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Romantisme

Hegel, Les Ecrits de Hamann, éd. J. Colette


Nelly Viallaneix

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Viallaneix Nelly. Hegel, Les Ecrits de Hamann, éd. J. Colette. In: Romantisme, 1982, n°36. Traditions et novations. pp. 93-96;

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COMMENTAIRES ET NOTES CRITIQUES

• Philosophie Il ne fallait pas moins d'espace,


de soins et de savoir pour « pénétrer
Hegel : Les Écrits de Hamann, les arcanes de l'écriture hamannienne »
Introduction, traduction, notes et (p. 56) ou pour démêler les
index par Jacques Colette ; Paris, implications du texte hégélien. Hamann,
Aubier, 1981, 142 p. en effet, abondamment cité dans la
Recension, passe pour un auteur
Ce livre retiendra l'attention de obscur, difficile d'accès. Sa pensée
tous ceux qui s'intéressent au « énigmatique » (p. 60 ; p. 64)
mouvement romantique, surtout s'ils sont s'exprime en un « style sybulin », selon b V^"'
philosophes, théologiens, et, tout le mot de Goethe (p. 61 ;p. 128, n. 8*
particulièrement, lecteurs de p. 1 1 1). Le lecteur allemand lui-même -.,- л
Kierkegaard. Il réunit, en effet, les deux a toujours eu besoin de « nombreux ? * *
noms de Hegel et de Hamann. Jacques soutiens » pour déchiffrer les écrits
Colette y présente et y traduit la du « Mage du Nord », auquel Kierke- * 5" *> c
Recension que le philosophe consacra gaard appliquait une épigraphe relevée
aux écrits de Hamann en 1828. sur le poêle d'une auberge danoise :
Cet opuscule est peu connu, pour Allicit atque tenet (p. 56). Le lecteur
ne pas dire inconnu, en France. La français sera désormais aussi bien
traduction de P. Klossowski, succédant pourvu. J. Colette met à sa disposition
à celle d'H. Cor bin, est introuvable. une véritable bibliographie des études
Elle avait été établie à partir du hamanniennes, où il ne manque
texte tronqué et modifié de la pas d'inclure celles qui traitent des
réédition de 1835 Hamann : Les rapports de Kierkegaard et d'Hamann
Méditations bibliques, éd. de Minuit, 1948, (p. 37, n. 124-5). S'a se réfère le
p. 65-177]. J. Colette traduit le texte plus souvent, et comme il se doit
intégral des deux articles qui aux travaux allemands (p. 32, n. 110
composaient en 1828 la Recension (celui etc), a utilise aussi les trop rares
des Jahrbucher-Ersdruck) en justifiant, contributions françaises, dont les теД-
à l'occasion, sa manière de rendre, leures sont celles du spécialiste de
dans notre langue, la terminologie Schelling, X. Tille tte (p. 7, n. 16 ;
hégélienne (cf. p. 21, n. 60 ; p. 23, p. 29, n. 97 ; p. 33, n. 112, etc.).
69, etc.). Son annotation, aussi précise Analysant ici un ouvrage discuté (p.
qu'opportune, fournit tous les 31, n. 110 ; p. 47, n. 205 ou p. 133,
renseignements requis pour l'intelligence n. 112, etc.), soulignant ailleurs tel
de l'œuvre, qu'Hs soient d'ordre ou tel point critique, a suscite le désir
biographique ou qu'ils concernent de poursuivre l'enquête qu'a vient
le contexte culturel, religieux, politico- de rouvrir, par exemple, sur les
économique ou littéraire, inséparable rapports de Hamann avec Jacobi, Herder
de la vie philosophique au temps de ou Schelling (p. 24, n. 77 ; p. 128, n.
Hamann ou de Hegel. Elle rectifie 8 ;p. 133, n. 104, etc.).
aussi des erreurs (p. 132, n. 92) Sur le fond, le texte de Hegel
et identifie exactement des citations et l'interprétation qu'en propose J.
de Hamann. Elle reconstitue, enfin, Colette présentent pour nous un
les relations que Hamann entretint triple intérêt.
avec Kant, Herder ou Jacobi, ce qui
permet de suivre ce « roman de 1 - On découvre, tout d'abord,
l'amitié » (p. 1 19), selon le mot de Hegel, un Hegel insolite, à la fois « attiré
que représente l'histoire du cercle de et irrité » par Hamann, puisque «
Munster (p. 138, n. 176). A cette l'éloge alterne avec le critique » dans son
riche annotation (194 notes) s'ajoute compte rendu (p. 17 ; p. 16). Tout se
une longue introduction, assortie elle- passe comme si l'homme du Système
même de 248 notes. L'ensemble s'inclinait, en l'occurrence, devant
est aussi étendu (65 p.) que le texte « la force irrépressible de l'expérience
lui-même (66 p.). singulière », dont a ne mentionne,
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en général, que les limites (p. 17). la version germanique de l'opposition


Hamann, en effet, ne figure ni dans pascalienne entre le « Dieu des
La Phénoménologie de l'Esprit (p. 1 1), philosophes » et le « Dieu de Jésus-Christ ».
ni non plus dans YHistoire de la On la retrouve dans les réflexions
philosophie (p. 19 ; p. 22 ; p. 24). Il est qu'Adler, Г « exalté », suggère à
irrécupérable comme moment du Kierkegaard. Jacques Ellul, aujourd'hui,
développement de l'Esprit universel (p. 12 ; y demeure fidèle et il l'a développée
p. 13), et « irréductible aux figures dans l'un de ses derniers ouvrages :
bien dessinées » (p. 16). Il demeure La foi au prix du doute.
un « cas » (p. 31, n. 1 10), inclassable,
une « singularité » impossible à 2 - C'est dire que l'étude «
résorber (p. 22), un « original », magnanime » de Hegel ouvre l'accès d'une
profondément concentré dans sa « œuvre réputée hermétique. Mais elle
particularité » (p. 63). Or, voici que, dans la fait mieux encore : elle dégage l'idée
Recension, Hegel lui reconnaît une centrale, « contenu consistant » et
« sagesse » et une « science » (p. 61, cf. richesses de la sagesse hamannienne,
p. 13 ; p. 30) qui méritent d'être qui est le principe de la coïncidence
analysées (d'aucuns diront : une certaine des opposés (p. 18 ;p. 21). Dans l'idée
« légitimité » ; p. 31, n. 1 10). C'est de coïncidence qui « gouverne avec
que l'ennemi déclaré de la Raison, le fermeté et constance l'esprit de
premier adversaire de YAufklà'rung, Hamann » (p. 106), certains
comme l'appellent les manuels français commentateurs de la Recension voient le «
d'histoire de la littérature allemande germe » de la dialectique hégélienne (cf.
(p. 3, ; p. 16), ne saurait être identifié, p. 9), d'autres le principe même du
sans autre forme de procès, à une romantisme, pour la première fois
« belle âme » vide (p. 12 ; p. 16 ; énoncé. J. Colette la rapproche plutôt,
p. 26 et p. 12, n. 35). Il offre ce et à bon droit, du paradoxe kierke-
paradoxe que, tout en régressant vers la gaardien (p. 19). Hamann, en effet,
subjectivité singulière qui précède n'a rien de commun avec le «
l'entendement, il n'en a pas moins Système » à venir. Son idée n'en offre pas
une pensée forte, non étrangère au moins un côté positif, par où Д trouve
« contenu », dont Hegel loue, à grâce aux yeux de Hegel : « la volonté
plusieurs reprises, la « solidité » (p. 63 ; de penser le tout et la reconciliation »
p. 82 ; p. 96 ; p. 99 ; p.100 ; p. 101 ; (p. 25). Pourtant, même « réconciliées »
cf. p. 22). (Kierkegaard dira « résolues ») les
Pour Colette, la clé de l'énigme « dissonances » demeurent. En Dieu,
est d'ordre religieux (p. 14). Hegel la la contradiction est moins
tient dès lors qu'il situe Hamann par harmonisation des opposés qu'oppositions
rapport à « la problématique » maintenues dans l'unité (ce que
qu'instaure sa Philosophie de la religion Kierkegaard désigne sous le terme
(p. 13 ; p. 15). C'est parce qu'il est Fordoblelse) (cf. p. 28, n. 96). La
ancré dans le religieux chrétien, « dans « particularité » de la « piété » d'Ha-
la determinate de l'élément positif », mann, qui, ici, « luthérise » (comme
que l'esprit de Hamann conserve Kierkegaard « judaïse »), c'est
toute son « indépendance », comme d'éprouver à la fois le « sentiment religieux
« énergie du présent vivant de sa misère » (son péché) et « la joie
individuel » (p. 96 ; p. 118). Grâce à la d'un cœur réconcilié » (son pardon)
« profondeur spirituelle », à « (cf. p. 76 ; p. 91). Il faut rapporter
l'intensité parfaite et concentrée » (p. 96), l'idée de la coïncidence des opposés
à « l'intensité nue et concentrée à son origine biblique. Hegel est le
du cœur, de la foi » dans le Dieu vivant premier à la recommander (p. 108 ;
(p. 118), Hamann dispose d'un « p. 114). J. Colette, qui le fait, dissipe
fondement positif », « fermement posé » les « obscurités » prétendues de
(p. 94), en « connexion objective » Hamann en rappelant, tout
avec la doctrine de la Trinité (p. 93). Sa simplement, les passages bibliques qui sont
pensée échappe ainsi au vide de la en cause.
croyance purement formelle, réduite Mais Hamann ne pense et ne se
à un simple « concept métaphysique » conduit pas seulement comme un
(p. 81 ;p. 82; cf. p. 21). prophète. C'est un « écrivain
La distinction entre foi et croyance, authentique » (p. 27) qui a le génie du
à laquelle recourt Hegel, représente langage, le sens de la Parole, et qui cul-
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tive la magie des mots. Hegel soumet et étroite parenté (p. 37 à p. 53).
à l'analyse philosophique la « Il suit ainsi l'exemple de l'inégalable
fascination » qu'exerce son discours Gregor Malantschuk, que vénèrent
(p. 30). Les écrits de Hamann sont tous les Kierkegaardiens, et tire parti
« style de part en part », reconnaît-il du travail de R. G. Smith qui a relevé
avec pertinence (p. 64). Mais ce style dans les Papirer et les Oeuvres
ne peut être dissocié des thèmes de la complètes de Kierkegaard toutes les
coïncidence, dont la « fermentation » références à Hamann (Kierkegaardiana,
s'exprime par l'humour (p. 28). Il V, 1964), qu'il s'agisse du rapport
lui doit d'être fragmentaire » (p. 27) de la foi et de la Raison, de l'ironie
et de « sauter » d'un extrême à l'autre. ou de ce curieux « mariage de
Hegel le systématique reprend ici conscience » vécu par le Mage du Nord et
ses distances. Il considère, en effet, une paysanne (remarqué par Hegel,
que si Hamann ne produit que des p. 83), il semble bien que Kierkegaard
« miettes » ou « fragments » et ne marche sur les traces de Hamann.
procède que par « saillies » (p. 27 ; J. Colette aurait pu s'amuser à signaler
p. 97 ; p. 98), c'est faute de savoir l'analogie des prénoms de Г « Hama-
composer un ouvrage cohérent, un dryade » hamannienne, Ana-Régina,
« livre ». Ses expressions contournées, et des deux femmes comptant le plus
« baroques », aux significations « dans la vie de Kierkegaard : la mère
prodigieusement reculées », tournent à la (Ana) et la fiancée (Régine, qu'il
« mystification » du lecteur (p. 108 ; appelle Régina...). Mais c'est sur le point
p. 110). Il s'ensuit que l'humour précis de l'humour qu'il préfère,
devient « tarabiscoté et glacé » (p. 98), non sans raison, observer l'accord,
bien que l'expression en soit « étince- puis le désaccord des compères. Il
lante et sautillante » (p. 63). C'est un explique que Kierkegaard, après avoir
humour « sans richesses », parce qu'il reconnu en Hamann « le plus grand
demeure enfermé dans les limites du humoriste du monde » (p. 42), prend
subjectif (p. 63 ; p. 1 1 1 ; p. 1 1 2). ses distances en mettant l'accent sur
Cependant Hegel reconnaît que, le contraste plus que sur l'identité
par le style, Hamann « se rattache entre Golgotha (l'abaissement) et
intimement » à Socrate (p. 81). Scheblimini (la gloire, le terme
Comme le maître de l'ironie, il a choisi signifiant : « assieds toi à ma droite »),
d'être un « dérangeur ». Des entre la mise à mort et la présence
Mémorables socratiques au Golgotha et glorieuse de Dieu en ce monde (p. 48).
Scheblimini, il se conduit plus Dès lors, malgré une commune «
précisément en « chrétien intempestif ». concentration subjective » (p. 50), les
Et il fait penser ainsi à Kierkegaard, deux hommes rentreraient en conflit
qui se sert, lui aussi, de l'humour à propos des rapports, maintenus
comme d'une arme pour « rétablir la par Hamann, brisés par Kierkegaard,
distance » et pour éviter que les entre l'esthétique et le religieux
opposés se soient hâtivement confondus (p. 47). En somme, « Hamann n'est
(p. 4). Les paroles, les mots des deux pas encore romantique, Kierkegaard ne
« dérangeurs » sont semblables à des l'est plus » (p. 49).
coquillages de peu d'apparence : s'ils La démonstration serait plus
s'entrouvent, on y voit briller de tout convaincante,
s' agissant de si J.
Kierkegaard,
Colette tenait
de ces
compte,
deux
son éclat une perle de grand prix,
le sens. Il appartient au lecteur de faits :
déplier le « poing fermé » de Hamann
et de découvrir une « main ouverte »
(p. 106 ; p. 107). 1) L'auteur qui parle en son propre
nom dans les Papirer n'est pas celui qui
3 - Rien de plus naturel que de tient le discours, d'un pseudonyme, en
rapprocher les deux luthériens qui, l'occurence Johannes Climacus, le
historiquement encadrent Hegel. Rien philosophe. Peut-on accorder le même
de plus judicieux que de placer la crédit, pour découvrir la véritable
comparaison sous le signe de l'humour, pensée de Kierkegaard, aux semi-
qu'ils choisissent l'un et l'autre de confidences des Papiers de 1836 à
pratiquer, par ce qu'il met en jeu une 1841 et au PostScriptum, le plus
« poétique de la distance »(p. 3 ; p. 4). souvent cité par J. Colette ? Si on le
J. Colette analyse leur incontestable fait, l'attitude de Kierkegaard semble
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comparable à celle de Hegel (p. 46, Kremer-Marietti — et c'est là son


n. 202). Mais est-ce vraiment la sienne? originalité — de les interpréter, de les
intégrer dans le cadre d'une ambition
2) La lecture de Hamann date d'un bien plus générale, d'un « projet
moment décisif de la carrière de anthropologique » dont elle veut établir le
Kierkegaard. J. Colette en convient, rôle fondamental. Ainsi veut-elle en
il est vrai, et il souligne, à juste titre, suivre la genèse envahissante.
qu'il s'agit de la période de formation, A. Kremer-Marietti montre que le
« avant la rédaction des grands projet sourd aussi dans les recherches
ouvrages » (p. 37), de la période que l'on encyclopédiques du Cours. Leur
peut qualifier de « romantique » (cf. efficacité latente serait de porter toutes
notre « Kierkegaard romantique », vers cette « connaissance de
Romantisme, n° 8, 1974). Mais alors, l'homme », comme « science positive
si, par la suite, Hamann est moins subjective », dont l'établissement ne saurait
volontiers cité peut-il en conclure que manquer, en bonne logique positive,
son influence s'efface ? N'est-ce pas de réagir sur les autres domaines du
plutôt que Kierkegaard l'a savoir scientifique. Aussi sommes-nous
parfaitement assimilé et qu'il est devenu, invités à lire le Cours selon les leçons
lui aussi, un « chrétien intempestif » ? du Système : le Cours suit le
Ces réticences n'altèrent nullement, cheminement des curiosités positives « du
ce beau livre refermé, l'envie d'écouter monde à l'homme » ; l'élaboration
Hamann, même s'il faut suivre le affermie des positivités autorise alors,
conseil qu'il donne malicieusement voire commande, le cheminement
à son lecteur : « Imaginez et sautez ! » complémentaire « de l'homme au
monde », plutôt illustré dans le
Nelly Viallaneix Système et le Catéchisme. Ainsi « l'Etude
de l'homme » serait bien lieu
Angèle Kremer-Marietti, Le privilégié, visée essentielle et passage obligé
Projet anthropologique d'A. Comte d'où le rebroussement fécond des
CDU-SEDES, 1981, 103 p. curiosités est possible et nécessaire.
C'est elle qui donne sens aux savoirs
Ce petit ouvrage est une mondains et les réorganise.
introduction aux travaux développés par Ainsi peut s'expliquer le parti-pris
l'auteur dans sa thèse de doctorat. assez déroutant, au prime abord, de
Il en est une sorte de commentaire qualifier ď « anthropologique » le
condensé, prélude à la publication projet de Comte. Alors que Comte dit
d'ensemble. Ceci est explicite : on et redit son programme «
trouve au premier chapitre la table des sociologique », conférant même à ce terme
matières de la thèse ; au dernier, la plusieurs niveaux de sens, l'expression
reprise de l'exposé inaugural de « anthropologique » est plutôt rare
soutenance. Angèle Kremer-Marietti veut et employée sur fond de prudence
donc ici faire le point, justifier ses et de programmation futuriste. A.
choix méthodologiques, ses Kremer-Marietti, cependant, peut
orientations, la sélection de ses s'autoriser de vœux clairement
problématiques. Bilan d'un projet mené à terme, exprimés - comme par exemple à Mill,
et retour réflexif sur la pertinence en mai 1845 : « Cette révolution
de ce projet. anthropologique est en fait la grande
Dans ses publications antérieures, systématisation réservée à notre
sur Auguste Comte, A. Kremer- siècle. » ; ou encore, du Catéchisme
Marietti s'était toujours plus de 1851 : « Quand le mot
particulièrement intéressée aux théories Anthropologie sera plus et mieux usité il
de « science sociale ». Elle veut deviendra préférable pour cette destination
montrer maintenant en quoi cette collective ». Ainsi le choix d'A. Kremer-
approche du positivisme comtien lui parait Marietti de défendre une «
essentielle. Il y a d'abord le Anthropologie comtienne » appelle un double
témoignage évident des textes de jeunesse : commentaire. D'une part, il parait
ce sont les attendus politico-sociaux relever d'une décision méthodologique
du secrétaire de Saint-Simon, ses tablant sur la fécondité d'une lecture
désespoirs actuels, ses espoirs historique par récurrence. D'autre
enthousiastes qui l'ont engagé aux ferveurs part, il a le mérite d'attirer l'attention
théoriques. Mais il s'agit pour A. sur les difficultés qu'il y a à saisir les

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