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GROUPE 4

Préparé par

BUISSERTH Pettherson
CADET Marc Karlens
DELACE Wedney
JEAN Kenley
LAUDE Steve-Gerald
MONDESIR Valery Vikens
LEBRUN Donley

Travail présenté a
Monsieur VOLCIN Dominique

Le résumé des deux vidéos du cours d’hydrologie

Université de la fondation Dr Aristide


(UNIFA)
Les grands points :
 L’hydrologie
 Cycle de l’eau
 Pluviometrie
 Evaporation et Ruissèlement (Evapotranspiration)
 Infiltration
 Bilan hydrologique annuel
 Les méthodes d’estimation de débits et des volumes
 Prélèvement d’échantillon d’eau en forage
Hydrologie
Science qui s’intéresse à tous les aspects du cycle de l’eau, et en particulier aux
échanges entre la mer, l’atmosphère, la surface Terrestre et le sous-sol sur terre.
Cette science est utilisée pour les études des réseaux d’eau portable,
d’assainissement des échanges publiques, des barrages, des routes, des études
géotechniques (calcul des fondations) études environnementales.
But : C’est de transformer la pluie qui tombe en débit qui nous permettra de
dimensionner nos ouvrages.
Cycle de l’eau
C’est un phénomène naturel qui représente le parcours entre les grands
réservoirs d’eau liquide, solide ou de vapeur d’eau sur terre.

L’eau ainsi tomber a des destinées diverses :

 Une partie s’évapore


 Une partie ruisselle
 Une partie s’infiltre dans le sol
 Plus la pente est grande, plus l’infiltration est petite.

Pluviométrie
Evaluation quantitative des précipitations, de leur nature et distribution.
Les chutes de pluie se mesurent à l’aide d’un pluviomètre.
Les hauteurs de pluie sont relevées deux fois par jours dans les stations
météorologiques.
A chaque relevé le contenu de l’eau est vide
Evaporation et Ruissellement
En hydrologie, le ruissellement est l’écoulement des eaux a la surface de la terre,
notamment à la surface des sols.
L’évaporation c’est la transformation d’un liquide en vapeur par sa surface libre. Il
y’a évaporation sur l’eau qui circule dans les rivières, sur la tranche d’eau
superficielle inclus dans le sol, sur une couche de l’ordre de 1m. plus il y’a de
l’espace dans les couches de terres plus l’eau s’infiltre plus rapidement.
L’eau puisée a des profondeurs supérieures passe en évaporation, appauvrissant
d’autant les réserves du sol, c’est l’évapotranspiration.

Quantification de l’évapotranspiration
Formule de M. Coutagne: E=P-λP²
E : évaporation (dégrée C) P : Précipitation(mètre) t : température
λ=1/0,8+0.14t
Condition : 1/8λ<P<1/2λ
Formule de M. Turc
E=P/√0.9+P²/l² avec L=300+25t+0.05t³

Infiltration
On effectue une campagne de jaugeages régulier du débit de la rivière pendant
plusieurs mois et en relevant la pluviométrie en amont de la station de jaugeage.
I=P-(R+E) P=représente la hauteur en mm.
Il est possible, également, d’effectuer une mesure directe de l’infiltration par le
jaugeage des sources qui s’écoulent d’un territoire dont on a pu mesurer la
superficie de l’impluvium.
Pour le ruissellement
R=Q’-Q
Q : représente le débit de la rivière avant la période pluvieuse
Q’ : représente le débit grossier due au ruissellement de surface

Bilan hydrologique annuel


C’est le résultat chiffre de la comparaison du totale des précipitations tombées Commented [PB1]:

dans une région et l’évapotranspiration potentielle évaluer en laboratoire. Le


bilan hydrique joue un rôle majeur dans la détermination de la quantité d’eau
disponible pour une utilisation dans une région.
P= E+R+S ou P=E+Q avec Q=R+S
R : ruissellement de surface
S : ruissellement diffère
P-Q= déficit d’écoulement
Q/P= coefficient d’écoulement qui varie selon le bassin versant, fonction de la
nature géologique

Dimensionnement des ouvrages hydrauliques


Ce dimensionnement nécessite la connaissance des grandeurs caractéristiques du
bassin versant, l’existence des données hydrologique sur le bassin versant,
l’existence des données hydrologique enregistrées à proximité du bassin versant,
le volume totale écoulée débit de pointe à un endroit donné.
Les méthodes d’estimation de débits et des volumes
 Méthodes rationnelles : QP=2,78CIA en L /s
 Méthodes Crupedix : Q10=S0,8(PJ10/8)2R. (R c’est le paramètre régional qui
dépends du bassin versant)
 Méthodes de Curve Number : V=10*LR*superficie en m3 (LR est la larme
ruisselée en mm)
 Méthodes analogiques pour des bassins versant homologues :
Q10=(A2/A1)0,8Q10 connu
 Méthodes statistiques : estimer les crues de période de retour T.

Prélèvement d’échantillon d’eau en forage


Pour faire un prélèvement d’échantillon d’eau en forage il faut une liste de
matériel :
 Une clé de cadenas d’artilleur,
 Une sonde piézométrique,
 Une pompe immergée avec son tuyau d’exhaure,
 Une batterie pour faire fonctionner la pompe,
 Un bécher de 1L en plastique,
 Des sondes et appareil de mesure étalonnés permettant de suivre les
paramètres désirés (pH, conductivité électrique, oxygène dissous, potentiel
redox…),
 Des flacons adaptés aux prélèvement envisagés,
 Une éprouvette graduée,
 Un système permettant de conserver les échantillons au frais pendant le
temps de la campagne (ex : glacière contenant des pains de glaces).

Etape 1 :
Ouverture du piézomètre et caractérisation de l’ouvrage
Etape 2 :
Suivie de l’évolution des paramètres physico-chimique.

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