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Concernant la masse - déterminée par pesée - il faut préciser dans quel état se trouve
l’échantillon :
L’échantillon est une éprouvette de forme régulière (cube, prisme, cylindre) : le volume
se calcul sur la base des dimensions.
L’échantillon a une forme irrégulière : le volume se détermine par une pesée
hydrostatique de l’éprouvette saturée d’eau ou enduite d’un produit d’étanchéité.
Il est à noter que pour le calcul du poids propre des constructions en béton, on admet
en général la valeur moyenne de 2400Kg/m3 comme masse volumique apparente du béton
durci. Lorsqu’il s’agit de béton armé (pourcentage de ferraillage normal), on prend 2500Kg/m3.
Dans laquelle :
En règle générale, tous les pores ne sont pas également accessibles à l’eau de sorte
𝑝
que la règle 𝑝𝑚 = 𝜌 𝑣 ne se vérifie donc pas normalement. Ceci implique aussi qu‘il faut
𝑔𝑟
préciser de quelle façon l’imbibition des éprouvettes se fait : par simple immersion, par
ébullition ou sous vide. La 1ère méthode - la moins poussée des trois – est la plus simple et la
plus utilisée.
10.2.3. Perméabilité
La perméabilité n’est pas directement liée à la porosité mais dépend plutôt de la
répartition des pores et de la continuité des capillaires.
Pour obtenir un béton imperméable, il importe de respecter par exemple les deux règles
suivantes :
𝐸
1°) Adopter un rapport eau-ciment (𝐶 ) faible, tout en respectant une maniabilité
compatible avec les conditions de mise en œuvre. Toute quantité d’eau excédentaire donne lieu
en effet, à des vides capillaires qui accroissent la perméabilité. Le code modèle FIP-CEB 78
conseille :
de ne pas dépasser 0,5 à 0,6 : cas d’éléments structuraux dont l’épaisseur est de 100 à
400 mm, et ;
de ne pas dépasser 0,6 à 0,7 : cas d’éléments structuraux plus épais.
2°) Prévoir une période de conservation optimale suffisamment longue pour permettre
à l’hydratation de progresser normalement et de diminuer de ce fait la perméabilité.
Remarque
3
Les problèmes de perméabilité qui se posent en pratique sont très souvent dus à des
fautes macroscopiques comme par exemple un mauvais serrage, des joints de reprise mal
soignés, une fissuration suite au retrait, …
𝑃𝑢
𝑓𝑐 = (10.3)
𝐴
Dans laquelle :
Pour estimer la qualité intrinsèque du béton, il faut fixer les modalités de l’essai en
choisissant le type d’éprouvette et en définissant, les conditions de conservation et l’âge d’essai.
Pour que cette majoration se reflète dans les résultats d’essai, il faut que les zones en
question se chevauchent : c’est le cas pour les éprouvettes dont le rapport h-d est faible (Cas
des cubes). Pour les éprouvettes élancées par contre (h ≥ + d√3), il existe une zone centrale
caractérisée par un état de contrainte uni axial qui donne par conséquent la résistance de base.
Les éprouvettes cubiques par contre sont soumises à l’essai de compression sur les
faces latérales de moulage et ne demandent en principe aucune préparation. Cette raison
pratique explique le fait que plusieurs pays (Belgique, Allemagne, Hollande, GB) ont adopté
l’éprouvette cubique comme éprouvette standard.
Quel que soit le type d’éprouvette prescrit par les règlements nationaux, il existe des
coefficients de conversion qui permettent de transposer, avec approximation, les valeurs d’un
type d’éprouvette à la valeur correspondante du cylindre 150/300.
𝒇𝒄𝒚𝒍
Eprouvette X Rapport 𝒇𝑿
Une formule approchée – dérivée de celle donnée par l’addendum I à la norme NBN
B15-220 - permet de traduire la résistance d’une éprouvette quelconque - section S [mm²],
ℎ
hauteur h [mm], rapport compris entre 1 et 3 - en résistance sur cylindre 150/300 :
√𝑆
𝑓𝑋 0,825
= 0,780 + 1 1 (10.4)
𝑓𝑐𝑦𝑙 ℎ( + )
200 √𝑆
𝑓𝑋 1
≅ 0,80 [1 + 1 1 ] (10.5)
𝑓𝑐𝑦𝑙 ℎ ( + )
200 √𝑆
- Température 20° ± 2° C
- Humidité relative ≥ 90%
Compte tenu du fait que l’hydratation est un phénomène qui évolue dans le temps, il
faut de plus fixer l’âge de l’essai pour lequel on adopte vingt-huit jours (28 jours), âge de
référence.
10.3.2.1. Influence d’une variation par rapport aux conditions de base : Age
Pour un âge différent de 28 jours, on obtient une résistance fc,j dont on peut déduire
une valeur estimée de fc,28 en utilisant des coefficient du tableau 10-2. Ce tableau donne
l’évolution moyenne de la résistance du béton dans les conditions normalisées de conservation
pour différents types de ciment selon la norme NBN B15-202.
6
Age en jours
Ciment
3 7 14 28 90 180
P30 0,50 0,75 0,85 1 1,15 1,20
P40 0,60 0,80 0,90 1 1,10 1,15
P50 0,70 0,85 0,95 1 1,05 1,10
HL 30 0,40 0,60 0,85 1 1,20 1,25
HK 40 0,45 0,70 0,85 1 1,25 1,20
Tableau 10-2: Evolution moyenne de la résistance du béton dans les conditions normalisée de conservations pour différents
types de ciment selon la norme NBN B15-202
Des essais effectués par KUCZYNSKI avec un ciment portland normal (P30) d’origine
zaïroise (R.D.C), donnent les coefficients moyens (cfr tableau 10-3) suivants obtenus dans les
conditions de conservation du laboratoire (température moyenne 24° C – humidité relative
comprise entre 80% et 90% - conditions assez proche des conditions normalisées).
Age en
3 7 14 21 28
jours
Ciment
0,55 0,72 0,86 0,94 1
P30
Tableau 10-3: coefficients moyens du ciment Portland normal P30, RDC
Les valeurs du tableau 10-3 correspondent bien à celles données par la norme Belge
pour le même type de ciment (cfr. tableau 10-2).
10.3.2.2. Influence d’une variation par rapport aux conditions de base : Température
Pour tenir compte d’une variation de la température, certains chercheurs (NURSE et
SAUL) ont introduit la notion de maturité.
La maturité d’un béton est donnée par la relation :
maturité = ∑ 𝐽𝑇 (𝑇 − 𝑇0 ) (10.6)
Dans laquelle :
Pour un même béton une même maturité donnerait la même résistance. Cette notion
ne tient toutefois pas compte de la chronologie des différentes périodes de conservations : elle
ne peut donc être valable que dans les limites assez étroites.
10.3.2.3. Influence d’une variation par rapport aux conditions de base : humidité relative
Une dessiccation (asséchement) du béton a une influence d’autant plus défavorable sur
l’évolution de la résistance qu’elle se produit à un jeune âge (plus jeune, plus faible).
Il faut donc éviter que l’eau dans le béton s’évapore trop vite, conserver le béton frais.
Selon Mr HUMMEL, on peut arriver à une chute de résistance de l’ordre de 20% après un an.
Ils sont destinés à contrôler la qualité intrinsèque du béton dans les conditions de
fabrication de celui-ci.
Les éprouvettes sont- par conséquent- conservées dans des conditions normalisées et
soumises à l’essai à un âge déterminé.
Quand on n’est pas en mesure de réaliser les conditions normalisées (20° ± 2°C et HR
≥ 90%) on conserve les éprouvettes dans le sable humide pendant 28 jours.
Ils sont destinés à suivre l’évolution de la résistance dans les conditions réelles des
conservations et de mise en œuvre. Ceci pour vérifier à quel moment on peut mettre l’élément
en question sous charge (décoffrage).
Lorsqu’on effectue pendant une certaine période des essais de compression sur un
même type de béton, on obtient une série des résultats qui présentent- malgré tous les soins
qu’on peut apporter à la confection et à l’exécution de l’essai- toujours une certaine dispersion.
Elles peuvent aussi varier : étalonnage de la machine d’essai, la planéité des faces de
compression…
le report des résultats en fonction du temps permet de voir que la variation des résultats
est un phénomène aléatoire ou plutôt systématique ;
le report des valeurs selon leur fréquence visualise la répartition des résultats autour de
la valeur moyenne (dispersion faible ou importante – travail soigné ou non).
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Pour une série de n résultats, considérée comme une série autonome, on peut
également représenter, au lieu du nombre effectif ni de résultat par intervalle, la fréquence
relative ni/n : on obtient ainsi l’histogramme des fréquences relatives.
Ainsi on définit la fréquence relative [%] qui est le rapport –entre le nombre effectif ni
des résultats par intervalle et le nombre total n de résultats:
𝑛𝑖
Fréquence relative = (10.7)
𝑛
En étudiant cet histogramme, Mr RÜSCH avait constaté qu’à 90% des cas,
l’histogramme peut être remplacé par une distribution normale (voir fig. 10-2).
−(𝑥−𝜇)²
1 [ ]
y=𝜑(𝑥) = 𝜎√2𝜋 𝑒 2𝛾2 (10.8)
Dans la grande majorité de cas (plus de 80% selon RUSCH), l’histogramme présente
une allure semblable à celle de la fonction mathématique connue en statistique sous
l’appellation de distribution normale donnée par l’expression (10.8).
∑𝑥
𝜇~𝑥̅ = (10.10)
𝑛
Une distribution normale est caractérisée par son écart-type (et la moyenne de cette
population) et, celle-ci nous donne une indication sur l’étalement de valeurs.
Une grande valeur de sigma témoigne une dispersion étalée fortement dispersée.
Une petite valeur de sigma atteste d’une distribution centralisée faiblement étalée.
La valeur caractéristique
Pour le modèle mathématique adopté, il est impossible de parler d’une valeur minimale
étant donné que la courbe de GAUSS s’étend de -∞ à + ∞, on définit alors une valeur dite
caractéristique qui correspond au fractile inferieur de 5%.
𝑥̅ ± ks % des valeurs
k=0,68 50%
k=1 68%
k=1,28 80%
k=1,64 90%
k=1,96 95%
k=2,73 98%
k=3,09 99,8%
Table 10-3: La loi de GAUSS
En pratique, on fait le polygone des fréquences cumulées (voir fig. 10.2 - courbe en
noir), lorsque celle-ci à la forme « s » on se rapproche de la distribution théorique. Il faut
remarquer qu’on obtient la probabilité de trouver une valeur inférieure ou égale à l’abscisse
correspondante grâce à la surface située sous la courbe limitée par l’intervalle en question.
Il est à remarquer que cette représentation graphique permet également de voir si les
fréquences cumulées s’alignent bien, ce qui constitue un critère de normalité pour la distribution
réelle.
Dans cette relation 𝛿[%] est le coefficient de variation ou de dispersion définit comme suit :
𝜎
𝛿=𝑓 (10.14)
𝑐𝑚
Par conséquent, il existe une relation entre la qualité du travail et la dispersion des
valeurs. La dispersion des résultats dépend de soins qu’on apporte à l’exécution du bétonnage.
Pour exprimer la relation entre la dispersion et la qualité du travail, on se base soit sur
le coefficient de variation en %, soit sur l’écart – type en N/mm².
Le tableau 10-4 ci-dessous, nous permet de fixer les idées sur la relation entre la qualité
du travail et la dispersion des résultats.
Figure 10-4 : tableau donnant la relation entre la qualité de travail et la dispersion des résultats selon ACI
∁ 𝑓𝑐𝑘
=𝐾 + 𝐾′𝐵 (10.15)
𝐸 𝐵 (1−1,64𝛿)
De l’expression (10.15) nous pouvons remarquer que la quantité de ciment d’un béton
ne dépend pas uniquement de fck mais également de 𝛿 (pour une même consistance).
1°) Pour chaque type de béton, on doit effectuer au moins un prélèvement par jour.
2°) Aucun prélèvement individuel ne peut représenter plus de 100 gâchées ou de 100 m3
(le volume le plus faible est déterminant).
3°) Pour chaque type de béton, il faut définir au moins deux lots.
4°) Le béton d’un lot doit correspondre à des éléments similaires du point de vue structural.
10.3.6.2. Echantillonnage
Normalement, il suffit d’une seule éprouvette par prélèvement représentatif d’une
même gâchée choisie au hasard. Tous les résultats entrent en ligne de compte pour le jugement
de la résistance. Seule la preuve d’une erreur manifeste commise lors du prélèvement, du
compactage, de la conservation ou de l’essai permet d’écarter le résultat en question.
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La procédure -proposée par la norme Belge NBN B15-102- recommande que l’on
prélève jusqu’à 6 éprouvettes :
Essais de contrôle
Ces essais permettent de vérifier les qualités intrinsèques du béton (1 à 3 éprouvettes) :
Essais de chantier
Ces essais permettent de suivre l’évolution de la résistance du béton sur le chantier (2
à 3 éprouvettes) :
Critère de conformité
Critère de non-conformité
10.3.6.3.1. Critère de conformité
L’élaboration des critères de conformité constitue le point délicat du contrôle. Il faut
en effet, rechercher un compromis entre deux risques opposés à savoir :
celui de l’acheteur : risque d’acceptation d’un lot qui en réalité n’est pas conforme
(problème de sécurité) ;
celui du producteur : risque de rejet d’un lot qui est conforme (problème économique).
Plus le nombre d’essais est élevé, plus la fiabilité du contrôle augmente et moindres
sont les risques susmentionnés.
Nous nous intéresserons au code modèle du CEB/FIP 1978 qui prévoit deux critères
valables sur la résistance à la compression sur cylindre.
Critère n°1
Ce critère convient pour un échantillonnage restreint.
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Chaque lot est représenté par trois éprouvettes qui donnent les résistances suivantes,
classées dans l’ordre de résistance croissante :
Le lot est accepté si les deux conditions suivantes sont satisfaites simultanément :
𝑥1 +𝑥2 +𝑥3
𝑥3 =
̅̅̅ (10.17)
3
𝑥3 ≥ 𝑓𝑐𝑘 + 𝑘1
̅̅̅ (10.18)
Dans les relations (10.18) et (10.19), fck est la résistance imposée par l’auteur du projet
et les valeurs de 𝑘1 et 𝑘1′ sont données dans le tableau suivant :
Critère n°2
Ce critère convient pour les lots importants. Chaque lot est représenté par au moins 15
éprouvettes :
x1<x2< … < xn (10.20)
Le lot est accepté lorsque les 2 conditions des relations (10.18) et (10.19) sont satisfaites
simultanément. En d’autre terme lorsque :
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Condition de la moyenne
𝑥𝑛 ≥ 𝑓𝑐𝑘 + 𝑘2
̅̅̅ (10.21)
Condition de la valeur minimale
x1 ≥ fck –𝑘2′ (10.22)
Dans les relations (10.21) et (10.22) k2 et 𝑘2′ sont :
4°) Procéder aux besoins à des essais sur les éprouvettes prélevées par carottage ou à des
essais non destructifs.
5°) Sur la base des résultats des éprouvettes moulées ou prélevées dans la construction, on
peut soit accepter, soit réparer ou renforcer, ou soit enfin démolir.
𝑓𝑐𝑡 1
≃ (10.23)
𝑓𝑐 10
𝑃𝑢
𝑓𝑐𝑡,𝑎𝑥 = (10.24)
𝐵
Le collage est assez délicat, il faudrait faire attention parce qu’une faible excentricité donnerait
des valeurs calculées inférieures à la résistance réelle. Comme conséquence dans la pratique,
l’essai n’est pas beaucoup utilisé.
Soit une éprouvette prismatique sur deux appuis, soumise à une action P (voir fig. 10-6).
6𝑀𝑢
𝑓𝑐𝑚𝑚 = (10-25)
𝑏ℎ2
Figure 10-7(a) : principe de l’essai de fendage Figure 10-7(b) : Diagramme de contrainte (fendage)
2. 𝑃𝑢
𝑓𝑐,𝑠𝑝𝑙 = (10.27)
𝜋.𝑑.𝑙
2
𝑓𝑐𝑡,𝑎𝑥 ≃ 0,25 𝑓𝑐,𝑐𝑢𝑏 3 (10.29)
fct,ax=0,8+0,05.fc,cub (10.30)
10.6. Déformation
Même lorsque le béton n’est pas soumis à une charge, il connait des déformations.
C’est ce qui justifie l’utilisation des joints- dans le bâtiment, le pont,…- si la longueur est
grande : pas d’élément de béton ayant plus de 50m. Il faut si possible prévoir les joints de
dilatation pour permettre la variation du béton sous charge nulle. Parce que le béton dépend
toujours de matériaux inertes qui sont prépondérants en volume dans celui-ci.
2°) Retrait
- déformation longitudinale ;
- déformation transversale.
1°) Déformation longitudinale
Considérons un prisme auquel nous faisons subir une charge (voir fig. 10-8).
23
△ 𝑙 = 𝑙0 − 𝑙𝑓 (10.35)
Alors une déformation ℇ et une contrainte 𝜎 (théorie linéaire) donnent par la relation (10.36) :
△𝑙 𝑃
ℇ= et 𝜎 = 𝐴 (10.36)
𝑙
𝜎 = ℇ. 𝐸 (10.37)
24
Nous remarquons que la courbe de variation de 𝜎c en fonction ℇc, n’est pas une droite
d’où beaucoup de E pour un même élément. Ce qui nous amène à définir deux modules
d’élasticité pour le béton :
ℇ𝑡 = −𝜈. ℇ𝑙 (10.41)
Chaque matériau a son coefficient de poisson. Pour le béton, il varie entre 0,15 et 0,25.
𝜎𝑐
Figure10-11 : Diagramme −𝜀
𝑓𝑐
1°) le tableau de conversion donné par le constructeur de l’appareil, avec correction éventuelle
pour l’inclinaison de l’appareil ;
2°) la courbe d’étalonnage particulière établie pour le béton en question (fc – I.S).
L’avantage de ce genre d’appareil est qu’il permet de faire sans problème et de façon
non – destructive, un grand nombre de mesures comparatives en différents endroits de la
construction même.
Figure 10-15(a) : Principe de l'essai à ultrason Figure 10-15(b) : Photo d’un appareil ultrason
Edyn=kv. 𝜌. 𝑣 2 (10.44)
𝜌 2
𝑓𝑐𝑚,𝑐𝑢𝑏 = (𝑘𝑣 . 5600) . 𝑣 4 (10.46)
Pour un béton courant, la masse volumique est telle que 2350 < 𝜌 ≤ 2400 kg/m3 et le
coefficient de poisson est 𝜈= 0,20 ; alors la relation entre la vitesse des ultrasons et la résistance
du béton devient :
Le tableau (10-8) donne les ordres de grandeurs pour apprécier la qualité du béton
proposé par Neville (chercheur anglais).