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I.

Principales propriétés des matériaux

I.1 Propriétés mécaniques

I.1 Déformation élastique


Dans un solide, la distance moyenne d entre deux atomes s’établit à une valeur d0 fonction de
la nature des liaisons (figure 6.1). Si on impose aux atomes un déplacement au voisinage de
leur position d’équilibre, la force d’interaction les rappelle à la distance d0 (sauf dans le cas
d’un écartement au-delà de dd, distance de dissociation des atomes). De telles déformations
élastiques nécessitent donc l’application d’une force extérieure pour vaincre la force de
rappel et sont réversibles lorsque cette force extérieure est supprimée.

a. Élasticité linéaire isotrope


Pour de faibles déplacements, la force de rappel peut être considérée comme proportionnelle
au déplacement d – d0. Les allongements (ou raccourcissements) relatifs ou déformations ε
du solide (sans dimension), sont alors proportionnels à la densité surfacique de force, ou
contrainte σ, ce que traduit la loi de Hooke :

Les contraintes s’exprimant en MPa (ou N/mm2) et les déformations étant sans dimensions, le
coefficient E, appelé module d’élasticité à la traction ou module de Young du matériau,
s’exprime en MPa.
La constante G (ou μ) est appelée module d’élasticité au cisaillement du matériau, en MPa.
Par ailleurs, une compression hydrostatique sous une pression p permet de définir le module
de compressibilité K (ou χ) du matériau, en MPa, à partir de la variation relative de volume :
Le comportement élastique, caractérisé par la réversibilité des déformations lors de la
suppression des contraintes, ne se manifeste seul que pour des contraintes inférieures à une
valeur limite, appelée limite d’élasticité. Au-delà de cette valeur, des déformations
permanentes s’ajoutent aux déformations élastiques ou bien la rupture se produit.

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I.2 Déformation plastique

Déformation de manière permanente.

Définitions :
Rigidité élastique : l'élasticité est la propriété d'un matériau solide à retrouver sa forme
d'origine après avoir été déformé.

Rigidité plastique : la capacité d'un matériau à se déformer de manière permanente et


irréversible avant rupture.

Dureté : La dureté d'un matériau définit la résistance relative qu'oppose sa surface à la


pénétration d'un corps plus dur.

Ductilité : la ductilité désigne la capacité d'un matériau à se déformer plastiquement sans se


rompre.

Tenacité : c’est la résistance à la propagation d’une fissure.

I.2 Propriétés physiques

I.2.1 Masses volumiques


La masse volumique d'une substance est une grandeur physique qui caractérise la masse de
cette substance par unité de volume ().

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I.2.2 Propriétés électriques
La conduction électrique d’un matériau dépend de la mobilité des électrons (ou des ions) qu’il
contient dans le champ électrique extérieur imposé. Cette mobilité dépend de la structure
électronique et donc de la nature des atomes constituant le matériau. Comme seuls les
électrons dont l’énergie est supérieure au niveau de Fermi peuvent participer à la conduction,
celle-ci est forte pour les matériaux métalliques (conducteurs), faibles ou inexistants pour les
matériaux organiques et minéraux (diélectriques).

I.2.3 Résistivité électrique


La résistivité électrique ρ (Ω · m) d’un matériau où son inverse la conductibilité électrique σ
(Ω– 1. m– 1), traduit la mobilité des électrons de conduction créant une densité de courant J
(ampères/m2) dans un champ électrique E (volt/m) :

Elle conditionne la résistance électrique R (Ω) d’un conducteur de longueur l et de section S :

Les valeurs de la résistivité couvrent plusieurs ordres de grandeur, depuis 10– 8 Ω · m pour les
métaux jusqu’à 1017 Ω · m pour les polymères. La conductibilité du cuivre recuit de haute
pureté (0,580 · 108 Ω– 1 · m– 1).

I.2.4 Permittivité électrique


Un matériau sans électrons de conduction (diélectrique, à résistivité élevée) contient
néanmoins des charges électriques localisées (électrons, protons ou ions) susceptibles de se
déplacer à courte distance sous l’effet d’un champ électrique extérieur E, provoquant ainsi
une polarisation du matériau. La permittivité électrique ε (F/m) caractérise cette
polarisabilité.

I.2.5 Ferroélectricité et piézoélectricité


Les matériaux ferroélectriques possèdent une polarisation électrique naturelle et permanente
en raison d’une structure où les barycentres des charges négatives et positives ne coïncident
pas dans la maille élémentaire (par exemple le titanate de baryum BaTiO3).
Dans les matériaux piézoélectriques, comme le quartz, ce sont les déformations élastiques de
la maille cristalline sous contrainte qui provoquent la polarisation électrique par décalage des
barycentres des charges positives et négatives. Inversement, l’application d’un champ

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électrique provoque une polarisation induite qui s’accompagne d’une déformation élastique
du cristal.

I.3 Propriétés magnétiques


Comme toute charge électrique en mouvement, les électrons en auto rotation (spin) et en
mouvement orbital autour des noyaux atomiques engendrent autour d’eux un champ
magnétique. Inversement, l’application d’un champ magnétique extérieur H (A/m) sur un
matériau interagit avec les champs magnétiques électroniques, produisant dans ce matériau
une induction magnétique.

I.4 Propriétés optiques


L’interaction entre un matériau et un rayonnement électromagnétique tel que celui de la
lumière visible (longueurs d’onde entre 0,38 et 0,78 μm) dépend essentiellement de la
structure électronique des atomes concernés. Les électrons des éléments métalliques
absorbent tous les rayonnements électromagnétiques incidents (depuis les ondes radio
jusqu’au proche ultra-violet) pour se déplacer dans un état excité de la bande de conduction
(d’énergie plus élevée) comportant des états disponibles. Ils reviennent pour la plupart dans
leur état initial en réémettant un rayonnement identique au rayonnement incident (lumières
diffusée et réfléchie). Cette interaction s’effectue complètement sur une profondeur de
pénétration qui n’excède pas 0,1 μm.

I.5 Propriétés thermiques


La capacité thermique massique c (J/kg · K) représente l’énergie nécessaire pour élever de 1
K la température de 1 kg d’un matériau donné.
Le coefficient de dilatation thermique linéaire α (K–1) représente la variation relative de
longueur (L – L0)/L0 produite par une variation de température de 1 K,
La conductibilité thermique k (W/m · K) caractérise le transfert de chaleur à travers un
matériau, d’une région chaude vers une région froide.

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II Les métaux et matériaux métalliques.
II.1 Fer
C'est de très loin le métal le plus utilisé : il représente 95 % de la production mondiale de
métaux ferreux. Il peut-être transformé en acier ou même en médicament contre l'anémie.

II.1.1 Propriétés physico-chimiques du fer :

Re : limite apparente d’élasticité


Rm : résistance à la traction
A : allongement pour cent après rupture
E : module de Young

II.1.2 Applications :
Du pins au navire pétrolier, en passant par la voiture ou le bâtiment, le fer a des applications
quasi illimitées. Aujourd'hui, les usages les plus courants du fer sont la fabrication de métal,
d'instruments, de machines ou encore de véhicules de transport. Le seul problème du fer est
qu'il rouille, d'où son utilisation en alliages.

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II.2 Aluminium
L’aluminium, grâce à sa légèreté, sa bonne conductivité électrique et sa résistance à la
corrosion, est utilisé dans de nombreux secteurs.

II.2.1 Propriétés physico-chimiques de l’aluminium

II.2.2 Applications:
Les applications à fort transfert de chaleur (Il est le matériau clé de choix pour la plupart des
dissipateurs de chaleur commerciaux).
Le marché cellules solaires.
La construction d'avions, de roquettes, de bateaux, de voitures, de tanks et autres moyens de
transports. Ustensiles de cuisine : canettes, papier aluminium, les canalisations. Dans la
construction : fenêtres, portes.

II.3 Cuivre
II.3.1 Propriétés physico-chimiques du cuivre

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II.3.2 Applications :
Tous appareils et équipements électriques et électroniques ;
La fabrication de câbles et de fils électriques, il sert aussi dans la construction de rails, de
pièces pour télévisions, radios et montres, radiateurs automobiles, dans la construction civile
et l'architecture. Utilisé pour le frappage des pièces de monnaie.

II.4 Zinc
Le zinc est un métal moyennement réactif qui se combine avec l'oxygène et d'autres non-
métaux, et qui réagit avec des acides dilués en dégageant de l'hydrogène. La principale
utilisation du zinc est la galvanisation des aciers

II.4.1 Propriétés physico-chimiques du zinc

II.4.2 Applications :
Le zinc résiste à la corrosion atmosphérique. Il est utilisé pour la protection contre la
corrosion par revêtement (galvanisation) suivant divers procédés. Il est utilisé à l’état laminé
pour la fabrication de plaques de photogravure et couvertures de bâtiment.
La galvanisation consomme 47 % du zinc exploité dans le monde. L'acier galvanisé est utilisé
dans l'automobile, la construction, l'électroménager, les équipements industriels, etc

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III Les alliages des principaux métaux Production et applications.

III-1 Alliages ferreux


a) Éléments alphagènes et gammagènes

Figure 1 Évolution des domaines d’existence des variétés allotropiques du fer par addition :
d’éléments d’alliage alphagènes ; b) d’éléments d’alliage gammagènes.

b) Diagrammes de phases fer – carbone


Les phases des alliages fer – carbone peuvent être décrites à l’aide de deux diagrammes
(figure 2) :

Figure 2 Diagrammes fer – carbone pour les aciers et les fontes. En pointillés : diagramme
stable Fe-C. En traits pleins : diagramme métastable Fe – Fe3C.
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– le diagramme Fe – Fe3C, représentant des états métastables;
– le diagramme Fe – C, représentant les états stables.
En effet, le carbure de fer Fe3C, appelé cémentite, se forme spontanément lors du
refroidissement des mélanges fer – carbone dans les conditions habituelles; mais il n’est que
métastable et a tendance à se décomposer en fer et graphite (Fe3C → 3 Fe + C) avec une
cinétique activée par la température. Les refroidissements très lents ourront
donc être décrits par le diagramme Fe – C (au moins dans le domaine des températures
supérieures à 800 °C) et les refroidissements rapides par le diagramme Fe – Fe3C.
En outre, certains éléments d’addition graphitisants activent la décomposition de la
cémentite (Si, P, Al, Ni, Cu, Ti, Zr…) et permettent d’imposer une évolution dans le
diagramme Fe – C; d’autres, dits antigraphitisants ou carburigènes, stabilisent la cémentite
ou des carbures mixtes analogues (Mn, Cr, Mo, S, V, W, B, Se, Te…) et conduisent aux
phases du diagramme Fe – Fe3C.

III-1-1 Aciers
Les aciers, alliages Fe-C à teneur inférieure à 2 % C, ont des microstructures qui
correspondent toujours aux équilibres du diagramme Fe-Fe3C. Ils traversent tous le domaine
monophasé γ au cours de leur refroidissement et contiennent à l’équilibre une plus ou moins
grandeproportion du mélange eutectoïde lamellaire (α + Fe3C) formé en E1, appelé perlite.

Figure 3 Diagramme de phases des aciers au carbone non alliés.

III-1-2 Fontes
Les fontes contiennent plus de 2 %C et toutes terminent leur solidification au palier eutectique
à 1 148 ou 1 153°C : leur aptitude au moulage et leur nom de « fontes » proviennent de cette
basse température de solidus. Ce sont des matériaux bon marché mais dans l’ensemble plus
fragiles que les aciers. Comme les aciers, elles peuvent subir des traitements thermiques de
trempe et revenu, et contenir des éléments d’alliages.
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III-2 Alliages d’aluminium
III-2-1 Effets des éléments d’alliage
Les éléments ajoutés à l’aluminium, généralement en faible quantité, peuvent avoir pour objet
d’améliorer sa coulabilité (Si, Pb, Bi…) ou son usinabilité, mais visent essentiellement à
augmenter ses caractéristiques mécaniques.
a- Aluminium et alliages à durcissement par écrouissage et solution solide
Aluminium non allié : Propriétés mécaniques faibles à l’état recuit; très bonne résistance à la
corrosion; très bonne conductibilité thermique et électrique; soudables; très bonne tenue à
basse température.
Al-Mn : Propriétés mécaniques améliorées grâce à des précipités de phase Al6Mn; bonne
aptitude à la mise en forme; bonne résistance à la corrosion; soudables.
Al-Mg : Propriétés mécaniques améliorées grâce à la mise en solution solide du magnésium;
bonne aptitude à la mise en forme; excellente soudabilité ; bonne résistance à la corrosion et
aptitude à l’anodisation.
b- Alliages d’aluminium à durcissement structural
Al-Cu : Durcissement par précipitation contrôlée de phase Al2Cu; bonne résistance
mécanique; bonne usinabilité; résistance à la corrosion médiocre; difficilement soudables.
Al-Mg : Durcissement par précipitation contrôlée de phase Mg2Si; bonne aptitude à la mise
en forme à chaud et à froid; bonne résistance à la corrosion; soudables.
Al-Zn : Avec addition de Mg, durcissement par précipitation contrôlée de phase MgZn2; très
bonnes propriétés mécaniques; résistance à la corrosion et soudabilité moyennes.

III-3 Alliages cuivreux


III-3-1 Cuivres industriels et cuivres faiblement alliés
Cuivre à l’argent (0,08 %). Température de recristallisation plus élevée, tenue au fluage
améliorée.
Cuivre au cadmium (0,7 à 1 %). Propriétés mécaniques très augmentées par rapport au Cu
pur. Applications : fils et ressorts conducteurs (Exemples : « bronzes téléphoniques » pour les
lignes électriques : Cu –Cd 1 Sn 0,15 ou Cu – Cd 0,9 Sn 0,4.
Cuivre au tellure (0,3 à 0,7 %). Meilleures propriétés mécaniques, et usinabilité améliorée;
Cuivre au chrome (0,5 à 0,9 %). Alliage à durcissement structural, conservant ses propriétés
mécaniques jusqu’à 450 °C. Applications : pièces électriques et mécaniques utilisées à chaud
(électrodes de soudage, pièces de freinage, contacteurs de puissance).
Cuivre au beryllium (2 %). Alliage à durcissement structural, à propriétés mécaniques très
élevées conservées jusqu’à 300 °C. Nombreuses applications en électromécanique (variante
Cu – Co 2,5 Be 0,5, à résistance mécanique plus faible, mais conductivité plus élevée).
III-3-2 Laitons : alliages cuivre-zinc de 5 à 45 %Zn
• Monophasés jusqu’à environ 33 % Zn, biphasés au-delà.
• Se prêtent à la mise en forme et à l’usinage de précision (avec addition de Pb).
III-3-3 Bronzes : alliages cuivre-étain de 3 à 20 %Sn
Bronzes monophasés (1,25 à 10 % Sn). Aptes au corroyage; plus résistants que les laitons à
la corrosion marine, mais plus chers. Applications: diaphragmes, contacts électriques,
soufflets, ressorts…
Bronzes biphasés (10 à 20 % Sn). Alliages de fonderie (très bonne coulabilité); très bonne
résistance à la corrosion (pompes, vannes), bonnes propriétés mécaniques et bonne résistance
au frottement et à l’usure (avec éventuellement addition de zinc ou de plomb : coussinets,
engrenages, pignons).

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IV- Les traitements thermiques
Un traitement thermique est une succession d’opérations au cours desquelles un matériau ou
alliage est soumis en totalité ou partiellement à des cycles thermiques pour obtenir un
changement de ses propriétés et/ou de sa structure.
VI-1 Les éléments d’un traitement thermique
Un traitement thermique consiste à jouer sur trois éléments :
● La température
● Le temps
● Le milieu de séjour durant le maintien en température (neutre ou réactif) lors de trois
phases différentes :
- La montée en température
- Le maintien à température
- Le refroidissement.
En général, la phase déterminante et critique est le refroidissement. La vitesse appropriée pour
obtenir les caractéristiques voulues amène à choisir un milieu de refroidissement (par exemple
air, eau, bain de sel, huile, gaz ou mélanges gazeux sous pression) en fonction de la dimension
de la pièce à traiter et la trempabilité.
IV-1-2 Caractéristiques résultants de l’effet d’un traitement thermique
Les traitements thermiques influencent les propriétés mécaniques et certaines propriétés
physiques et chimiques des métaux et des alliages en modifiants les constituants
micrographiques (proportions relatifs, compositions chimiques, répartition, morphologie)
ainsi que la concentration et la distribution des defaults.
IV-2 types de traitements thermiques :
IV-2-1 Le recuit :
◦ chauffer la pièce à une température déterminée dite température de recuit (le choix de la
température dépend des objectifs, elle peut aller de 450 et 1100°C)
◦ maintenir cette pièce à cette température pendant un temps donné
◦ refroidir à la vitesse adéquate afin d’obtenir après retour à la température ambiante un état
structural du métal proche de l’état d’équilibre stable.
Cette définition très générale est habituellement complétée par une formulation précisant le
but du traitement.
Le recuit permet notamment :
- d'éliminer ou réduire les contraintes résiduelles du métal liées à une action antérieure
(déformation, soudure, etc.) ou un traitement thermique antérieur,

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- d’obtenir la formation d'une structure favorable à une action ultérieure (déformation,
usinage, etc.) ou un traitement thermique ultérieur.
IV-2-2 La trempe (ou durcissement par trempe) consiste à :
◦ Chauffer la pièce à une température appropriée (mise en solution)
◦ Refroidir à une vitesse adéquate la pièce en la plongeant par exemple dans de l'eau (trempe
à l'eau) ou de l'huile (trempe à l'huile) ou par insufflation d’un gaz tel que l'air. On peut
évoquer également les émulsions eau-polymères ainsi que certains sels (nitrates, nitrites)
comme milieux de trempe.
Une trempe a pour objet de durcir le métal. Elle est donc généralement suivie d'un revenu.
Remarque : Il est possible de réaliser des trempes "locales" ne s'appliquant qu'à une partie
d'une pièce.
IV-2-3 Le revenu :
◦ En un ou plusieurs chauffages de la pièce à une température déterminée (inférieure à la
température de début de transformation de phase (l’acier ~ 700°C)
◦ Un maintien de la pièce à cette température pendant un temps donné
◦ Un refroidissement approprié.
Un revenu permet d'atténuer les effets de la trempe en rendant la pièce plus ductile et plus
tenace. Il peut dans des cas particuliers permettre un durcissement secondaire. L’emploi du
terme revenu sous-entend que le traitement est réalisé sur un état préalablement trempé. [Un
traitement à 500°C sur un acier trempé est un revenu, sur un acier non traité est un recuit].

● Le traitement de normalisation (équivalent d’un recuit à haute température suivi d’un


refroidissement à l’air) est un traitement d’affinage structural permettant un adoucissement et
l’élimination des contraintes apparues avec les opérations précédentes.

● Il faut également noter qu’avec l’évolution technologique on réalise à présent des produits
avec des traitements thermomécaniques à hautes températures, sans oublier les traitements
thermochimiques (cémentation, nitruration…).

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