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Être humain
340-102-MQ
Groupe 12
RÉSUMÉ CRITIQUE
Travail présenté à
Annie Lévesque
Département de philosophie
Collège Lionel-Groulx
Le 26 octobre 2023
Le féminisme est un sujet qui reste encore pertinent et nécessaire à aborder dans la
société actuelle. Nous avons encore du chemin à faire afin d’abolir ce que la construction
sociale sur la masculinité a créé et crée toujours dans les diverses sphères de nos vies.
constitution du premier cabinet paritaire, les deux tiers des députés restent toujours des
hommes. (1). Dans la sphère de travail, les femmes ne gagnent que 77% de ce que leurs
homologues masculins gagnent (1). Ceci ne représente pas la totalité des domaines et
choses, mais ce sont des inégalités qui existent toujours entre les hommes et les femmes.
C’est pourquoi, les problématiques soulevés par Victoire Tuaillon sont : l’absence d’une
société inclusive et les stéréotypes genrés en éducation. Afin de comprendre les enjeux, il
faut savoir que la construction sociale est le résultat des interactions humaines à travers le
temps, la masculinité est définie par rapport aux attentes que la société entourant
l’homme assigné ait pour lui et le féminisme est l’ensemble des mouvements sociales
pour accorder les mêmes opportunités, droits et conditions aux femmes en vue d’égaliser
son statut avec celui de l’homme. Les chapitres choisis ont été : privilège et violence, le
but de leur élection est de démontrer comment la société favorise un monde violent à
travers les bénéficies qu’ils accordent à une catégorie spécifique des personnes (les
hommes).
D’abord, le chapitre privilège explique comment une certaine catégorie des personnes
sociale sur la masculinité. Comme lu dans le chapitre, les objets, institutions et les façons
d’hommes c’est aussi faire comme si les hommes et les femmes avaient des besoins
similaires. » (P. 71). Lors un de ses exemples dans la section « les privilèges de l’homme
au travail », Victoire Tuaillon démontre que même dans le secteur du travail il existe
l’amélioration constante des ressources devrait être des raisons pour avoir une promotion.
Pour trouver ces inégalités, il faut penser aux critères que les entreprises utilisent pour
auprès des cadres est qu’ils démontrent une disponibilité temporelle presque totale, […]
soit capables de rester tard au bureau, […] qu’ils soient toujours disponibles à des
déplacements, voire des mutations » (p.89). Bref, le monde du travail serait donc
construit en faveur des hommes, hétérosexuels en couple qui leurs femmes doivent s’en
charger des tâches domestiques et des enfants, ceci laisse les mères monoparentales sans
Ensuite, lors de la lecture du chapitre sur l’exploitation qui est effet directe du privilège.
Victoire Tuaillon nous explique que même le travail domestique viendrait être une forme
d’exploitation inaperçue aux yeux de tous, on ne peut nier que « privilégies à la ville et au
travail, les hommes le sont aussi à la maison. » (P.117) En fait, pour l’exploitation se
transforme en violences il y a des arrières pensés qui ont été fortifiées par des croyances
collectives et peu questionnées, liées aux rôles que les femmes et les hommes (lors des
d’idées, les jeunes enfants, les filles et les garçons depuis leurs premières instances
regardent et imitent des comportements liés aux exemple de ce qu’ils voient. En effet, «
on pense qu’il s’agit des gestes transmis de mères en filles. Sauf que ces taches ont même
une histoire politique : au milieu du XIX -ème siècle […] l’hygiène était devenue un
problème de santé publique. Le ministre de l’Éducation Jules Ferry […] installe un cours
d’éducation ménagère obligatoire pour tous. Garçons et filles apprenaient alors les règles
de l’hygiène et comment garder une maison ordonnée. Sauf que les garçons ont été vite
dispensés de cet enseignement ». (P. 121). Bref, le comportement des garçons et leur
domination sur les femmes vient d’un contexte historique qui a été soutenu par les
Premier problème soulevé : l’absence d’une société inclusive. Ceci est un problème, car
une société qui est inclusive tient en considération les demandes et surtout les besoins de
ces citoyens en particulier des personnes les plus vulnérables ou marginalisées. Tout en
identitaire (2) Nous ne sommes pas en société inclusive, car selon les données de Société
en 2019 étaient des femmes (3) et pourtant, les voitures, la position des sièges, la position
ouverte et accueillante pour les familles immigrantes, mais il doit aussi renforcer les liens
La population immigrante est en croissance au Québec pour remplir les espaces de travail
vides que la population vieillissante entraine, pour qu’ils puissent s’intégrer, ils doivent
souvent apprendre les nouveaux systèmes, une nouvelle langue et culturelle. Les
d’une audition pour obtenir le statut de personne protégée. Le projet de loi 96 explique
que « après six mois au Québec, les immigrants n’auront plus accès à des services de
enseignant du système public ne se fera qu’en français. » (4). Pour comprendre l’injustice
et la discrimination que cela peut engendre entres les divers genres des personnes avec
seulement 20,0% des réfugiées et des personnes en situation semblable ont complétés 14
à 16 ans de scolarité continue (3). Ceci peut être traduit à avoir passé six années au
primaire, cinq ans au secondaire en plus de l’obtention d’un diplôme au baccalauréat, tout
cela avec la condition que ces personnes aient eu un parcours pensée normale. Ce sont
justement ce genre de lois qui ne prennent pas en considération les besoins de l’ensemble
de la population, mais juste celui d’une certaine partie. Une solution pour remédier ce
problème serait faire un sondage auprès de la population immigrante (la partie ciblée et
discriminée par la loi), trouver une moyenne de temps ou des ressources accessibles à eux
façon équitable.
éducatif peut influencer les comportements de nos enfants en fonction de leur genre. Les
stéréotypes de genre peuvent être renforcés par les enseignants, les manuels scolaires et
les politiques éducatives, mais ce ne sont pas les seules de manière d’inculquer à un
enfant qui commence à peine à prendre conscience du monde qui l’entoure, des gens
autour de lui, des objets, etc. Une autre façon d’inculquer et influencer les enfants c’est à
travers des comportements de parents envers leurs enfants. Par exemple, traiter les
garçons de « faible » parce qu’il pleure, mais consoler les filles pour la même action,
c’est une façon de lui intégrer le « chip » mental qu’il n’est pas fait pour sentir des
émotions, que de se faire ne le donnerait pas « la virilité » qu’un homme doit avoir. « Le
Constats des conseils du statut de la femme (CSF) constatait, en 1978, que le cursus
ménager étaient enseignés aux filles pendant que les garçons apprenaient la menuiserie,
évidente. » (5). Aussi, en 2010 la CSF « dans son étude Entre le rose et le bleu. […] Les
enseignantes et les enseignants passent plus de temps en interaction avec les filles lors de
la lecture, et plus avec les garçons en mathématiques. D’ailleurs, les garçons se font poser
plus souvent des questions sur des sujets de nature abstraite. En ce qui concerne la
gestion des comportements, les filles sont plus encouragées à être passives. […] Il en
ressort que les garçons terminent leurs études dotées d’habiletés à s’exprimer, à contester
et à construire, contrairement aux filles qui ont plutôt appris à se soumettre, à imiter et à
reproduire le cadre établi » (5). Bref, pour vaincre les stéréotypes et l’influence que ceux-
ci ont sur des enfants qui vont se guider à partir d’un modèle donné d’éducation, je crois
qu’il n’ y aura pas de meilleure méthode que de donner à chaque élevé les mêmes
dans les chapitres privilège et exploitation étaient sur l’absence d’une société inclusive et
les stéréotypes genrés en éducation. Un exemple clair et d’actualité est le conflit entre
contrairement au Front Commun qui réclame un traitement équitable pour tous les ciblés.
Aussi, on peut voir que la lutte pour une société inclusive n’est pas encore finie, puisqu’il
peut se manifester par des traitements discriminatoires et raciales, ces traitements prends
II. L’inclusion des familles immigrantes : pour une synergie accrue en éducation des adultes
(gouv.qc.ca)
IV. La réforme de la loi 101 jugée trop sévère pour les immigrants | Le Devoir
socialisme