am left free. (…) Même si la société a beaucoup évolué depuis les années 70,
malheureusement dans beaucoup de famille les stéréotypes sur le rôle des
femmes à la maison persiste. De ce fait, un accord commun entre l’homme et
la femme sur la répartition des tâches est primordial, le rôle de l’homme mais
également de la femme est de s’écouter et de se soutenir mutuellement.
En dehors du domaine familial, l’école joue également un rôle primordial dans
l’évolution des individus.
D’une part, l’école est un environnement stimulant où les hommes et les
femmes sont en contacts constants que se soit en cours, en pause ou à la
cantine. Une relation d’harmonie entre les genres est donc nécessaire pour un
bon apprentissage. Parfois le comportement de certains garçons envers les
filles peuvent être nuisant, on parle donc de misogynie qui se traduit par du
harcèlement moral voire sexuel. Exemple : Sa peut commencer par des
plaisanteries de nature sexuelle, les remarques de nature sexuelle concernant
l’apparence d’une personne du à ses actions, les demandes insistantes ou
relation sexuelle et enfin les contacts physiques, attouchement non désirés et
viol. On peut penser à un évènement récent qui se déroule en Espagne qui met
en scène des étudiants madrilènes qui ont organisés une tentative
d’intimidation envers les étudiantes résidents en face de leurs immeuble. Ils
ont proférés des insultes et des menaces sexistes, ce qui a provoqué une
certaine peur et un sentiment d’insécurité de la part des résidentes. Pour éviter
la répétition de ce genre de comportement des sanctions et un projet de
sensibilisation pour l’égalité des genres doivent être mis en place. Les
professeurs masculins dans ce genre de situations se rend plus acte à
sensibiliser voire éduquer les élèves.
D’autre part, l’école est surtout un lieu d’apprentissage où les élèves sont
formés pour leur futur métier. Grâce aux spécialités, les élèves s’orientent vers
un domaine de spécialisation, on a pu observer la persistance des stéréotypes
des genres. En effet, il y a un manque d’effectif féminin dans certaine
spécialités tel que les spécialités touchant l’informatique, les sciences et aussi
le domaine du sport. Exemple : D’après une étude faite par l’Etudiant intitulé
« les femmes au cœur de l’économie » datant de 2018, les femmes sont encore
minoritaires dans la filière scientifique ( 47,4 % par rapport au cursus littéraire
presque que 80 % des effectifs et plus de la moitié pour les cursus économique
( 60,1 %) en ce qui concerne la filière générale. Et pour les filières
technologiques, en STIDE il y a que 7 % de fille par rapport à 87 % des filles en
STSS ( science technologique santé sociale ). Ces choix d’orientations très
genrés dès le lycée sont du aux stéréotypes. Exemple : Avec le document
intitulé « How our education system undermines gender equity » datant de
avril 2018 par Joseph Cimpian où l’on voit clairement lors d’une conversation
entre deux professeurs sur « est ce que les filles sont moins capables que les
garçons, les croyances ancrés dans certains esprits. En effet, ils réalisent que les
professeurs ont tendances à attribuer la réussite au contrôle de maths des filles
comme étant un exploit tandis que pour les garçons c’est considérer comme un
talent. De ce fait un travail d’éducation voire socialisation est primordiale de la
part des professeurs.
Les hommes peuvent jouer un rôle important dans le domaine du travail car
c’est un endroit où l’inégalité se fait ressentir.
D’une part, on peut parler de parité salarial car en effet dans nombreuses
entreprises il n’en est pas question. Les femmes gagnent moins que les
hommes d’un côté car elles ont des responsabilités familial et que donc elles
ont tendances de travailler à temps partiel. D’un autre côté elles sont victimes
de clichés sur leurs conditions ce qui entraine une différence de salaire voire
une différence d’accès à des postes haute responsabilité, ce qu’on appelle le
plafond de verre.
D’autre part, on peut penser tout comme à l’école subir du harcèlement que se
soit sexuelle ou moral. Ils se traduit de plusieurs façon et se produit très
souvent. D’après une étude faite par ‘’Atmd’’, pour 82 % des salariés, les
femmes sont souvent sujettes à des attitudes et décisions sexistes dans le
monde du travail. Cela contre 60% des hommes. Ainsi le rôle des patrons est
donc de sensibiliser à ce type de comportement en fessant des formations ou
des conférences obligatoire. Exemple : d’après « le livret du formateur et
formatrice » sur l’harcèlement sexuelle au travail par la république française 57
% des hommes et des femmes interrogés s’estiment mal informé sur
l’harcèlement sexuelle. Ce livret représente un outil de sensibilisation face a ce
genre de comportement et va permettre de comprendre et de reconnaitre
l’harcèlement sexuelle, alerter les victimes et les témoins et prévenir plus faire
réagir les manageurs et employeurs.

Secondement en dehors de l’éducation et de la sensibilisation à la condition


des femmes, les hommes peuvent agir de manière plus concrète de plusieurs
manières que ce soit.
D’une part on peut penser au domaine juridique. De plus en plus de lois sont
crées en France et parfit en faveur des droits des femmes et de leur place dans
la société. Que ce soit à l’époque avec les lois sur les droits fondamentales,
exemple avec le droit de vote en 1945, l’égalités des sexes dans tous les
domaines en 1946, ou bien la loi autorisant le divorce en 1967 et celle rendant
l’IVG définitivement légal en 1979. Ou bien dans les années 2000 avec des lois
plus accès sur les violences faites aux femmes et la parité salariale, exemple en
2006 avec une loi relative à l’égalité salariale par rapport au salaire, congés et
représentations des femmes, en 2012 avec une loi sur le harcèlement sexuel,
donnant une nouvelle définition et établissant les sanctions associées ou bien
encore en 2016 avec une loi relative au numérique et au revenge porn. Ce
qu’on peut observer c’est qu’au fil des années les lois s’adaptent au besoin de
la société afin d’englober au maximum les actes d’inégalités et les condamner
dans différents domaines, en ajoutant de nouvelles conditions. Exemple avec
des lois récentes telles que la gratuité de la contraception en 2020 pour les
filles de moins de 15 ans ou bien celle sur la PMA pour toutes les femmes en
2021. Malgré cela on peut établir une critique de la loi d’un coté concernant les
sanctions prises en charge. On peut observer que les femmes ne sont pas assez
considérées voire prises en charge lors de délit. On peut penser à la difficulté
des femmes lors plainte pour viol car elles ne sont pas prises au sérieux par les
agents de la fonction publique, ce qui fait que c’est souvent sans suite. Ou bien
au fait qu’un violeur est une peine plus légère qu’un dealeur de drogue alors
que l’acte n’a pas la même ampleur. Exemple lors d’un passage du journal sur
Cnews où l’on voit Karine, une jeune victime de viol en 2016 qui a vu son
violeur libérés alors qu’il y avait toutes les preuves contre lui. « le tribunal
d'Evry (Essonne) l'a reconnu coupable de trois chefs d'accusation, à savoir
deux viols et une agression sexuelle, en récidive, sur trois victimes différentes.
Il a été condamné à six ans de réclusion dont deux ferme, avec un
aménagement de peine. Il n'ira donc pas en prison. » Ainsi ici les hommes
pourraient avoir plus de considération envers les femmes ce qui conduirait à
des lois plus sérieuses et une meilleure égalité des genres.
D’autre part on peut penser aux mesures dans le but d’une meilleure égalité
entre les genres qui ne soit pas juridiques mais politiques. Depuis le droit de
vote des femmes qui entraina la création du « mouvement suffragiste » au
19ème siècle, le militantisme en faveur du droit des femmes voit le jour. On
peut alors parler de féminisme, c’est-à-dire « Mouvement politique qui prône
l’égalité entre les hommes et les femmes dans la vie privée et publique ».  On
fait alors la distinction de deux types, les féministes radicales qui accusent le
patriarcat autrement dit les hommes ayant le rôle d’oppresseur des femmes et
les libérales qui souhaitent que de meilleures lois soient faites en faveur des
femmes. Un autre type se distinguent, les socialistes qui pensent que c’est le
patriarcat et le capitalisme qui est à l’origine de l’oppression des femmes. La
journée de la femme se déroulant le 8 mars est le parfait exemple du
militantisme des femmes. Comme on peut le voir sur l’affiche vu en cours, faite
par Isabel Castillo Guijarro en 2018, cette journée est l’occasion pour le monde
entier de se rappeler de la condition des femmes dans le monde et une
occasion pour elle de revendiquer leurs droits. D’où le slogan écrit « We can,
we have, we will ». A partir du féminisme, plusieurs mouvements se sont
démarqués et modelés selon les revendications, exemple l’origine, la classe
sociale, l’orientation sexuel etc… Et pour cela ils vont utiliser plusieurs supports
que ce soit numériques (ce qu’on appelle le cyber feminisme) avec les médias,
réseaux sociaux, et culture populaire. On peut penser à l’hashtag #metoo qui a
pris place en 2017 où de nombreuses femmes ont pris la parole sur les
agressions qu’elles ont subis et où elles encouragent les autres femmes à faire
même afin de s’alléger le cœur. Ces mouvements féministes sont un rôle
important dans le droit des femmes et sont de plus en plus nécessités car
malheureusement dans certains pays, le droit des femmes régresse. Exemple
au Etats-Unis où dans plusieurs états le droit à l’avortement est de plus en plus
discuté et devient de moins en moins accessible. On peut penser au Texas où il
est interdit pour une femme d’avorter après 6 semaines. Ou bien en Iran où les
droits humains et donc femmes est de plus en plus menacé. Les droits
d’expression, de réunion et d’association sont interdits. Elles se font interrogés
et retenue arbitrairement et tous les droits leurs sont peu à peu enlevé. Le
sujet le plus abordé est le port du voile, l’absence de ce port entraine des
répercussions allant d’emprisonnement, de torture à la mort.
Ainsi l’engagement des hommes envers l’égalité passe primordialement en
soutenant ses mouvements et en se qualifiant même comme féministe.
Pour conclure, même si l’égalité des genres est principalement orienté vers les
femmes et leurs droits qui sont souvent bafoués. Les hommes jouent un rôle
primordial pour l’atteinte de cette égalité et sont encouragée à prendre part à
cette lutte constante.

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