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Agenda 21 et mise en place du

Nouvel Ordre Mondial


mardi 4 août 2015

Quoi qu’on en dise, il n’est pas possible de remettre en cause le « Nouvel Ordre Mondial »
qui est actuellement en train d’être mis en place, les faits sont là et incontestables, et si l’on
doit parler du Nouvel Ordre Mondial, il faut également aborder le sujet de l’Agenda 21 qui
n’est pas connu du plus grand nombre même s’il n’est pas aussi secret que le TAFTA comme
on peut le voir ici pour la France, et là en résumé:

L’Agenda 21 a été mis en place en 1992 lors de la conférence des Nations-Unies sur
l’environnement et le développement à Rio de Janeiro au Brésil, organisée par Maurice
Strong, un milliardaire canadien du pétrole et des affaires et porte-parole des Rothschilds et
des Rockefellers. Strong fut le chef de file pour le programme d’exploitation de
l’environnement pour arnaquer les gens, main cachée de l’environnement dans le réseau de la
Table Ronde qui comprend le groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale et le Conseil des
Relations Extérieures.

Strong disait à l’appui de l’Agenda 21 : « N’est-ce pas le seul espoir pour cette planète que la
civilisation industrialisée s’effondre ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? »
C’est un homme qui est devenu super-riche grâce à l’industrie du pétrole. Il vit aujourd’hui en
Chine dans un luxe de milliardaire où l’industrie émettrice de carbone s’envole et il est
directeur du Chicago Climate Exchange [CCX en abrégé] (dont le principal actionnaire est
Goldman Sachs), qui est le premier projet mondial et le seul système de réduction des gaz à
effet de serre de valeur légale en Amérique du nord. Le CCX a été mis en place avec un
financement de la Fondation Joyce où Barack Obama fut un jour directeur. Strong et Al Gore
s’en sont mis plein les poches grâce au Carbon Exchange et autres moyens grâce aux
mensonges dont ils font la promotion sur le changement climatique et aux solutions qu’ils
proposent. Kate Johnson a écrit sur le site de Global Research : « Les mêmes hommes qui
nous ont vendu le mythe du réchauffement climatique causé par l’homme sont les mêmes qui
nous ont venu la « solution » d’une taxe carbone et le Emissions Trading Scheme [système
d’échange de quotas d’émissions] et aujourd’hui ils profitent de leurs investissements lucratifs
basés sur des mensonges ». Strong s’est envolé pour la Chine en 2006 après avoir été accusé
de corruption en rapport avec le pétrole des Nations-Unies pour le programme alimentaire.

La propagande sur le changement climatique est une technique de non-problème-réaction-


solution pour justifier l’Agenda 21 et son compagnon, le Traité sur la Biodiversité. C’est un
document internationalement contraignant impliquant presque 200 pays. Les US ont signé le
traité, mais il n’a pas été ratifié par le Sénat après que des gens comme le Dr Michael
Coffman, écologiste et scientifique de l’écosystème ait exposé ses réelles conséquences et
implications. Il dit avoir compris pendant les années 80 et 90 que le plan était de prendre
comme excuse une protection de l’environnement pour confisquer la moitié des terres des US.
Des plans similaires existent pour tous les autres pays. L’Amérique a pu ne pas ratifier le
traité, mais il est mis en œuvre actuellement. L’Agenda 21 demande un contrôle mondial
centralisé de toutes les terres ; de toutes les propriétés privées, de toutes les sources et
distribution d’eau et de toute la production et la distribution alimentaire.

L’Agenda 21 est nommé « agenda pour le 21ème siècle » et il fait penser à un


fascisme/communisme mondial. Voici un résumé de ce que l’Agenda 21/Développement
Durable/Biodiversité cherche à imposer :

• La fin de la souveraineté nationale


• La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les
écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l’eau douce; l’agriculture; le
développement rural; la biotechnologie; et l’assurance d’une « équité » (esclavage équitable)
• L’État « définit le rôle » des entreprises et des ressources financières
• Abolition de la propriété privée (ce n’est pas « durable »)
• « Restructuration » de l’unité familiale
• Des enfants élevés par l’État
• On dit aux gens quel sera leur travail
• Restrictions majeures des déplacements
• Création de « zones de peuplement humain »
• Repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient
auparavant
• Éducation abrutissante (réalisée)
• Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus

Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d’une dictature
mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International
d’Initiatives d’Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local
Environmental Initiatives] et aujourd’hui connu comme Gouvernements Locaux pour la
Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent
maintenant des « ambassades » autour du monde nommées « Maisons des Nations-Unies »
sous couvert d’accroître la sensibilisation des activités des Nations-Unies, mais non les
activités que les gens ont vraiment besoin de connaître. Ils en ont ouvert une à Hunter Square,
à Édimbourg, en Écosse, par exemple.

Les Gouvernements Locaux pour la Durabilité (ICLEI) et d’autres organisations introduisent


le programme dans chaque village, ville, cité et région et il commence déjà à s’étendre autour
du monde. L’infrastructure d’organisation de l’Agenda 21 est déjà fantastique et implique des
agences du gouvernement, des organisations non-gouvernementales (ONG), des think-tanks,
des sociétés, des fondations, des opérations « de formation » (contrôle de l’esprit) et des
« initiatives » qui ont bâti l’infrastructure de ce qu’ils appellent la société « post-industrielle,
post-démocratique » alors que la foule continue ses activités quotidiennes, inconsciente de la
prison qui se construit autour d’elle d’heure en heure.

Harvey Ruvin, vice-président de l’ICLEI, était interrogé sur la manière dont l’Agenda 21
affecterait les libertés en rapport avec la Constitution américaine et la Déclaration des Droits,
la propriété privée et la liberté d’expression. Il a répondu : « Le collectif doit prendre le pas
sur les droits individuels ». L’arrogance de ces gens est époustouflante. Le réseau
extraordinaire qui soutient l’ICLEI et l’Agenda 21 incluent diverses institutions. Celles-ci et
de nombreuses autres travaillent au même but – l’Agenda 21 et la mise en esclavage total des
humains autour du monde, bien que la plupart de ceux qui sont impliqués n’auront
aucunement l’idée qu’ils construisent une prison mondiale pour eux et leurs familles.

Une autre de ces organisations de premier plan est le Conseil des Entreprises Mondiales pour
le Développement Durable qui inclut la monstrueuse société Monsanto. La destruction de
terres agricoles, la contamination des pays avec des toxines et le remplacement d’aliments
corrects par des organismes génétiquement modifiés mortels et destructeurs de sol, telle est la
contribution de Monsanto pour la « durabilité ». L’Agenda 21 est en fonction dans plus de
600 villes, cités et comtés des US et s’étend de jour en jour.

Un membre des comités de l’Agenda 21 de Santa Cruz en Californie, disait au milieu des
années 90 que les propositions qu’il entendait étaient si folles qu’il en riait car elles ne
pourraient jamais être appliquées. Elles incluaient que « la surface de la Terre Mère ne soit
pas éraflée » ; les humains seraient parqués dans des zones de peuplement ; l’éducation
devrait se concentrer sur l’environnement en tant que principe d’organisation et tous les
aspects de la vie seraient couverts par l’Agenda 21, mais tous ces programmes délirants sont
introduits aujourd’hui. Rien que des visages heureux, gentils, souriants, mais la réalité est que
l’Agenda 21 est une stratégie vicieuse, brutale, inhumaine pour imposer un état orwellien
mondial.

Les manipulateurs de cet agenda soit créent une organisation locale ou en détourne d’autres,
plusieurs d’entre elles dans des lieux largement peuplés et ils placent leurs dirigeants (sous
contrôle) pour accorder le projet de l’Agenda 21 à leur communauté conjointement avec des
idiots involontaires non informés à qui on vend un cauchemar humain comme moyen de
sauvetage de la planète. Ce qui leur permet de prétendre que les décisions ont été prises après
une « participation publique » alors que cela aurait été la dernière chose qu’ils voulaient et
99 % de la « communauté » n’a jamais entendu parler de l’Agenda 21 et encore moins pu en
parler. Ils ne veulent pas de démocratie, voilà pourquoi ces gens discutent en privé, parfois
même en public, d’une société post-démocratique, post-industrielle.

Ils souhaitent contrôler chaque homme, femme et enfant de la planète – tout le monde et
partout et toute ressource, source d’eau et morceau de terre. Dans ce but ils ont besoin d’une
structure mondiale de contrôle fasciste qui s’implante directement dans toutes les
communautés locale sous des autorités à l’échelon local qui renforcent la volonté du centre
mondial. C’est pourquoi il y a une telle emphase dans l’Agenda 21 sur les autorités locales et
municipales.

Il existe une « organisation de formation » nommée But Commun (finalité commune,


consensus commun, tout le monde les mêmes) financée par de grosses sommes d’argent
données par les gouvernements et les autorités locales, les forces de police et autres
institutions d’état pour « former les dirigeants » de la société post-démocratique, post-
industrielle. But Commun a été largement représenté dans ‘l’enquête’ Leveson conduisant en
Grande-Bretagne à de nouvelles lois pour les médias. Ce n’est pas un programme de
formation ; c’est un programme de programmation qui donne des administrateurs zombis
inconditionnels qui servent le dieu de l’Agenda 21 et l’Union Européenne partenaire. Le
thème de « commun » s’applique aussi à la toujours plus grande standardisation de lois et
règlements et à une référence constante à la « loi internationale ». C’est le déploiement de la
dictature mondiale de l’Agenda 21. Que faut-il pour être un dictateur mondial ? Des lois
auxquelles chacun sur terre doit obéir – une loi internationale et une standardisation de la
réglementation mondiale.

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