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INTRODUCTION
Dans l’industrie plus précisément dans l’automobile, on a toujours eu besoin des matières
selon leur forme physique,pour mieux résister aux contraintes tel que le vent, les chocs quel
que soit leurs nature. Pour cela il va falloir que l’humain collecte des matières puis les
façonnent pour fabriquer des pièces en automobile.
l’extraction : c’est une opération qui permet d’extraire un métal de la terre à partir
d’un engin lourd appelé extracteur.
Triage : il permet de séparer la terre au métal à fin e l’obtenir sous sa forme
naturelle.
La malléabilité :La malléabilité est la facilité avec laquelle un matériau se laisse
façonner, étendre et aplatir en feuille mince sous un effort de compression.
Le moulage : c’est l’obtention d’une pièce à partir d’un moule.
Le forgeage : C’est l’opération qui consiste à déformer un lingot en exerçant sur le
métal chaud des efforts de pression et de percussion. Le métal est dit corroyer. On
utilise à cet effet des outils qui peuvent être le marteau, pour les pièces de petites
dimensions, le marteau-pilon de plusieurs dizaines de tonnes, ou la presse de plusieurs
milliers de tonnes pour les lingots pesant quelques tonnes ou dizaines de tonnes.
L’emboutissage : C’est l’opération qui consiste à transformer une tôle plane en une
surface non développable.
L’extruction : On oblige le métal à froid à remplir une matrice grâce à une forte
pression exercée par un poinçon Grande série et pièces très précises sans usinage.
Le formage : elle est l’une des dernières opérations nécessaire qui permet d’arriver à
parfaire une plume métallique.
Le laminage : C’est l’opération qui consiste à déformer un métal en le faisant passer entre
deux cylindres
dont l’écartement est inférieur à l’épaisseur initiale. Elle peut être exécutée à froid ou à
chaud. Les deux cylindres du laminoir tournent dans des sens opposés.
Fragilité
Un métal fragile est un métal qui se rompt au lieu de se déformer. Le verre, la fonte,
lebéton et les céramiques sont d'excellentsexemples de matériaux fragiles. Ils
nesupportent pas les efforts de pliage et sebrisent lors d'un choc ou impact.
Ductilité
Un matériau est dit ductile lorsqu'il peut êtreétiré, allongé ou déformé sans se rompre.
Desmétaux comme l'or, le cuivre et l'acier douxsont ductiles.
Élasticité
L'élasticité d'un métal désigne sa capacité àreprendre sa forme, tel un ressort que
vousétirez et relâchez. La limite d'élasticitéreprésente le point à partir duquel la pièce
estdéformée de manière permanente.
Dureté
La dureté d'un matériau est définie comme larésistance qu'il oppose à la pénétration
d'uncorps plus dur que lui. Par exemple, l'acier estplus dur que l'aluminium, car il est
plusdifficile à rayer.
Malléabilité
La malléabilité est la facilité avec laquelle unmatériau se laisse façonner, étendre et
aplatiren feuille mince sous un effort de
compression.
Ténacité Cette propriété est en quelque sorte lecontraire de la fragilité. Connue
aussi sous leterme de "résilience", la ténacité est lacapacité d'un matériau à résister à
la rupturesous l'effet d'un choc. Par exemple, l'acier estplus tenace que la fonte, et la
fonte plustenace que le verre.
La résistance à la corrosion
Désigne lacapacité d'un matériau de ne pas se dégradersous l'effet de la combinaison
chimique del'oxygène de l'air et du métal. Les alliagesd'acier au nickel-chrome (aciers
inoxydables).
- fusibilité : propriété de devenir liquide par chauffage. ex : le plomb est plus
fusible que l’acier.
soudabilité : propriété de lier entre elles deux pièces de même matière par
chauffage. (Soudure —> forgeage —> friction)
b. Les matériaux de protection : matériaux qui ont la propriété d'enrober et de protéger les
matériauxde construction principaux:
Revêtement : Enduits, peintures, bitumes, etc
Dans ce chapitre il était question pour nous de faire connaitre à l’apprenant les prérequis sur
l’obtention des métaux et leurs différents traitements à fin qu’ils soient outillés pour mieux
aborder les notions sur le fer et ses alliages ce qui fera l’objet de notre prochain chapitre.
Le minerai de fer se trouve sous forme de roche. Certaines exploitations sont à ciel
ouvert, d’autre est souterrain. Le minerai de fer existe en quatre combinaisons principales,
soient :
- fer+oxygène (les oxydes)
- fer+ oxygène+hydrogène (les hydroxydes)
- Chaleur développée par le passage du courant dans la masse métallique (four à induction)
Procédé THOMAS : le même que celui de BESSEMER (utiliser pour traitement des
fontes phosphoreuses)
Fondant : la composition du fondant essentiellement de la nature de la gangue : une
gangue argileuse nécessite un fondant calcaire et inversement, les fondants permettent
d’éliminer la gangue sous forme de laitier fusible
Laitier : obtenue par l’action du fondant sur la gangue, plus léger que la fonte, ils se
rassemblent à la partie supérieure du métal en fusion et ils sont évacués par un orifice
situé à la partie supérieure du creuset au fur et à mesure de leur production
Gangue : - Argileuse : elle contient du silicate d’aluminium
- Calcaire : elle contient du carbonate de calcium plus rarement
- Impuretés : sont les (Si, P, Mn, …etc.)
S’il s’agit d’un acier moulé la désignation est précédée de la lettre G (idem pour les aciers
faiblement et fortement alliés
Ils contiennent une faible teneur en carbone. Ils sont très utilisés en construction
mécanique.
La majorité est disponible sous forme de laminés marchands (profilés: poutrelle,
barre, ...) aux dimensions normalisées.
Utilisation : Ce sont des aciers dont l’élaboration n’a pas été conduite en vue
d’une application déterminée.
Désignation :
On écrit successivement:
Pour ces aciers, aucun élément d'addition ne dépasse 5%en masse (ce pourcentage est
ramené à 1% pour le manganèse).
Utilisation :Ils sont choisis lorsque l'on a besoin d'une haute résistance.
Désignation :
On écrit successivement:
Les aciers fortement alliés possèdent au moins un élément d'addition dont la teneur
dépasse 5% en masse.
On écrit successivement :
- La lettre X.
- Un nombre égal à 100 fois la teneur en carbone.
- Les symboles chimiques des éléments d'addition dans l'ordre des teneurs décroissantes.
- Dans le même ordre, les teneurs des principaux éléments (sans coefficient multiplicateur).
Exemples :X6 Cr Ni Mo Ti 17-12 0.06 % carbone
17 % chrome ; 12 % molybdène
X4 Cr Mo S 18 0.04 % carbone
I Mise en situation :
II Qu’est-ce
ce que la corrosion ?
La corrosion est l'altération d'un objet par réaction chimique avec un oxydant (du
dioxygène et du proton H+ en majorité).
majorité). La corrosion intervient dans certaines formes
d'usure des surfaces dont les causes sont à la fois physico-chimiques
physico chimiques etmécaniques.
Les exemples les plus connus sont les altérations chimiques des métaux dans l’air urbain et l’air
salin (l’humidité avec ou sans un accélérateur (le sel)).
sel))
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La rouille de l’acier Le vert de gris sur le
cuivre
Cependant, la corrosion est un domaine bien plus vaste qui touche toutessortes de
matériaux (métaux, céramiques, polymères) dans des environnements variables
(milieuaqueux, atmosphère, hautes températures).
La corrosion des métaux est dans la grande majorité des cas une réaction
électrochimique (une oxydoréduction) qui fait intervenir la pièce manufacturée
etl'environnement.
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Le phénomène de la pile électrique se créé: l’homogénéité du métal n’étant
jamais parfaite, la surface du métal présente
présente une zone anodique et une zone
cathodique qui sont soumises aux réactions suivantes:
- Réaction ANODIQUE:
- Réaction CATHODIQUE:
CATHODIQUE
La conséquence:
La corrosion uniforme :
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Perte d’épaisseur et
de matière
La corrosion localisée :
L'attaque se fait sous forme de piqûres ou de sillons, la surface finissant par devenir
tout à fait rugueuse. Cette forme de corrosion affecte surtout la capacité de
déformation du métal, plus rapidement que la perte de masse ne laisserait prévoir.
La corrosion inter-cristalline :
Exercice :
Les constructeurs automobiles isolent toutes les parties métalliques (l’acier) de tout
agent corrosif en créant une barrière chimique ou métallique.
La carrosserie est immergée dans un bain aqueux soumis à une polarité inverse à celui-
ci. Sous l'action du champ électrique, les particules de peinture et métalliques chargées
positivement ou négativement (cataphorèse ou anaphorèse) migrent vers la carrosserie
et s'y déposent sur toutes les surfaces.
Immersion de la carrosserie
de la Citroën C3 Principe de fonctionnement
par électrophorèse
Important :
Pour cela, des produits anticorrosion très actifs sont pulvérisés dans les corps creux.
La
La protection des tôles mises à nue (isolation chimique) :
Les
Les produits d’insonorisation et d’étanchéité (isolation chimique) :
Antigravillonnage
Mastic bross
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Le traitement d’une partie de carrosserie corrodée par une corrosion localisée :
La rouille non tenant doit être retirer avant d’entreprendre les opérations de
protection contre l’apparition de la rouille. Pour cela, il est possible d’utiliser :
Le traitement de la partie corrodée ne peut pas s’opérer pour ces deux types de
corrosion puisque celles-ci ont affectés la matière et non la surface du matériau. Il faut
obligatoirement remplacer la partie corrodée par une pièce neuve.
AJUSTAGE
MÉTHODE
L’outil doit être adapté au traçage à
réaliser. Le traçage doit être précis.
LES OUTILS
1) Les « traceurs » :
Le crayon de menuisier
menuisier,
permet de faire un tracé précis
(mine affûtée) pour déterminer
l’emplacement des usinages à
réaliser (sciage, entaillage…).
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Fausse équerre métallique Fausse équerre en bois
09/11/08 CAP EBENISTE LES OUTILS DE TRACAGE
1) Chaque « pointe », crayon, compas, doit être fine pour être précise
précise.
L’affûter si nécessaire.
2) La planéité (règles, réglet) :
Méthod
e dite de
retournement : il
faut positionner la
règle, tracé un trait
3) La valeur angulaire : et la retourner afin
de comparer les
deux tracés.
L’arête de
positionnement
doitêtre droite.
Placer le
4) Les mesures :
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talon de l’équerre contre l’arête, tracer un trait puis retourner l’équerre
afin de comparer la superposition des deux traits pour obtenir 90°.
CONCLUSION
Pour chaque type de tracé il y a un outil correspondant dont il faut CONTRÔLER
l’état et la précision avant de commencer à tracer. Manipuler les outils avec soins
pour conserver leur qualité.
I DEFINITION :
Le découpage est une opération où procéder consistant à couper une pièce de métal
suivant un profil ou des dimensions déterminées.
II LES PROCEDES :
III LE CISAILLAGE :
3-1 PRINCIPE :
Lame Zone F
F
supérieure d’allongement
Fibres
Métal
Lame
inférieure F’ F’
Pour avoir un bon cisaillage on: Maintient la tôle à 90° par rapport au plan de
cisaillage. Cisaille progressivement la pièce et on
suit un angle constant.
IV LE SCIAGE :
4-1 PRINCIIPE :
Le sciage consiste à exécuter une rainure étroite dans le métal, par enlèvement
de copeaux, à l’aide d’une lame portant des dents. La lame est animée d'un mouvement
alternatif ou continu, sur laquelle on exerce une légère pression.
Sens de travail
Lame en acier
dur trempé
Denture
4-3CONDITION DE REALISATION :
V LE TRONÇONNAGE :
5-1 PRINCIIPE :
Le tronçonnage consiste à exécuter une rainure étroite dans le métal à l’aide d’une
meuleuse droite pneumatique munie d’un disque abrasif fin. Le disque effectue un
mouvement rotatif sur laquelle on exerce une légère pression.
5-2 L’OUTIL :
Epaisseur
1 mm
5-3CONDITION DE REALISATION :
Pour avoir un bon tronçonnage on: Maintient la tôle à 90° par rapport au plan de
coupe.
Exerce une légère pression lors de la coupe.
Faire une coupe droite et régulière.
VI LE BURINAGE
6-1 PRINCIPE
Le découpage par burinage consiste à faire pénétrer le tranchant d'un outil (burin
en
rouge) dans la tôle à découper.
Le désassemblage
VII FONCTION :
VIII PROCEDES :
IX LE PERÇAGE :
9-1 PRINCIPE :
9-3CONDITION DE REALISATION :
Pour avoir un bon perçage on: Repère les points de soudure par un pointage au pointeau.
Exerce une pression de poussé sur la
perçeuse. Evite de détériorer l’élément à
conserver.
X LE FRAISAGE
10-1 PRINCIPE
Fraise
Pour avoir un bon fraisage on: Repère les points de soudure par un pointage au pointeau.
Exerce une pression de poussé sur la perçeuse.
Evite de détériorer l’élément à
conserver.
XI LE DEGRAFAGE :
10-1 PRINCIPE :
Fraises sphériques
Meuleuse droite
Document 5/6
Pour réaliser un bon dégrafage on: Repère les points de soudure par un marquage.
Exerce une pression de poussé.
Evite de détériorer l’élément
àconserver.
XII SECURITE :
a) Projections d’une partie du disque à tronçonner par une mauvaise utilisation de l’outil.
b
a
Le limage est l’usinage d’une pièce à l’aide d’une lime. Ce travail, généralement
manuel peut être aussi mécanique, exécuté par un ajusteur, un serrurier ou toutes
autres personnes professionnelles ou non.
Limage manuel
Le limage manuel est rarement compris dans la liste des opérations exécutées en série.
Les pièces fabriquées mécaniquement sont parfois reprises à la lime pour une finition
délicate, retouche, lorsque leur nombre ne justifie pas le recours à une machine-outil
spéciale.
Domaines d’application
*travail de finition après ébauche mécanique, surépaisseur faible (0,2 à 0,3 mm),
*ébavurage de pièces, *retouche et finition de moules et maquettes de formes
Généralités
*Le travail se fait généralement à l’étau fixé sur un établi, dont la hauteur doit être
adaptée à la stature de l’opérateur selon les normes d’ergonomie. *La tenue en main de
la lime et sa position par rapport à la pièce dépend de la largeur de celle-ci (45° pour
pièce large et 30° pour pièce étroite). *La tenue de la lime doit être ferme, l’action
d’usinage ne se fait que dans un sens, généralement la main droite assure le
mouvement aller et retour et la main gauche guide l’extrémité de la lime et équilibre la
pression sur la pièce. *Autant que possible, travailler toujours sur un plan horizontal.
*La cadence de coupe varie en fonction de la dureté du métal : **métaux dures : 25 à
45 coups par minute, **métaux tendres : 45 à 55 coups par minute. *L’usinage doit se
faire par traits croisés. *Le nettoyage des dents de la lime se fait avec une carde (brosse
métallique à poils courts, rappelant les brosses utilisées pour le cardage) manuel, afin
d’éviter que les copeaux coincés entre les dents et la pièce ne raient celle-ci. *Une
astuce de professionnel consiste, lors de la finition, à râper un morceau de craie sur les
dents de la lime pour adoucir l’usinage.
*La lime, tenue à deux mains, est placée dans le prolongement de l’avant-bras droit
(pour les droitier) et son déplacement se fera dans un plan sensiblement horizontal.
*Plus la lime est large, mieux elle s’appuie sur la surface de la pièce. *Suivre les
prescriptions citées plus haut (généralités).
La partie cylindrique doit être tracée avec précision et l’usinage doit se faire selon des
plans tangents au tracé, technique appelée épannelage. En abattant à chaque fois les
arêtes, les surfaces planes exécutées par traits croisés deviennent de plus en plus
petites et la surface limée se rapproche peu à peu de la surface cylindrique.
Limage mécanique
Machine à ruban Le limage mécanique se pratique sur des machines dont les plus
simples sont du type scie à ruban, dont la lame est une bande souple en acier sur
laquelle sont rivés des segments de lime. ===Machine rotative=== Machine composée
d'un bâti recevant un outil cylindrique animé d'un mouvement circulaire à vitesse
réglable et d'une table d'appui. IL existe deux types d'outil: un disque taillé sur ses
flancs et réversible ou une couronne taillée sur l'extérieur. Cette opération donne un
travail semblable au limage manuel, mais avec plus de rapidité. Machine portative
Le limage rotatif se fait avec des machines à main, légères, du type perceuses mues par
moteur électrique ou pneumatique, tournant à grande vitesse et sur lesquelles on peut
monter divers outils : fraises, meules, limes, forets, disques, etc. Ces outils et machines,
initialement à usage des professionnels (modeleur ou mouliste) sont aujourd’hui d’un
usage grand-public.
Le Limage
File:Limage-mode d'action
− De la direction du pli
Sous l’action d’une force appliquée sur un flan, ou une ébauche, reposant sur deux ou plusieurs
appuis ou encastré à une extrémité, le produit est fléchi.
k=α1/α2
– Par calcul
3) Pliage en V :
Comme son nom l’indique le pliage est effectuer dans une matrice en forme de V. Il y a 2
catégories de pliage en V, le pliage « en l’air » et le pliage « en frappe ».
L’effort de pliage cesse quand la tôles arrive en fin de V. L’angle terminal est celui de la forme du vé
+ le retour élastique de la tôle (~3°).
Avec le pliage « en l’air », suivant la position du poinçon en fin de course, différent angles peuvent
être obtenus avec le même outillage.
En fin de pliage, la poussée du poinçon augmente (jusqu’à 4 fois celle du pliage en l’air) pour
provoquer un écrouissage local, l’épaisseur de la tôles diminue légèrement. Ce procédé est réservé
aux faibles épaisseurs de tôles < 3mm. La matrice comporte un éjecteur pour récupérer la pièce.
Cette version de pliage diminue le retour élastique (~0.5°).
1 -) DEFINITION:
En effet, le développement des pièces roulées s’effectue sur la fibre neutre située
au milieu de l’épaisseur ou le rayon est supérieur à 3épaisseur.
2 -) PRINCIPE:
3 -) PRINCIPE:
Sur ce type de machine, les rouleaux sont disposés suivant une pyramide
de réaliser la formation extrémités de la tôle.
Cette opération est réalisée :
- Soit manuellement au maillet sur une barre de tôlier.
Sur ce type
de
machine, deux rouleaux sont disposés l’un sur l’autre et sont appelés rouleaux entraineurs
et l’autre rouleau est appelé rouleau cintreur.