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A partir de cette section, nous allons procéder à l’exposition des résultats de la partie empirique à
travers l’analyse des réponses obtenus de la part des interviewés, et ce par l’analyse singulière de
chaque axe du guide d’entretien en parallèle, nous allons procéder aussi à un questionnaire d’où
l’analyse une analyse des réponses des répondants à confirmer les résultats de guide d’entretien.
Axe 1 : Perception des concepts de la bonne gouvernance et d’intelligence territoriale
Finalement, deux remarques ont été relevées par les acteurs interrogés d’abord nous avons
constaté que ces outils ne sont pas mobilisés par tout les acteurs, et dans le même ordre d’idée, on
a pu relever que chaque acteur cherche à mobiliser ses outils d’une manière indépendante des
autres ce qui atteint à l’échange des informations entre eux vue que certains acteurs refusent
d’alimenter les bases de données ou de partager l’information. En fin de compte, des cycles de
formations sont dispensées autour des concepts pour sensibiliser ces derniers sur l’importance de
ces démarches dans l’atteinte des objectifs fixés au préalable dans les programmes déclinées.
2- Les moyens mobilisés pour instaurer et répondre à une logique de gouvernance et
d’intelligence territoriale
En conclusion, une idée intéressante à été émise en évidence par les acteurs interrogés qui consiste
à que certains groupe de travail qui se charge d’un programme dispose pendant la conception d’un
programme : d’un chargé de veille et de suivi de programme, Ce dernier est avant d’assurer cette
mission, il coordonne avec le directeur des services et le responsable de programme sur les
moyens qui seront nécessaire à lui pour réussir l’achèvement de programme. (Plates de formes de
suivi, Manuel de procédure relative au programme, lois, textes juridiques)
Cet axe tente d’évoquer l’interconnexion entre les dispositifs d’intelligence territoriale et les
principes de la bonne gouvernance qui sont primordiaux pour le développement. Ceci ne concerne
pas uniquement le développement mais aussi toutes d’autres concepts tels que : la compétitivité,
l’attractivité territoriale. L’objectif est de montrer donc la cohésion entres les dispositifs. Et qu’il
ne s’agit pas uniquement de suivre les tendances en matière de conception des facteurs induisant
le développement.
Seules deux témoignages qu’ont confirmé cette réalité, en affirmant que le processus de la
gouvernance fait appel aux dispositifs d’intelligence territoriale pour améliorer les pratique de la
gouvernance en faisant des renvoies toujours aux pratiques et structures présentes au niveau des
programmes de développement.
Pour éclaircir un peu plus le processus de la mise en place d’intelligence territoriale qui soutient la
gouvernance, on peut le subdiviser en deux parties. Premièrement, la démarche qui suppose que
l’intelligence territoriale améliore un processus interactif, prospectif, la dynamique des relations
dans le territoire. Ce qui permet à la gouvernance l’exploitation des informations qui sont
nécessaire pour l’exercice et l’évaluation des principes de la gouvernance. La deuxième partie
concerne la maîtrise collective de développement en assurant aux acteurs, les outils nécessaires à
l’exploitation coopérative de l’information au sein du territoire.
a) Les dysfonctionnements :
Malgré le fait que les projets de développement régionaux sont dotés d’un arsenal juridique, des
organes de gouvernance, et des dispositifs mobilisant l’intelligence collective. Celle-ci demeure
insuffisante dans la mesure où divers dysfonctionnements liés à l’achèvement et l’exécution
demeurent flagrants, et font ressortir de grandes questions à poser chaque année.
Les avis des interrogés autour des dysfonctionnements sont à base soit de l’expérience
d’interrogés avec un programme ou les recommandations des instances de contrôles nationaux tels
que : la cours des comptes l’inspection générale des finances et des collectivités territoriales qui
ont relevé une multitude de dysfonctionnements caractérisant les plans régionaux de
développement. En effet ces anomalies sont liées principalement soit à l’élaboration, l’exécution
et le suivi, ou même au niveau de mesure de l’impact des programmes qui sont réalisé.
Nous allons expliciter d’abord l’ensemble des dysfonctionnements constaté autour des projets
régionaux de développement ensuite pour passer à celles liées à la gouvernance et la nature des
dispositifs d’intelligence territoriale mobiliser :
Les retards liés à l’approbation des conventions par la Wilaya et le ministère d’intérieur
entravent le travail des organes de gouvernance.
Chevauchement entre les compétences des commissions, organes de gouvernance.
L'absence d'une vision commune entre les organes, commissions ce qui ne garantit pas la la
concrétisation des programmes.
Contrôle lourd sur les organes, commissions chargés des programmes par les ministères de
tutelles.
Favoritisme de certains programmes étranges du plan du développement régional ce qui
influence la déclinaison des programmes prévus auparavant.
Absence de transparence informationnelle.
Rigidité en matière d’échange d’information entre les partenaires.
Résistance à l’utilisation des outils d’intelligence territoriale.
Manquent de ressources humaines compétentes en matière d’intelligence territoriale.
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M Des tensions apparaissent en niveau d’exécutions des projets. l’agence régionale
d’exécution des projets réclament :
Le lancement des appels d’offres défectueux qui ne dispose même pas d’études
techniques d’exécution.
Le non respect des exigences de cahiers de charges par les maitres d’ouvrages.
Erreurs de liquidation et de calcul d’indices lors de la révision des prix par les
responsables de suivi des programmes au niveau d’AREP.
Des montants de programmes exorbitants par rapport au cout réel de projet
Production de documents inexacts.
Certains ouvrages construits dans le cadre des marchés sont inexploitables.
Exécutions de travaux non conformes aux clauses du marché.
Certains de ces anomalies sont soit en lien direct ou indirect avec la gouvernance, l’intelligence
territoriale des programmes. Des solutions peuvent-elles être envisagées face à ces
dysfonctionnements liés à la gouvernance tel que la coordination par le biais des ateliers, sites
favorisant les échanges entre les acteurs capables d‘améliorer la prise de la décision au niveau
territorial.
Il est nécessaire de comprendre les origines de ces dysfonctionnements aussi bien que leurs
impacts sur la réalisation des différents projets d’investissement. Et ceci était l’objectif de la
seconde question de cet axe. Les résultats seront résumés dans les schémas ci-après :
Schéma : les origines des dysfonctionnements dans projets de développements régionaux
Il existe donc un grand nombre d’obstacles et d’entraves réglementaires, qui sont causés
essentiellement par des complications procédurales qui reflètent la lenteur de la bureaucratie.
Sans oublier le manque de compétences et de formation des élus, acteurs locaux. Ces derniers se
retrouvent dans des situations de non maîtrise ou de méconnaissance des règlementations ou des
procédures (mal formulation des conventions), ces mauvaises pratiques conduisent à des retards
de visa auprès la wilaya et l’approbation de ministère d’intérieur.
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De ce fait, la région retarde l’opérationnalisation des programmes à réaliser, surtout lorsque celle-
ci se trouve dans une situation de litige avec des prestataires avisés et qui ont par contre une
parfaite maitrise dans ce domaine.
Il ne faut pas exclure l’origine humaine des dysfonctionnements, la déconcentration comme
processus retarde l état d’avancement des programmes. Celui-ci a été expliqué par l’un des
interrogés, par la présence d’un vice de fond ou de forme mais aussi par l’insuffisance des budgets
alloués par la les fonds consacrés au financement de ses programmes. D’autres les rattachent au
transfert lent des compétences qui doit se justifier par un transfert des enveloppes budgétaires
nécessaires aux régions et les entités déconcentrés qui entravent l’opérationnalisation de quelques
conventions qui date à plus d’un an.
Les témoignages ont aussi relevé, à l’unanimité, que le chevauchement des compétences entre les
collectivités territoriales ainsi que les acteurs déconcertés ou locaux ont par conséquent une
redondance d’actions avec peu d’impact. Du même, au niveau pratique, les acteurs interrogées
confirment que la vision des élus a un grand impact surtout que ces deniers privilégient des
décisions qui sont d’ordre politique dans des cas particuliers.
d- Les impacts des dysfonctionnements :
Schéma : les impacts des anomalies sur des projets de développements régionaux
La non réalisation des projets de développements, ou leur réalisation avec des qualités médiocres
atteint au développement territorial durable, équitable. certainement que les anomalies entravent
aux conditions de réalisation des projets et la satisfaction des besoins des acteurs locaux, chose
qui donne lieu à des livrables défaillants, qui n’ont pas un apport effectif pour l’intérêt général ou
celui de l’organisation en question. Toutes ces observations demeurent les plus fréquentes et
représente les impacts majeurs de ces anomalies que l’on peut déduire.
L’atteinte aux principes de la bonne gouvernance et aux dispositifs d’intelligence territoriale
forment aussi une barrière à la réussite des projets de développement, en parallèles des autres
anomalies cité au préalable. Par conséquent, ces derniers engendrent des gaspillages des moyens
qui sont rares. Chose qui, au-delà d’engendrer des pertes à la région, va nuire aux respects des
délais d’exécution des divers programmes du plan de développement régionale, et qui a aussi un
effet négatif sur la confiance des acteurs dans les élus.
Axe 6 : Recommandations et améliorations :
Les témoignages des interrogés ont reconnu que suite aux rapports des inspections de contrôle,
des recommandations ont été instauré et déployé dernièrement. Mais les interroger de leurs
niveaux ont proposé aussi des axes d’améliorations :
La mise en place de nouveaux dispositifs et des outils adéquats pour le suivi et l’évaluation des
programmes. Il s’agit ici :
Mettre en place un système d'information intégré pour le suivi et l’évaluation.
Mettre en place un référentiel institutionnel d’évaluation des programmes.
Mettre en place un dispositif institutionnel de coordination.
Elaborer un manuel de procédure pour chaque programme du PDR.
le recours à la dématérialisation des procédures.
Le renforcement des méthodes et modes de gestion des problématiques régionaux :
Le renforcement de la cohérence des programmes publics et des visions sectorielles.
L’ancrage d’un nouveau système productif régional.
Formaliser le respect des engagements dans le cadre d’un nouveau arsenal juridiques.
Renforcer la coopération avec d’autres organismes de développement pour éviter la
redondance au niveau de champ d’intervention.
Renforcement des capacités des acteurs publiques dans les différents domaines de gestion
administrative et pédagogique.
Veiller à la clarté et au respect des cahiers de charges des programmes.
Développement des vecteurs de communication digitale interne et externe.
Elaboration de la cartographie des processus de gestion.
Elaboration de manuels des procédures et de chartes éthiques.
Mise en place d’une véritable gestion des ressources humaines.
Les autorités publiques sont ainsi tenues de faire respecter des règles juridiques qui abordent
l’élaboration des programmes du plan du développement régionale. Ils doivent également
procéder à des études techniques et à la concertation avec plusieurs organisations publiques, et
privées. Ceci se manifeste dans les plans d’actions intégrés au niveau régional ou la région
cherche à mettre en place les conditions nécessaires à la réussite des programmes du plan régional
du développement.
Comme constaté lors des interviews, les interrogées ont attiré l’attention sur l’impératif
d’adoption d’approche intégrée dans l’ensemble du processus d’élaboration et de mise en ouvre
des programmes. Ces derniers appellent à l’appropriation des acteurs des moyens nécessaires
poux réussir lors programmes. Tel qu’un système d’information qui va non seulement fournir les
données en temps réel mais en plus de ça, il va aider l’organisation à la prise de décisions dans ce
sens.
Enfin, la dernière question a pour objet de constater le rôle de des principes de la bonne
gouvernance et dispositifs d’intelligence territoriale dans le développement, ce qui répond
implicitement à la problématique de ce travail.
L’instauration de ses mécanismes permet d’imaginer des scénarios futurs pour la région. Plusieurs
cadres au niveau stratégiques ont affirmé, dans le même ordre des idées que quelques conventions
retarde de voir le jour à cause de l’absence de ces dispositifs, par contre les conventions dans
lesquelles des dispositifs sont instaurés réalisent de bonnes performances et jouent un rôle
important dans la réduction des disparités territoriales et sociales, ainsi au niveau de
développement économiques.
2- Présentation de l’enquête.
Avant de passer à notre démarche d’investigation, nous avons jugé nécessaire de présenter
les démarches de déroulement de l’enquête réalisé sur le terrain.
Dans notre cas, la population ciblée est constituée de l’ensemble des acteurs de la région Souss
Massa à savoir les Administrations déconcentrées de l’Etat, la société civile, les Entreprises et
les élus locaux, citoyens.
Ainsi, et nous avons un nombre total de 80 acteurs répartis sur les six catégories par la méthode
aléatoire. Nous avons pu obtenir un taux de réponse satisfaisant estimé à 62 % de l’échantillon
visé.
A la fin de notre enquête de terrain, nous avons pu réunir 49 questionnaires émanant des différents
acteurs ciblés. Notre échantillon contient des proportions ayant favorablement répondu sont
satisfaisantes par rapport au nombre d’acteurs visés.
2.4 Les outils méthodologiques de l’enquête.
Afin de pouvoir approcher, de la manière la plus objective possible, les acteurs de
l’échantillon final sélectionné dans le but de collecter les informations nécessaires à notre
étude, nous avons jugé nécessaire de recourir à l’utilisation d’un questionnaire auprès les
acteurs locaux.
2.4.1. Méthode d’échantillonnage
La méthode d’échantillonnage probabiliste ou aléatoire est constituée par tirage au sort dans la
population mère.
En effet, une liste de toutes les unités incluses dans la population observée est dressée pour
sélectionner un échantillon aléatoire simple, pouvant s'effectuer avec ou sans remise.
Cette méthode est facile à mettre en œuvre, néanmoins elle présente l’inconvénient d’être non
présentative et ayant un cout relativement élevé.
2.4.2. Le questionnaire d’enquête.
Pour bien mener notre enquête, nous avons élaboré un questionnaire destiné aux différents
acteurs de notre échantillon. Sa construction est basée sur l’utilisation de deux types de
questions.
2.5.3. Structure et contenu du questionnaire.
Le premier axe, intitulé « Présentation des répondants », vise la finalité d’identification des
acteurs. Cet axe nous permet de construire les catégories d’acteurs dont nous avons besoin
dans notre enquête déterminer la nature l’acteur qui répond au questionnaire grâce à des
questions d’ordre technique.
Le deuxième axe, désigné « Conception et perception de la gouvernance et d’intelligence
territoriale », vise à décerné l’avis des citoyens de la région Sousse Massa. Ainsi que les
facteurs influents sur la réussite des projets.
Le troisième axe, nommé « l’approche de développement territoriale », il à pour objectif à
savoir : déterminer la vision des acteurs quant au développement territorial, il vérifie notre
hypothèse à la lumière des réponses des acteurs interrogés. Il vise surtout à relever les
perceptions des acteurs atour de concept et évaluer l’impact des dispositifs sur le
développement territorial durable.
Enfin, le quatrième axe, intitulé « Participation et coordination entre les acteurs locaux dans le
processus de développement », il à pour objectif de discerner les relations entre acteurs. Ainsi
leur rôle dans la prise dé décision dans le processus de gouvernance favorisant le
développement. Cette partie du questionnaire vise ainsi à rassembler les enjeux principaux qui
influencent les relations et les mécanismes de gouvernances. Ainsi que, le facteur principal
favorisant la collaboration entre acteurs en faveur du développement.
3- ANALYSE DES DONNÉES DE L’ENQUÊTE
Après avoir présenté la méthodologie poursuivie pour le traitement des résultats obtenus de notre
enquête de terrain, il conviendrait, à présent, d’analyser et d’interpréter les résultats du
dépouillement de questionnaire :
I- Profil du répondant
Nb % cit.
Nb % cit.
20-35 ans 8 16,3% 2,0% 16,3%
32,7% 28,6%
Homme 33 67,3% 35- 50 ans 26 53,1%
50 - 65 ans 14 28,6%
femme 16 32,7%
67,3% Plus de 65 ans 1 2,0%
53,1%
D’après le premier tableau, on constate que les hommes représentent 66.7% d’échantillon
interrogés. En outre 33.3% qui restent est représenter per les femmes. Nous constatons d’après ces
figuresque la majorité qui a participé à cette recherche c’est la tranche d’âge qui se situe entre 35
et 50 ans, ensuite la tranche d’âge entre 50 et 65 ans. Cela reflète l’incitation de la tranche
35-65 ans à participer à notre enquête. Nous pouvons dire que cette incitation est due à l’intérêt de
cette tranche d’âge aux questions du développement régionale.
Nb % cit.
Sans bac 3 6,1%
4,1%
Bac 16 32,7% 6,1%
24,5%
Bac+2 16 32,7% 32,7%
Bac+3/4 12 24,5%
32,7%
Bac+5 2 4,1%
Total 49 100,0%
On remarque que le plus grand nombre des répondant qui ont participé à notre enquête ont au
minimum leurs baccalauréats. Par contre, une minorité des interrogés ont un niveau d’étude
inférieur au baccalauréat.
II- Perception de la : Gouvernance, Intelligence Territoriale
Nb % obs.
Un mode de régulation local et de gestion politique locale 38 77,6% 77,6%
Une action publique qui met en réseau les acteurs locaux 12 24,5% 24,5%
Une conception libérale qui repose sur les échanges volontaires entre les acteurs 10 20,4% 20,4%
Utilisation des autorités politiques et l’exercice du contrôle 5 10,2% 10,2%
une interdépendance entre les pouvoirs et les institutions associées à l’action collective 3 6,1% 6,1%
Des bonnes pratiques de gestion financière accompagnées de dispositifs d'évaluation efficients 9 18,4% 18,4%
Une saine gestion des affaires publiques. 13 26,5% 26,5%
Total 49
Selon les personnes interrogées, la gouvernance territoriale signifie un mode de régulation local et
de gestion politique locale avec un taux de 77,6 % des réponses et suivi par une saine gestion des
affaires publiques avec un taux de réponse qui atteint 26.5% , sans négliger les autres facteurs tels
que l’action publique qui met en réseau les acteurs locaux avec un taux de 24.5 % des réponses
l’interdépendance entre les pouvoirs et les institutions associées à l’action collective avec 13,4 %
des réponses.
Nb % obs.
L’intégrité, la participation 31 63,3% 63,3%
La transparence, la démocratie 14 28,6% 28,6%
Total 49
Une grande partie des interrogés confirment que le mode de gouvernance respecte des principes
de la bonne conduite tels que (l’intégrité, participation, responsabilisation, reddition des comptes,
la coordination, la cohérence…), Par contre seulement 4.1% des interrogés qui avancent aucun
respect des principes de gouvernance. Ceci peut être expliqué par la montée en puissance de
respect des exigences de la bonne gouvernance dans les textes régléméntaires, congrés, rapports
des institutions mondiales.
Figure 5: les acteurs concernés par la gouvernance territoriale
Nb % obs.
Elus locaux 25 51,0% 51,0%
Administrations déconcentrées de l’Etat 13 26,5% 26,5%
En parallèle, 61.0 % des interrogés confirment que les acteurs les plus concernés par le processus
de la gouvernance territoriale sont les élus locaux. Dans le même ordre, 48% des répondants
affirment que les acteurs les plus concernés aussi sont les collectivités territoriales. Ensuite, tous
les acteurs locaux qui doivent être mobilisés dans le processus.
Nb % obs.
L’élaboration du plan de développement Régional (PDR 23 46,9% 46,9%
Les sessions ordinaires de la région 9 18,4% 18,4%
Les sessions des instances consultatives 6 12,2% 12,2%
Total 49
53.1 % des personnes interrogés affirment qu’ils n’ont jamais participé dans les affaires
publiques. Par contre, 46.9 % des répondants estiment qu’ils ont participé dans l’élaboration du
plan de développement régionale, le reste des réponses se subdivise sur les autres choix. Ceci pour
être du à la faiblesse des moyens de communication mobilisés au niveau régionale
Figure 7 : La vocation de la région
Nb % obs.
Culturelle 1 2,0% 2,0%
Total 49
L’enquête révèle que la vocation de la région est agricole et touristique. Du même, le plus grand
nombre des enquêtés ont vu que le développement durable Selon les réponses récoltées, 80%
considèrent que leur région a une vocation touristique, 77% disent qu’elle se focalise sur le
secteur agricole, et seulement 32% du domaine industrielle, des observations qui reflètent à peu
près la réalité économique de la région
Nb % obs.
L’instauration du bien être social 34 69,4%
La concrétisation du développement économique et la consolidation de la croissance 21 42,9% 30,6% 6,1% 69,4%
Selon les acteurs interrogés le développement durable l’instauration du bien être avec un taux de
69,4 % des réponses et la préservation de l’environnement qui atteint 67,3% , sans négliger les
autres facteurs tels la concrétisation du développement économique et la consolidation de la
croissance s avec un taux de réponses de 36.7 %.
Figure 9: Perception d’intelligence territoriale par les acteurs locaux
Nb % obs.
une organisation mutualisée d'acteurs qui forment un réseau implanté sur le territoire 34 69,4%
69,4%
53,1%
Echanges des informations et sa diffusion entre les acteurs pour produire des connaissances 26 53,1%
34,7%
12,2%
un travail collectif impliquant les parties prenantes du territoire 17 34,7%
une attention particulière portée au développement durable et à l'attractivité des territoires. 6 12,2%
Total 49
La lecture des données représentées dans ces graphiques nous montre que 69.4 % des personnes
interrogées ont affirmé que l’intelligence territoriale est une organisation mutualisée d'acteurs qui
forment un réseau implanté sur le territoire. Suivi par 53 % des interrogés qui la considère comme
un échange des informations et sa diffusion entre les acteurs pour produire des connaissances.
Enfin, les personnes interrogées la qualifient soit comme une attention particulière portée au
développement durable et à l'attractivité des territoires
Nb % cit.
Très bon 2 4,7% 4,7%
4,7%
Bon 11 25,6% 25,6%
Moy en 28 65,1%
Médiocre 2 4,7% 65,1%
Total 43 100,0%
La majorité des personnes interrogées confirment que les outils de communication mobilisés sont
moyens, Par contre, seulement une minorité qui confirment que les outils de communications
mobilisés sont médiocres.
Figure 11 : Perception d’importance des projets de développements
Le r ôle de s acte ur s
Nb % obs.
Oui 41 83,7% 83,7%
Non 19 38,8% 38,8%
Total 49
En parallèle, les majorités des interrogés considèrent les programmes inscrits dans les projets de
développement d’ordre importants avec un taux de 83.7 % de total des réponses. Par contre,
seulement 38.8% des répondants les considèrent comme étant peu importants.
Nb % cit.
Il y a un manque de décentralisation et déconcentration 6 20,0% 20,0%
Total 30 100,0%
D’après les réponses collectées, les répondants reprochent que les causes qui poussent à juger la
gouvernance et l’intelligence territoriale absente au niveau de projet de développement sont
d’abord : la bureaucratie, le manque de déconcentration et décentralisation, manque de respect des
principes de gouvernance et la faible mobilisation des technologies. Ensuite, le manque de
financement, d’encadrement et le suivi des projets, le vide juridique et enfin le manque
d’implication.
Figure 13 : Les canaux de transmissions des attentes des acteurs en programmes de
développement
Tableau 13 : Répartition des canaux de transmissions des attentes des acteurs locaux en
programmes de développement
M oye ns de tr ans m is ition de s atte nte s
Nb % obs.
Par les élus locaux 40 81,6% 81,6%
81.6 % des répondants confirment que leurs attentes sont transmises par les élus locaux,
cependant, 49 % des acteurs interrogés estiment que leurs attentes sont transmises par les
acteurs de la société civile. Le reste des réponses se subdivise sur le reste des choix à savoirs
les services déconcentrés de l’état, rencontres privées, assemblées, des réunions.
Tableau 14 : Répartition des interviewés selon leur degrés participation dans la prise de
décision
Role de s acte ur s
Nb % cit.
Preneur décision 9 18,4%
consultant 15 30,6% 28,6% 18,4%
Exécutant 5 10,2%
Partie subissant l’action 6 12,2% 12,2% 30,6%
10,2%
Aucun rôle 14 28,6%
Total 49 100,0%
66.7 % des acteurs interrogés n’ont jamais participé dans le processus de conception,
l’exécution suivi, évaluation des projets de développement régionaux. Par contre 33.3 % des
acteurs interrogés estiment qu’ils participent à ce processus. Ces derniers participent au
niveau de ce processus comme étant acteur avec un taux de réponses de 30.4 % et comme
initiateur avec un taux de réponses de 30.4 %.
Figure 15: Collaboration et formes de partenariats entre les acteurs
Nb % cit. 34,7%
Oui 32 65,3%
Non 17 34,7%
65,3%
Total 49 100,0%
Nb % obs. 32,7%
Conventions 31 63,3%
63,3%
Contrats-programmmes 24 49,0%
Accords d'intercommunalité 16 32,7%
Autre 0 0,0%
Total 49 49,0%
D’après les réponses collectées auprès les acteurs locaux, 86.3% des personnes interrogés
expliquent que les relations réciproques entre les acteurs donnent lieu à des projets de
collaboration. Ce pendant, ceux qui n’ont pas pu mettre des projets en collaboration avec les
autres acteurs constituent un taux de 34.7 % des réponses. Ces projets de collaborations se
manifestent d’après les réponses en conventions avec un taux de 63.3 %, Suivi par les
contrats-programmes entre les collectivités, partenaires avec un taux de 49.0 % et enfin par
des accords d’intercommunalités avec un taux de 32.7%.
1.2. Synthèse
Les acteurs interrogés ont affirmé que l’intelligence territoriale est un travail collectif
impliquant les parties prenantes du territoire. Elle est aussi considérée comme un échange
des informations et sa diffusion entre les acteurs pour produire des connaissances.
Les outils de communication mobilisés sont juger moyennes et plutôt bons par les
répondants
Les acteurs les plus concernés par le processus de la gouvernance territoriale sont les
élus.suivi par collectivités territoriales et enfin tous les acteurs locaux qui doivent
agissent de leur niveau.
La majorité des interrogés considèrent les programmes inscrits dans les projets de
développement d’ordre importants.
Une grande partie des acteurs interrogés participent dans le processus de conception,
l’exécution suivi, évaluation des projets de développement régionaux.
Une grande partie des répondants participent à la prise de décision dans un programme de
développement.
Les relations réciproques entre les acteurs donnent lieu à des projets de collaboration et à
des divers formes de partenariat.
Après la présentation et l’interprétation des résultats de notre étude, cette partie est consacrée
à l’analyse des résultats. Pour la gouvernance et l’intelligence territoriale, elles sont analysées
à travers ses forces, ses faiblesses et leur impact sur le développement territorial durable, pour
donner des améliorations. Pour la communication externe elle est analysée à l’aide de l’outil
SWOT pour détecter ses défaillances et proposer des solutions.
Dans cette partie, nous analysons la gouvernance et l’intelligence territoriale de la région Souss
Massa. Le tableau ci-dessous présent l’analyse externe :
Opportunités Menaces Solutions
L’existence d’un axe dédiés aux la Retard au niveau de transfert Mettre en place un
Les pratiques de
structuration de la gouvernance au des compétences aux organes système d'information
gouvernance niveau de la région Souss Massa. de gouvernance. intégré pour le suivi et
Absence d’un manuel de l’évaluation.
procédure de bonnes pratiques
en matière de gouvernance.
Mettre en place un
La présence de dispositifs Vide juridique en matière de référentiel
L’intelligence d’intelligence territoriale à l’échelle dispositifs d’intelligence institutionnel
territoriale du territoire. juridique. d’intelligence
territoriale.
Implication des
Prise de décision La prise en compte des avis Lenteur au niveau de la prise citoyens dans
d’instances consultatives et des de décision liée à la sessions de prise de
partenaires dans le processus bureaucratie décision.
d’élaboration, exécution des
programmes de développement.
Conflits d’intérêts due à
l’appartenance politiques
entrave la prise de décision.
Mettre en place un
La coopération Présence d’une dynamique active Mal formulation des formes dispositif
entre les acteurs qui se matérialisent de partenariats entre les acteurs institutionnel de
dans plusieurs formes. locaux coopération.
Une stratégie réfléchie et partagée visant à mettre en place au niveau local, dans un
Quoi territoire à dimension humaine préalablement défini par les promoteurs de
l’initiative, une cohésion sociale, économique, culturelle et territoriale visant
l’amélioration de la situation de tous les acteurs locaux sans pour autant mettre en
péril le futur de ceux-ci
Pourquoi Améliorer la vie de tous les acteurs en répondant à leurs besoins présent sans
compromettre la capacité des générations futures de répondre à leurs besoins.
b- La gouvernance territoriale :
Questions Eléments
C’est un mode de gestion politique locale. Elle s'appuie sur la mobilisation des
Quoi ressources humaines, sur la capacité à réguler un territoire dans le cadre d'un
système partenarial avec des acteurs multiples.
Etat, Collectivités territoriales, associations et ONG internationales, organisations
Qui sociale et solidaire etc..
Comment Afin d’atteindre une bonne gouvernance territoriale, il faut recourir à plusieurs
outils importants tels que la participation, la prise de décision, la coopération,
coordination etc...
Pourquoi Tracer le chemin qui va gérer les relations entre les acteurs pour un bon
déroulement du territoire
c- L’intelligence territoriale :
Questions Eléments
l'IT à la fois comprise, d'une part, comme une démarche, des méthodes et des outils que l’on
« adapterait » au besoin du développement économique d’un territoire. Il serait plus précis de
parler « d’intelligence économique territoriale », d'autre part en tant qu'un ensemble de savoirs et
de compétences constitutifs d’un territoire, notion même d’intelligence collective, qui porterait
l’avenir du territoire selon la démarche plus classique de développement mais en lui apportant
une culture de veille et de stratégie qui lui ont trop souvent fait défaut. »
La gouvernance fait intervenir un ensemble complexe d’acteurs et d’institutions qui
n’appartiennent pas tous à la sphère du gouvernement ; elle traduit une interdépendance entre les
pouvoirs et les institutions associées à l’action collective. En effet la concrétisation de l’action
collective débouche à l’imagination des scénarios innovant autour de développement.
- La bonne conduite des projets et l’attente des - Affectent la réalisation et le suivi des projets de
objectifs fixées au préalable. développement.
- Un suivi d’état d’avancement des programmes - Impliquent des défaillances à l’échelle d’échanges
performant favorisant le développement du territoire. d’informations aussi qu’au niveau de diffusion aux
divers acteurs.
- Ces outils facilitent la diffusion des informations
nécessaire à la prise dé décision ainsi à relever le - La non atteint du développement en parallèle
dysfonctionnement régional. l’approfondissement des disparités territoriales et
sociales.
- Ces outils permettent d’instaurer et renforcer
relations de confiance entre les acteurs locaux. - Le mécontentement des citoyens et des livrables
défaillants ce qui forment aussi une barrière à la à
- Favorisent la structuration des réseaux d’acteurs l’atteinte de développement.
interconnectés entre eux.
- Non respects des délais d’exécution des divers
- Permettent d’imaginer des scénarios futurs de programmes de développement.
nouvelles opportunités de développement.
- Assurent la mobilisation d’une intelligence
collectives qui source de solutions innovantes pour
les problèmes de développement.
Impact positive de la mise en place d’intelligence Impact d’échec de la mise en place d’intelligence
territoriale sur la bonne gouvernance territoriale sur la bonne gouvernance
- L’intelligence territoriale va servir à l’organisation - Réticence aux changements pourra impliquer des
de l’ensemble des connaissances afin d’observer et conflits au niveau du territoire.
d’analyser collectivement pour une meilleure
gouvernance. - l’usage des informations collectés pour des fins
politiques pourra conduire à non atteinte de la
- Le partage d’information est nécessaire pour assurer coordination entre les acteurs et la bonne
la transparence qui est l’une des critères de gouvernance du territoire.
gouvernance.
- La manipulation (asymétrie) des informations va
- Améliore la prise de décision par la mobilisation des induire des résultats néfastes sur la confiance entre
outils favorisant la construction collective des les acteurs.
systèmes d’action publique.
La recherche empirique par le biais des entretiens, questionnaires révèlent plusieurs réponses à
cette hypothèse. Tout d’abord, les concepts de gouvernance et d’intelligence territoriale sont déjà
connus et mobilisés par les interrogés. Ce qui fait que la plupart des interrogés confirment que ces
concepts offrent un état de dispositifs avec un grand potentiel favorable à l’atteinte des objectifs
de la région Souss Massa, Aussi qu’au développement territorial durable. En effet, ces concepts
permettent aux acteurs à répondre aux défis de développement territorial durable.
En appropriant les acteurs des dispositifs disponibles pour la valorisation des potentialités de
chaque région chose qui lui permettra de développer sa compétitivité économique et assurer son
développement territorial durable. En ce qui concerne la vision du grand public de ces concept, les
questionnaires ont montré qu’ils sont apprécier et essentielles pour la réussite des programmes
régionaux de développement. Les manifestations de leur importances sont diverses. La première
manifestation est lié à de la démarche participative de prise de décision, qui tient compte les
changements au niveau du territoire. La deuxième manifestation réside dans la valorisation de
territoire et son dynamisme en s’assurant une l’amélioration de qualité de vie des acteurs.
En ce sens, nous pouvons dire que notre première hypothèse est validée.
Le test de cette hypothèses, nous a permis de confirmé l’existence d’une relation entre la
gouvernance, l’intelligence territoriale et enfin le développement. En effet, l’organisation d’un
processus de participation et de coopération pour le développement territorial durable des
territoires s’attache aux principes de la gouvernance ce qui fait qu’une régulation de ces
interactions est une nécessite à base des outils d’intelligence territoriale. Cette dernière veille au
respect de la transparence, la participation et la responsabilité (impliquer les gens dans la décision
et intégrer l’ensemble dans l’action). A cette échelle, l’interconnexion entre ces concepts parait
essentielle pour un dynamisme durable de territoire.
Cette disponibilité d’information améliore le processus de la prise de décision, parce que le retard
ou l’indisponibilité des informations rend le fonctionnement des organes de gouvernance
inefficaces, rigides et retarde les décisions atours des programmes de développement. En outre de
la disponibilité des informations, leurs fiabilité conditionne la réussite de processus de
gouvernance mais aussi l’approche de développement durable territorialisé parce qu’une
information disponible mais fausse ne vaut rien. Autre chose la disponibilité des informations est
freinée par l’absence de vecteurs de communication réseaux ‘intranet ‘électronique.
La conception des programmes de développement prévoie la complémentarité entre ces notions et
leurs dispositifs pour conditionner la réussite des programmes de développement.
H3 : La dynamique des relations entre les acteurs locaux contribuent au développement
territorial durable : Infirmée.
À travers les différents entretiens on a découvrit que le développement des territoires repose sur
une démarche fédératrice de mobilisation d’acteurs locaux autour d’un projet de régionale de
développement durable ayant des incidences économiques, sociales et culturelles. En effet,
L’interrelation entre les différents acteurs joue un rôle actif dans l’évolution de la dynamique
territoriale, cette interrelation se manifeste d’une part en partenariat à travers les conventions,
contrats programmes. Et d’une autre part au niveau d’implication, coordination entre les acteurs
A base des réunions, ateliers de travail. Mais on a constaté que le niveau développement territorial
durable a comme origine non seulement la dynamique des acteurs mais aussi à d’autres facteurs et
facettes qui engendrent le développement.
En ce sens, nous pouvons dire que notre troisième hypothèse est infirmée.
H4 : L’application d'une bonne gouvernance assistée par les mécanismes d’intelligence
territoriale dans le plan de développement régional peut être un catalyseur dans la
construction d’un développement territorial durable : Infirmée
La mise en place d'une bonne gouvernance assistée par les mécanismes d’intelligence territoriale
est indispensable pour la réussite des programmes régionaux de développement et donc la
construction d’un développement territorial durable. En effet, les différents questionnaires
relèvent que l’instauration de ces mécanismes est appréciée par les citoyens vue leur impact sur la
réussite du plan régional de développement. Ce qui était aussi déjà évoqués dans les entretiens
avec les cadres de la région. Mais il ne faut pas oublier que plusieurs programmes malgré
l’instauration de ces mécanismes souffrent encore de plusieurs anomalies qui relèvent d’autres
problématique étrangers aux champs d’intervention de la gouvernance et d’intelligence territoriale
ce qui engendre soit un retard dans l’exécution des projets, ou un livrable non conforme aux
attentes des citoyens.
Synthèse et conclusions
Durant cette partie on a pu exposer les résultats de notre étude empirique, à travers multiples
d’outils d’analyse. Nous avons a pu mettre les informations recueillies de terrain en
diagnostic, à ce stade on a pu détecter des points forts, faibles et nous acons pu mobiliser la
démarche de questionnement, à ce stade on a proposé un tableau manifestent l’impact de la
bonne la gouvernance et d’intelligence territoriale sur le développement.
Il convient aussi de soutenir et d’innover au niveau de ces dispositifs par de nouveaux outils
plus innovants, pour y faire face aux problèmes entravent la bonne conduite des programmes
en particulier les conventions, ainsi que les accords avec les partenaires. Par ailleurs, Il est
nécessaire de sensibiliser tout les acteurs sur leur rôle dans la consécration de ces dispositifs,
ces dernier doivent être informées et assistées afin de les qualifier et d'accroître leur
implication dans le processus de développement.
Conclusion générale
En effet, certains facteurs importants peuvent être avancés pour expliquer la faible efficacité
en matière d’élaboration et la mise en ouvre des plans de développement régionaux. Ces
facteurs ont trait essentiellement à l’organisation de l’état et aux modes de gouvernance et
d’intelligence territoriale ainsi qu’aux approches mobilisés pour assurer leur réussite.
Dans cette perspective, nous avons essayé de spécifier les dispositifs prévalent des notre objet
de recherche afin de mettre la lumière sur l’importance des pratiques de ses dispositifs sur le
développement territorial durable. Pour ensuite, évaluer ses dispositifs à l’échelle du plan
régionale de développement afin de proposer des améliorations tout en spécifiant le rôle les
acteurs dans la contribution à l’instauration de ses dispositifs et l’atteinte du développement,
chose qui nous amènera à l’étude du modèle de gouvernance et d’intelligence territoriale
adopté.
A cet effet, nous avons aussi opter pour un questionnaire qui a été distribué à l’égard du grand
public pour mesurer l’impact des mécanismes mobilisés sur la réussite du plan régionale de
développement. En parallèle, nous avons recourue à l’application de la méthode quintilienne,
en posant un ensemble de questions afin de cerner la compréhension des concepts pour une
meilleure analyse des résultats, à ce stade nous avons entamé les concepts clés liés au
développement territorial durable, gouvernance et l’intelligence territoriale. Et enfin de
compte, une recherche documentaire à la base d’analyse des derniers rapports annuels des
inspections qui relève des ministères.
En résumé de notre réflexion et suite à nos recherches sur le terrain, nous pouvons affirmer
que les projets de développement régionaux dans la région Souss Massa ont commencé à
signer une première réussite grâce à un état de dispositifs mobilisés.
En final, L’ensemble des interrogations évoquées dans notre problématique ont débouché a
des réponses claires et précises. Pour ceci les recommandations suivantes sont proposées mais
elles n’ont pas la prétention d’être des solutions miracles. Ce sont des propositions nées de
notre étude empirique que nous avons pu noter au cours de notre recherche :