Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
I- Définitions :
1 - La perception :
C’est le processus par le quel un individu choisit, organise et interprète des éléments d’information
externe pour construire une image cohérente du produit.
C'est le processus de sélection, d'organisation et d'interprétation de l'information externe.
La perception a la faculté d'être sélective, c'est-à-dire de filtrer les éléments pour n'en retenir que
certains. Certains facteurs jouent un rôle important dans la perception: l'image de soi, le risque
perçu, la sensibilité à la marque.
Trois mécanismes permettent d’expliquer pourquoi le même stimulus peut être interprété de
multiples façons :
- l’attention sélective
- La distorsion sélective (anomalie)
- la rétention sélective (conservation)
La perception est l’interprétation que nous donnons au stimulus (messages, signaux) et reçu par les
cinq sens. L’individu sélectionne et différencie les signaux en des concepts significatifs. Ainsi, la
perception découpe dans la totalité des images qui s’offrent à nous, celles qui sont utiles à la
réalisation de nos tendances.
En marketing, pour conduire à une décision d’achat, il faut faire d’abord entrer l’idée du produit,
de la marque dans le champ perceptuel.
Le problème se pose dans les termes suivants :
Comment percevoir le comportement des consommateurs d’un produit ?
A supposer que ce produit corresponde à leurs attentes comment le leur faire comprendre?
Comment attirer leurs attention et les convaincre ?
Compte tenu de la masse d’informations aux quelles les consommateurs sont soumis
quotidiennement, on se rend compte à quel point ces derniers problèmes sont difficiles.
Les valeurs que l’individu affecte aux différents stimuli, sont directement compatibles avec son
propre système de croyance. Ces croyances respectent une cohérence globale.
2- Les croyances : Une croyance correspond à un élément de connaissance descriptive qu’une personne
entretient à l’égard d’un objet.
Un signal, venant remettre en cause cette cohérence, est susceptible de créer une tension, un conflit
que l’individu cherchera à résoudre (théorie de la dissonance cognitive)
Un acte d’achat qui implique fortement l’individu (achat d’une voiture) peut provoquer une tension
(crainte de n’avoir pas effectué le bon choix) qui devra être résolu par différents moyens (par la
publicité par exemple).
Ces différentes dimensions psychologiques se manifestent concrètement au niveau de l’action
publicitaire qui doit éliminer ces craintes, rassurer le consommateur et le pousser à acheter.
3 – Le processus perceptuel :
L’exposition correspond au voisinage de l’individu avec un stimulus qui sollicite l’un des cinq sens de
l’individu. L’activation du processus perceptuel n’est cependant pas automatique. Pour qu’il soit activé, il faut
que l’intensité du stimulus dépasse un niveau minimal qu’on nomme seuil perceptuel.
L’attention est très sélective. Force est de constater que l’attention est influencée par deux types de
caractéristiques : celles du consommateur et celles du stimulus (taille, couleur, position, contenu, etc…).
La compréhension correspond à l’interprétation, au décodage du stimulus. Cette interprétation se fait
essentiellement par confrontation du stimulus aux informations déjà détenues par le consommateur. Le seul
nom d’une marque peut conduire le consommateur à le rapprocher d’une catégorie de produits déjà connue.
L’acceptation n’est pas la conséquence forcée de la compréhension d’un stimulus. L’acceptation d’un stimulus
dépend fortement de la crédibilité de l’émetteur du stimulus.
La rétention consiste à transférer l’information perçue dans la mémoire.
Processus par lequel un individu, sélectionne, organise et interprète les stimuli de façon à
tracer un portrait significatif et cohérent du monde qui l’entoure.
C’est la signification que l’on donne aux stimuli reçus au moyen des cinq sens
I- Définitions :
1 - La perception :
L’exposition correspond au voisinage de l’individu avec un stimulus qui sollicite l’un des cinq sens de
l’individu. L’activation du processus perceptuel n’est cependant pas automatique. Pour qu’il soit activé, il faut
que l’intensité du stimulus dépasse un niveau minimal qu’on nomme seuil perceptuel.
L’attention est très sélective. Force est de constater que l’attention est influencée par deux types de
caractéristiques : celles du consommateur et celles du stimulus (taille, couleur, position, contenu, etc…).
La compréhension correspond à l’interprétation, au décodage du stimulus. Cette interprétation se fait
essentiellement par confrontation du stimulus aux informations déjà détenues par le consommateur. Le seul
nom d’une marque peut conduire le consommateur à le rapprocher d’une catégorie de produits déjà connue.
L’acceptation n’est pas la conséquence forcée de la compréhension d’un stimulus. L’acceptation d’un stimulus
dépend fortement de la crédibilité de l’émetteur du stimulus.
La rétention consiste à transférer l’information perçue dans la mémoire.
Processus par lequel un individu, sélectionne, organise et interprète les stimuli de façon à
tracer un portrait significatif et cohérent du monde qui l’entoure.
C’est la signification que l’on donne aux stimuli reçus au moyen des cinq sens