13.

Revenu global de la communauté R(G)=Z+I+C+J

R=120+120+420+60=720
R=(Y+Z)+(I-F)
R= (600+120) + (120-120) = 720
La contribution de l’État (Z) est égal à 120/720= 16.6%
La contribution des entreprises (I-F) est égal à 0

14. .c, s, t sont unit par Y

Soir k=(Y+Z)/(F+D)
Dans le modèle BEAM F+D = S ; Ainsi que les revenus des ménages sont Y+Z (et pas seulement Y).
Donc ce ratio est un équivalent du ratio k=Y/S du modèle BEM
Ainsi, le ratio k=(Y+Z)/(F+D) est la propension des revenus des ménages et l’injection monétaire des
banques
Comme c=C/Y+Z  Y+Z=C/c  k=(C/c) x (1/F+D)
Comme s=S/Y+Z  Y+Z=S/s  k=(S/s) x (1/F+D)
Comme t=T/Y+Z  Y+Z=T/t  k=(T/t) x (1/F+D)
15.
L’état décide d’augmenter le revenu des ménages par une politique budgétaire. Il
accroît donc son déficit budgétaire pour financer un surcroît d’investissement public ΔJ.
Sachant que U et I sont inchangés et que les entreprises s’attachent à maintenir l’équilibre fort du
circuit, montrer que ΔJ entraîne une augmentation du flux Y telle que ΔY=ΔJ/(1-c)

Exprimer ΔC, ΔS, ΔT.

Expliquer pourquoi finalement, en fin de période, ΔD n’est plus égal à ΔJ mais à s.ΔJ/(1-c).
Que dire du rapport ΔY/ ΔD ?

???

Application numérique : l’état souhaite augmenter le revenu des ménages de 90 pour réduire le
chômage. Dresser l’état des comptes en fin de processus, lorsque l’objectif des 90 unités de revenus
supplémentaires est effectivement atteint. Comment la répartition des revenus entre fonctionnaires
et salariés des entreprises a-t-elle été modifiée ?
16. L’état décide d’augmenter le revenu des ménages par une politique budgétaire. Il accroît donc
son déficit budgétaire pour embaucher des fonctionnaires et verse ainsi des traitements
supplémentaires ΔZ.
Montrer qu’en gardant les mêmes hypothèses qu’à la question 15, on aura une variation de Y ΔY= c
ΔZ/(1-c) et Δ(Y+Z)= ΔZ/(1-c).

Exprimer ΔC, ΔS, ΔT et ΔD.

Application numérique : dresser les comptes lorsque Δ(Y+Z) = 90. Comment la répartition des
revenus entre fonctionnaires et salariés des entreprises a-t-elle été modifiée ?

Dans ce cas ΔS+ ΔC+ΔT = 90

On sait que c =0,58 ; s=0,17 ; t=0,25
 ΔS = 0,58 x 90 = 52,2
 ΔC = 0,17 x 90 = 15,3
 ΔT = 0,25 x 90 = 22,5

17. Quel dosage entre la politique d’emploi public et la politique d’investissement public permettrait
de ne pas modifier la répartition de la population active entre fonctionnaires et salariés des
entreprises ? Dresser l’état des comptes correspondant à une augmentation du revenu total des
ménages de 90.

18. Mini-dissertation. Comment choisir entre relance et redistribution ?

1. Introduction
1.1. Définition du relance (politique d’augmentation du déficit public et injection de monnaie
dans les entreprises ou dans les ménages, en versant les finances supplémentaires aux
fonctionnaires)
1.2. Les conditions pour mener la politique de relance (l’efficacité de cette politique dépend du
multiplicateur de Keynes qui doit être plus que 1 et qui montre l’efficacité de l’injection du
monnaie, comment les flux du circuit vont changer)
1.3. Définition de la redistribution (politique de la réduction artificielle des flux monétaires des
agents économiques afin d’augmenter les flux des autres pôles)
1.4.  Les conditions pour mener la politique de redistribution (l’efficacité dépend du niveau
d’inégalité des ménages dans l’économie. Si les ménages sont divisés par les ménages riches
et pauvres, cette politique va donner les fruits)
1.5. Annonce du plan

2. Première partie principale

2.1. Présentation de la politique des relances (Quels flux et agents sont engagés premièrement :
l’État prend de prêt auprès les banques, versent les revenus supplémentaires aux
fonctionnaires ou injectent l’argent dans les entreprises).
2.2. Causes qui provoquent la nécessité de la politique de relance (État stationnaire, les
entreprises ne créent pas suffisamment de richesse, les banques donnent la même somme
d’argent chaque année, l’économie ne se développe pas. État doit agir parce que les
banques en ont confiance – l’État ne peut pas faire faillite).
2.3. Conséquence de la politique de relance (Si le multiplicateur de Keynes est plus que 1, les
excédents successifs des flux vont se propager ce qui stimule la productivité des entreprises,
la croissance des salaires des ménages, qui grâce à l’augmentation de la richesse consomme
plus ce qui augmente encore la bénéfice des entreprises. De plus le revenus
supplémentaires des ménages augmentent la somme des impôts versée à l’État. Grâce à ça
l’État peut couvrir ces prêts d’argent après les banques. Grâce à l’augmentation du bénéfice
des entreprises, l’année suivante les banques vont injecter plus d’argent ce qui va marquer
le début de la croissance économique).
2.4. Micro-conclusion

3. Deuxième partie principale

3.1. Présentation de la politique de redistribution (Quels flux et agents sont engagés
premièrement : le changement artificiel, forcé des flux provoque le changement tous les
autres flux du circuit. La politique peut être mené dans le modèle sans l’État, mais dans la
réalité cette politique est souvent menée par les autorités publiques)
3.2. Causes qui provoquent la nécessité de la politique de redistribution (L’inégalité au sein du
pôle peut provoquer la division de cet agent en plusieurs pôles autonomes. Les agents plus
riches vont épargner plus, ce qui va réduire l’efficacité du circuit parce que les épargnes s’est
la distruction de la monnaie. La monnaie épargnée par les riches ne sert plus à personne,
c’est pourquoi cette inégalité provoque le fleurissement de l’économie)
3.3. Conséquences de la politique de redistribution (L’augmentation des revenus des pôles plus
pauvres va l’épanouissement de l’économie grâce une hausse considérable de
consommation. Par exemple, si les ménages plus pauvres gagnent plus d’argent, ils vont
consommer beaucoup plus intensément que les riches parce que leur propension à
consommer est plus haut. La consommation plus importante va stimuler la productivité des
entreprises ce qui va augmenter la richesse global)
3.4. Micro-conclusion

4. La réponse succincte et exacte

5. Conclusion générale