Sous-Lieutenant MIALISON Lundi, le 02 Janvier 2023

Officier Stagiaire du XXIIème CQOS « DISSERTATION»

Observations :

SUJET : «  Le développement de Madagascar et l’Armée Malagasy. »

A Madagascar, les forces de l’ordre ont annoncés la mise en place d’un plan national de lutte
contre l’insécurité. Notre pays fait face à des innombrables défis dans sa lutte pour réduire la pauvreté
pour faire face au développement. Ce sujet affirme « le développement de Madagascar et l’armée
Malagasy ». A moyen terme, cependant, le potentiel de croissance de Madagascar continuera d’être freiné
par la manque d’infrastructures, les progrès insuffisants en matière de développement du capital humain,
le faible niveau. Dont, quels sont les vraies raisons de développement de Madagascar au niveau de
l’armée Malagasy ? Pour bien expliquer ce devoir, nous allons analyser en premier les causes
économiques de Madagascar ; ensuite, le facteur de blocage de développement ; et enfin, les rôles de
l’armée Malagasy.

Premièrement, le développement est un ensemble de changement observable dans le système

économique et social, qui conditionnent la croissance. D’abord, l’économie Malagasy repose sur une
économie de consommation des biens industriels importées étant donné la spécialisation trop forte des
exportations dans les produits primaires. Alors que la dynamique du commerce mondial s’effectue autour
des produits manufacturés. Ensuite, le mauvais fonctionnement des marchés, la multiplication des
systèmes de prix ainsi que des marchés parallèles n’ont pas amenés un développement suffisant du secteur
concurrentiel. Dans ce cas-là, les causes économique est faisant partie de l’armée Malagasy et la capacités
opérationnelles : faiblesse et inaptitudes. Donc les critiques à l’encontre des forces armées malagasy et
Africains se caractérisent, sauf exceptions, par leur faiblesse opérationnelle. En effet, les actes d’insécurité
se multiplient sous toutes ses formes dans les villes et les campagnes. Dans le monde rural, on arrive
même actuellement à voler les récoltes des cultures vivrières (riz, fruits et légumes). Il faut reconnaitre
que les gouvernements successifs ont fait des actions mains rien ne semble durable. Il faut saluer les
agents des forces de l’ordre qui sécurisent, selon leur possibilité, les biens et les personnes. C’est facile
d’interpeller les autorités qui vivent aussi de l’insécurité.
Ensuite, l’un des problèmes majeurs de blocage de développement se situe au niveau de
l’organisation d’Etat. Depuis une décennie, Madagascar à décider de s’engager dans la voie démocratique

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sur le front démocratique. Il a ainsi réalisé un véritable bond en avant par rapport à la situation qui
prévalait jusqu’à la fin des année 80. Malgré ces avancées indiscutables, la crise politique constitue un
cout d’arrêt de la démocratisation à Madagascar. L’instabilité politique constitue ainsi l’un des problèmes
principaux de l’Etat Malagasy. Un exemple de cette instabilité, les différentes crises politique dont la plus
récente ont été une celle de 2002. Ces crises entrainent un système d’éclairement dont le barrage a été une
forme le plus extrême. Au niveau social et territorial que l’on trouve de secteur santé. Ces derniers, au
regard du nombre et en termes de densité spatiale, l’infrastructure sanitaire est relativement satisfaisante
dans le Nord et dans la partie orientale de Madagascar. Il en va de même pour les zones côtières du Sud-
Est. Durant de la pandémie sur les secteurs minier, touristique, des transports et des services de
Madagascar, et de l’impact de la sècheresse et des maladies du bétail sur l’agriculture dans le Sud. En
conséquence, la crise de COVID-19 ou annulé plus d’une décennie de gains en le taux de revenue par
habitant et a plongé les taux de pauvreté à un nouveau record de 81% (mesuré par rapport au seuil de
pauvreté internationale de 2,15). La crise a été aggravée dans le sud de Madagascar par des sècheresses
historiques qui ont entrainé des mauvaises récoltes généralisées, une insécurité alimentaire croissante et
des migration internes.
En fin, le rôle de l’Armée Malagasy ; ces derniers occupent des places très essentiel qui
sont toujours mêlées aux troubles socio-politique et participent au processus de construction de l’Etat
depuis 1972. Dans des condition d’instabilité intérieure, de conflit domestique ou de troubles civils, les
militaires représentent un élément relativement stable et une source d’ordre. L’armées malagasy et leurs
actes sont jugés comme légitimes indirectement à travers la considération des autorités civiles légitimes et
des structures de gouvernance civile du fait que le domaine de la défense et de la sécurité est toujours
considéré comme tabou. Pourtant le citoyen moyen est toujours de plus en plus attentif et souhaite
participer davantage à la réflexion. Actuellement, l’Armée malagasy ont pour mission de soutenir la
population en cas de catastrophes (cyclones tropicaux, inondation, et catastrophes naturelles). Madagascar
avance vers le développement et aucun un acte de déstabilisation ne serra toléré. La réalisation de ce
travail dépend de la volonté et du Droit de la part de tous les citoyens (civils, militaires, politiciens, …)
pour favoriser et accompagner les progrès de la démocratie. L’utilisation des forces armée par les élus et
les autorités politique tenants du pouvoir suscité des dérapages au sein des Armées.

En conclusion, de tels problèmes négligés au début par les autorités responsables revêtent
aujourd’hui une importance majeure. Quand on se préoccupe des aspects humains, territoriaux et
institutionnels du développement. Mais Madagascar a une grande possibilité de se développer en
accordant la priorité à l’éducation, à l’agriculture et au vrai rôle de l’Etat pour que le pays crée un cadre de
vie agréable pour les citoyens et favorables à la croissance. Autrement dit, la mise en place et la
consolidation de la démocratie découlent de la présence de forces armées structurés, professionnelles
respectant les leurs valeurs républicains et soumises aux autorités civiles. Avec une institution armée

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professionnelle déterminée à appliquer ces réformes, Madagascar prendra l’élan par rapports aux autres
pays du continent et deviendra un Etat respectueux de la démocratie et des Droit de l’homme. Du côté du
pouvoir civil, l’application du contrôle civil sur l’armée doit être faite régulièrement pour que cette
dernière puisse rendre compte au public de ses décisions et de son utilisation par les hommes politique.