Physique - chimie 2eme année Sciences Mathématiques

Correction du sujet de l’examen national du Baccalauréat

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- Chimie –

Partie I : Etude de la pile aluminium – Zinc

1- * Calcul de quotient de réaction à l’état initial :

Q r ,i =
[Zn ]i
2+ 3
=
C23
=
(4,5.10 − 2 )3
= 4,5.10 − 2 >> K =10 −90
[Al ]i
3+ 2 C12 (4,5.10 )−2 2

* Conclusion :
( 2)
Le sens de la réaction spontanée est le sens inverse ← ; où il y aura consommation de
l’aluminium Al : 2. Al ( s ) + 3.Zn 2+ ( aq ) → 2. Al 3+ ( aq ) + 3.Zn( s )

2- Schéma conventionnel de la pile :

L’aluminium s’oxyde à l’anode qui est le pole négatif de cette pile.
3

Θ Al ( s ) / Al +
( aq ) // Zn 2+ (aq) / Zn( s) ⊕
3-1- La concentration des ions Aluminium :
- Tableau d’avancement :

Equation de la réaction 2. Al ( s ) + 3.Zn 2 + ( aq ) → 2. Al 3+ ( aq ) + 3.Zn( s ) Quantité de

Avancement Quantités de matière (mol) matière des
Etats du système e- échangés :
x (mol)
E. Initial 0 ni ( Al) C2.V C1.V ni (Zn) 0
E. Intermédiaire x ni ( Al) − 2. x C2.V − 3. x C1.V + 2.x ni ( Zn) + 3x n (e − ) = 6.x
E. Final xmax ni ( Al) − 2. xm C2.V − 3. xm C1.V + 2.xm ni ( Zn) + 3xm n ( e − ) = 6. x m

- Le réactif limitant :
* Si l’aluminium est le réactif limitant ; alors :
m0 m0 A. N 1,35
ni ( Al) − 2. xm = 0 ⇒ − 2. xm = 0 ⇒ xm = = = 2,5.10 − 2 mol
M ( Al) 2.M ( Al) 2 × 27
* Si l’ion Zinc est le réactif limitant ; alors :
C 2.V A. N 4,5.10 −2 × 0,1
C2.V − 3. xm = 0 ⇒ xm = = = 1,5.10 −3 mol
3 3
On constate que : 1,5.10 −3 mol < 2,5.10 −2 mol , donc l’ion Zinc est le réactif limitant.

- [Al ]
3+
f =
C1.V + 2.xm
V
⇒ Al 3+ [ ] f = C1 +
2. x m
V
[
A.N : Al 3+ ] f = 4,5.10 − 2 +
2 × 1,5.10 −3
0,1
≈ 7,5.10 −2 mol.L−1

3-2- La durée de fonctionnement de la pile :

La quantité d’électricité qui a circulée pendant la durée ∆t est : Q = I × ∆t = 6.xm × F
6. x m × F 6 × 1,5.10 −3 × 9,65.10 4
alors : ∆t = A.N ∆t = −3
= 8,685.10 4 s = 24h7 min 30 s
I 10 × 10
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Partie II : Synthèse d’un ester, et réaction de benzoate de sodium avec un acide

1- Etude de la synthèse d’un ester :
1-1- Choix du chauffage à reflux : C'est d’augmenter la vitesse de réaction, et éviter les
pertes des quantités de matière des espèces chimiques.
1-2- Equation chimique :
→
C6 H 5COOH + CH 3OH ← C6 H 5COOCH 3 + H 2 O
1-3-1- Le bon choix est : c) La vitesse est maximale au début de la réaction.
1-3-2- * Définition : Le temps de demi-réaction est la durée au bout de laquelle l’avancement
de la réaction prend la moitié de sa valeur atteinte à l’équilibre du système chimique ; c’est-à-
xf
dire : x(t1 / 2 ) =
2
* Détermination graphique de x(t1/2) :
xf
Graphiquement ; x f = 84mmol ⇒ = 42mmol ⇒ t1 / 2 = 6 min
2
1-3-3- Le rendement de la réaction :
nexp (ester )
Par définition : r =
nthéorique (ester )

Graphiquement on a : nexp (ester ) = x f = 84mmol

On cherche nthéorique (ester ) :
En se servant du tableau d’avancement de la réaction ; on écrit : nthéorique (ester ) = xmax
* Si l’acide est le réactif limitant ; alors :
m m A. N 12,2
ni ( acide) − xm = 0 ⇒ − xm = 0 ⇒ xm = = = 0,1mol
M ( ac) M ( ac) 122
* Si l’alcool est le réactif limitant ; alors :
m' ρ × V A.N 0,8 × 8
ni ( alcool ) − xm = 0 ⇒ − xm = 0 ⇒ xm = = = 0,2mol
M ( al ) M ( al ) 32
Donc nthéorique (ester ) = xmax = 0,1mol
84.10 −3
Finalement : r = = 0,84 = 84%
0,1
2- Etude de la réaction de benzoate de sodium avec un acide :
2-1- Equation chimique :
C6 H 5COO − ( aq ) + CH 3COOH
→
← C6 H 5COOH + CH 3COO − ( aq )
2-2- La constante de l’équilibre :
K A (CH 3COOH / CH 3COO − ) pK A1 − pK A 2
On sait que K = −
= 10 A.N : K = 10 4,2−4,8 ≈ 0,25
K A (C6 H 5COOH / C6 H 5COO )
2-3- Expression de ԏ :
En se servant du tableau d’avancement de la réaction ; on écrit :
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2
 xf  xf 0,25
K =  ⇒ x f = C1.V1. K ; Or xm = C1.V1 ; alors τ = ⇒ τ=
K
= ≈ 0,33
 C1V1 − x f  K +1 xm K +1 0,25 + 1
 

2-4- Expression du pH :

On a pH = pK A1 + log
[
 C6 H 5COO −  ]  xf
 ⇒ pH = pK A1 + log

 = pK A1 + log
 x f / xm 

 [C6 H 5COOH ] 
  xm − x f   xm / x m − x f / x m 
   
 τ   0 ,33 
Finalement : pH = pK A1 + log  A.N : pH = 4,2 + log  ≈ 3,9
1−τ   1 − 0,33 

- Physique -
LES ONDES : Propagation d’une onde ultrasonore
1- Détermination de la vitesse dans l’air :
1-1- Le bon choix est : b) Les ondes ultrasonores ne se propagent pas dans le vide.
1 1
1-2- La fréquence N des ondes : N = A.N : N = −6
= 4.10 4 Hz = 40kHz
T 2,5 × 10.10
1-3- Vérification de la vitesse dans l’air :
Va d 3,4.10 −2
On a : d = k . λ avec k = 4 et λ = d’où : Va = .N A.N : Va = . 40000 = 340m.s −1
N k 4
2- Détermination de la vitesse dans l’eau de mer :
2-1- Expression de Δt :
- La vitesse du son est plus grande dans l’eau que dans l’air ;
- Si Δt est le retard temporel des ondes reçues dans l’eau par rapport à celles reçues dans
l l  1 1 
l’eau, alors : ∆ t = ∆t air − ∆teau = − ⇒ ∆ t =  −  × l (1)
Va Ve  Va Ve 
2-2- Détermination de la vitesse Ve :
- La courbe de la figure4 est celle d’une fonction linéaire d’équation :
∆ (∆t )
∆ t = K . l (2) ; K est le coefficient directeur : K =
∆l
1 1
- En comparant (1) et (2) ; on déduit : − =K
Va Ve
Va 340
On obtient finalement : Ve = A.N : Ve = −3
≈ 1496m.s −1
1 − K .Va 2,5.10 − 0
1− × 340
1,1 − 0
L’ELECTRICITE :
Partie I : Etude du dipôle RC et du circuit LC
1- Etude du dipôle RC :
1-1- Expression de la capacité Ce :
q q C + C2
- La loi d’additivité des tensions s’écrit : u = uc1 + uc 2 = + = q. 1 (1)
C1 C2 C1.C 2
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q
- La tension aux bornes du condensateur équivalent s’écrit : u = ( 2)
Ce
C1.C2
- En comparant (1) et (2) ; on déduit que : Ce = .
C1 + C 2

1-2- Equation différentielle vérifiée par la tension u2(t) :

D’après la figure1 : u1 + u 2 + u R = E (1)
q q dq du
En respectant les conventions : u1 = ; u2 = et u R = R. i = R . = RC2 . 2
C1 C2 dt dt
C du C du
La relation (1) devient : 2 .u 2 + u 2 + RC2 . 2 = E ou bien ( 2 + 1).u 2 + RC2 . 2 = E
C1 dt C1 dt
1 C + C2 du E du 1 E
Ce qui donne : . 1 .u 2 + 2 = ; finalement : 2 + .u2 + =
R C1C2 dt RC2 dt R.Ce R.C 2
1-3- Expression de A et α :
( )
On porte la solution u2 (t ) = A. 1 − e − α . t dans l’expression de l’équation différentielle :
d
dt
[ ( )]
A. 1 − e − α . t +
A
RCe
( )
. 1 − e − α .t =
E
R.C 2
ou bien A . (α −
1
R.Ce
1 A
(
) . e − α . t + .( −
E
R Ce C 2
)) =0
1424 3 1
4243
=0 =0
C C1 C .C
ce qui donne : A = E. e = E. et α = R.Ce = R . 1 2
C2 C1 + C 2 C1 + C2
1-4-1- a) valeur de E :
 du 2  1 E
A t=0 ; l’équation différentielle s’écrit :   + . u 2 (t = 0) + =
 dt  t =0 R.Ce 1 424 3 R.C2
=0

 du2  4−0
On trouve alors : E = R.C2 .   A.N : E = 3.103 × 2.10 −6 × = 12V
 dt t =0 2.10 −3 − 0

1-4-1- b) valeurs de u1 et u2 en régime permanent :

- D’après le graphe2, lorsque t → ∞ alors u2 ∞ = 8V
- D’après le graphe2, lorsque t → ∞ alors u R ∞ = 0 ; et en utilisant : u1∞ + u 2 ∞ + u R ∞ = E (1)
On obtient : u1∞ = E − u 2 ∞ − u R ∞ A.N : u1∞ = 12 − 8 − 0 = 4V

1-4-2- Montrons que C1 = 4µF :

- D’après le graphe2, on trouve la constante τ = 4ms = 4.10 −3 s
C1.C2
- Son expression est : τ = R.Ce = R . donc : (C1 + C2 )τ = R.C1.C2 ou bien :
C1 + C2
C2 .τ 2.10 −6 × 4.10 −3
C1 = A.N : C1 = −6 −3
= 4.10 −6 F = 4 µF
R.C2 − τ 3.10 × 2.10
3
− 4.10

2- Etude des oscillations dans le circuit LC :

2-1- Equation différentielle vérifiée par la tension uL(t) :

- Loi d’additivité des tensions : u2 + u L = 0 (1)
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du2 du L
- En dérivant (1) on aura : + = 0 ( 2)
dt dt
q dq
- En convention récepteur : u2 = (3) avec i =
C2 dt
1 dq du L 1 du
- Des relations (2) et (3) ; on écrit : + =0 ⇒ . i + L = 0 ( 4)
C2 dt dt C2 dt
1 di d 2u L di di 1
- En dérivant (4) on aura : . + 2
= 0 or u L = L. ou = .u L
C2 dt dt dt dt L
d 2u L 1
- Finalement on obtient : 2
+ .u L = 0
dt LC 2
2-2-1- L’énergie totale du circuit LC2 :
On sait que : ETot = Eéle + Emag
2
1 1 L L.C22  du L  du
Eélc = C2 .u 2 2 = C 2 .u L 2 (u 2 = −u L ) et Emag = . i (t ) 2 = .  car d’après (4) : i = −C2 . L
2 2 2 2  dt  dt
2
1 L.C22  du L 
Donc ETot = C 2 .u L 2 + .  : cette énergie est constante, on la calcule à t=0 :
2 2  dt 
2
1 L.C22  du L 
ETot = C 2 .u L 2 (0) + . 
2 2  dt  t =0
 du L 
et d’après le graphe de la figure3 on trouve : u L (0) = −8V et   =0
 dt t =0
1 1
A.N : ETot = C2 .u L 2 (0) = × 2.10 −6 × (−8) 2 = 6,4.10 −5 J = 64 µJ
2 2
2-2-2- Calcul de l’énergie magnétique à t=2,7ms :
1
On sait que : Emag = ETot − Eéle ou bien Emag = ETot − Eéle = ETot − C2 .u L 2
2
1 1
Donc Emag (2,7 ms) = ETot − C2 .u L 2 (2,7 ms ) ⇒ Emag (2,7 ms) = 6,4.10 −5 − × 2.10 −6 × (4,8) 2 ≈ 4,1.10 −5 J = 41µJ
2 2

Partie II : Etude de la qualité d’une modulation d’amplitude

1- Expression du taux de modulation m :
m 
On a la tension de sortie : u (t ) = A.  . s (t ) + 1  . cos(2π f p .t ) avec s (t ) = S m . cos( 2π f S . t )
 Sm 
Alors : u (t ) = A . (m. cos(2π f S . t ) + 1). cos(2π f p . t ) ; d’où l’amplitude est : U (t ) = A . (m. cos( 2π f S .t ) + 1)
1444
424444
3
amplitude

* Si cos( 2π f S . t ) =1 ⇒ U max = A . (m + 1) (1)

* Si cos( 2π f S .t ) = − 1 ⇒ U min = A. (− m + 1) (2)
U max A . (m + 1)
En faisant le rapport de (1) /(2) ; on aura : = ⇒ U max .(1 − m) = U min .(1 + m)
U min A . (− m + 1)
U − U min
Après le calcul on aboutit à la relation : m = max
U max + U min
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2- * Détermination de fP , fS et m :
D’après le graphe de la figure5 :
1 16
- 16 .T p = 5 × 20.10 −6 ⇒ f p = = = 16.10 4 Hz = 160kHz
T p 5 × 20.10 −6
1 1
- TS = 5 × 20.10 −6 ⇒ f S = = = 10 4 Hz = 10kHz
TS 5 × 20.10 −6
3 × 1 − 1×1
- m = = 0,5
3 ×1 + 1×1
* Conclusion :
On constate que les deux conditions sont réalisées : m = 0,5 < 1 et f S = 10kHz << f P = 160kHz
Donc la modulation d’amplitude dans ce cas est bonne.

LA MECANIQUE :
PARTIE I : Etude de l’influence des champs électrique et magnétique sur des électrons
1- Première expérience :
1-1- Equation de la trajectoire:
- Système à étudier : {Un électron(m,e)}
→ → →
- Repère d’étude R (O ; i ; j ; k ) supposé galiléen ;
- Bilan des forces extérieures :
→
* Action de la force électrique : Fe = − e . E
* L’intensité du poids de l’électron est négligeable
devant celle de la force électrique.
→ → →
- La 2ème loi de newton donne : Fe = m. aG ou bien m. aG = − e . E
- Projection de cette relation vectorielle sur chacun des deux axes Ox et Oy :

m.a x = − e.E x = 0 ( car E x = 0 )
 a x = 0 ; avec a x = dv x / dt
 ⇒ a = eU ; avec a y = dv y / dt
 U  y ml
 m.a y = − e. E y = e. E ( car E y = − E = − )
l
- Par intégration et en tenant compte de la condition initiale : (v x = v0 et v y = 0) ; on aura:
v x = v0 ; avec v x = dx / dt
v = eU . t ; avec v y = dy / dt
 y ml
- Par intégration et en tenant compte de la condition initiale : ( x0 = 0 et y0 = 0) ; on aura:

 x
 x(t ) = v0 . t t = v
 0 eU
 y (t ) = eU . t 2 , alors  2 qui donne l’équation de la trajectoire : y ( x ) = . x2
  y ( x) = eU  x  2mlv0 2
2ml . 
 2ml  v0 
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1-2- Déviation électrique O’M:

Sur la figure1 ci-contre, on a :
O ' M HS O' M y (d )
tan(β ) = = ⇒ =
O' I HI d d
D−
2 2
eU 2
. d
d 2mlv0 2
⇒ O' M = ( D − ) ×
2 d
2
d eUd d
⇒ O' M = ( D − ) × et avec D = 30cm >> = 3cm ,
2 mlv0 2 2
eUDd
on obtient : O' M ≈
mlv0 2
2- Deuxième expérience :
→
2-1- Sens du vecteur champ magnétique B :
→
Les électrons frappent l’écran en O’ ; pour cela la force magnétique Fm est verticale vers le
→ → → → → → → → →
bas, or Fm = −e . v0 ∧ B = e. B ∧ v0 ; donc le trièdre ( Fm , B , v0 ) est direct, et le vecteur B sera
→ → → →
porté par l’axe Oz dans le sens contraire de k ; ( B = − B . k ; symbole ⊗ B )
2-2- Expression de la vitesse des électrons :
→ → → E
On a Fm = Fe ⇒ − e . v0 ∧ B = − e. E ⇒ v0 .B = E ⇒ v0 =
B

2-2- Expression du rapport e/m :

eUDd E U
En utilisant la relation précédente O' M ≈ 2
avec vo = =
mlv0 B l.B
2
U 
O ' M .l. 
On écrira:
e
=  l.B 
ou bien
e
=
O' M . U
m UDd m D. d .l. B 2
e 5,4.10 −2 × 1200
A.N: = −2 −2 −2 −3 2
≈ 1,76.1011 C.kg −1
m 30.10 × 6.10 × 2.10 × (1,01.10 )

PARTIE II : Etude du mouvement d’un pendule élastique

1- Les frottements sont négligeables :
1-1- Détermination de l’allongement ∆l 0 = Léq − L0 :
A l’équilibre : T 0 + P = 0 , et par projection sur l’axe vertical Oz, on aura :

m.g
T0 z + Pz = 0 , alors − k . ∆l 0 + m.g = 0 d’où ∆l 0 =
k
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1-2- Equation différentielle que vérifie la côte z(t) :

- Système à étudier : {corps S}
→
- Repère d’étude R (O ; k ) supposé galiléen ;
- Bilan des forces extérieures :
→
* Poids du corps S : P
→
* Action du ressort : T
→ → →
- La 2ème loi de newton donne : P + T = m. aG ;
- Projection de cette relation vectorielle sur l’axe Oz :
..
P − T = m. a z ⇒ mg − K (∆l 0 + z ) = m.z
.. .. K
⇒ mg − K .∆l 0 − K .z = m.z ⇒ z + .z = 0 (1)
14243 m
=0

1-3- Valeur de K et V0z :

* Valeur de la raideur K :
.. 2
2.π  2.π  2.π
- La solution de cette équation est : z (t) =z m . cos( . t + ϕ ) et z (t) = −   z m . cos( . t + ϕ ) ( 2)
T0  T0  144 T
420444 3
z(t)
2 2
K  2.π   2.π 
- En comparant (1) et (2) ; on déduit que : =   , alors K = m . 
T


m  T0   0 
4×π 2
A.N : K = 0,2 × 2
= 50 N .m −1
0,4
* Valeur de la vitesse initiale V0z :
. 2.π 2.π . 2.π
On a : z (t) = − z m . sin( . t + ϕ ) et V0z = z (0) = − z m . sin(ϕ ) < 0 (voir le graphe 3)
T0 T0 T0
2 2
0

z  z 
On a également : z =z m . cos(ϕ ) ⇒ cos (ϕ ) =   ⇒ sin(ϕ ) = 1 −   ( car sin(ϕ ) > 0)
0

2
 z 
z m   m 
2
0

2.π z 
 ou bien V0z = − 2.π . z m 2 − z 0 2
Finalement on aura l’expression : V0z =− z m . 1 −  
T0 z m  T0
2.π
A.N : V0z = − × (4.10 −2 ) 2 − (2.10 − 2 ) 2 ≈ - 0,54m.s -1
0,4
1- Les frottements ne sont pas négligeables :
2-1- La correspondance :
- La courbe(1) correspond au régime pseudo-périodique ;
- La courbe(2) correspond au régime apériodique.
2-2-1- Expression de l’énergie potentielle Ep :
- L’énergie potentielle totale est : E p = E pp + E pe (*)
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- L’énergie potentielle de pesanteur est : E pp = − m.g .z + C

Or en z = 0 on a E pp = 0 donc C = 0 ; d’où E pp = − m.g .z (1)
1
- L’énergie potentielle élastique est : E pe = .K .∆l 2 + C '
2
1
Or lorsque ∆l = 0 on a E pe = 0 donc C ’ = 0 ; d’où E pe = .K .∆l 2 (2)
2
- On porte (1) et (2) dans (*), on aura :
1
E p = − m.g .z + .K .∆l 2 , avec ∆l = ∆l'0 +z
2
On écrira : E p = − m.g .z + .K .(∆l'0 +z )2 = ( −m.g + K .∆l'0 ) . z + .K .z 2 + .K .(∆l'0 ) 2
1 1 1
2 1442443 2 2
= 0 ( à l 'équilibre)
1 1
Finalement on aboutit à l’expression : E p = K .z 2 + .K .(∆l'0 ) 2
2 2
2-2-2- Calcul de la variation de l’énergie mécanique ΔEm :
Dans le cas du régime pseudo-périodique :
∆E m = ∆E p + ∆E c
. 2 . 2
1 1
⇒ ∆Em = K . (z 2 2 − z 1 2 ) + m. (z 2 − z 1 )
2 2 { {
=0 =0
1
⇒ ∆Em = K . (z 2 2 − z 1 2 )
2
1
( )
A.N : ∆Em = × 50 × (2,2.10 − 2 ) 2 − (3.10 − 2 ) 2 ≈ −1,04.10 − 2 J
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